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Chris46
512 abonnés
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4,0
Publiée le 15 janvier 2016
" le huitième jour " trés bonne comédie dramatique de jaco van dormael . C'est l'histoire de harry ( Daniel Auteuil ) un homme désésperer dans sa vie suite à son divorce qui ne vit désormais plus que pour son travail . Jusqu'au jour où il fait par hasard la rencontre de George ( Pascal duquenne ) un trisomique qui c'est échapper de l'institut ou il vivait . Harry va devoir tant bien que mal devoir s'occuper de Georges ... " le huitième jour " est une trés bonne comédie dramatique signé jaco van dormael . Ce film est un très beau film sur la différence qui allie à merveille rire et émotion . L'histoire est prenante et captivante celle de Harry un homme désespérer dans sa vie suite à un divorce qui va faire par hasard la rencontre de George un trisomique qui c'est échapper de l'institut où il vivait . Il va devoir s'occuper de lui bien malgré lui mais s'occuper d'une personne handicaper n'est pas une chose facile et il va en faire les frais ce qui va donner lieu à quelques moment assez drôle ( la scène hilarante avec le camion ) . Les deux hommes vont finir par se lier d'amitié et se réconforter l'un l'autre de leur vie désesepérer l'un suite à son divorce avec sa femme et l'autre qui se sent rejeter par la société et qui a de plus en plus de mal à accepter sa différence ce qui va donner lieu à des moments vraiment touchant et émouvant . Le film est une trés belle histoire d'amitié sur deux hommes très differents l'un de l'autre qui n'aurait jamais dû se rencontrer mais que le destin va pourtant réunir . Une histoire touchante qui nous fait vraiment réfléchir nottamant sur la place des trisomiques dans notre société qui les rejette totalement . Daniel Auteuil est très bon dans le rôle de Harry ce type complètement désespérer dans sa vie qui va trouver un peu de réconfort grâce à George ce jeune trisomique qu'il a croiser sur son chemin superbement bien interpréter par Pascal dusquenne qui va lui aussi trouver du réconfort dans sa vie grâce au personnage de Daniel Auteuil. Le duo Daniel Auteuil / Pascal dusquenne fonctionne à merveille . Tout les deux reçurent d'ailleurs un prix d'interprétation plus que mérité à canne pour leur interprétation dans ce film . Le film est ponctuer par des chansons de Luis Mariano qui collent à merveille avec l'ambiance de ce film et qui donne au film un ton poétique originale et très agréable par moment . Un film qui n'a pas pris une seul ride 20 ans après sa sortie tant les choses développer dans ce film sont toujour autant d'actualité et que la sociétê et les mentalités n'ont pas vraiment évoluer depuis . Un trés beau film qui connu un beau succès en salle en 1996 ( il y a 20 ans déjà ) .
"Mettez toujours deux personnes identiques ensemble. Seule la différence choque" Le décor est planté. C'est filmé comme un film d'amour. La rencontre. Le temps passé ensemble à se connaître, les longs plans sur la nature et la musique douce. Mais c'est plus que ça. C'est apprendre à aimer son contraire: celui qui a oublié de regarder autour de lui et celui qui est toujours tourné vers autrui et qui aime la beauté de l'instant. Vraiment beau film à la fin terrifiante sur l'acceptation de soi.
Tout est simple et déphasant dans ce film. Un homme qui vit 7 jours sur 7 la même journée rencontre un handicapé mental un soir de pluie arrêté sur la route. Ensemble, ils vont devenir inséparable et plus aucun jour ne ressemblera au précédent. Beaucoup d'humour dans cette comédie pourtant dramatique.
"Le huitième jour" distille un bon mélange de tristesse et de joie mais toujours de manière poétique. La touchante histoire nous donne une véritable leçon de vie, subjuguée par une réalisation impeccable et des acteurs qui le sont tout autant.
Un film superbe, un conte moderne. Le huitième jour est une œuvre rare. Loin de vouloir de près ou de loin raconter la vie d'un "trisomique" comme quelques malheureux l'on cru ou le croit encore... C'est surtout du personnage campé par D. Auteuil dont il s'agit ! Et s'il faut à chaque Harry un Georges pour le réveiller de sa torpeur, ainsi soit il ! La poésie et l'amour qui s'en dégage, l'interprétation, ce film est superbe.
