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Non, là, franchement, nous sommes arrivé à un point de non retour, au moment où, soit on se dit que c'est un chef d’œuvre, soit on se dit que c'est une merde !!! Mais non, je rigole, c'est une merde, en tout cas dans son ensemble. C'est pas faute d'avoir cherché un point positif sur lequel se rattacher mais le pauvre film n'a pas grand chose pour lui : Une absence flagrante d'action durant le début
spoiler:
(sauf à un tout petit, petit, petit moment où quelqu'un se fait tirer dessus puis c'est tout...)
et bien sûr, pour continuer dans la même lancée, le milieu. Bon c'est pas grave il nous reste la fin du film, mais là, on est vraiment déçu par des actions plutôt ridicules... Bon... Je continue... Pff... La photographie, parlons-en de la photographie, elle est... elle est... pas mal du tout, je dirais même que c'est la seul chose un peu soignée dans ce film et qui produit son effet. Vous l'aurez compris, de ce film il ne reste qu'un sentiment de fatigue qui n'a pas sa place dans un film d'horreur.
et bien sûr, pour continuer dans la même lancée, le milieu. Bon c'est pas grave il nous reste la fin du film, mais là, on est vraiment déçu par des actions plutôt ridicules... Bon... Je continue... Pff... La photographie, parlons-en de la photographie, elle est... elle est... pas mal du tout, je dirais même que c'est la seul chose un peu soignée dans ce film et qui produit son effet. Vous l'aurez compris, de ce film il ne reste qu'un sentiment de fatigue qui n'a pas sa place dans un film d'horreur.
A court d'argent, Samantha accepte de faire du baby-sitting dans une maison isolée sans savoir qu'elle va y vivre une nuit de cauchemar... Soi-disant inspirée de fait réels inexpliqués, ce long métrage de i West à la particularité de possèder une mise en scène bien efficace dans sa deuxième partie, ainsi qu'une interprétation de qualité de l'actrice principal, Jocelin Donahue. Les séquences horrifiques ne sont par contre pas légions - et sont en fait visibles en grande partie dans les dix dernières minutes - mais le film se suit avec un certain intêret grâce son ambiance eighties bien appréciable et qui ne manque pas de suspense. Voilà donc une petite production américaine bien sympathique et que je conseil aux fans du genre, d'autant que la séquence finale s'avère bien surprenante.
Il est toujours très délicat de s'affirmer comme un film hommage. Pourquoi ? Simplement parce-que ce film sera attendu au tournant par les fans du genre qui ne rateront pas une occasion de faire savoir leur mécontentement. Ce sera malheureusement le cas ici avec cet House Of The Devil. Malgré une ambiance bien retranscrite, l'ensemble manque cruellement de punch. Les acteurs sont misérables, presque exécrables, l'histoire met un temps fou à se mettre en place, l'atmosphère étouffante du début laisse place à un vide abyssal. Bref, The House Of The evil est ce que l'on pourra qualifier de beau ratage.
Je trouve le film assez intéressant en fait. On pourrait s'attendre à un film d'horreur vraiment nul et raté, mais c'est pas le cas. Parce que le film ne cherche pas du tout à jouer sur un effet de surprise (il va pas te faire sursauter toutes les 2 secondes, et c'est pas plus mal) mais à installer du suspense. On est dans le suspense, pas dans la surprise. Et c'est tant mieux comme ça. Mais là où je ne comprends pas le film c'est que d'un côté il cherche à entretenir ce mystère, mais de l'autre il nous dévoile tout d'un coup sans que l'on sache trop pourquoi. Le pire plan étant celui où on découvre ce qu'il y a derrière une porte. Mais non, cette porte, c'était celle de Barbe-Bleue, on voulait savoir ce qu'il y avait derrière mais sans vraiment oser le savoir, et surtout on voulait le découvrir en même temps que le personnage principal. Et y a d'autres petits trucs comme ça qui font que le film se grille lui même par moment, il ne se fait pas assez confiance, il installe un suspense et une ambiance mais on dirait qu'il a peur de pas en donner assez alors du coup ben il montre des choses qui ne sont pas justifiées à ce moment là.
Un film très agréable à regarder pour son ambiance 80', on croirait voir un vieux film qu'on aurait oublié, les musiques, décors, tenues et accessoires reflètent parfaitement l'époque. Le film vaut vraiment le coup d'oeil au moins pour cet aspect là, qui est irréprochable. L'histoire, en elle même, fait penser aux films d'épouvante comme "Rosemary's baby" de Roman Polanski, où rien n'est réellement dévoilé, mais plutôt suggéré, la tension monte crescendo car l'imagination du spectateur va travailler sans relâche pour deviner ce que cache cette maison du diable. Dans l'ensemble, "The House of the Devil" est un film qui mérite d'être vu, déjà pour son aspect old school qui est vraiment délicieux, mais aussi pour son histoire qui fait écho aux vrais films d'épouvante.
Film old-school qui repose avant tout sur son ambiance et ses personnages plutôt effrayants. Même si le final vaut son pesant de cacahuètes ne vous attendez pas à de l'action tout le long ce n'est pas vraiment ce qui se faisait à l'époque. Un film rétro/hommage plutôt réussi.
IL ne suffit pas d’être fétichiste des bandes horrifiques des années 70/80 pour faire un film digne de ce nom. Pendant plus d’une heure on s’ennui ferme dans cette maison du diable. Reste les 20 dernières minutes, pas mal mais attendues.
