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tomPSGcinema
750 abonnés
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1,5
Publiée le 20 mars 2017
Alors que tout le monde l'imagine mort, Jason Voorhees s'échappe de la morgue et revient évidemment à Crystal Lake pour y perpétrer un nouveau massacre... Voilà pour l'histoire de ce quatrième opus qui s'avère bien peu passionnant à suivre. L'histoire se trouve être bien vite ennuyeuse, les scènes de meurtres ne font pas vraiment sursauter et le casting est franchement moyen. On notera tout de même la présence de maquillages plutôt bien conçu de la part de Tom Savini, mais cela n'est évidemment pas suffisant pour nous faire passer un bon moment de cinéma d'horreur.
Episode final, ce dernier clôture la saga de l'histoire originale, à savoir le monstre sorti de l'eau. On retrouve donc une nouvelle fois notre ami qui, après être ressuscité dans une suite de la scène finale du 3, s'évade de la morgue (à coup de scie chirurgicale) et revient dans ses bois près de son Crystal Lake. Il décide alors de décimer la population de deux maisons voisines des bois accueillant une famille et un groupe de jeunes fêtards. Les courses et les meurtres entre les deux maisons commencent alors... Action, érotisme, horreur, tout est au rendez vous pour un épisode fort réussi. La fin laisse entrevoir une suite mais dans une nouvelle sorte de saga... Un bon moment dans le style!
Passons le moment où Jason ressuscite on ne sait pas comment et on revoit alors le même film que les trois premiers. Des jeunes qui pensent sexe se font trucider un par un. Les meurtres sont originaux. Ce n est pas un grand film mais un des mieux de la série .
Après deux mauvaises suites, Steve Miner lâche enfin l'affaire et laisse place à Joseph Zito qui arrive enfin à donner un second souffle à la franchise. Ce 4e volet n'a rien d'original puisqu'il reprend une fois de plus le même concept, c'est d'ailleurs dommage de commencer l'histoire à l’hôpital pour encore faire le film au même endroit, mais il a au moins le mérite d'être divertissant ce qui n'était pas le cas des deux précédents avec un bon rythme, des meurtres violents et bien gores, le retour de Tom Savini dans ce secteur n'est surement pas étranger à cela. C'est pas la grande révolution mais c'est déjà pas mal.
Pour ce 4ème volet, les scénaristes à court d'idée reprennent le même concept que les films précédents : de jeunes étudiants lubriques partent virée à Crystal Lake, et se font tailler en pièce par un tueur, Jason (qui a remplacé sa maman depuis le 2ème volet). On touche le fond côté intrigue, car les meurtres de ces jeunes gens servent uniquement de remplissage, les héros du film étant en fait des voisins. A côté, la mise en scène est effroyablement plate. Les tueries, très prévisibles, surviennent toujours avec le même gimmick de montage (un meurtre graphique et brutal en gros plan), et sont aussi intéressantes que les personnages, profondément stupides. Ceux-ci sont interprétés de manière peu inspirée (au mieux) voire hilarante (au pire). Quant à Jason, il tient plus ici du pataud en masque de hockey que du boogeyman redoutable. Ainsi, ce "Final Chapter" ne relève pas le niveau de la saga, et, contrairement à ce que le titre tente de vendre, n'en est pas du tout la conclusion (on n'en est même pas à la moitié de la franchise !).
Jason est de retour dans cette épisode après qu'on pensait qu'il etait mort. On retrouves un Jason plus énergique que dans les épisodes précédent et toujours aussi sanglant. Pas de nouveautés par contre du point de vu scénario.
0sur5 Quatrième round pour le légendaire Jason Verhoees et pas de surprise, c'est toujours le degré zéro de l'originalité et de l'inventivité. Prétendument ''Chapitre Final'', ce nouvel opus est réalisé par l'affligeant Joseph Zito, réputé pour ses nanars mettant en vedette l'innérable Chuck Norris [la mise en scène est encore un peu plus accablante, d'une aberration spectaculaire coupant toute envie de ricaner : tout est souligné jusqu'à la mort, chaque micro-propos, en particulier ceux qui ne permettent aucun progrès au récit, est confirmé par un faciès pris en gros plan ; et puis ces ralentis et cette musique ''implacable'']. Après la 3D, le leitmotiv destiné à faire saliver l'auditoire est maintenant l'heure des règlements de compte avec la mythologie ; c'est en tout cas ce que le titre laisse entendre.
