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    Piège à Hong Kong
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    Jean Ingalls
    Jean Ingalls

    1 abonné 104 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 juillet 2024
    Le seul Van Damme cinéma que je ne voulais pas voir puis finalement je lui ai donné sa chance récemment... Qu'est ce que c'est mauvais. Les acteurs sont énervants, jouent très mal, ça cabotine à outrance. Le peu de scènes de combat est illisible. Avec Tsui Hark aux manettes on aurait dû avoir quelque chose de meilleur mais non le pire Tsui Hark et le pire Van Damme cinéma. A fuir
    Nicothrash
    Nicothrash

    379 abonnés 3 046 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 février 2024
    Une comédie d’action qui a tout de la farce de la part de Tsui Hark. Visiblement il a voulu faire du Jackie Chan sans Jackie Chan, résultat, toute la première partie est ridicule. Et oui JCVD n’avait pas encore développé son fameux second degré à l’époque et on se demande bien où Hark veut en venir avec son scénar tout pété et son humour bien lourd. Puis ça s’emballe un peu et on retrouve en quelque sorte la verve du réalisateur qui se fait plaisir en terme d’action et de baston, ça reste très fouillis mais ça a le mérite de nous réveiller. Le casting s’amuse beaucoup, nous un peu moins et heureusement quelques scènes sortent du lot et s’avèrent autant dynamiques que réussies. Au final c’est pas mal foutu quand ça bouge malgré un script et un scénario bancals mais le véritable attrait réside dans l’assaut final avec son mot d’explosions, du gunfights, de cascades et de bastons, rien que cette partie vaut le coup d’œil en fait. Très inégal et au ton décalé, Piège à Hong-Kong n’est pas du grand Tsui Hark mais peut contenter les amateurs avec quelques fulgurances d’action. Mention à la bonne vanne sur les Pumma !
    Incertitudes
    Incertitudes

    210 abonnés 2 322 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 avril 2022
    J'avais trouvé que Double Team c'était du n'importe quoi. C'était avant de voir Piège à Hong Kong. A côté, Double Team passe pour un chef d’œuvre. Ce dernier était marrant grâce à la dégaine de Dennis Rodman, à Mickey Rourke mais bon là Piège à Hong Kong est très vite épuisant à cause entre autres de la réalisation de Tsui Hark. Il n'est pas aidé par un Van Damme halluciné comme s'il n'avait pas dormi depuis une semaine, par le cabotinage d'un des pires sidekick comiques de l'histoire et par le script inepte signé du réalisateur de Street Fighter (avec Jean-Claude Van Damme, tiens, tiens) mêlant vendeur de jeans, russes et asiats et où finalement tout le monde est un agent de la CIA. Peut-être même que JCVD en est un mais qu'il ne le sait pas encore...Ajoutons à cela des explosions vertes, des cascades où Hark met un point d'honneur à détruire précautionneusement le décor mis à sa disposition, une course de pousse-pousse épique où Van Damme se fait fesser par une anguille. N'en jetons plus. M'est avis qu'il n'y avait pas que Van Damme qui devait carburer à la cocaïne.
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    181 abonnés 1 752 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 février 2022
    La coupe de cheveux de JCVD, la photo du film, les explosions, le scénario, le jeu des acteurs, les cascades, tout est mauvais. Le réalisateur Tsui Hark est loin de sa trilogie 'il était une fois la chine". Le mieux est de passer son tour.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 732 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 septembre 2021
    J'ai aimé Jean-Claude VanDamme au fil des ans mais je ne l'ai pas beaucoup vu au cours de la dernière décennie. C'est peut-être à cause de films comme Piège à Hong Kong qui m'ont totalement rebuté. Je suppose que je me suis dit (je peux me tromper) que la carrière de VanDamme était sur le déclin si l'on en croit cette histoire. Cependant vous pouvez créditer toutes les personnes impliquées dans le film pour ses échecs et pas seulement Jean- Claude. Car c'est un travail d'équipe par exemple il avait les dialogues les plus stupides et le pire jeu des autres acteurs que j'ai jamais vu. Il y avait aussi une intrigue alambiquée quelqu'un peut-il donner un sens à cette histoire. Cela ressemble à une imitation bon marché d'un film de Hong Kong mais qui essaie en même temps d'être intellectuel. C'est beaucoup trop en fait c'est un film de Hong Kong avec le réalisateur Tsui Hark aux commandes mais tourné à Hollywood. L'acteur Rob Schneider montre une fois de plus qu'il a été assez intelligent pour jouer un rôle de méchant. Tout n'est pas mauvais dans ce film mais dans la catégorie film d'action il en fait beaucoup trop...
    Ti Nou
    Ti Nou

