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    Le Parrain
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    4,5
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    1 479 critiques spectateurs

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    Dead-for-Someone
    Dead-for-Someone

    45 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 août 2016
    Véritable icône du cinéma américain, le Parrain est une adaptation du roman de Mario Puzo sur l'une des plus puissantes famille de la mafia aux États-Unis, les Corleone.
    Alors qu'il rentre des combats contre l'Allemagne nazie, le cadet de la famille Michael Corleone va devoir prendre la succession de son père et protéger ses proches des familles rivales et des forces de l'ordre qui veulent sa chute...
    La réalisation est superbe, très précise avec des prises de vue vraiment superbes. Le scénario est bon, avec son lot d'assassinats, de trahisons et de machinations en tout genre. Mais c'est vraiment pas facile à comprendre, faut suivre ! Le acteurs sont vraiment excellents, incarnant des personnages très complexes, montrant le côté humain d'hommes qui sont prêts à tuer de sang-froid et rendant attachants les pires bandits qui soient
    La photographie est merveilleuse, la lumière est d'une beauté à couper le souffle et la couleur est juste parfaite.
    Le montage est percutant et inventif, donnant naissance à des scènes époustouflantes (le baptême vers la fin du film).
    Les décors et les costumes sont superbes, retranscrivant l'époque à la perfection.
    La musique est culte et d'une grande beauté.
    Toutefois, le film a quelques longueurs et comme dit précédemment, le nombre d’intrigue et le nombre de personnages rendent le tout difficile à comprendre à certains moments.
    Le Parrain a marqué à sa sortie et n'a pas pris une ride 44 ans après. Un grand moment de cinéma.
    Le Loubar
    Le Loubar

    42 abonnés 147 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 octobre 2017
    Francis Ford Coppola livre avec The Godfather non seulement un véritable chef-d'œuvre du genre en terme de film de mafieux, mais une histoire qui se révèle être bien plus que cela en devenant un véritable labyrinthe tragique d'histoires de familles et de sang. Dès les premières minutes, le film nous met dans l'ambiance en nous exposant le personnage de Don Corleone, divinement interprété par Marlon Brando. Le parrain est à l'écoute de ses amis, reste calme, subvient aux besoins de sa famille, et la narration donne un indice sur la suite de l'histoire (le service). Exposition parfaite. Et tout le long du film, on en apprendra toujours plus sur cette famille sicilienne dont les liens sont très forts et qui est le fil conducteur de tout le long-métrage. Au niveau de la réalisation, Ford Coppola sait être tendu (la scène du restaurant) et émouvant quand il le faut (la dernière scène où le Don Vito s'adresse à Michael, joué par Al Pacino). La photographie est magnifique avec de somptueux jeux de lumière et la bande originale est sublime. Personnellement j'ai une préférence toute particulière pour la dernière réplique du film qui sonne comme un couperet. Chef-d'œuvre, à voir absolument.
    Acidus
    Acidus

    739 abonnés 3 725 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 août 2016
    "Le parrain", premier volet d'une trilogie réalisée par Francis Ford Coppola, est aujourd'hui une oeuvre phare du cinéma; un statut et une reconnaissance amplement mérités.
    L'intrigue est relativement classique pour le genre - on pense notammnet aux films de mafieux des années 30/40 produits par Warner - mais sa longue durée confère un souffle épique à cette fresque mafieuse et familiale. Bien entendu, cela ne serait aps faire honneur àce long métrage de limiter son intérêt à sa seule durée. "Le parrain" est bien plus que cela. En digne représentant du "Nouvel Hollywood", Coppola brosse, sans concession, un portrait violent de la pègre à coups de scènes "chocs" mémorables ( spoiler: comme la tête de cheval dans le lit
    ) dont la brutalité n'est plus suggérée comme c'était le cas dans les vieux de gangsters. Cette liberté de ton à indubitablement révolutionné le cinéma hollywoodien et donne une bonne partie de sa saveur à ce long métrage.
    Cerise (double) sur le gâteau: l'excellente B.O. et un casting cinq étoiles.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 juin 2016
    Aujourd'hui je m'attaque à un monument du cinéma, j'ai nommé : Le Parrain. Vu pour la première fois plus de 40 ans après sa sortie, c'est à se demander si il n'est pas mieux à mesure qu'il vieilli. Tout le monde m'a dit que c'était "l'un des plus grands film de l'histoire", et en le voyant, je trouve que l'expression était faible ! On trouve difficilement de défauts à ce film. La distribution est légendaire, la BO magnifique, le scénario à la fois intelligent et divertissent... Tout est réuni pour en faire une oeuvre majeure dans l'histoire du cinéma et, j'en suis sûr vous partagerez mon avis, de l'art en général.
    Toto INF
    Toto INF

    37 abonnés 555 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 août 2016
    En un mot : mythique.

