AlloCiné
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Une ravissante jeune américaine (Liv Tyler vraiment très très ravissante!) arrive dans une très belle villa de la très belle Toscane pour découvrir un secret et perdre son pucelage.
Le pucelage devient le sujet de conversation de toute la belle maisonnée de gens bien nés et bien beaux. (Dommage que la Française des jeux n'est pas été sur le coup pour les paris)
Affligeant. Tout cela sonne creux, vide, ennuyeux comme les conversations insipides de toutes ces belles personnes.
La vacuité à ce niveau devient quasi obscène.
Le ton s'allège un peu sur la fin, la profondeur pourrait affleurer quand les "veaux" quittent les lieux, mais une dernière niaiserie clos les 110 minutes.
Pourtant Liv Tyler est vraiment très très ravissante !!
Le pucelage devient le sujet de conversation de toute la belle maisonnée de gens bien nés et bien beaux. (Dommage que la Française des jeux n'est pas été sur le coup pour les paris)
Affligeant. Tout cela sonne creux, vide, ennuyeux comme les conversations insipides de toutes ces belles personnes.
La vacuité à ce niveau devient quasi obscène.
Le ton s'allège un peu sur la fin, la profondeur pourrait affleurer quand les "veaux" quittent les lieux, mais une dernière niaiserie clos les 110 minutes.
Pourtant Liv Tyler est vraiment très très ravissante !!
nul. le film est bourrée de situation banal: prend le métro, part manger, se balade dans la rue, mange avec ses potes dans un Diner (petit restaurant), de longues conversation pas intéressantes, les scènes dans sa maison. tu décroche très vite.
Je ne m'attendais à quelque chose d'intéressant ou d'inhabituel dans l'intrigue mais j'ai été très déçu. Toute la sois disant beauté que j'attendais de ce cette histoire m'a été volée. J'attendais sans raison que quelque chose d'important se passe mais cela s'est avéré un film long et ennuyeux. Liv Tyler joue le rôle d'une jeune fille de 19 ans nommée Lucy qui se rend en Italie pour apprendre l'identité de son père et perdre sa virginité mais à la fin je m'ennuyais trop pour m'en soucier et il ne fait aucun doute que tous les hommes sont prêts à l'aider à s'en débarrasser. Comme si c'était si simple n'est ce pas et ça l'était. Je n'ai pas du tout cru à sa performance car elle a agi comme une vieille professionnelle sans une once
d'expérience. Je n'arrive pas à croire que j'ai regardé tout ce film et qu'à la fin je me disais c'est tout et quel était le but de tout ça. J'attendais sans cesse de voir avec qui Tyler finirait par perdre la tête mais ce fut une autre grande déception car c'était avec quelqu'un qu'elle connaissait à peine et c'était un personnage mineur et insignifiant que l'on nous présente vers la fin du film. La scène de sexe n'était pas érotique elle était surtout ennuyeuse et irréaliste. Le seul personnage intéressant et rédempteur est l'homme mourant du sida joué par Jeremy Irons. Mis à part quelques beaux paysages italiens et quelques tendres vers de poésie ici et cela a été une grosse perte de temps pour moi comme d'habitude avec les films de Bernardo Bertolucci...
d'expérience. Je n'arrive pas à croire que j'ai regardé tout ce film et qu'à la fin je me disais c'est tout et quel était le but de tout ça. J'attendais sans cesse de voir avec qui Tyler finirait par perdre la tête mais ce fut une autre grande déception car c'était avec quelqu'un qu'elle connaissait à peine et c'était un personnage mineur et insignifiant que l'on nous présente vers la fin du film. La scène de sexe n'était pas érotique elle était surtout ennuyeuse et irréaliste. Le seul personnage intéressant et rédempteur est l'homme mourant du sida joué par Jeremy Irons. Mis à part quelques beaux paysages italiens et quelques tendres vers de poésie ici et cela a été une grosse perte de temps pour moi comme d'habitude avec les films de Bernardo Bertolucci...
Eric C.