Un film plein d'émotion porté par deux acteurs exceptionnels. Pascal Duquenne est très touchant et donne envie d'y croire. Même si le scénario est simpliste, il a le mérite de ne jamais nous embarquer dans le pathos. Mieux encore, la morale offre une certaine ouverture d'esprit non négligeable : celle d'accepter la différence de l'Autre.
En fait ça aurait du s’appeler « Enfin ». Oui enfin un bon film français, enfin on traite convenablement d’un thème aussi important que l’handicap, enfin on y mêle le sujet de la tolérance sans l’exagération et la lourdeur US, enfin on embauche un acteur concerné par cette différence génétique et enfin on a une production généralement réservée aux élites et/ou aux œuvres d’auteurs qui s’adresse au plus grand nombre sans pour autant s’avilir. J’ai revu « Rain Man » d’ailleurs entre-temps et je trouve que « le 8ème jour » ne lui est pas grandement inférieur. Déjà ce n’est pas un copié-collé, puis on n’a pas la même différence. Par contre on a là aussi 2 très bons comédiens : un Daniel Auteuil très juste dans sa prestation, tout en mesure et finesse, il joue vraiment un rôle ce qu’il ne fait pas toujours. Quant à Pascal Duquenne on voit qu'il est un artiste à part entière, pas là pour n’évoluer que sur la corde sensible et émouvoir. Double prix d’interprétation à Cannes, pour une fois qu’ils se gourent pas les pontes du cinoche là, faut croire qu’avec un Coppola comme président on est plus clairvoyant. De plus l’histoire est très bien trouvée, la musique remarquable (moins que Rain Man mais bon, c’était Hans Zimmer), les dialogues recherchés, les longueurs peu nombreuses, la trame est certes un peu connue mais sans que ce soit gênant et le montage très clair. Certains trouvent ça facile, mais je note que personne d'autre n'avait tourné cela, et que les bons films sont notamment faits pour montrer certaines valeurs oubliées. Depuis on ne retient qu’ « Intouchables » avec ce thème, lui aussi bien réalisé, et ce fut tout autant un plébiscite, comme quoi…
Un cadre divorcé délaissant sa famille rencontre un trisomique, et sera changé par la vision du monde de ce dernier. "Le huitième jour" est avant tout une belle histoire d'amitié, entre deux hommes que tout oppose. Pascal Duquenne récoltera d'ailleurs un prix à Cannes pour son rôle touchant. Jaco van Dormael nous livre en outre de nombreux moments poétiques, en s'autorisant notamment quelques audaces visuelles. Mais le film aborde également un sujet plus sérieux : la difficulté pour les handicapés de vivre dans une société qui les rejette en permanence, le plus souvent par conventions sociales. Une solide comédie dramatique.
Drame poignant et sincère réalisé par le metteur en scène belge Jaco Van Dormael, Le huitième jour est un long-métrage incroyablement touchant. C'est aussi et surtout une première en matière de direction d'acteurs puisque l'un des deux rôles principaux est attribué à Pascal Duquenne, un acteur trisomique. Malgré sa condition, l'acteur arrive à nous faire rire, pleurer, à nous émouvoir à chaque scène grâce à un talent fou, dirigé d'une main de fer par Van Dormael. À ses côtés, Daniel Auteuil : impérial, majestueux, au sommet de son art, tout en naturel et en sympathie dans le rôle de cet homme normal qui voit sa vie chamboulé par l'arrivée de ce trisomique un brin gaffeur mais surtout terriblement attachant. Une comédie dramatique forte, puissante, tirant les larmes des yeux grâce à une histoire simple et des situations aussi tristes que drôles. Un grand bravo et un Prix d'interprétation masculine amplement mérités au Festival de Cannes 1996.