    Le Parrain est LE film sur la mafia. Début d'une trilogie éponyme, monumental, ce premier opus est un chef d'œuvre. Le scénario est incroyable, et la multitude de personnages rend le récit plus que palpitant. Les scènes légendaires s'enchainent. Le jeu d'acteur est dingue, la bande-son cultissime, l'univers plus que soigné. Bref, rien à redire.
    Un classique du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 juin 2016
    Il faut au moins avoir vu une fois dans sa vie ce film, dans
    lequel on suit avec intérêt le destin de la famille Corleone, intimement mêlée
    à l’histoire de l’Amérique au XXème siècle. Cette famille est le miroir des
    logiques brutales qui sont à l’œuvre dans la société. On suit les bonheurs et
    les malheurs (surtout les malheurs) de ce clan, mais on suit en particulier le
    parcours de Michael Corleone, joué par l’excellent Al Pacino, personnage
    tragique par excellence, qu’on croirait sorti d’une pièce de Shakespeare. Son
    parcours est celui d’un homme qui n’a pas réussi à échapper à son milieu
    d’origine, à cette famille criminelle dont il vomissait les pratiques. Les
    autres personnages sont tous très travaillés, on assiste à une véritable
    galerie de portraits, de trognes. L’aspect dramatique est nourri par le passage
    de témoin entre deux générations. Car en effet, le passage du temps est un
    thème qui nourrit toute la trilogie. Au final on a un film long mais équilibré,
    on n’a pas affaire à un grand film malade qui pète plus haut que son derrière.
    Car on revient de loin, Coppola dut batailler avec les producteurs afin
    d’imposer sa propre vision du premier volet de la trilogie, adapté du roman
    homonyme à succès de Mario Puzo, qui participa au scénario. Le résultat ?
    Un triomphe commercial, qui rapporta un million de dollars par jour le premier
    mois d’exploitation. A la vision de ce film, on peut dire que Coppola n’a pas
    volé ce succès, car on en ressort ébloui au vu de sa profondeur et de sa
    richesse dramatique.

    Vous pouvez lire ma critique complète (illustrée et
    accompagnée d’extraits) de la trilogie Le Parrain ainsi que d’autres critiques
    et articles sur le cinéma ainsi que des extraits de films sur mon blog :
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 juin 2016
    Simplement " un chef d'œuvre "
    Une film devenu légendaire
    Des scène devenue plus
    Que culte.
    Un casting parfait.
    Kristian F.
    Kristian F.

    70 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 juin 2016
    Un film inadmicible. Aucune histoire de "parrain" dans se film, ce n'és qu'une vaste histoire de mafieu comme on en voit tant a la TV. J'y suis allé avec mon propre parrain: ce n'était pas lui!!!! spoiler:
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 juin 2016
    Du suspens, une histoire intéressante, mais alors très long, trèèèès long, et surtout un personnage pas attachant de Mickael je trouve, qui est odieux et qu'on a pas envie de voir réussir spoiler: il est vraiment salaud à la fin
    . Encore le côté anti-héros aurait été mis en avant d'accord, mais là non c'est juste un imbécile, spoiler: il trompe sa femme
    ... Bon ce film est bof, enfin surtout très long (je lui mettais une étoile de plus s'il tenait en une heure trente ce qui aurait été possible en enlevant tout le bla bla inutile), mais surtout c'est incompréhensible pour moi que ce soit considéré comme un chef d'oeuvre !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 septembre 2016
    Un film époustouflant ! des acteurs d'une sincérité magistrale.
    Éventuellement on peut détecter un peu de misogynie mais cela et pardonnable.
    Car il s'agit d'époque et de mafia ou la testostérone dégouline avec force, sauvagerie, intelligence, et sentiment.
    demoph
    demoph