Un film d'un romantisme absolu au charme un peu désuet avec une tension erotique permanente mais sans voyeurisme aucun qui suit l'éveil des sens d'une jeune américaine en vacances en Toscane entourée de vieux amis ou relations de sa mère, célèbre poète, décédée. Un environnement d'artistes, d'intellectuels, qui amènera la jeune fille à formuler l'évolution de ses sentiments et de ses pulsions. Une beauté esthétique absolue, languissante, avec le travail très subtil de Bertilucci qui magnifie les paysages ensoleillés de Toscane et s'attarde sur les corps, les postures, les visages, les mains, etc. Une ode à la beauté juvénile de la alors très jeune Liv Tyler, filmée et mise en valeur comme une muse, une vestale romaine, actrice envoûtante et sublime de beauté pour un film qui ne peut que laisser un certain émoi, une douceur, une sensualité, un bien être langoureux, poétique et romantique. Liv Tyler est accompagnée par un incroyable casting de gloires et talents du cinéma mondial, dans des seconds rôles mais qui par leur excellence la mettent encore plus en valeur alors qu'ils auraient pu l'écraser de leur présence. Ils forment un écrin pour accueillir ce joyau brut et déjà flamboyant qu'est Liv Tyler. Un très beau film par ailleurs assez troublant.
J ai toujours beaucoup aimé ce film.rien que pour les passages de musique au saxo ,très envoûtants et sensuels.pour moi c est le film idéal à regarder pendant les soirs d été,quand on sent une brise passer par la fenetre et venir nous caresser les sens lol On se laisse emporter par l ambiance langoureuse .Liv Tyler est fraiche et magnifique. J ai ete tres touchee par les scènes entre elle et Alex(Jeremy Irons),que je trouve beaucoup plus charmant et troublant que Nicolo car Alex est littéralement amoureux de Lucy qui le fascine mais il reste respectueux. Le film possède un charme envoûtant ,le charme des soirées d ete qui te font sentir dans un univers à part,ou on prend le temps d apprécier les plaisirs de la vie.Et oui,beaucoup d émotion au final également.
Il est bizarre ce film, cumulant le très bon, le surprenant et le pénible, et puis on ne sait pas trop ce que ça raconte, si ce n'est une dix-millième dissertation sur "l'amour, la vie, la mort", il y a bien deux fils conducteurs mais ils ne conduisent pas trop bien et à vrai dire on s'en fiche un peu. Alors ce qui énerve, ben c'est l'absence de tension, c'est Jeremy Iron et surtout cette compagnie d'insupportables bellâtres (je sais que c'est fait exprès, mais n'empêche). Côté positif, le casting féminin, toutes les femmes sont belles et talentueuses quel que soit leur âge, mais on est obligé de remarquer que coté bombe sexuelle, Liv Tyler malgré ses charmes est beaucoup moins piquante que la pétulante Rachel Weisz qui a la grande bonté de nous dévoiler sa jolie poitrine. Quelques très belles images, quelques nudités coquines, quelques audaces (dont une scène uro !). Mais enfin heureusement que c'est beau parce sinon…
Qu'il est étrange ce film....
Liv Tyler , sublime et touchante, à la fois si gauche et si sensuelle... inconsciente du désir qu'elle suscite chez chacun des protagonistes de l'histoire...
Et la Toscane et son érotisme brulant...
quel drôle de film.... mais quel chef d'oeuvre !
Liv Tyler , sublime et touchante, à la fois si gauche et si sensuelle... inconsciente du désir qu'elle suscite chez chacun des protagonistes de l'histoire...
Et la Toscane et son érotisme brulant...
quel drôle de film.... mais quel chef d'oeuvre !
Sous le soleil d'Italie, brille de mille feux la pureté de Liv Tyler, légère, pleine de vie, curieuse de grandir et de vérité. Le charme opère, entre naïveté et recherche de soi, l'adolescence prend fin parmi les regards des hommes qui succombent, un à un. Fragile, douce et honnête, elle éblouira certains jusqu'à leurs derniers souffles... Très joli film.
