AlloCiné
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Votre avis sur The House of the Devil ?
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gimliamideselfes
Prout prout, le film qui fait soi-disant peur ne le fait pas, surprise !!! Bon c'est facile de venir chier dans la soupe, mais bon, j'avais entendu plein de bonnes choses sur ce film, alors forcément j'avais de grandes attentes. J'ai éteint mes lumières et je l'ai regardé seul dans le noir. Et franchement ça m'en touche une sans faire bouger l'autre. Mais je dois reconnaître que les procédés pour tenter d'instaurer la peur sont honnêtes, en tout il n'y a que deux scare jump, des trucs trop nuls en plus dont on aurait largement pu se passer. Vous savez le scare jump c'est le truc pour éviter de faire un film qui fait peur, le truc qui est là pour faire baisser la tension.
Mais je dois avouer que je suis content que ce film soit presque jumpscare free, au moins il tente de mettre une ambiance, un truc bien lent qui prend son temps. Sauf que, pour moi il y a plusieurs problèmes. Le film montre encore trop de trucs, c'est quoi ce plan omniscient qui traverse une porte qui tue tout suspens possible ? C'est quoi ce plan qui remonte après la livraison de la pizza (comme si on ne se doutait pas), c'est quoi cette scène avec le briquet ?
En fait tout ce qui sort du point de vue de l'héroïne flingue complètement le film parce que du coup on sait qu'il y a menace. Au lieu de jouer sur l'ambigüité du truc. Tu sais à quoi t'attendre, tout est très prévisible, du coup difficile de faire peur lorsque l'on a un schéma narratif aussi éculé.
Le comportement de l'héroïne me gène un peu, si je suis dans une maison pour une nuit, je ne vais pas "explorer", si je dois faire du baby sitting, je demande à voir, etc. Du coup c'est difficile de se mettre à sa place, mais bon, disons que le film passe une bonne éternité à nous expliquer pourquoi elle accepte. Le film est très long à se mettre en route. Et après qu'il ait commencé, une fois qu'elle est seule dans la maison, je trouve ça foutrement dommage que les seuls trucs inquiétants viennent de la mise en scène et de la musique. Les zooms pour que l'on ne voit pas ce qu'il y a derrière, ce genre de trucs. C'est un peu gros comme une maison et très artificiel pour faire monter la tension sur rien du tout. Parce que disons-le, on ne garde que les plans "subjectifs" à l'héroïne et il n'y a rien de bizarre jusqu'à la toute fin du film.
Encore une fois c'est bien de vouloir mettre une ambiance, mais le film se saborde tout seul. Je pense à la dernière scène intéressante du film, pas de lumière, elle en voit sous la porte et elle entend quelqu'un s'approcher et là ça aurait pu durer une éternité un moment de panique totale pour le spectateur qui sait enfin qu'il se passe un truc louche. Mais non c'est sabordé (je ne dis pas comment).
Après ce n'est pas déplaisant, mais encore trop calibré pour faire réellement peur et pour être intéressant. Je suis déçu, parce que l'intention était bonne, c'est un film propre, agréable, mais qui finalement échoue à cause de petites erreurs qui annulent tout effroi possible. Le film met les pieds dans le plat, il est très grossier et unilatéral, c'est dommage.
Après ça reste bien plus intéressant en terme d'horreur et de cinéma que la totalité des sous merdes qui sortent dans le genre ces derniers temps avec uniquement des jumpscares. Mais ce n'est pas pour autant qu'il faut se toucher la nouille dessus.
Mais je dois avouer que je suis content que ce film soit presque jumpscare free, au moins il tente de mettre une ambiance, un truc bien lent qui prend son temps. Sauf que, pour moi il y a plusieurs problèmes. Le film montre encore trop de trucs, c'est quoi ce plan omniscient qui traverse une porte qui tue tout suspens possible ? C'est quoi ce plan qui remonte après la livraison de la pizza (comme si on ne se doutait pas), c'est quoi cette scène avec le briquet ?
En fait tout ce qui sort du point de vue de l'héroïne flingue complètement le film parce que du coup on sait qu'il y a menace. Au lieu de jouer sur l'ambigüité du truc. Tu sais à quoi t'attendre, tout est très prévisible, du coup difficile de faire peur lorsque l'on a un schéma narratif aussi éculé.