    2 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 mai 2017
    Le Parrain est un film mythique dont les dialogues, les décors, les personnages sont devenus des monuments de la culture cinématographique. Brando, le village de Corleone, une tête de cheval, dormir au milieu des poissons, un montage parallèle sur fond de baptême… Mais comment en est-on arrivé là ? Comment expliquer que le film ait autant marqué les esprits ? Comment expliquer qu’un jeune réalisateur plutôt méconnu ait signé un film aussi marquant, comment a-t-il réussi à s’adapter aux règles des producteurs qu’il méprise pour faire triompher sa vision d’auteur ? Comment a-t-on pu réunir en un film Coppola, Brando, Pacino, Willis, Rota, Murch, Duvall, Keaton… ? Revenons sur l’histoire du projet.

    A la fin des années 60 arrive à Hollywood une nouvelle génération de réalisateurs, influencés par le cinéma européen ou japonais. Coppola a découvert la puissance du cinéma avec Eisenstein, Scorcese est un grand admirateur du cinéma italien, Lucas est un grand admirateur de Kurosawa. Cette nouvelle génération veut reprendre le flambeau de Penn, Lumet et Nichols qui font déjà à Hollywood des films d’auteur. Et ils veulent aller plus loin. Lucas et Coppola en particulier veulent que les réalisateurs reprennent le contrôle absolu de la production de leur film. Coppola crée sa propre compagnie de production Zoetrope. Il s’en sert pour produire le premier film de Lucas THX1138; hélas le distributeur Warner impose un nouveau montage. Ce qui a deux conséquences : Zoetrope se retrouve en faillite et le mépris de Lucas et Coppola pour les méthodes hollywoodiennes s’accroit encore. Lucas décide de créer sa propre compagnie de production Lucasfilm, qui de toute les compagnies créées par un réalisateur sera celle qui jusqu’à 2012 concurrencera le mieux les grandes majors, établissant un empire financier parallèle. Lucas conseille aussi à Coppola d’adapter pour le grand écran un roman qui vient de sortir de Mario Puzzo qui s’intitule The Godfather. Lucas voit là un bon moyen de relancer Zoetrope pour son ami. Paramount confie le projet à un Coppola récalcitrant. Ce dernier n’est pas fan du livre en particulier de toute l’histoire qui tourne autour du personnage de Lucy Mancini, maitresse de Sonny. Mais il saisit tout le potentiel de l’œuvre en décidant de concentrer son récit sur ce qui l’intéresse : un chef mafieux qui doit sécuriser la transmission de son empire à ses fils. Coppola voit là quelque chose qui rappelle les grandes tragédies grecques ou shakespeariennes. Il décide de se concentrer sur les personnages de Vito, Michael, Sonny et Tom. Coppola cherche à imposer sa vision et sans trop savoir pourquoi exige que le film soit à New York et se déroule immédiatement après la guerre. Alors que les producteurs voulaient un film vers 1970 à Atlantic City. C’est probablement pour imposer la primauté de la recherche artistique sur la recherche du profit à travers un film formaté pour le public.
    Coppola veut une légende du cinéma pour le rôle de Vito, et il a bien raison. Car ainsi l’ombre de Vito ne quitte jamais le film même quand il se retrouve en retrait de l’histoire. Et sa présence est constante au côté de Michael et de ses fils qui cherche constamment à se définir par rapport à leur père qui occupe toute la place. Après le refus de L.Olivier, Coppola réussit à convaincre Paramount, d'abord récalcitrant, d’engager Brando, s’engageant à ce que l’acteur ne pose pas de problème sur le tournage. Pour ce qui est des rôles des jeunes, Pacino, Caan et Duvall débarquent et Coppola les engage immédiatement : il a déjà travaillé avec les deux derniers et imaginait Pacino dans le rôle de Michael depuis sa première lecture du livre. Hélas, pendant toute cette pré-production très mouvementée, le livre devient un best-seller. Et ce projet devient le projet principal de Paramount. Du coup Paramount veut remplacer Coppola par un réalisateur confirmé. Et Pacino par Redford, Mc Queen ou O’Neal. Et le tournage commence alors que Paramount est à la recherche de la moindre raison de virer Pacino et Coppola. Et quand dès le début du tournage, lors de la scène à l’hôpital, Pacino se casse la cheville, et que le tournage prend du retard, les carottes semblent cuites. Mais Pacino sauve sa place grâce au tournage de la scène du restaurant avec Sollozzo. Quant à Coppola, il finit par remporter son bras de fer avec Paramount, mais pour ce faire il doit accepter des conditions de tournage très difficiles. Le film se fait sous la contrainte avec des acteurs qui ont des carrières à construire ou à reconstruire, au milieu des disputes entre le réalisateur et son directeur de la photographie. Paramount oblige le tournage à se faire à cent à l’heure et Coppola en gardera toujours un très mauvais souvenir. Chose amusante et loin d’être anecdotique, Coppola explique que ses tournages les plus difficiles ont été ceux du Parrain 1, Parrain 2 et Apocalypse Now qui sont ses trois chefs d’œuvre, et que le tournage le plus agréable fut celui de L’Idéaliste. Coppola travaille mieux sous la contrainte, quand le système et les impératifs commerciaux se marient à son incroyable créativité visuelle. Le Parrain 1 est son film où il prend le moins de liberté avec la caméra. Il ne s’agit pas d’un film expérimental comme peuvent l’être Rusty James ou Coup de Cœur, ni un festival de techniques cinématographiques comme Cotton Club, Apocalypse Now ou Dracula. Les mouvements de caméra qui restent en tête sont des simples et discrets travellings avants et arrières, et on est à des années lumières des plans séquences dont Coppola va régaler les spectateurs par la suite. Mais dans l’ensemble Coppola fait du classique. C’est dans l’écriture, le montage et la direction d’acteur qu’il met toutes ses forces. Les producteurs, jamais à court de mauvaises idées décidément, doutent de la qualité de la musique de Rota (ce qui de plus laisserait penser qu’ils n’ont vu ni Le Guépard ni la Strada…). Là encore Coppola tient le coup. Et pour le montage, Coppola obtient de faire un film de 2h45 alors que les producteurs envisageaient un film de 2h. Le Parrain compressé en deux heures : on est autorisé à en faire des cauchemars.
    Commençons donc par admirer Coppola qui a 33 ans et quelques films inconnus au compteur (et un oscar de scénariste) tient bon contre les producteurs et impose avec aplomb sa vision. A la fin, chacune de ses idées fait mouche : la musique est mythique, les acteurs parfaits…

