Je suis allé voir ce film avec mon lycée, et j'avais énormément peur de m'ennuyer. Mais non, dès les premières minutes du film, on est plongé dans cette Amérique raciste, et tout au long du film, on s'attache à ces personnages haut en couleurs (ahah). J'avoue même avoir pleuré, plusieurs fois, lors par exemplespoiler: de l'humiliation de Celia, ou lors de la scène avec Constantine (là tout le monde pleurait) . J'avais peur de m'ennuyer, mais que nenni, j'ai pleuré, ri, et depuis, j'ai revu ce film 6 fois. Mais s'il vous plaît, regardez le au moins une fois en VO, il en vaut la peine.
Une belle œuvre que ce The help. Le plus gros reproche est que c’est assez long à ce mettre en place et que c’est un brin trop long. Il aurait mieux valu condenser un peu et surtout accélérer le rythme. Ensuite, ça reste plein de bon sentiment (peut-être un peu trop) et est un peu caricatural : on penche immédiatement du côté des noirs, en nous montrant que les noirs sont bon et les blancs moins bon (sauf une). Cela facilite clairement le travail du réalisateur au péril d'un film de qualité encore plus grande. Parce que oui ce film est bien mais oui, on pouvait encore mieux faire (pousser encore plus le coté émotionnel par exemple).
Le film est bien. Il montre le côté manipulateur de la société blanche américaine des années 50. Grâce à ce film, on connaît désormais mieux le rôle des bonnes noires dans le sud des Etats-Unis. Cependant, il y a des scènes un peu trop longues et donc on s'ennuie malgré le thème du film.
Dommage un grand dommage a ce film qui mérite largement mieux mais qui est décevant par sa lenteur , les acteurs qui jouent comme dans les series tv . C chiant , c ni drôle ni beau on a juste certaines scène qui sont interessante c tout . En conclusion j eu l'impression de regarder un episode de sex and the city ou desperate housewises ( désolé pour l'orthographe ) c dommage .
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3,5
Publiée le 17 juin 2013
Un grand changement commence parfois par un murmure...Avec "The Help", on rèalise ce qu'ètait la subtilitè du racisme à cette pèriode de l'histoire et à quel point c'ètait dèsolant de confier ses enfants à quelqu'un a qui on refusait ses toilettes! Durant les 2h26 de projection sur cette sociètè amèricaine des sixties, (l'assassinat de J.F.K...de Martin Luther King en fond de tableau, les exigences et les peurs d'une ville en pleine mutation) le spectateur se met dans la peau de ces femmes en uniforme (Aibileen, Minny, n'ayons pas peur de les citer), invisibles et humilièes au quotidien, et qui trouvent la force de survivre! Toutes les actrices sont remarquables et c'est èvidemment ce qui fait la première qualitè du film de Tate Taylor! Octavia Spencer a obtenu l'Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle! Viola Davis en eût mèritè un autre pour sa performance, notamment sa relation avec la petite fille dont elle s'occupe ("T'es gentille, t'es intelligente, t'es importante"). Un film passionnant avec de beaux moments, de belles personnes, qui rappelle dans un autre genre "Fried Green Tomatoes at the Whistle Stop Cafe" de Jon Avnet et "The Color Purple" de Steven Spielberg...
"The Help" brille par sa sincérité, son élégance et sa beauté! Les acteurs sont extrêmement bons, les décors sont somptueux et le scénario est très bien construit. On sourit, on pleure, on rit, on aime, bref rien à dire, nous avons ici un petit chef-d'œuvre!
Je n'ai pas lu le livre mais je trouve ce film excellent. Il est chargé d'émotions. Avant de le voir j'avais un peu peur que l'histoire soit un peu longue, mais pas du tout. On arrive vite à s'attacher à chacun de ces personnages. Et une fois le film terminé, on ne peut cesser de penser à certaines des scènes de ce film. Conclusion : Un film à voir sans tarder si ce n'est pas déjà fais.
