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benoitG80
3 429 abonnés
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0,5
Publiée le 6 mars 2011
"La permission de minuit" a tout du film bourré de bons sentiments au scénario complètement improbable ! Qui a connu l'angoisse de la maladie et encore plus d'un enfant gravement malade, comprendra vite qu'on se trouve à des lieues des souffrances de la vraie vie ! Que de grosses ficelles tire-larmes qui de plus, ne fonctionnent même pas (un comble !) faute de crédibilité et par conséquence, d'émotion ! Un médecin mal joué par un Vincent Lindon très peu en forme , une mère complètement absente, une épouse de médecin toujours hilare (!?), une remplaçante de médecin encore très mal jouée par une Emmanuelle Devos plutôt potiche, de jeunes acteurs qui avalent leur texte et pour couronner le tout, une histoire abracadabrante... Beaucoup trop d'éléments accumulés pour espérer un minimum de réussite ! C'est même racoleur et malhonnête que d'embarquer le spectateur dans cette histoire bourrée d'incohérences, quand on songe à la gravité de cette maladie ! Un peu de bon sens et de respect, d'humilité et de sobriété auraient sans aucun doute eu le mérite d'arriver à un tout autre résultat ! On ne peut pas se permettre de faire n'importe quoi et de papillonner ainsi sur un thème aussi délicat et aussi profond... Navrant !
film ayant pour thème la relation d'amitié entre un médecin et son jeune patient atteint d'une maladie rare et incurrable "les enfants de la lune" j'ai été déçue par ce film déjà le son est médiocre paroles inaudibles je n'arrêtais pas pendant tout le film de régler le son pour essayer de comprendre les répliques, ce qui enlève beaucoup Emmanuelle devos n'est pas très juste film ennuyeux malgré le sujet interessant
UNE LUEUR DANS LA NUIT. C'est quoi ton histoire Delphine? Le médecin et l'enfant, le médecin et son successeur, la maladie, la première expérience sexuelle.... La guerre est déclarée et la guerre est perdue. C'est dommage.
Lamentable. Ennui profond pour ce film gnan gnan qui se traîne de lieux communs en lieux communs. Dialogue inexistant et à peu près inaudible tant il est mal articulé. Des yeux de biche éplorée ne font pas un jeu d'acteur. A éviter absolument!!!!
Dans ce film dramatique, David, interprété par Vincent Lindon est convaincant. Meurtri par la mort de son frère, il voue une passion sans limites pour son travail de chirurgien, mettant de côté une femme aimante et tolérante et deux enfants à peine suggérés dans l'histoire. Il passe tout son temps à étudier les maladies orphelines et soigne Romain qu'il connait depuis son plus jeune âge. Il a une affection particulière pour ce jeune patient, privé de son père et souvent livré à lui même. Atteinte d'une maladie incurable, Romain est un écorché vif et se hâte de découvrir des choses qu'il craint ne jamais connaître. Tout le film est porté par la relation patient/docteur et non par la gravité de la ois, les scènes s'essoufflent, la lenteur prend le dessus, certaines séquences deviennent sans intérêt. L'émotion ne vient pas. A retenir tout de même le bel échange musical des 2 principaux interprètes avec les paroles de Léo ferré "c'est extra".
Nul, ennuyeux, sans scénario. De plus, comment ose-t-on proposer un film avec une tellle bande son: plus de la moitié des dialogues sont totalement inaudibles!!! Cela devient d'ailleurs une plaie dans beaucoup de films français: il faudra bientôt exiger des sous-titres en français pour pouvoir les comprendre...
Un film très réussit dans sa première moitié, où l'émotion reste à fleur de peau de manière remarquable et maitrisée, et qui prend incompréhensiblement un petit chemin à rallonge, aussi inutile que raté, transformant le médecin en stalker et plombant le film. Après ca, difficile de remonter la pente, d'autant qu'a force de rester dans les non dit en refusant une scene d'exposition aux deux protagonistes, la réalisatrice finit par frustrer le spectateur (et les personnages) en lui refusant d'extérioriser cette émotion. Le film reste agréable à regarder mais on ne peut s'empêcher de penser qu'on est passé à coté d'une petite merveille. Dommage.
Cette histoire d'amitié (qui se confond parfois à une relation père-fils) évite le pathos et s'appuie efficacement sur des personnages attachants et de très bons interprètes plus que sur une mise en scène sobre.
Un enfant sans père, abandonné par lui lors de la découverte de sa maladie. Un médecin qui son métier comme une vocation et a avec son jeune patient une relation presque paternel. Leur univers est bien installé mais une mutation longtemps espérée et une collègue remplaçante va tout bousculer. Autant chez l'un que chez l'autre. Ce film permet de découvrir un peu de l'intérieur ce que doit être le quotidien des enfants atteints de cette maladie. Sachant que leur espérance de vie n'excède rarement l'âge de 20 ans. C'est la relation entre cet adolescent Romain (Quentin Challal) et son médecin David (Vincent Lindon) qui est le pivot du récit. Quentin Challal fait d'ailleurs un jeu incroyable de désinvolture. Vincent Lindon retrouve sur ce film l'actrice Emmanuelle Devos avec qui il a joué dans deux autres long-métrages La moustache et Ceux qui restent. Cette fois encore leur rapport sont totalement différents après avoir été un couple puis deux conjoints au chevet de leur moitié, les voilà collègues en concurrence.
Un sujet très rare sr nos écrans (les enfants lunes), des acteurs parfaits, des dialogues bien amenés mais un rythme un peu lent qui finira par nous faire trouver le temps long durant la dernière demi-heure. Dommage.
Pourquoi je n’arrive pas à apprécier ce film qui traite d’un sujet rare comme à l’image de cette pathologie : XP ? Sans doute parce que la mise en scène, le chemin scénaristique pour illustrer cette histoire sont un peu vides et au final assez insipides. Sans tomber dans le pathos ou la guimauve, ce film aurait mérité d’être plus dans l’émotion. Et je n’ai rien ressenti. Je suis resté à distance, froid comme les blocs opératoires. En plus, l’ingénieur du son participe à cette frustration, je ne sais pas si c’est l’âge, mais Vincent Lindon m’était par instants inaudible. Sensation désagréable d’être en alerte pour comprendre les dialogues. Enfin, tous les personnages à l’exception de Emmanuelle Devos ne suscitent aucune empathie... même l’enfant de la lune, c’est dire. Film qui est passé inaperçu, je comprends...