Le second et dernier film à l'international sur l'évocation passé du jeune dalaï-lama, superviseur himself de sa biographie sainteté incarnation de plusieurs vénérables Buddha, c'est pas mal, mieux que sept ans au Tibet, sur l'alpiniste autrichien nazi, un ami non moins recommandable.
Cette réalisation est plus esthétique que son homologue, la mise en scène se veut représentative de sa pensée philosophique, la non-violence et donc une forte portée politique, une désapprobation face à Mao Zedong, l'entrée de ses troupes imposant les lois martiales telle que l'on connaît de l'histoire Sino-tibétaine, période tourmentée.
La religion n'a de place dans cette nouvelle Chine communiste, c'est comme ça que furent les prises de position, interagissant sur sa décision de fuir vers l'Inde, par peur de représailles dans son ultime rencontre avec le dirigeant chinois, une nouvelle terre d'exil s'annonce actuelle.
Un cinéma qui se veut de montrer ce cadre peu idyllique à l'égard de l'ancienne société archaïque tibétaine des lamas, les instructives vielles coutumes d'un autre âge encore pratiqués au 20ème siècle et considérées comme révolus face à l'avancée plus incisifs de l'armée chinoise.
On ne peut déplorer dans les conquêtes historiques que des morts, les exactions seront inévitables quand c'est la guerre, ne soyons pas naïf.
La vision de l'inaccessible ancien Tibet fermé fut tourné au Maroc, une carte postale sablée, pensant à la philosophie véhiculée dans le film submergé de sagesse malgré la fatalité perdante défaitiste du 14ème divinité et son clergé impassible.
Apprendre l'humilité pour les critiques acerbes au parti pris, n'équivaut à l'agressivité prétentieuse effrontée qui ne représente le bouddhisme en rien et sa cause qu'il défend, à méditer ces commentaires après visionnage apaisé.