Le comportement de l'héroïne me gène un peu, si je suis dans une maison pour une nuit, je ne vais pas "explorer", si je dois faire du baby sitting, je demande à voir, etc. Du coup c'est difficile de se mettre à sa place, mais bon, disons que le film passe une bonne éternité à nous expliquer pourquoi elle accepte. Le film est très long à se mettre en route. Et après qu'il ait commencé, une fois qu'elle est seule dans la maison, je trouve ça foutrement dommage que les seuls trucs inquiétants viennent de la mise en scène et de la musique. Les zooms pour que l'on ne voit pas ce qu'il y a derrière, ce genre de trucs. C'est un peu gros comme une maison et très artificiel pour faire monter la tension sur rien du tout. Parce que disons-le, on ne garde que les plans "subjectifs" à l'héroïne et il n'y a rien de bizarre jusqu'à la toute fin du film.
Encore une fois c'est bien de vouloir mettre une ambiance, mais le film se saborde tout seul. Je pense à la dernière scène intéressante du film, pas de lumière, elle en voit sous la porte et elle entend quelqu'un s'approcher et là ça aurait pu durer une éternité un moment de panique totale pour le spectateur qui sait enfin qu'il se passe un truc louche. Mais non c'est sabordé (je ne dis pas comment).
Après ce n'est pas déplaisant, mais encore trop calibré pour faire réellement peur et pour être intéressant. Je suis déçu, parce que l'intention était bonne, c'est un film propre, agréable, mais qui finalement échoue à cause de petites erreurs qui annulent tout effroi possible. Le film met les pieds dans le plat, il est très grossier et unilatéral, c'est dommage.
Après ça reste bien plus intéressant en terme d'horreur et de cinéma que la totalité des sous merdes qui sortent dans le genre ces derniers temps avec uniquement des jumpscares. Mais ce n'est pas pour autant qu'il faut se toucher la nouille dessus.
The House of the Devil est un parfait hommage aux films d'horreur des années 70 et 80. Il réussit à retranscrire cette ambiance culte qui faisait le charme du genre à cette époque là. En plus de la très efficace réalisation de Ti West, Jocelin Donahue, l'actrice principale, contribue à cette belle réussite. De l'horreur, de la tension et du suspens à l'ancienne. Du tout bon ...
Ti West est le genre de réalisateur pas super connu et pas super réputé, faut dire qu'il n'a pas commencé sa carrière de la meilleur façon avec son Cabin Fever 2 certes riche en hémoglobine mais bien con sur les bords .
Néanmoins Ti West mérite bien que l'on s'attarde sur certains de ses films, comme celui ci .
Tourné à la manière d'un film des années 80, The House of the Evil est un bel hommage au cinéma horrifique de ces années là en étant référencé Polanski (Rosemary's Baby pour son sujet) ou encore Carpenter (Halloween pour son ambiance) .
L'ambiance du film est lente pour faire monter la pression, puis peu à peu l'angoisse de cet étrange maison devient de plus en plus oppressante .
On se sent coincé comme la demoiselle en proie à quelque chose qui ne semble pas tourner rond .
Le tout baigne dans une mise en scène tétanisante et fortement réussite ou le rendu est souvent glaçant .
Ambitieux et rétro ce film d'horreur vise avant tout les amateurs du bon vieux cinéma horrifique de l'époque, le tout se déchaine dans un final fort sympathique mais ne vous attendez pas à un film qui se lâche dans l'ultra violence, c'est avant tout de l'horreur à la Polanski et sa trilogie de l’appartement, froid, posé et angoissant .
Néanmoins Ti West mérite bien que l'on s'attarde sur certains de ses films, comme celui ci .
Tourné à la manière d'un film des années 80, The House of the Evil est un bel hommage au cinéma horrifique de ces années là en étant référencé Polanski (Rosemary's Baby pour son sujet) ou encore Carpenter (Halloween pour son ambiance) .
L'ambiance du film est lente pour faire monter la pression, puis peu à peu l'angoisse de cet étrange maison devient de plus en plus oppressante .
On se sent coincé comme la demoiselle en proie à quelque chose qui ne semble pas tourner rond .