Je suis peu attiré par les films traitant de rites sataniques : peu sont intéressant, et peu sont bien faits. The house of the Devil présente une histoire qui foncièrement me passe au dessus mais, et ce sont là les raisons de mes étoiles : chapeau au réalisateur pour avoir réussi à nous replonger dans un film des années 80......en 2010! Non, ce n'est pas un Grindhouse parodique, mais bien un vrai film qui semble avoir été fait à cette époque et retrouvé dans une armoire. Exceptionnel effet de style et preuve du talent de West.
Pur hommage aux films d'horreurs des années 80, The House of The Devil, commence plutôt bien. Tout d'abord l'ambiance très rétro est incroyablement efficace, il est difficile d'imaginer que le film a été produit en 2009, bref de ce niveau-la, c'est réussi. Mais reste a voir si l'ambiance tient vraiment la route. Et le début est bon, assez classique, mais de bonne facture : un rythme assez lent, un enchaînement de bizarreries qui font imaginer que tout ca va bientôt partir en cacaouète. Et la tension monte peu a peu, avec une efficacité remarquable. Jusqu'a la scène où la jeune fille s'évanouit. Et la c'est le drame, le film plonge totalement. Puisque lorsque l'on construit un rythme lent dans un film d'épouvante, c'est ensuite pour livrer un final de 20-30 minutes très remuant, et la, ce n'est pas le cas, le dernier quart d'heure apocalyptique que l'on attendait est totalement raté. Et ce pour des raisons impossibles a dire sans spoiler :
spoiler:
tout d'abord faire confronter directement la fille a cette famille de cinglé, tout d'un coup était stupide, puisque l'on sait que les choses vont se précipiter, et ensuite ca n'y manque pas, la fille détruit toute la famille en 5 minutes, rendant a la fois l'histoire et les méchants pas crédibles du tout (ces mecs sont censés faire des rituels très souvent, alors pourquoi une baby sitter inoffensive est capable de les tuer aussi facilement?).
Quel dommage car le final était pourtant une excellente idée. Un vrai gâchis.
Quel dommage car le final était pourtant une excellente idée. Un vrai gâchis.
comme quoi avec une bonne mise en scéne on peut réussir à suffoquer la peur avec presque rien. Avec son esthétisme eighties complètement réussie ce film est une petite surprise pas dégueu et qui flanque tout de même la frousse 13/20.
Ça aurait pu être très bien s'il n'y avait pas un problème de rythme et de montage. Ainsi la montée de la tension dramatique est très moyennement rendue et le basculement dans l'horreur trop abrupte. Le dernier plan qui se voudrait
spoiler:
une référence à Rosemary's baby
est ridicule. Dommage car il y avait du potentiel dans cette histoire interprétée par la belle et talentueuse Jocelin Donahue.
est ridicule. Dommage car il y avait du potentiel dans cette histoire interprétée par la belle et talentueuse Jocelin Donahue.
Roub E.
J ai vraiment eu une impression de gâchis après la vision de ce film. J ai senti de bonnes intentions, du savoir faire mais un vrai manque de maîtrise du rythme pour que cela soit réussi. Des intentions car le film se veut visiblement être un hommage aux films d horreurs des années 80 de part son ambiance, son style, la volonté de planter des personnages et un décor (la maison paraîtrait presque comme un personnage du film à l image d Amityville par exemple. Cet aspect hommage est plutôt réussi même si malheureusement le réalisateur s en est trop contenté et à oublier de mettre plus de contenu. Car il faut bien le reconnaître il ne se passe quasiment rien pendant une heure de temps et le film montre de vraies lacunes au niveau du rythme car le dernier acte réussi donne l impression d être vite expédié par rapport au reste. Dommage.
Xavi_de_Paris
Rarement un film d'horreur n'aura réussi à tenir un niveau de tension aussi élevé tout du long, alors qu'il ne se passe grand chose finalement. Certains reprocheront à "The House of the Devil" de ne jamais démarrer, mais l'atmosphère générale du film suffit à insuffler un climat de terreur et de tension soutenue. Le climat étrange de la maison et de ses environs, les propriétaires tout aussi bizarres, les petits bruits, etc. contribuent à créer cette ambiance. Le parfum des 70's qui parsème le film, tant dans le contexte de l'histoire, que dans la mise en scène, apporte une touche d'originalité à l'œuvre. Les amateurs apprécieront au moins le dernier quart d'heure de folie.
Le début fait peur avec sa musique synthétique bas de gamme et son générique de film TV des années 80, crainte renforcée par un titre raccoleur digne des pires séries Z. Cette impression très négative s’estompe très rapidement. L’image est soignée et les acteurs sont bons. L’histoire, bien qu’un peu lente au démarrage, se met en place de façon efficace et installe une ambiance des plus pesante. Le réalisateur joue avec les nerfs du spectateur (un peu trop longtemps) avant de terminer sur un final horrifique surprenant très court. Le film bascule à ce moment là sur du vrai fantastique lourdingue qui n’a plus rien à voir avec la sobriété totale du reste du film, dommage, je pense qu’il aurait gagné en qualité en restant dans les frontières de la réalité. Une bonne surprise quand même.
une belle daube comme sa mérite un oscar , on dirait un film des années 70
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