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Housecoat
127 abonnés
392 critiques
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4,0
Publiée le 25 février 2019
Revoir Le Masque de Zorro en ayant en tête le nom du célèbre duo de scénaristes Ted Elliott et Terry Rossio a été un bon tremplin d'analyse. Les deux s'obstinent à mettre en valeur l'image de Zorro plus comme un mythe que comme un humain (de la simple admiration de villageois désespérés à un prêtre parlant à sa version jeune), seul l'homme derrière le masque présente ses faiblesses, ses objectifs pouvant diverger avec le but de la légende incarnée et s'avérer au-dessus des épaules de ses interprètes. Un symbole ou un objet significatif peut faire évoluer un personnage d'un cran (un foulard, une fleur, un médaillon ou même le fameux "Z") et les antagonistes sont à leur tour des figures diabolisées partageant les obsessions des principaux (la fille, la vengeance...). Ces éléments mis au service de la maîtrise technique de Martin Campbell renoue avec une forme de divertissement qui ne lâche jamais le spectateur, le film sait quand être drôle et comment rendre possible par la mise-en-scène et l'écriture quelque chose de normalement impossible (Banderas devenant le Zorro de substitution en peu de temps). Un renouveau culte du cinéma d'aventure, et on comprend facilement pourquoi.
Un bon film, bien fait, bien ficelé et entraînant. Le choix d'Anthony Hopkins en Don Diego et assez surprenant même s'il arrive à tenir la route. Antonio Banderas est quant à lui excellent, et donne une dynamique comique bienvenue. Le reste du casting est aussi très bon. Le rythme possède quelques temps morts mais l'action est excellente. Humour et drame justement dosés pour un film qui au final se tient.
Je me suis ennuyé les 3/4 du film. Il ne se passe rien alors que Zorro est sensé symboliser l'action, les combats. Or ici, nous assistons à une succession de blablas. 0.5 point pour la beauté renversante de Catherine Zeta-Jones (et ce combat avec Antonio Banderas) et 1 point pour la dernière demie heure où l'action intervient enfin (à partir de la course poursuite à chevaux entre Zorro et les gardes de Montero). Un film inégal !
Jaodre Zorro la série et le film je le connaissait déjà mais je me rappeler plus de certaine chose et c'est plus tôt pas mal pour revoir un film . En faite le trio Hopkins Banderas Zeta Jones et juste grandiose . Sinon le film en lui même c'est un peu fadde en terme d histoire. Banderas et un bon Zorro charisme classe etc . Je trouve dommage que Anthony Hopkins etait âgée pour ce film sinon je pense que pour quil soit un Zorro entieremment le temps d'un film . Je pense qu'il aurait etait bon dans ce rôle. Jesepre que dans les 2 il y aura plus de scene d'épée et de bagarre car la pour les raison expliquer dans le film on voit moins de cela je comprend mais je pense que dans le 2 il en faut plus
Film d'aventure sympathique et même si en soit il ne révolutionne pas le genre, il se laisse agréablement regarder. Banderas est plein de charme et Hopkins n'en fait (pour une fois) pas trop des caisses...
La légende de Zorro adapté au cinéma avec une intrigue simple pour la noble cause du vieillissant Don Diego de la Vega contre la main mise de l’oppresseur étrangère dans sa région natale. Rébellion, emprisonnement, évasion puis mentor de son jeune élève pleine de vitalité et de fougue de baroudeur bandit reprenant sa fonction héroïque de l’homme masqué, Alejandro Murieta. C’est pas terrible comme scénario, les combats à l’épée ont l’élégance des fausses chorégraphies, cascade, musique espagnole cliché plaisante, explosion et un peu de romance pour plaire, éloigné de la série télévisuelle et trop originale.