Le tout baigne dans une mise en scène tétanisante et fortement réussite ou le rendu est souvent glaçant .
Ambitieux et rétro ce film d'horreur vise avant tout les amateurs du bon vieux cinéma horrifique de l'époque, le tout se déchaine dans un final fort sympathique mais ne vous attendez pas à un film qui se lâche dans l'ultra violence, c'est avant tout de l'horreur à la Polanski et sa trilogie de l’appartement, froid, posé et angoissant .
Alors là, j'avoue avoir été plus que surpris : avec un titre qui sent bon les vieux titres horrifiques des années 70, House of the Devil ne m'inspirait rien à part l'idée qu'il s'agissait d'un petit Z de plus. Et puis la vision débute... Et bien y'a pas que le titre du film qui sent les années 70 : l'image, les mouvements de caméra, les décors, les costumes, les coiffures des personnages… Ensuite, puis nous avons une longue exposition avec une introduction des protagonistes dans leur vie de tous les jours. Et puis une situation arrive avec des éléments étranges, et là je tilte : mais c'est un film des années 70 !! Un véritable hommage à cette période prolifique pour ce cinéma de genre !! Ti West nous prouve à chaque seconde qu'il aime cette période et ce jusqu'à son dernier quart d'heure où tout bascule, où la terreur règne et le sang coule...et même le plan final vous rappellera certaines autres œuvres. Au final, je sors réjouis de cette vision où j'ai pu voir une bonne petite péloche bien loin du massacre visuel auquel je m'attendais à voir. Merci Mr West, je suis curieux de voir votre prochain film.
Une claque ! Pour un film d'horreur US du XXème siecle, je dois dire que j'ai adoré ! Loin des remakes pourris des films d'horreur cultes que nous ont habitué les amerloques, "The House of the Devil" est un véritable OVNI, entre l'"Halloween" de Carpenter, le "Suspiria" de Argento et le "Rosemary's Baby" de Polanski. La tension monte crescendo avec une bande son superbe et des acteurs très convaicants. Et le fait de situer l'histoire dans les années 80 ajoute un plus car on a la un lien direct au genre et à la rupture avec le style Horreur US qui est devenu rébarbatif (ex: l'héroine ne tombe pas dans le cliché bimbo maquillée à la truelle avec un décoleté plongeant). La seule petite réserve que je peux soumettre est que je trouve fin un peu expeditive, mais rien de bien grave, film à voir impérativement !
Ça y est... Elle l'a trouvé son job de Babysitter... si on peut dire. Il fonctionne bien ce film, grâce à l'ambiance un peu étrange qui s'en dégage dés le début. D'la pizza et d'la musique en bas, cette personne, objet de toute la tension mais aussi du job en lui même, enfermée et confinée dans l'noir... en haut. Y a t-il des effets à c'moment là ??... Nan pas besoin, la simplicité, l'atmosphère et la naïveté font ici, tout l'boulot... pour mieux y amener des ptits coups de tension bien sentis.
Cette angoisse qui s'diffuse bien tranquillement, sait se faire apprécier à sa juste valeur, sans prétentions. Le rythme n'est absolument pas mis d'côté... pour peu que l'on s'donne la peine de vivre la situation avec notre courageuse mais si ignorante nounou d'un soir. La tournure de la situation en devient plutôt intéressante et intrigante... Elle n'avait pas idée.
Film que j'apprécie. 3.5/5.
Cette angoisse qui s'diffuse bien tranquillement, sait se faire apprécier à sa juste valeur, sans prétentions. Le rythme n'est absolument pas mis d'côté... pour peu que l'on s'donne la peine de vivre la situation avec notre courageuse mais si ignorante nounou d'un soir. La tournure de la situation en devient plutôt intéressante et intrigante... Elle n'avait pas idée.
Film que j'apprécie. 3.5/5.
ConFucAmuS
Nourrir les fantasmes, c'est l'un des premiers axiomes du 7ème Art. Si des films le font particulièrement bien, on ne les adule plus seulement pour ce qu'ils racontent mais pour ce qu'ils sont. On décortique leurs secrets de fabrication, on chérit les ambiances qu'ils créent et on finit inconsciemment par les associer à un genre, à une émotion ou à une époque. Mais aujourd'hui, on singe le passé au lieu de le comprendre. Ce qui nous donne nombre de créations qui ne reproduisent plus l'époque mais un fantasme de l'époque. Le serpent qui se mord la queue, en somme. Sauf que pour tout constat, il peut aussi y avoir de charmantes exceptions. The House of the Devil en est une.
