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stallonefan62
287 abonnés
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3,0
Publiée le 8 décembre 2021
un 4ème opus qui ne fait pas dans la dentelle avec un Jason qui enchaine les meurtres les uns après les autres !! Des meurtres toujours aussi sanglants et violent !! Vue la fin , c'est fini pour Jason mais à l'instar d'un Mickael Myers il reviendra ...
Suite des trois premiers, revoilou Jason venu trucider du jeune. Pour une fois le scénario est inventif et on assiste à des jeunes plus bêtes les uns des autres faire la file indienne pour manger de la machette. On essaye vaguement de changer la recette avec le personnage de Rob, spoiler: venu fracasser le tueur de sa sœur avec un fusil
à plomb et un couteau . Bonne chance Rob. Le gamin est insupportable, spoiler: la scène de voyeurisme à sa fenêtre est finement jouée . Rien de neuf ici, les meurtres sont toujours les même, les voitures tombent toujours en panne pour la magie du scénario et heureusement que c'est le dernier, le chapitre final...
LE VEILLEUR DE NUIT. Le coup du masque ok. L'emblème d'une grande figure déformée du cinéma d'horreur dans un chapitre ou l'objectif est d'envoyé la rondelle dans le camps adverse.
Les slashers a la trame binaire et redondante ont eu leur succès à l'époque dans les vidéo clubs, d'où les multiples épisodes de la présente saga (dont les meilleurs sont pour rappel le 2, le 6 et le 9), réservés aujourd'hui à une poignée de nostalgiques ou de fans avertis. Le présent opus nous narre une fois de plus les mésaventures d'un groupe de jeunes vacanciers en goguette se faisant trucider par le croquemitaine hockeyeur, revenu à la vie on ne sait comment (il n'est officiellement "mort vivant" qu'à partir du sixième épisode). Le petit charme du film est dû à l'ambiance typique des Vendredi 13: la forêt et le lac en mode nocturne, les meurtres sanglants, les sursauts toutes les cinq minutes et bien évidemment les nymphette souvent dénudées qui ajoutent un attrait pour attirer le spectateur.
Vraiment mauvais. Mauvais dialogues, ambiance pâteuse et meurtres inintéressants. Même la suggestion est mauvaise. Il n'y a pas vraiment d'humour non plus et les personnages masculins sont presque tous mauvais. Il n'y a que les 20 dernières minutes qui ne sont pas trop mal. Un peu cinglé, le gamin !
Dans cet opus, on retiendra surtout le panel de problèmes neurologiques que présentent les personnages, qui pourraient faire une belle étude de cas anthropo. On a le Lent, qui comprend tout trois plombes après (alors qu'il se fait lacérer à la machette par Jason : "AAAAH il va me tueeeeer...", non seulement c'est déjà ce qu'il fait, mon gars, mais il valait mieux tenter de fuir plutôt que de beugler cette phrase, non ? Ça valait le coup ?), la Nunuche qui passe par toutes les fenêtres et les murs possibles (le décorateur a certainement pris une année sabbatique en voyant son travail partir en confetti par une gourde bruyante à grande poitrine) et le Psychopathe : le gamin qui trouve logique de spoiler: se tondre à la va-vite - tandis que tout le monde se fait tuer dans la maison - pour ressembler à Jason jeune et l'apitoyer, pour mieux le dégommer salement ensuite (???... élu plan foireux de l'année, on ne comprend même pas que ça marche, encore plus tordu que la fin du 2 qui tentait ça avec la mère de Jason via un vieux pull miteux et une voix rocailleuse... Vraiment, nos scénaristes ont du talent, et quand on repense au gamin qui s'éclate à jouer de la machette, on sait que le film veut nous lancer sur une piste (casse-gueule) de successeur de Jason (ce à quoi on a plutôt envie de dire : "Lâche ça, fiston, et prend un Xanax"). De l'ensemble, on a l'impression d'avoir moins vu Jason que d'habitude (mais peut-être n'est-ce qu'une impression), au profit de toujours plus femmes dénudées (ce qui nous fait soupirer, outre la maigreur de ce genre d'argument de vente pour attirer le chaland, à quand les hommes aussi ? Toujours pareil...). On ne sauve pas grand chose de ce quatrième opus, si ce n'est le côté drôle (totalement malgré lui) de la fin qui se lâche dans le n'importe quoi scénaristique. Un Lent, une Nunuche, un Psychopathe, et des boobs, si c'est ce que vous cherchez, ce Chapitre final devrait cocher toutes les cases.
Un opus au scénario un poil plus développé et un Jason revenu des morts qui tue tout ce qui passe devant lui sans distinction, comme à l'accoutumée. Pour les friands du genre.
Un chapitre final qui n'en est pas un, bien sur, puisque la saga Vendredi 13 en est aujourd'hui à 13 épisodes. Ce quatrième volet est bien, malgré des dialogues navrant et un scénario répétitif. Mais bon, on ne demande pas ce genre de chose lorsqu'on regarde un slasher. Heureusement, Jason est toujours aussi classe et ses exécutions toujours aussi inventives et violentes, mention spéciale à celui qui passe à travers la double fenêtre. Très spectaculaire!