    509 abonnés 3 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 septembre 2021
    La présence de Tsui Hark derrière la caméra apporte à ce film d’action un grain de folie qui le hausse au-dessus des habituelles productions portées par Jean-Claude Van Damme. Certes le réalisateur Hongkongais se fout complètement de son intrigue tarabiscotée mais, moins bridé que sur sa précédente expérience avec l’acteur, il fait preuve d’une belle inventivité et de générosité lorsque ça se castagne, quitte à expérimenter tout et n’importe quoi.
    Nicola P
    Nicola P

    1 abonné 37 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 août 2021
    10 ans ont passé pour JC depuis le catastrophique "Black eagle" mais ici on est avec tsui derrière la caméra utra dynamique et c'est bien autre chose. Rythme, action et rebondissements. Un des meilleurs action Comédie de JC.
    Redzing
    Redzing

    1 149 abonnés 4 499 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 février 2021
    Dernier film américain pour Tsui Hark avant son retour à Hong Kong, "Knock Off" est surtout visiblement pour lui l'occasion de se venger des Occidentaux qui l'ont déçu. On sent dans ce film la volonté de se moquer du cinéma d'action américain, des clichés que les Occidentaux ont sur les contrefaçons hong-kongaises, ou encore des expatriés irrespectueux. Et bien sûr, sa cible préférée n'est autre que Jean-Claude Van Damme, avec qui le tournage de "Double Team" un an plus tôt avait été catastrophique. Tsui Hark se complait à humilier Mr. "Muscles from Brussels", faisant de lui un parfait idiot à l'écran, et allant jusqu'à lui faire fouetter l'arrière-train avec un poisson par Rob Schneider, ce de manière totalement gratuite ! Sauf que vengeances et moqueries ne suffisent pas à faire un bon film. Ici, presque tout est raté, et l'on ne sait jamais vraiment si "Knock Off" est un film sérieux vaguement humoristique, ou une grosse pantalonnade qui enchaîne les cascades. Le scénario à base de micro-bombes télécommandées implantées dans les jeans de contrefaçon (!) est ridicule. Les personnages sont trop nombreux et peu développés, si bien que l'on ne s'intéresse jamais à leur sort. Leurs acteurs n'ont d'ailleurs pas l'air très impliqués. Relevons tout de même que Rob Schneider est largement moins insupportable que d'habitude. Question réalisation, Tsui Hark semble ne pas savoir où donner de la tête, et enchaîne en permanence les idées les plus barrées pour cramer son budget. Mouvements de caméras expérimentaux et frénétiques, transitions branchées à travers des composants juste histoire de, montage bazaresque : la mise en scène des plus chaotiques ne parvient pas à donner un sentiment de continuité ou d'espace aux scènes d'action, qui en conséquence n'impliquent pas le spectateur. Restent quelques cascades sympathiques, mais c'est bien trop peu pour faire un film correct.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 085 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 août 2019
    Knock off n'a de sens dans la carrière de Tsui Hark qu'en le considérant comme un métrage de milieu de trilogie. Il faut en effet avoir vu la première escapade du réalisateur hong-kongais en Amérique, Double Team, et son retour en terres natales, Time and Tide, pour mesurer toute l'étendue du bras d'honneur qu'il a lancé au système hollywoodien, voir au cinéma en général, au travers d'une oeuvre qu'on pourrait qualifier de volontairement idiote au propos des plus intelligents.

    Se servant de la bêtise de ses personnages et de la banalité de son scénario comme principal argument de vente (avec la présence d'un Van Damme rendu, sûrement volontairement, complètement écervelé), Tsui Hark emploie un belge et un américain pour jouer les deux rôles principaux, occidentaux montrés comme hilares, simplets, incapables de piner le scénario qui se profile à l'horizon.

