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Votre avis sur Dirty Carnival ?
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Petit bijou du cinéma Sud Coréen , A Dirty Carnival nous plonge dans le milieu de la mafia Coréene et l'on suivra la montée en grade d'un petit truand .
Puissant et immersif le film joue la carte de la simplicité et du réalisme , que ce soit dans l'univers mafieux ou les scènes d'action qui se concentre sur des combats au couteaux ou au corps a corps , pas question donc de gunfight ou explosion a gogo , c'est simple et efficace .
Un style réaliste qui mène un coté violent bien mis en scène avec une ambiance parfois un peu sombre , les 2h20 se voient sans le moindre ennui , sans le moindre temps morts ou longueurs , les acteurs sont excellent et le film offre une photographie très simpliste qui renforce ce coté réaliste mais semble malheureusement assez fade par moment .
Un excellent film Coréen une fois de plus dans la lignée de "The Bitersweet Life" , a voir absolument au moins une fois .
Puissant et immersif le film joue la carte de la simplicité et du réalisme , que ce soit dans l'univers mafieux ou les scènes d'action qui se concentre sur des combats au couteaux ou au corps a corps , pas question donc de gunfight ou explosion a gogo , c'est simple et efficace .
Un style réaliste qui mène un coté violent bien mis en scène avec une ambiance parfois un peu sombre , les 2h20 se voient sans le moindre ennui , sans le moindre temps morts ou longueurs , les acteurs sont excellent et le film offre une photographie très simpliste qui renforce ce coté réaliste mais semble malheureusement assez fade par moment .
Un excellent film Coréen une fois de plus dans la lignée de "The Bitersweet Life" , a voir absolument au moins une fois .
Sorte de Scarface à la sauce coréenne, A Dirty Carnival tente de résumer la vie d'un petit truand aux dents longues qui monte les échelons de son organisation. Le traitement reste cependant classique, et le label estampillé "made in asia" ne relève pas le niveau pour autant. Trop long, bourré de clichés et au final très ennuyant. On est très loin d'un Braithless, par exemple. Et même si les quelques tapes à la batte de baseball restent réalistes, l'ensemble est bien trop classique et ennuyant et prévisible et voilà.
sans commentaires!
Je ne suis pas du tout fan du cinéma asiatique mais ce film est vraiment bon. Les scènes de combat ne sont pas tournées pour nous donner du spectacle, au contraire elles sont simple et réalistes.
Le film se laisse regarder et son côté dramatique m'a vraiment plu.
Le film se laisse regarder et son côté dramatique m'a vraiment plu.
🎬 RENGER 📼
Inédit dans l'hexagone, A Dirty Carnival (2006) est un polar coréen assez classique dans sa structure narrative, avec comme trame principale, l'ascension (et la chute) d’un petit malfrat très ambitieux (trop peu être). D'une durée (excessive) qui dépasse largement les 140 minutes, On y découvre un polar âpre, sombre et d'une rare violence (les combats de rues à base de battes de baseball sont impressionnants), on y suit donc les pérégrinations du héros, entre les règlements de comptes et les trahisons, le film se dévoile à nous sous la forme d'une fresque réaliste et crédible de la mafia sud-coréenne, mais peine à réellement nous tenir en haleine durant toute la durée du film (à cause d'un scénario pas assez affiné, de la profusion de personnages et enfin, d'une durée bien trop importante pour une histoire de cet acabit). Pour son quatrième long-métrage, Ha Yu n'arrive pas encore à la cheville de son compère Jee-woon Kim (A Bittersweet life - 2005), mais n'en reste pas moins un cinéaste prometteur.
Dans la lignée des films de gangsters dont la Corée du Sud s’est fait une spécialité, A Dirty Carnival joue la carte de l’originalité avec son héros emporté par les évènements. Le scénario ajoute en effet un « film dans le film » et une romance au traditionnel quotidien du mafieux. Doté d’une réalisation solide, de scènes plutôt sympas, d’un casting intéressant et d’une bande-son agréable, le film démontre un vrai potentiel. Malheureusement, l’agencement des éléments cités laisse quelque peu à désirer et nuit à la fluidité : une impression de fouillis se dégage, sans fil conducteur, qui ne m’a pas permis d’accrocher totalement. A Dirty Carnival reste malgré tout une addition tout à fait correcte dans la grande famille des thrillers coréens.
Henrico
Pour tenter de faire un film de gangsters, un cinéaste débutant approche le milieu par le biais d’un ami truand. Démarche, qui va plonger le jeune metteur en scène dans un engrenage infernal. Scénario, absolument brillant, tout autant que les acteurs. Mais le film a bien d’autres mérites : tout en nous faisant les témoins médusés d’un destin individuel, celui d’un ganster dont on voit l’ascension puis la chute, Yoo Ha nous dresse un portrait collectif, extraordinaire de réalisme, de la mafia coréeenne. Le talent du réalisateur se mesure aussi à sa capacité à nous montrer crûment les choses, tout en usant d’une évidente stylisation, débouchant sur du symbolisme tantôt lyrique, tantôt cynique. A l’image des bagarres, dont le timing et les bruitages sont essentiels. Elles arrivent souvent de mainère impromptue, parfois en rupture avec des scènes de romance, comme pour nous souligner la nature incertaine du destin des mafieux. Et les sons des poignards sont comme une musique longue et morbide, enfonçant l’idée presque comique de l’inéchappable nécessité de tuer son prochain. Tout en se servant de la violence, le Coréen n’en fait pas l’apologie, tout en montrant les valeurs des mafieux, il n’hésite pas à en exposer les contradictions. Il est regrettable, voire lamentable, que le site allocine.com ait mal orthographié le nom de ce réalisateur Coréen, aussi poête, (Yoo Ha), le confondant ainsi avec un acteur chinois Ha Yu.