Ti West n'a pas connu les années 70 et il était un marmot dans la décennie suivante. Mais la différence, c'est que le langage d'alors, il l'a assimilé. Il en a décortiqué les techniques, il les chérit pour ce qu'elles produisent alors il va les associer consciemment à son film. En deux minutes, vous aurez la sensation d'avoir déterré la copie d'un slasher certifié 80, sans blague. Nul besoin d'une machine à remonter le temps, il suffit de se remettre en conditions. Tourné en 16 mm, photographie vintage, mouvements de caméras limités, beaucoup de zooms et un découpage économe ; le slasher procure un frisson d'excitation comme on en voit plus beaucoup. De toute évidence, West aime trop ses modèles (Hitchcock, Friedkin, Carpenter ou Polanski) pour se risquer à les voler. Le cinéaste reprend assurément la grammaire d'antan mais pour déclamer au mieux son récit. C'est un superbe hommage en cela qu'il n'amalgame pas inspiration et reproduction. Ce qui permet à la tension de bien nous tourner autour, avant de décocher quelques effusions d'hémoglobine cradingues. En sus, West aura démontré qu'on peut toujours faire sursauter sur des conventions qu'on pensait avoir désamorcées depuis perpète.
L'exercice de style est virtuose, tant et si bien que l'histoire (pas passionnante) en elle-même fait plus office de prétexte. Un bon prétexte, entendons-nous bien. En plus d'offrir une belle frayeur qui semble surgir d'outre-tombe, Ti West rappelle qu'il ne suffit pas de faire semblant et de ressortir les marqueurs d'une époque pour réussir son film d'époque. Car tout ce qu'on obtient au final, c'est de l'artificiel, du fantasme. Il faut d'abord comprendre pour réinvestir. Et lui, il l'a bien compris.
Ti West n'a pas connu les années 70 et il était un marmot dans la décennie suivante. Mais la différence, c'est que le langage d'alors, il l'a assimilé. Il en a décortiqué les techniques, il les chérit pour ce qu'elles produisent alors il va les associer consciemment à son film. En deux minutes, vous aurez la sensation d'avoir déterré la copie d'un slasher certifié 80, sans blague. Nul besoin d'une machine à remonter le temps, il suffit de se remettre en conditions. Tourné en 16 mm, photographie vintage, mouvements de caméras limités, beaucoup de zooms et un découpage économe ; le slasher procure un frisson d'excitation comme on en voit plus beaucoup. De toute évidence, West aime trop ses modèles (Hitchcock, Friedkin, Carpenter ou Polanski) pour se risquer à les voler. Le cinéaste reprend assurément la grammaire d'antan mais pour déclamer au mieux son récit. C'est un superbe hommage en cela qu'il n'amalgame pas inspiration et reproduction. Ce qui permet à la tension de bien nous tourner autour, avant de décocher quelques effusions d'hémoglobine cradingues. En sus, West aura démontré qu'on peut toujours faire sursauter sur des conventions qu'on pensait avoir désamorcées depuis perpète.
L'exercice de style est virtuose, tant et si bien que l'histoire (pas passionnante) en elle-même fait plus office de prétexte. Un bon prétexte, entendons-nous bien. En plus d'offrir une belle frayeur qui semble surgir d'outre-tombe, Ti West rappelle qu'il ne suffit pas de faire semblant et de ressortir les marqueurs d'une époque pour réussir son film d'époque. Car tout ce qu'on obtient au final, c'est de l'artificiel, du fantasme. Il faut d'abord comprendre pour réinvestir. Et lui, il l'a bien compris.
Un film d'épouvante pas mal du tout qui adopte le style du début des 80s dans son univers, son visuel, son actrice, et son scénario. Une maison diabolique, une babysitteuse en danger et une mystérieuse éclipse. On sait où on met les pieds: les films sur les adeptes de Satan sont nombreux depuis "Rosemary's Baby" et celui-ci a l'intelligence d'utiliser les codes sans se reposer paresseusement dessus. Il y a des lieux communs, certes, mais le scénario prend le spectateur suffisamment par surprise pour éviter l'ennui du prévisible.