    Le rôle explicatif, de découverte des éléments importants de l'intrigue reviendra la plupart du temps aux natifs d'Hong Kong, essentiels à la bonne compréhension et, forcément, conclusion de l'intrigue. Nos amis américains (notamment interprété par un belge en plein surjeu, comme à l'accoutumée) serviront seulement de prétexte pour nous livrer des scènes de combats excellentes (avec une extraordinaire gestion des décors, en témoigne la superbe séquence du cargo à container, gérée de main de maître par un Tsui Hark revenu du désastre Double Team) et des coupures humoristiques pas toujours très fines (la course en pousse-pousse reste un sacré moment de vannes lourdes), à l'image de leur personnalité de magouilleurs.

    Ce n'est d'ailleurs pas pour rien si le film se nomme Knock Off : terme signifiant contre-façon en anglais, Piège à Hong Kong (de son titre français à côté de la plaque) se base, premièrement, sur les pastiches de marques célèbres, entre le mal défini et le mal orthographié, nos deux comparses américains tendant de rendre l'arnaque. On pourrait y voir une sorte d'amusement de la part de Tsui Hark, réalisateur révolutionnaire de nombreux films de sabres et de kung-fu devenus, dès leur sortie, des pierres angulaires du genre, qui va filmer un Jean Claude Van Damme la carrière en chute libre, et qu'il pourrait considérer, à juste titre, comme une contre-façon des grandes stars du combat et des films d'action qu'à pu livrer au monde le cinéma Hong-Kongais.

    Ce n'est peut-être pas pour rien si le film décide de le rendre béat, seulement bon à se battre : n'est-ce pas là tout ce que l'on demande à l'interprète, de se battre sans jouer? Van Damme n'étant pas connu à l'époque pour ses prouesses d'acteur (ni même maintenant), le recul de Tsui Hark sur la carrière et la personnalité de son acteur principal imposent le respect, au point qu'il ira jusqu'à le tacler, à mainte reprise, sur sa personnalité d'actioner à toute épreuve.

    A ce sujet, c'est au moment de l'indépendance de la ville natale de Tsui Hark que vient s'ajouter un deuxième axe d'analyse : Knock Off, s'il critique le cinéma américain, les cinéastes hong-kongais qui se vendent à l'Oncle Sam et son acteur principal, se situe également à une période charnière de la carrière de son réalisateur. Dégoûté de son expérience en Amérique avec Double Team, il livrera ici son testament outre-atlantique, avant de retourner dans son pays pour réaliser Time and Tide, et donner une nouvelle leçon de cinéma aux nouvelles générations.

    On pourrait donc considérer Kock Off comme le film de l'indépendance pour son réalisateur : livré à un monde occidental étranger, malmené par des studios incapables de baisser leur contrôle pour laisser s'exprimer toute sa personnalité de metteur en scène, il livre ici une critique fantastique d'un système de production reproduisant des pastiches de ses anciens succès, avec toujours la même recette copiant les maîtres étalons du genre, sans rien apporter d'autre au spectateur qu'un divertissement porté par une star qui leur est chère, avec un quota d'explosion écrasant le peu d'enjeux qu'on pourrait y trouver.

    Le plus dans tout ça, c'est Tsui Hark qui déclare son indépendance comme en introduction de film, se barre aux chants d'honneur pour faire, directement ensuite, l'un des meilleurs films d'action de sa carrière. Prodigieux !
    GrandSephiroth
    GrandSephiroth

    60 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 février 2019
    Deuxième collaboration avec Tsui Hark, Piège à Hong Kong place Jean-Claude Van Damme en agent de la CIA appelé Marcus Ray, camouflé en représentant d’une marque de jeans pour déjouer un complot de la mafia russe visant à placer des micro-bombes sur le marché international. Pire que dans Double Team du même réalisateur, il fait équipe avec Tommy Hendricks, sous les traits d’un Rob Schneider (Maman j’ai encore raté l’avion, Demolition Man, Judge Dredd) d’un comique irrésistible avec sa VF de Jim Carrey exploitée à fond. Car dans ses airs de nanar assumé dès ses premières minutes avec des plans de caméra qui virevoltent et un jeu d’acteur qui ne se prend absolument pas au sérieux, Piège à Hong Kong est en réalité une satire des films hollywoodiens de l’époque qui peut se résumer au titre originel du film. En effet, « Knock off » signifie « contrefaçon », d’une part pour faire écho aux faux vêtements dans lesquels les terroristes cachent les micro bombes, mais surtout dans le but de considérer le film lui-même comme une contrefaçon des clichés de l’action américaine, jusque dans ses personnages qui ne sont en réalité jamais dans le camp qu’ils semblent être.