    Coppola raconte une grande tragédie hollywoodienne où on suit la chute de Michael. Le personnage reproduit le parcours habituel au cinéma de la chute dont on ne se relève pas. L’originalité vient du regard de Coppola sur son histoire qui en ne jugeant pas ses personnages a certes amené quelques mauvaises interprétations quant à l’image de la mafia qui est relayée mais en fait des personnages de tragédie grecque. D’ailleurs si à aucun moment Coppola ne prend pas la parole pour attaquer ses personnages, il ne les défend pas non plus. Il les montre tels qu’ils sont, des pères de famille avec du sang sur les mains. Le film prend place dans un univers violent. La violence a diverses formes : elle peut être physique et exploser dans la scène où Sonny tabasse Carlo, elle peut aussi être celle de la société: la violence de l’injustice, du mépris des minorités. C’est pour répondre à la violence abstraite et sociale qui rend impossible la poursuite du bleu que la mafia Corleone existe. Pour répondre par une violence physique extrême.
    Le génie du Parrain c’est d’abord son rythme. Les vingt premières minutes permettent d’introduire tous les personnages, de les décrire sans que cela ne soit jamais pesant. Ensuite on introduit le personnage de Sollozzo. Il apparait comme le méchant principal spoiler: mais est éliminé après 1h25 de film mené tambour battant
    , où lentement Michael devient le héros de la famille. 1h25 de film noir classique où on s’attache au personnage et on les voit faire face à une menace.
    Ensuite c’est la pause avec les scènes siciliennes, qui comme les scènes en extérieurs du mariage au début, sont pleines de joie, sublimés par la musique de Nino Rota. En parallèle ont lieu les scènes les plus violentes du film à New-York : Sonny qui tabasse Carlo, Carlo qui tabasse Connie, et enfin l’attentat sur l’autoroute, scène interminable. Puis c’est le retour de Brando et de Pacino, et leur grand face à face qui annonce la fin proche. La fin est montrée avec détachement, en montage parallèle, sans grande scène de tension. On comprend assez vite durant la scène que le plan va réussir. Contrairement à la scène dans le restaurant avec Sollozzo, il n’y a pas de tension ici. La tension revient dans le face à face entre Michael et Carlo, où Michael apparait dans toute sa puissance sans masque, terrifiant. Et puis c’est la fin.
    On ne s’ennuie jamais, notamment parce qu’on s’intéresse aux personnages dès le début. Brando fascine, Pacino attire la sympathie du spectateur.
    Le film alterne à l’envie la tension (scène de l’hôpital) la violence, la légèreté (Apollonia qui apprend à conduire), les scènes émouvantes, les romances… Coppola réussit à distinguer son film des films mafieux habituels en donnant l’impression de raconter une histoire à la fois profondément humaine (le drame de Michael), et une histoire qui dépasse largement ses personnages et les réduit au rang de marionnettes.
    L’interprétation est comme chacun sait le point fort du film. Elle crée la fascination du spectateur là où le désintérêt pour des problèmes entre criminels eut dû primer.
    Coppola raconte son histoire avec conviction et montre de grandes qualités de narration. Il donne à son film un rythme singulier qui lui sied. Il tire le meilleur des acteurs. Parce qu’il a vu dans ce film plus que ce que tous les autres voulaient y mettre, Coppola livre un film qui dépasse les attentes. La pression des studios a été bénéfique : elle a obligé Coppola à traiter avec la plus grande ambition et en s’assurant de bien prendre en compte chaque aspect son histoire. Presque tous avaient tout à prouver avec ce film et ils le firent avec une maestria qui laisse rêveur. Tout en ouvrant une nouvelle brèche au cinéma d’auteur dans un modèle des majors qui continue de s’étioler, Le Parrain a clairement bénéficié de la pression intenable qui pesait sur sa production. Si Coppola continue de regretter d’avoir dû tourner de nombreuses scènes à toute vitesse pour des raisons budgétaires, il a su profiter de la pression pour se surpasser, pour s’obliger à faire une œuvre qui plaise au public et qui en même temps traite des thèmes qui l’intéresse : la famille, la violence, l’organisation du groupe, la lutte contre le mal que chacun mène…

