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La mise en scène est très plate et l'histoire se résume en quelques lignes (contrairement à l'auteur dont on raconte le parcours !). Le film ne tient que par le face à face d'excellents acteurs : Colin Firth et Jude Law mais leurs prestations vaut vraiment le détour.
A voir pour eux et seulement pour eux ainsi que pour quelques moments consacrés à Scott Fitzgerald et Ernest Hemingway.
A voir pour eux et seulement pour eux ainsi que pour quelques moments consacrés à Scott Fitzgerald et Ernest Hemingway.
Un très bon film sur Thomas Wolfe incarné par Jude Law et son editeur Maxwell Perkins interprété par Colin Firth. Un très bon biopic.
Un film qui parle du processus créatif des mots peut sembler épuisant et il l'est en effet. La grande question est de savoir pourquoi on voudrait voir Genius. Peut-être pour son casting bien rodé comme Colin Firth dans le rôle de Perkins, Jude Law dans celui de Wolfe, Nickole Kidman dans celui de son amante et bienfaitrice et dans une moindre mesure Laura Linney dans celui de la femme de Perkins et mère de ses cinq filles, Il est peu probable que l'on se souvienne de Wolfe comme d'un auteur de longs romans lus aujourd'hui. Wolfe se sois disant génie a vécu à l'âge d'or des écrivains Hemingway, Fitzgerald, Dos Passos par exemple qui eux étaient de vrai génies. Ainsi l'alcool les boîtes de nuit et le jazz voyagent à une époque de grand désordre économique les bâtiments majestueux et les bâtiments délabrés donnent une idée de la grande variété de classes et de privilèges dans cette histoire. Mais il ne s'agit pas d'un commentaire social mais d'un moyen de rendre un film ennuyeux plus acceptable...
Triste et poétique, triste comme le filtre couleur qui nous est imposé pendant 1h50. Belles prestations des acteurs, Nicole toujours aussi parfaite, Colin et Jude, chapeau.
La famille c'est important, être libre c'est bien, être heureux c'est mieux.
La famille c'est important, être libre c'est bien, être heureux c'est mieux.
La relation entre l'écrivain Thomas Wolfe et son éditeur qui saura mettre de l'ordre dans le désordre. Un biopic académique assez touchant mais peu captivant malgré l'interprétation correcte du duo Jude Law/Colin Firth.
Certes le personnage de Thomas Wolfe est singulier et Jude Law se l’accapare avec talent mais le film est trop déséquilibré. Il s’attarde sur des détails futiles et survole d’autres aspects qui semblent plus structurant.
Certes le personnage de Thomas Wolfe est singulier et Jude Law se l’accapare avec talent mais le film est trop déséquilibré. Il s’attarde sur des détails futiles et survole d’autres aspects qui semblent plus structurant.
Les deux acteurs principaux portent à eux seuls un film qui a du mal à susciter de l'intérêt tant le sujet est plat. Ennuyant sur les bords.
Cinématographie sublime, jeu d'acteur impeccable, mise en scène rythmée et sensible, scénario et dialogues intelligents... Ce film est presqu'un classique pour moi, à la manière d'un grand film des années 1940. À revoir plusieurs fois pour en apprécier la finesse.
C'est la bande annonce mais avec plus d'ambiance et de reconstitution de l’époque. Après 30 minutes il n'y a que 20 secondes la bande annonce.
C'est un film contemplatif et qui n'as rien a apprendre sinon que certains vivent pour la poesie et parler.
Aucun intérêt et c'est presque l'idée d'arreter de chercher un interet dans des choses futile comme de s'imposer au monde?
C'est un film contemplatif et qui n'as rien a apprendre sinon que certains vivent pour la poesie et parler.
Aucun intérêt et c'est presque l'idée d'arreter de chercher un interet dans des choses futile comme de s'imposer au monde?
On suit une partie de la vie de Thomas Wolfe, romancier de génie, qui a été découvert par Maxwell Perkins avec qui il s’est lié d’amitié.
Ne vous attendez pas à un florilège d’action, ni à des rebondissements spectaculaires. C’est un film d’auteur où il faut être attentif à la beauté des mots. Le spectateur est un peu mis à l’écart de l’action car je pense que pour comprendre les subtilités il faut avoir lu les livres de Thomas Wolfe. Plusieurs autres auteurs sont nommés donc une connaissance de la littérature est recommandée. Les costumes et les décors nous transportent dans l’ambiance des années 30. Le film met en avant la difficulté et la complexité d’éditer un livre à cette époque. Jude Law s’est très bien imprégné du personnage, ainsi que Colin Firth et Nicole Kidman qui nous livrent de belles performances. Un biopic réussi, il serait difficile de faire mieux avec cette histoire.
Ne vous attendez pas à un florilège d’action, ni à des rebondissements spectaculaires. C’est un film d’auteur où il faut être attentif à la beauté des mots. Le spectateur est un peu mis à l’écart de l’action car je pense que pour comprendre les subtilités il faut avoir lu les livres de Thomas Wolfe. Plusieurs autres auteurs sont nommés donc une connaissance de la littérature est recommandée. Les costumes et les décors nous transportent dans l’ambiance des années 30. Le film met en avant la difficulté et la complexité d’éditer un livre à cette époque. Jude Law s’est très bien imprégné du personnage, ainsi que Colin Firth et Nicole Kidman qui nous livrent de belles performances. Un biopic réussi, il serait difficile de faire mieux avec cette histoire.