La Couleur Des Sentiments est le premier film de Tate Taylor. Le réalisateur nous offre ici une belle oeuvre, émouvante, qui dénonce avec ferveur et justesse le racisme sévissant dans l'État américain du Mississippi durant les années 60. On rentre avec facilité dans ce long-métrage plein de bons sentiments, composé d'une myriade d'actrices talentueuses: Emma Stone, Jessica Chastain, Viola Davis ou encore Bryce Dallas Howard. Ces dernières sont bien ancrées dans leur rôle et l'on s'attache facilement à elles (de même, on exècre certains personnages détestables, et l'on se surprend même à s'énerver tout seul devant notre écran durant certaines scènes). Si le film dispose de pleins d'atouts, il est également taché de défauts notables: la mise en scène est très simpliste, si bien que l'on se croirait devant un téléfilm. Par ailleurs, l'histoire ne se révèle pas du tout originale, et limite "gnan-gnan"...En réalité, on devine trop aisément tout ce qui va se dérouler: le film est véritablement cousu de fil blanc. Malgré tout, on parvient à passer outre ces quelques défauts et l'on passe un très agréable moment: loin d'être un chef d'oeuvre (contrairement à ce que la moyenne des critiques spectateurs d'Allociné laisse penser), La Couleur Des Sentiments n'en demeure pas moins une oeuvre très intéressante et émouvante.
Je dois avouer que je ne m'attendai pas à apprécier autant ce film! L'ayant regardé surtout pour la toujours magnifique Emma Stone que j'aime beaucoup! Et donc... Quelle surprise! Certain diront que ce long metrage dégouline de bons sentiments, moi je dirai plutot qu'il est terriblement humain. Et même si, parfois, on a quand même l'impression que le tout est idéalisé et quelque peu naïf et que la trame est attendu et peu étonnante ; les dialogues, les situations et les répliques provoqueront une enorme dose d'emotion et un immense frisson! Ce frisson qui amènera certainement à quelques larmes...
J'ai dévoré le livre, j'ai passé presque une nuit blanche tant il m'étais difficile d'arrêter la lecture. J'attendais donc avec hâte de découvrir le film et me voilà très déçue. Par le choix des acteurs pour les personnages (skeeter avec cette perruque immonde) le scénario est bâclé et au lieu de modifier certains passages de l'histoire ils auraient du se consacrer un peu plus a donner de la profondeur aux personnages. Je mets 3 étoiles car il y a quand mêmes le jeu des actrices afro américaines qui rattrape un peu la pâleur du reste du casting.
Très très beau film. Sur un sujet pourtant déjà mis, assez souvent, à l'écran, ce film aborde ce racisme sur un autre angle que je qualifierait simplement de "féminin", et c'est plutôt agréable. La ségrégation raciale des années 60 dans l'état le plus ringard et conservateur de l'époque, vu, vécu, et raconté par uniquement des femmes. Le film va plus loin que de dépeindre cette injustice et cette résignation hérité de l’esclavage abolie pourtant depuis 80 ans au moment des faits. En effet, le film dépeint l'autre coté du miroir, le coté "blanc" avec leur bêtise, leur manque de maturité, leur sentiment de supériorité racial inculqué dès leur plus jeune age. Emma Stone, la petite étudiante journaliste blanche, est trop craquante dans ce film et son personnage rentre dans ce jeu dangereux de révéler le non dit, avec l'insouciance et l'idéal de la jeunesse. C'est cette idéalisme qui contraste avec la résignation des mamas noires au début, mais qui va lancer un très beau mouvement de révolte. Ce n'est pas la révolte classique avec violence et bain de sang mais simplement la parole et l'écriture, c'est aussi courageux dans le contexte mais c'est surtout très efficace, bref, c'est féminin. En parallèle, il y a l'histoire de Miss Célia, la riche blanche excentrique et simplette, rejetée par les autres, mais aidé par une bonniche noire. Ce rejet social était aussi émouvant et grave que celui raciale vécu par la servante noire. Cette histoire de Miss Célia montre bien que la naïveté enfantine d'une personne tant naturellement à l'égalité et à la fraternité avec la personne qui est bonne quelque soit son rang ou sa couleur de peau. C'est le conditionnement des ces pauvres riches joueuses de bridges qui les rends laides et méchantes. Vraiment beau film qui m'a fait pleurer d'émotion parfois, sourire parfois, et surtout passer un très bon moment de la 1ère à la dernière minute. Bravo et merci à Mr Taylor, le ré, ce film me renforce dans ma conviction qu'il y a du bien dans chacun et qu'il ne faut pas avoir peur de la différence, il faut aller vers elle et s'y confronter, elle est source de richesse. PS : Je ne comprends pas la note de seulement 2,6 des soit-disant professionnels de la critique cinématographique : sûrement que le film a paru trop simple avec trop de bons sentiments pour ces dandy parisiens. Je ne suis pas d'accord, ce n'est pas un conte de noël, le scénario est simple, mais les personnages sont bien joués et sont plus fins et plus travaillés que cela ne peut paraître.