« Le 8ème jour » est une fable magnifique qui parle de liberté, de tolérance, de différence et d'amitié avec une classe folle. Le réalisateur Jaco Van Dormael s'amuse à confronter un cadre d'entreprise dynamique, stressé et dépressif avec un jeune trisomique rêveur, perdu dans un monde qui va trop vite pour lui. Cette rencontre improbable transforme peu à peu les deux personnages qui puisent, l'un chez l'autre, les forces de poursuivre un parcours jusqu'alors bien mal engagé. De leurs différences naît une grande force qui se transforme en amitié au fil d'un parcours initiatique semé d’embûches, dans une sorte de « Forrest Gump » à la Française. Du rire aux larmes, en passant par une tendresse et une complicité visiblement sincères, les deux acteurs nous font passer en revue toute la palette des sentiments humains avec un talent indiscutable qui leur vaudra de partager le prix d'interprétation masculine à Cannes en 1996. Ce n'est pas vraiment une surprise tant on connaît la valeur de Daniel Auteuil. Pourtant, grâce à un naturel et une authenticité hors du commun, Pascal Duquenne parvient à lui voler la vedette en étant simplement lui-même. Deux excellents comédiens au service d'un grand classique du cinéma, un point c'est tout.
"Le Huitième Jour"(1996),malgré son pitch révélateur,n'est ni une comédie loufoque,ni un drame pesant.On se situe plutôt dans le cadre de la fable onirique,qui œuvre à la compréhension mutuelle,au fait d'être ouvert à l'autre.Jaco Van Dormael aime les chemins de traverses.La rencontre entre Georges,cadre stressé et individualiste,et Harry,trisomique spontané et rêveur ne verse pas dans l'amitié béate et rieuse.Elle est l'occasion pour l'un comme pour l'autre d'évoluer au contact de la différence.Le duo entre Daniel Auteuil et Pascal Duquenne fonctionne très bien,même si c'est surtout le second qui épate par son naturel désarmant et sa joie de vivre communicative.Pas de jaloux,le prix d'interprétation fut partage au festival de Cannes!Le problème vient plutôt de la mise en scène,que j'ai trouve trop régulièrement hors sujet,entre les apparitions d'un Luis Mariano de pacotille,la réminiscence de la mère décédée ou les visions d'un paradis dans les nuages.Peut-être est-ce qui a emballé les autres,mais pas moi.De plus,les seules facettes montrées de la trisomie sont le rejet par les intolérants,et le bonheur qui découle de la naïveté enfantine.Il y avait tellement plus à dire!Enfin,ne faisons pas les difficiles...
Oui, c'est pas très gai, mais c'est très bien joué. Il y aura peut-être un double prix d'interprétation [A Cannes]. Ils sont très naturels l'un et l'autre [Daniel Auteuil et Pascal Duquenne].
Drame poignant et sincère réalisé par le doué metteur en scène belge Jaco Van Dormael.
Le Huitième Jour est un long-métrage incroyablement touchant. C'est aussi et surtout une première en matière de direction d'acteurs puisque l'un des deux rôles principaux est attribué à Pascal Duquenne, un acteur trisomique. Malgré sa condition, l'acteur arrive à nous faire rire, pleurer, à nous émouvoir à chaque scène grâce à un talent fou, dirigé d'une main de fer par Van Dormael.
À ses côtés, Daniel Auteuil, impérial, majestueux, au sommet de son art, tout en naturel et en sympathie dans le rôle de cet homme qui voit sa vie chamboulée par l'arrivée de ce trisomique un brin gaffeur mais surtout terriblement attachant.
Une comédie dramatique forte, puissante, touchante grâce à une histoire simple et des situations aussi tristes que drôles...
Le film qui vous permet de soulager votre mauvaise conscience, pour pouvoir dès le lendemain détourner de nouveau le regard lorsque vous verrez un trisomique dans la rue. Le tout, assaisonné de moments de tendresse aussi crédibles que Bush lorsqu'il défendait l'environnement, de quelques morceaux insupportables de Tino Rossi, et de scènes psychédéliques qui auraient probablement ravi Freud mais qui m'ont laissé bien perplexe. Et pourtant, le début était bon voire excellent. Mais à partir du milieu du film, on s'embourbe dans un ennui profond et un déluge de bêtise. "Oui mais c'est super bien joué, et puis c'est attendrissant, et j'ai pleuré, et..." : teuteuteu, rangeons les kleenex et retrouvons un peu de lucidité. Il y avait tellement mieux à faire sur ce sujet.
Le huitième jour est de ces films dont on attend rien et qui nous bouleverse du tout au tout, grâce à un magnifique duo d'acteur, des scènes touchantes et sincères qui nous vont droit au coeur. Une oeuvre pleine de générosité.