Les scénaristes ne se fatiguent pas beaucoup puisqu'on assiste en gros au même film pour la quatrième fois consécutive (la troisième si l'on excepte le premier volet où Jason n'était pas encore le tueur). Au programme : des jeunes qui font un week-end alcool et sexe et qui se font joliement trucider. Il faut le reconnaître, et c'est la meilleure qualité du film, les meurtres sont plutôt cool !
4e film de la saga Vendredi 13 aussi inoubliable que ces prédécesseurs. Raté dans son ensemble avec un film soi disant horreur, ou film de romance proche de 50 nuances de Grey. Film mauvais
C'est vraiment l'installation sérielle du genre slasher dans son acmé qui se met en place ici et c'est vraiment chouette à voir. Ouverture d'un nouveau cycle avec l'arrivée du gamin Tommy qui va, de ce que je sais, lutter régulièrement contre Jason dans les épisodes à venir. Il devient le pendant positif de Jason dans cette série.
Le troisième opus restera mémorable pour deux choses : tout d'abord du fait qu'il a fait descendre la saga bien plus bas qu'on ne pouvait l'imaginer, puis c'est par ce film que Jason obtient son mythique masque. Et avec un film qui se terminait par sa mort, cela n'a pas empêcher les producteurs de le faire revivre pour un quatrième film, tout aussi ridicule que les précédents (situations, scénario, acteurs). Par contre, il faut bien admettre que ça été amélioré du côté des effets spéciaux et de la mise en scène. De ce fait, ce quatrième Vendredi 13 égale presque le premier et s'avère être un des films les plus potables de Jason Voorhees.
On est encore en présence d'un slasher stupide. Si les 2 premiers n'étaient que de bons slashers sans aucune intelligence mais avec une envie de plaire au public réellement convaincantes, le troisième opus était un slasher novateur, un peu répétitif, mais sacrément soigné, que ce soit chez les acteurs, ou chez les techniciens, qui avaient élaboré une 3D primitive, mais novatrice.
Le quatrième opus, réalisé par Joseph Zito, qui réalisera ses "gros projets" plus tard, dont une version de Spiderman jamais finie, retourne sur le terrain des deux premiers Jason, sans grand talent, mais pas mal quand même, et arrive à nous sortir un produit de série plutôt satisfaisant. Le chiffre 4 étant un bon nombre pour les slashers d'habitude, celui-là ne déroge pas à la règle, doit beaucoup au duo Lawrence Monoson - Crispin Glover. En revanche, pour les non-initiés, ou non fans de slashers, ces derniers risquent de s'ennuyer terriblement, le film étant vraiment sans surprise.
Corey Feldman nous offre une jolie prestation pour son premier film.
Déjà le quatrième épisode de la saga Vendredi 13 et on parle d’un chapitre final alors que de nombreuses suites ont vu le jour. Toujours à Crystal Lake, Jason est amené dans une morgue avant de s’y échapperspoiler: après avoir liquidé les deux médecins qui copulaient près de son cadavre. Une famille s’installe dans son ancienne maison de vacances et plusieurs jeunes se rencontrent pour faire des folies. En effet, le film se plaît à balancer des clichés sur des jeunes de vingt ans maximum avec des doublages juvéniles, des filles qui en veulent au point d’aller se baigner les seins à l’air et des mecs prêts à tout pour coucher et parler de fesse, sans oublier le film en noir et blanc sur rétroprojecteur, censé être porno alors qu’on n’y voit rien du tout.
La structure du film reste très classique avec meurtre sur meurtre et un Jason ayant toujours le goût de la mise en scène. Le gamin Tommy Jarvis (joué par Corey Feldman, notamment connu pour Les Goonies et Stand by me) semble fasciné par ce genre de tueur en série étant donné tous les masques et accessoires qui décorent sa chambre. La dernière séquence est d’autant plus étonnante spoiler: lorsqu’il décide d’affronter Jason pour sauver sa sœur en se rasant totalement le crâne (avec un simple rasoir jetable…) et en parvenant à retenir son attention comme si c’est sa mère qui lui parlait. On voit cette fois-ci très clairement le visage de Jason, tout déformé et boursouflé comme un zombie monstrueux. La fin est d’autant plus troublante avec son regard jeté en plein écran, spoiler: comme s’il allait devenir aussi psychotique que lui après l’avoir violemment achevé au sol. Affaire à suivre…
Jamais dans un film d'horreur je me suis autant demandé "mais pourquoi il fait ca?pourquoi elle va la?Pourquoi elle revient ici?". Quelques meurtres plutôt inventifs ne changeront pas la donne : la saga s'est déjà essouflée, et il ne reste plus que les miettes. Et que dire de l'insupportable petit Tommy, dont on ne sait quelle mouche l'a piqué lorsqu'il décide de spoiler: se raser la tête pour ressembler à Jason enfant? . Ca n'a ni queue ni tête, ou tout du moins c'est très mal développé.