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Ykarpathakis157
4 568 abonnés
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1,5
Publiée le 19 mars 2021
Ken Loach est parfois un peu à la limite qu'on l'aime ou qu'on le déteste ses films peu importe. Dans ce film le jeu d'acteur est terrible mais peut à certains égards être pardonné en raison du mauvais scénario car celui qui a écrit ce radotage devrait arrêter d'en écrire. Désolé mais c'est l'une des plus grandes déceptions de cette année la je m'attendais à quelque chose d'intéressant et tout ce que j'ai eu c'est une histoire stéréotypée et ennuyeuse. Le début du film est lent et confus et il ne s'améliore malheureusement pas. J'attendais qu'il passe à la vitesse supérieure et que les choses se mettent en place mais ça n'a jamais été le cas car il a juste semblé traîner en longueur. Il y a un scénario qui a probablement était écrit par un enfant de 12 ans il y a bonne idée anti-guerre mais elles sont très mal racontée et pourtant j'adore tous les films de Ken Loach...
Ce Drame, mis en scène par Ken Loach, est assez différent des autres films du cinéaste Britannique. Il nous propose avec " Route Irish", non pas un film social, mais plutôt un Thriller : une histoire d'amitié dans un contexte d'action, de guerre et de vengeance. Le scénario du film est pourtant signé du fidèle Paul Laverty, également auteur des très bons "Looking for Eric", "La Part des Anges", "Jimmy's Hall", "Moi, Daniel Blak" en 2016 ... mes films préférés de Ken Loach. Ce film est néanmoins agréable à suivre avec une mise en scène efficace et un Mark Womack, très convainquant dans le rôle principal de Fergus. Abordant un sujet grave, il nous montre des scènes violentes, des actes de guerre urbaine perpétrés par les sous-traitants de l'armée américaine "travaillant" pour l'argent.
Un film noir et fort même si le réalisateur à trop vouloir passer son message fait perdre pas mal de naturel à sa réalisation. De plus en se dispersant sur plusieurs sujets et même s'il sont liés le scénario ne va pas franchement au fond des choses.
Entre enquête, drame et action : un bon film, brillamment interprété, au scénario complexe. Ken Loach, une fois de plus, nous offre une vraie réflexion sur un brûlant sujet de société et toutes les implications politiques sous- jacentes ainsi que les milieux marginaux qui manipulent
Tout simplement le moins Ken Loach que j'ai pu voir! Pas captivant pour un sous, je n'ai pas reconnu une seconde la patte de Loach. L'histoire aurait pu être intéressante mais ça sonne faux, l'acteur principal ne m'a pas convaincu, sa culpabilité sonne faux et c'est la base du film. A partir de là, impossible d'en faire une histoire touchante ni captivante... C'est la première fois que j'ai à regarder ma montre pendant un Loach. Je suis déçu.
Elle est belle cette amitié que dépeint Ken Loach et la culpabilité qui étreint Fergus jusqu'à la moëlle va être le fil conducteur de ce film dur où la violence flirte avec la recherche de la vérité. Une vérité non admissible pour Fergus, dont l'assurance dans une autre piste aura raison de lui. La guerre d'Irak sert de toile de fond pour dénoncer la bêtise des hommes, la lâcheté mais aussi les liens qui unissent les vrais amis.
Ken Loach est au cinéma social britannique ce que les frères Dardenne sont au cinéma belge. Souvent, il éclabousse nos yeux d'une réalité souvent brutale et de laquelle on ne peut s'échapper. Le cinéma doit-il faire rêver, en montrer des tonnes, faire rire ou pleurer ? Le cinéma doit savoir tout faire et des réalisateurs comme celui-ci on pris le pas de se baser sur notre société avec ses peurs et ses faiblesses. Qu'on apprécie ou pas le film, on doit admettre qu'il interpelle sur les actes posés par ces hommes qui tirent les ficelles de pratiques très rentables financièrement mais meurtrières humainement. Un peu mot sur le film quand même... Bagdad en est le fil conducteur et la vengeance le sentiment principal. A vous de vous en faire une idée...
Mais quel bande d'ahuris certains j'te jure... En lisant les commentaires on s’aperçoit que la plupart pensait voir leur énième divertissement pour gros beaufs illettrés, avec des explosions à tour de bras, des courses poursuites en veux tu en voilà, et sans oublier les fusillades à tout-va !! Hello !! C'est comme le Port-Salut, c'est écrit dessus Réalisé par (et plus loin) Ken Loach.
Bref merveilleux film comme d'habitude avec ce réalisateur. Pas son meilleur, évidemment, mais cela reste un grand film.
Vraiment pas terrible comme film. Déjà, je m'attendais à voir un thriller filmé à Bagdad, je me suis retrouvé avec un espèce de mélodrame psychologique se déroulant à Liverpool... OK, une fois la surprise passée, j'ai essayé d'apprécier ce que je voyais, mais non. Trop lent, trop inintéressant au point de vue du scénario... Passez votre chemin.
Avec "Route Irish", Ken Loach laisse pour un temps la chronique sociale pour nous présenter une histoire de mercenaires partis en Irak pour servir dans une milice privée. Revenu en Angleterre, l'un d'eux, nommé Fergus, apprend que son ami Frankie a été tué dans une des zones les plus dangereuses de Bagdad. Trouvant suspectes les circonstances de la mort de son meilleur ami, il décide alors de mener sa propre enquête. De toute évidence, Ken Loach est moins à l'aise dans le thriller politique que dans la peinture sociale réaliste des basses classes, genre dans lequel il représente une référence avec de nombreux films marquants. Ici, le scénario est assez sommaire et manque d'un véritable point de vue. "Route Irish" se regarde cependant avec intérêt même si la première partie peine à trouver son rythme. A noter la bonne interprétation de Mark Womack dans le rôle de Fergus. A voir par curiosité, même s'il s'agit d'un Ken Loach en mode mineur.
Cool, le nouveau Ken Loach! Du moins, c'est ce que l'on se dit en rentrant dans la salle. Je suis cela dit un peu sévère car cette « Route Irish » n'a rien de honteuse : elle est bien jouée, a des choses à raconter et propose tout de même quelques beaux moments de cinéma. Reste que l'on se demande pendant 110 minutes où est passé le grand Ken Loach, celui capable de nous bouleverser avec « Le Vent se lève » ou de nous toucher au plus haut point avec « My name is Joe » et « Just a Kiss », pour ne donner que ces exemples... Le trait est moins subtil que d'habitude, les personnages moins complexes et moins intéressants (ce qui ne veut pas non plus dire qu'ils ne le sont pas du tout), l'intrigue moins étoffée... Alors bien sûr qu'on lui en voudra pas à Loach de ne pas nous avoir séduit autant que de coutume, mais après un « It's a Free World » pas totalement emballant et un « Looking for Eric » très inégal, il serait tout de même temps que le grand réalisateur qu'il était nous revienne... Allez Ken, on croit en toi!