On peut ne pas aimer Zorro des séries mais difficile d’être indifférent face au film ! Antonio Banderas, Anthony Hopkins et Catherine Zera-Jones en sont pour quelque chose, et la BO également
Un superbe Zorro, moderne tout en respectant les codes des dizaines de Zorro précédents. Il est intelligent, subtil, plein d’humour et surtout beau à voir. Campbell réussit même quelques plans de grande classe. Le trio d’acteurs le vieux Zorro, sa fille et le jeune Zorro est épatant, les deux méchants n’étant pas à leur niveau, question talents de comédiens. Plein de couleurs et de lumières il respecte totalement l’esprit des premiers romans sans jamais se préoccuper de la moindre vérité historique ce qui est bien préférable que de la déformer…Santa-Anna n’étant cité que pour faire peur. Il est juste dommage que quelques secondes de trop, par ci par là, interdissent la vision aux enfants de moins de 10 ans( le pire étant la présentation de la tète de Joaquim dans un liquide conservateur) Quelques baisers trop réalistes n’ont pas non plus leurs places dans un tel film…Il ne faut pas voler aux enfants leurs rêves, chacun y a droit à son tour. Quoiqu’ il en soit, réserves faites, le spectacle est garanti. Bande musicale parfaitement adaptée.
Un film d'aventures très réussi qui revisite le personnage de Zorro. Anthony Hoplins est très en forme et Catherine Zeta Jones a un charme fou. Quand à Banderas il incarne un Zorro fougueux et malicieux. A voir.
"Le masque de Zorro" est un excellent divertissement efficace et maîtrisé avec une mise en scène sobre, un excellent casting, une BO magistral et une histoire prenante.
Le duo Hopkins/Banderas fonctionne plutôt bien, la performance de Catherine Zeta-Jones n'est pas à retenir, dans l'ensemble on passe un bon moment, les scènes d'actions sont plutôt bien faite et le scénario tient la route.
Le Masque de Zorro est un chef-d'oeuvre tant par sa crédibilité tant par son casting renforcé. L'évolution des personnages de Zorro, parfaitement interprété par Antonio Banderas puis de son professeur Don Diego de la Vega, magnifiquement interprété par Anthony Hokpins est un facteur clé pour la bonne réalisation du film. C'est évidemment une réussite profonde, tant par son approche scénaristique tant par ses décors cohérents. L'amour, la patience, la justice et la misère éco-politique sont des points centraux qui installent une atmosphère légendaire.
Après Douglas Fairbanks, Tyrone Power et Alain Delon, c'est au tour d'Antonio Banderos de revêtir le masque du célèbre justicier. Et force est d'admettre qu'il assure très bien le rôle. Le film modernise assez bien le personnage et le scénario possède une astuce qui permet de l'enrichir avec un récit de formation - Anthony Hopkins, Zorro vieillissant, passant le relais à un Antonio Banderas qui se transforme sous la coupe de ce Pygmalion, de peone qu'il était, en un justicier élégant et soucieux de défaire ses ennemis avec noblesse. Toutefois, certains choix de modernisation du mythe ne collent pas toujours bien comme celui de faire de Elena une fine lame. Comment a-t-elle pu apprendre à manier l'épée alors qu'elle a grandi dans un milieu où le protocole envers les femmes demeure très stricte ? Bref, on sent que les scénaristes ont fait ce choix uniquement pour faire plaisir aux féministes. Et puis "je maîtrise cela depuis l'âge de 4 ans", putain mais qu'est-ce que c'est cette phrase puérile ? Loin de moi d'avoir des pensées sexistes, mais depuis les années 1990, on a trop souvent tendance à faire des héroïne de film d'aventure ou d'action des femmes sachant bien manier le flingue, les arts martiaux ou l'épée, et même sans que ce ne soit crédible comme dans ce film. Et je peux vous assurer que ça me lasse vraiment. Je ne pense pas qu'une femme ait besoin d'être guerrière badass pour prouver qu'elle est à l'égal de l'homme. Pour en rajouter sur les points négatifs du film, les méchants sont un peu stéréotypés et la mort de Don Diego est archi conventionnelle et prévisible. Toutefois, le Masque de Zorro reste un bon divertissement ainsi qu'une reprise moderne du héros assez bien conçue.