Très bonne surprise, dans un courant similaire à "A Bittersweet Life", l'histoire est très originale, un "mafieux" de 29 ans, est retrouvé par ses anciens camarades de classes dont un cinéaste qui cherche son aide pour un film de gangster. C'est une réussite, les acteurs et les doublures francaises sont parfaites, on est tout simplement plongé dans le milieu des affaires en suivant Byung-doo monter en grade. Le film est équilibré et propose une large palette d'émotions (2h20 de film, le réalisateur ne se fout pas de notre gueule!) sans être ridicule ni cucu une seule seconde. Une lecon de thriller.
e film a des défauts, la musique est sirupeuse, les personnages féminins ne sont pas assez développés et puis c'est long, trop long… Mais les qualités l'emportent néanmoins avec un portrait complexe et intelligent du "héros du film", un gangster hors norme. Certaines scènes sont d'une violence inouïe, pas de gunfligt, mais de la baston en bataille rangée filmée de façon impressionnante. On subit quand même un coup de mou aux trois quarts du film mais c'est pour mieux être surpris par la fin de l'histoire, tout simplement géniale !
Un grand film de gangster coréen. L'histoire bien que très classique, utilise toutes les grandes ficelles du genre sans faute de gout. Les acteurs sont excellents, charismatique. Du cinéma asiatique de très haut niveau...
D'une facture classique le film recèle quelques séquences de bastons mémorables, ça le sauve de l'ennui.
« A Dirty Carnival » est un bon film d’action qui souffre de certaines lenteurs, mais dont le développement des personnages est particulièrement soigné. L’histoire est plaisante, et les scènes d’action, essentiellement des scènes de bagarres, sont très bien orchestrées. Certains passages sont gores, comme souvent dans le cinéma coréen. Dans l’ensemble, la distribution offre de bonnes prestations. La photographie n’offre rien de particulier, mais la bande originale est sympathique, ponctuée de musique électro-techno. Un film qui s’avère agréable à suivre et qui remplit aisément sa fonction de divertissement.
Eric C.
Beau et passionnant thriller sud coréen avec un rythme incroyable et une véritable immersion dans la pègre, celle des rues et des bandes, avec ses batailles spectaculaires à la batte de base ball et au couteau pour défendre des parts de territoire et l''honneur et les intérêts d'un protecteur . On suit le destin d'un jeune homme ambitieux qui montera en gamme dans la violence pour faire sa place se construire sa bande et se faire bien voir de son riche protecteur. A ce jeu, il faut éliminer les obstacles et le chef d'un jour devient le rival à abattre pour progresser dans la hiérarchie et espérer de meilleurs gains. Un film où la morale est absente, la violence omniprésente, avec une montée en puissance, des jeux de pouvoir et de trahison. Une charmante romance vient adoucir le portrait de ce caïd intraitable mais sa montée en puissance fera de lui le nouvel obstacle à l'avancée de ses lieutenants. Tous les acteurs sont impeccables et le film de 2h15 passe très vite avec encore un exemple de ce prolifique cinéma sud coréen à découvrir d'urgence.
Un film bien construit, sans fausse note et offrant des personnages cohérent et réaliste. Le film est entièrement pense et quelque petite scène a la réalisation très coréenne viennent ponctuée le tout (le combat au couteau avec une musique assourdissante est un bijou !). Ça manque peut être cependant d’une trame dramatique et d’un final d’anthologie a la Bittersweet life.
Une des citations de ce film décrit et résume ce film. Il suffit de savoir deux choses pour réussir. Cela résume en gros le monde des gangsters. Le film montre vraiment les parties méchantes et sales de la vie de gangster et de la tentative de s'élever dans le monde. A Dirty Carnival contient tout ce qui peut vous immerger mais c'est ennuyeux à certains moments. C'est un film de gangster déprimant qui montre les progrès d'un gangster qui a des mœurs mais dont la direction provoque des conflits pour ses proches. Ce n'est pas vraiment un film qui glorifie la vie de gangster mais il montre que c'est une vie triste pleine de blessures et de coups de poignard dans le dos. Même lorsqu'ils crachent constamment sur des choses comme la famille. Et la romance entre le personnage principal et la fille dont il tombe amoureux a pris un peu de temps à l'écran mais n'a pas semblé si cruciale pour l'histoire. Si elle avait eu des éléments qui l'avaient rendue plus cruciale pour l'intrigue elle aurait ajouté plus au film qui comme ca ne vaut pas grand chose...
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