    Fidèle à Double Team, Tsui Hark continue d’expérimenter de nouvelles façons de filmer avec des plans toujours plus curieux, entre l’intérieur des appareils électroniques, des ralentis douteux provoquant parfois des déplacements flous, l’œil visible depuis la chambre d’un revolver, une éjection d’un véhicule transperçant curieusement un mafieux contre une barre de fer dépassant d’un mur, un pied en vue subjective qui rentre dans une chaussure ou encore Van Damme qui glisse tranquillou sur le sol mouillé en tirant sur ses adversaires. Si l’héroïne Karen Lee s’en sort plutôt bien, les autres personnages centraux n’ont pas vraiment de charisme, notamment le véritable chef des mafieux joué par Paul Sorvino (Les Affranchis, Dick Tracy). Cinématographiquement calamiteux, le film reste succulent à suivre pour son too much omniprésent, toute scène d’action étant prétexte à des cascades improbables saccageant tout sur leurs passages, avec de nombreuses explosions de flammes vertes pour faire joli. Restent quelques chorégraphies de combat assez inventives et une VF qui a son lot de belles répliques. Du certifié Karim Debbache comme on les aime !
    pierrre s.
    pierrre s.

    443 abonnés 3 312 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 juin 2021
    La mise en scène de Tsui Hark est complètement dingue et son cocktail action /humour, réussi à nous divertir. Malgré un scénario abracadabrantesque, et des acteurs qui jouent souvent en roues libres. Pas vraiment un film calibré "Van Damme " mais plutôt une expérience cinématographique.
    7eme critique
    7eme critique

    540 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 septembre 2014
    C'est vraiment pensé, écrit et tourné à la va-vite. "Piège à Hong Kong" jongle entre l'enquête et la comédie pour finalement donner la recette du "ridicule". Ce n'est pas dans ce genre d'exercice que l'on attend (attendait) Van Damme même si la légèreté du film le rendra un peu plus divertissant et tout public, et encore...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 6 juin 2014
    ridicule ou ridicule, j'hésite pas : ridicule . Un peu de gags mais c'est de la bouffonnerie
    g0urAngA
    g0urAngA

    85 abonnés 1 735 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mars 2014
    La Chine est à la veille de reprendre possession de Hong Kong. Marcus Ray (JCVD), tente de faire échouer un groupe de terroristes chinois qui veulent semer des micro-bombes à travers toute l'Amérique.

    Tsui Hark livre ici une jolie claque d'une force inédite, figurant probablement dans le top 5 des meilleurs Van Damme.

    À travers une caméra monstrueuse qui s'engouffre partout, proposant une idée par plan, le film est sans conteste un très bon divertissement ...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 31 janvier 2014
    Amis des nanars, bonsoir! A la vue des critiques et sachant que Steven de Souza était de la partie (à qui l'on doit certes le scénar des 2 premiers Die Hard, mais aussi la réalisation de Street Fighter) je me préparais à affronter un gros nanar plutôt indigeste... Mais Ô surprise, Tsui Hark nous a pondu un bon p'tit nanar sympa et agréable à regarder! Alors certes, ça casse pas 3 pattes à un canard, mais il y a de l'idée, un scénario plein de rebondissements à base d'agents doubles et de trahisons, et plein de combats dans un style très Jackie Chan. Profitant d'un budget confortable, Tsui Hark s'est amusé comme un ado pour essayer plein d'effets de caméra et de SFX, novateurs à l'époque, qui donnent au film un côté artisanal et expérimental. L'humour n'est ni trop ni pas assez lourdingue pour tout bon film d'action/kung-fu hongkongais qui se respecte, et voir JCVD se démener dans tous les sens pour survivre, entre le héros bad-ass et un personnage de Tex Avery est un vrai plaisir. Van Damme est un bon acteur, il lui faut juste un bon réalisateur qui sait tirer parti de son potentiel, et les hongkongais sont les meilleurs sur ce coup là... (Je pense à l'excellent Chasse à l'Homme de John Woo). Bref, ce Piège à Hong-Kong est un bon divertissement qui aurait pu aller plus loin dans le délire et l'action, mais on retiendra une course de pousse-pousse burlesque et spectaculaire, un trio comique qui remplit son contrat et un scénario plutôt alambiqué, et ça, ça mérite bien 3 étoiles.
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