Mais il ne faut pas vingt secondes pour comprendre que rien n'a changé et qu'aucun progrès ne se manifestera. Fidèle aux recettes de la franchise, le film se pare d'un scénario niaisement tarabiscoté alors qu'on-ne-peut-plus-creux, d'acteurs insipides, d'une mise en scène racoleuse, balourde et bourrine. Surprises qui n'en sont pas et sursauts convenus à l'appui. Ce n'est que meurtres à tout-va, cris et magnifiques passages contemplatifs ou les personnages courent dans un espace-temps ou chaque seconde ressemble à une heure de gueule de bois. Entre deux meurtres donc, de très longs intermèdes passés à décrire avec un sens analytique déconcertant les tribulations de teen ''dévergondés'' ; c'est l'occasion d'une surenchère dans l'érotisme beauf, plus présent que précédemment. Reconnaissons que les acteurs embarqués ici se démènent parfois suffisamment pour laisser supposer quelques talents manifestes (pour eux, la compassion est au rendez-vous).
On en est donc à un stade ou on préfère, d'une façon ou d'une autre, les pures scènes de slasher, de violence gratuite, leur ridicule nous épargnant alors l'ennui abyssal occasionné par des scènes de vie quotidienne ou d'humour de campus purulent. Et justement, c'est là que, pour les fans, la mise est sauvée, puisque Vendredi 13 n°4 compte quelques armes et assassinats ''cultes'' de la saga (la scène de la scie, puis celle de la banane...). Les puristes se réjouiront de voir Jason trouver un adversaire à sa mesure (le gamin geek et ses masques de monstres – parfait modèle d'identification pour les boutonneux), ennemi promis comme solution de secours au cours ou cette fin serait, non seulement la première comme on s'en doute, mais aussi, contre toute attente, la dernière de Jason. A noter également le cultissime final ou Jason tombe le masque... et c'est monumental.
On prend les mêmes ingrédients et on recommence sauf que c'est avec toujours autant de jubilation et d'hystérie que l'on retrouve notre tueur au masque de hockey.
Ce quatrième épisode semblait clôturer la saga qui avait perdu de son intérêt lors du dernier opus (le 3ème). Deux mauvaises nouvelles : la première c’est que le film est encore une fois très mauvais et dépourvu d’une quelconque touche d’originalité. La seconde nouvelle, c’est que ce n’est pas terminé.
Un bon opus, celui ou Jason revient en mort-vivant pour la première fois, après sa première mort à la fin du III (oui il faut suivre). Sa deuxième mort l'attend à la fin du film (oui Jason est un être exceptionel)... Un peu plus de nouveautés au niveau du scénario ne feraient cependatn pas de mal. De plus, comme ses prédecesseurs, le film souffre d'un manque de rythme à cause de son âge grandissant.
Bah, on croirait que le scénario a été écrit pas un scénariste de film "érotique"... Non pas qu'il y ait beaucoup d'érotisme dans ce Vendredi 13 mais si l'on s'attend à du hard bien dégueux on peut passer son chemin. Ça titille (très légèrement, bouh j'ai peur) mais ça ne montre rien (à part peut-être la scène finale un peu plus énervée que les autres). On n'est pas dans un film gore, certes, on est dans un slasher. Mais quand c'est bien pourri, c'est bien pourri. Les meurtres sont toujours aussi mal filmés et mal foutus et trop rapidement exécutés, et le scénario ne change pas d'un iota par rapport aux précédents chapitres. Ça fait mal.
vendredi 13 chap 4est comme tous les autre violentet sanglant.Le producteur a introduit un peu de sexe ce qui nous deplait pas,sa donne un peu plus de punch au film .Rien a dire !!