    Le Parrain est un chef d’œuvre qui montre que dans le système hollywoodien, un grand auteur peut aussi s’exprimer.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 mai 2016
    Le parrain est un mélange de passion, d'agressivité, de douceur, de convivialité, de ruse et d'un calme impassible. Marlon Brando est juste au top (avec ses mouchoirs dans la bouche). quel mise en scène à la mama.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 mai 2016
    Un 1er volet d'une trilogie incontournable du cinéma du genre de l'action de gangster une véritable pierre angulaire de l'histoire du 7eme art et une référence pour les film de gangster . Bref un véritable chef d'oeuvre signé par le génie qu'est Francis Ford Coppolla.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 avril 2016
    Que dire de ce film ! Un pur Chef-d'Œuvre : Francis Ford Coppola a signé ici un film qui a marqué durablement le cinéma, et si je venais à parler subjectivement, nous avons ici à faire au plus grande film de touts les temps ! Une puissance dans les paroles, dans la mise en scène et dans l'ambiance du film. Car en effet, nous sommes transporter tout le long du film dans les affaires mafieuse du crime à grande échelle : Scarface peut faire ses valises, ici, l'oeuvre auquel nous assistons nous montre toute la noirceur attirante du monde de la mafia. Mais attention, il n'est pas ici question de mystifier des personnages meurtrier, mais plutôt d'amener le spectateur à vivre avec les personnages, le monde des mafieux ! C'est un film qui se ressent : il faut vivre les scènes du film, se laisser transporter par la musique magnifique de Nino Rota, et cerner toute la psychologie impassiblement effrayante de ces criminels en costards ! Un film à voir et revoir sans compter !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 mars 2016
    Tout juste excellent, il a fait mon enfance ! Du début jusqu'à la fin le film, bien qu'assez long, ne me lasse pas, lui tout comme les suites ! Les acteurs ont un tel charisme, un vrai film qui montre les liens dans une famille italienne !!!
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