C'est une très bonne idée ce film, même une idée très originale. C'est un film très bien tourné avec beaucoup de moyens, c'est pour cette raison que le film n'est pas fatigant à regarder. Bon la relation entre un éditeur et un grand écrivain parait surprendre mais apparemment c'est la vérité. D'après le film Thomas Wolfe a déposé le manuscrit de Look Homeward Angel, en 16000 pages, chez son éditeur, Max Perkins, cela parait beaucoup et irréaliste. Deux ans de tris et de coupes, pour arriver au final à un roman de 1000 pages. Apparemment pourquoi pas, si la maison d'édition, aux Éditions Scribner, avait les moyens. Après le film décrit la vie à New York durant la belle époque. Une belle époque en effet, tout juste avant la crise de 29 et toute sa misère. Cela reste bon un film néanmoins.
Michael Grandage inspire Genius de la courte carrière de l’écrivain Thomas Wolfe (1900-1938). Jude Law, impeccable en personnage habité et conscient de son exubérance, lui prête ses traits. Le film retrace les relations entre Thomas Wolfe et son éditeur clairvoyant Maxwell Perkins (Colin Firth). Tout nait d’un premier manuscrit autobiographique « O âme perdue », fruit de quatre ans de travail, mais refusé par de nombreux éditeurs. Comme l’évoquera Perkins, ce manuscrit trop volumineux n’est pas bon mais il suscite l’intérêt par sa singularité.
Dans une Amérique de 1929 où l’économie d’effondre, cette première publication sera un succès en librairie. Mais Grandage relègue cette crise économique en une lointaine toile de fond. Au drame national est ainsi préféré le drame intime et même le mélodrame durant la seconde partie du Genius.
Le duo Law/Firth fonctionne très bien. Le premier devient assez vite un fils de substitution pour le deuxième, père de cinq filles. Deux hommes amenés à sa jauger et que les affres de la création littéraire marquées au crayon rouge mèneront à combattre aussi dans leur sphère familiale respective.
Dans une Amérique de 1929 où l’économie d’effondre, cette première publication sera un succès en librairie. Mais Grandage relègue cette crise économique en une lointaine toile de fond. Au drame national est ainsi préféré le drame intime et même le mélodrame durant la seconde partie du Genius.
Le duo Law/Firth fonctionne très bien. Le premier devient assez vite un fils de substitution pour le deuxième, père de cinq filles. Deux hommes amenés à sa jauger et que les affres de la création littéraire marquées au crayon rouge mèneront à combattre aussi dans leur sphère familiale respective.
FaRem
Adapté du roman "'Max Perkins: Editor of Genius'", ce premier film de Michael Grandage parle de l'éditeur Max Perkins et de l'écrivain Thomas Wolfe, mais il parle surtout de l'amitié entre ces deux hommes. Le réalisateur ne fait pas un biopic classique en racontant la vie en profondeur des protagonistes, il se concentre sur une période bien précise qui va de leur rencontre jusqu'à la fin... Les deux hommes se respectent et s'apprécient malgré leurs différences. Max est quelqu'un de sobre, réservé et bienveillant qui dégage quelque chose de touchant et de fragile même si l'on ne devine jamais quoi. Il semble souvent triste sans que l'on sache pourquoi. Thomas, quant à lui, est exubérant, c'est un génie narcissique bien conscient de son talent. Les deux, en plus de leur amitié, ont un rapport père-fils conflictuel, mais aussi attendrissant. Colin Firth et Jude Law sont merveilleux dans ces rôles. Ils portent vraiment tout le film et donnent une autre dimension à cette histoire. Avec ce film, Michael Grandage rend également un bel hommage au métier d'éditeur. Il ne fait pas de distinction entre ces deux métiers et ces deux hommes à qui il rend hommage. Un film académique certes, mais un beau film quand même qui raconte une belle histoire bien écrite et qui est porté par deux grands acteurs sans oublier Nicole Kidman qui est également convaincante.
ManoCornuta
Il n'est pas toujours évident de mettre en images, qui plus est sur un laps de temps aussi réduit que peut l'être un film, le travail qu'impliquent la rédaction et l'édition d'un roman. Basé sur une histoire vraie, Genius tente d'y parvenir et le fait sans doute imparfaitement mais avec beaucoup de délicatesse dans son exposition de la relation particulière entre un auteur (formidable Jude Law) et son éditeur (impeccable Colin Firth). Les atermoiements, les accrochages, les dommages collatéraux (nuisances sur la vie de couple), tout est à peu près passé en revue avec un doigté certain et une écriture brillante, en dépit de seconds rôles peu utilisés et d'une intrigue malheureusement prévisible. C'est néanmoins un bel exercice de style rendu agréable par le duo principal.
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