Cerise sur le gâteau, le film est bien filmé. On sent la volonté de réaliser un bon film de genre à l'ancienne, un véritable film d'épouvante qui en se contente pas d'exploiter de vieilles ficelles. Bien joué.
Cerise sur le gâteau, le film est bien filmé. On sent la volonté de réaliser un bon film de genre à l'ancienne, un véritable film d'épouvante qui en se contente pas d'exploiter de vieilles ficelles. Bien joué.
FaRem
Entre le coté rétro et le cadre il y avait moyen de faire un bon petit film d'horreur mais non c'est le néant ce film est d'un ennuie sans nom il ne s'y passe strictement rien pendant au moins 1h15 avant un dernière quart d'heure qui ne hausse pas non plus le niveau du film.
videoman29
« The house of the devil » est un film long et ennuyeux que les distributeurs (plus rapaces les uns que les autres) ont estimé suffisamment efficace pour mériter une sortie DVD... grossière erreur, étant donné qu'il ne se passe strictement rien à l'écran pendant près d'une heure (montre en main). En outre, le scénario est totalement dénué d'imagination et les quelques bonnes idées qui surnagent sont immédiatement gâchées, trop mal exploitées pour convaincre. Pourtant, la tentative de recréer l'ambiance des années 80 fonctionne bien (l'actrice principale y est pour beaucoup) et aurait presque pu sauver l'ensemble du naufrage si la tension et le suspense n'avaient pas été aussi radicalement absents de cette maison sans diable. Du coup, tout est bien prévisible et le résultat est de trop piètre qualité pour qu'on s'y attarde sérieusement... Dans le genre, préférez cent fois revoir ce bon vieux « Rosemary's Baby », ça vous évitera 1h30 de torpeur, voire de profond ennui.
Quelle déception....mortellement ennuyeux du début à la fin, plus long tu meurs !!! L'histoire est incompréhensible parce qu'en fait on dirait qu'il n'y en a même pas, j'opterais d'ailleurs pour les prémisses d'un premier jet du brouillon loool donc à ne pas s'attarder, n'en vaut pas du tout le coup !!
BeatJunky
1h30 de film dont 1h20 d'intro! Rien, absolument rien dans ce film. 1h15 pour mettre en place et faire monter le suspense mais il monte pas bien haut!!!! Avant un final des plus inintéressants que j'ai pu voir.
Tout ça pour ça en gros.... Fuyez!
Tout ça pour ça en gros.... Fuyez!
Deux étoiles pour le film qui possède des passages longs ou l'ennuie nous guette.
Une étoile pour la réalisation qui m'a fait croire jusqu'au bout que ce film avait été tourner dans les années 80.
Une étoile pour la réalisation qui m'a fait croire jusqu'au bout que ce film avait été tourner dans les années 80.
J'ai bien aimé ! Un hommage au cinéma d'épouvante des années 70-80, certainement les meilleures en terme de cinéma du genre. Impossible de ne pas penser à "Halloween" de John Carpenter, à "The House on Sorority Row" de Mark Rosman ou encore à "Terreur sur la ligne" de Fred Walton... La mise en scène est très bien réussite, visuellement c'est plaisant. Le casting est satisfaisant, Samantha est un personnage attachant, on se préoccupe beaucoup de son sort ! Sinon, il y a peu d'action mais beaucoup de tension, avec une atmosphère pesante... "The House of the Devil" est un bon film que je conseillerais, surtout aux amateurs du genre ! Il aurait vraiment mérité une sortie en salle.
D'un rare ennui. 1h30 de film : l'action ne survient qu'à 15 min du final, des plus... ennuyeux. On ne sait pas pourquoi, on ne sait pas comment, on ne sait pas ce qu'il advient des personnages. Et d'ailleurs, on s'en fiche, littéralement. 19,99euros le Blu-ray, pour un film et une image qui sont tous les deux mauvais, et certes, la mauvaise qualité de l'image était souhaitée par le réalisateur, mais ça n'empêche pas l'impression de s'être fait avoir.
02/20.
02/20.
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