Premier film vu de ce réalisateur, envoûtant, grâce au magnétisme époustouflant de Liv Tyler, aux paysage magnifiques d'Italie mais aussi la délicatesse avec laquelle sont retranscrits l'ingénuité de la jeune Lucy, timide, émue par ses propres sentiments et désirs. Ce films semble rappeler des souvenirs d'été, les premiers amours, l' insouciance de la jeunesse succombant à la rêverie et au romantisme. L' attention portée aux peurs et doutes de Lucy, encore innocente, et à son caractère sauvage et fuyant, peut en rebuter certains, mais offre néanmoins beaucoup de réalisme à sa personnalité et à l'histoire. Certaines scènes dégagent énormément d'émotion : quand elle découvre qui est son véritable père, où ses moments de complicité avec Alex, l'écrivain, et cela juste à travers quelques mots et quelques gestes. C'est ainsi pour le reste du film, qui dépeint avec justesse les relations humaines, les relations de couple, et la seule violence qu'il contient vient des personnages exprimant leur désirs ou leurs jalousie (Miranda et son mec). Un film émouvant et drôle par moments montrant la sensibilité et la fragilité les de ses personnages avec humanité.
Avec une Liv Tyler ingénue dans le rôle titre, et Jeremy Irons au générique, je pensais à quelque chose de sulfureux. L’éveil du désir dans le creux des riens de la petite gourde, peut-être. Mais j’ai vite déchanté. Déjà , Irons, on ne le voit pas tant que ça. Le début est très racoleur, avec ce plan sur l’entrejambe de la fille, et cette musique rock. Et puis plus rien. Une comptine à l’eau de rose, coupée à l’eau minérale, sans scénario visible. Autant dire que la beauté de Liv le réalisateur n’en fait rien. Il ne sait pas quoi en faire. C’est sans enjeux, ça fait un peu « Martine en toscane ». C’est dommage, car Liv, son visage et ce corps tout droit sortit d’un Modigliani, on peut en faire des choses, pour distiller plus d’émotions, autre que l’attirance naturelle que le spectateur aura pour sa fraîcheur et l’innocence de son regard. Par contraste, j’ai été beaucoup plus sensible aux formes pleines et accomplies de Rachel Weist, malheureusement cantonnée dans un petit rôle secondaire. Quel est l’intérêt, à part la bande son, très éclectique ? J’sais pas. Ce manque d’action est peut-être une volonté de contemplation. D’accord, mais contempler quoi ? Il n’y a rien. Seulement comment s’ennuyer quand on est une jeune américaine en vacances en toscane.
caro18
Ce film suscite un profond ennui soporifique du début à la fin.
un film très réaliste surement un peu trop. Beaucoup de longueurs et un sentiment d'inachevé en découle. Dommage
C’est l’histoire de l’attraction des êtres et des chairs, un maelstrom passionnel, une chronique humaine des sentiments, fragile et délicate. Avant Innocent – The dreamers, la suavité des relations interpersonnelles et la quête de personnalité sont déjà des thèmes récurrents du cinéma de Bertolucci. Présenté à Cannes en 1996 (sans succès toutefois), ce film peint une jolie carte postale d’une société vivotant dans une belle demeure rustique en Italie. L’arrivée de cette sensuelle beauté qu’est Lucie (Liv Tyler), dans un entre-soi d’artistes en Toscane va enclencher le réveil de sensations endormis dans la torpeur estivale. Lucie, ingénue, pusillanime et pourtant sexuée, tout en volupté, est le symbole de désirs refoulés, le mélange entre la pudeur et l’impudeur des tentations. Son portrait est dessiné sans fioriture sentimentale, avec quelques secrets enfouis
spoiler:
(la quête du vrai père ou la volonté de trouver l’amour)
. Elle symbolise à la perfection, avec ses charmes et son jeu, l’adolescente en fin de cycle à la recherche d’identité, jouet des hommes, perdu entre l’âge adulte et la jeunesse qui s’échappe. La belle Arwen du Seigneur des anneaux est, comme le reste du casting, tout à fait agréable, tout en distinction et en particularisme. Mention spéciale à Jeremy Irons, qui incarne avec brio un homme valétudinaire en phase terminale et en quête de frivolité, prophète de la baise évoluant en vieux sage, un pied tourné vers la mort, l’autre vers l’amour. Cette atypique société, ses bavardages, ragots, séductions ou rancœurs, est mise en valeur par une photographie et des paysages langoureux. L’essentiel de l’action se déroule dans un spacieux gîte perdu aux confins de la Toscane, près de Sienne, entouré de champs et de vignes sublimés par de beaux plan-séquences. L’atmosphère est paisible, sans vis-à-vis, réchauffée par un choix musical judicieux (Portishead est le plus-plaisir) et la chanson de la langue italienne. On sent sur notre nuque le souffle chaud de l’été transalpin. La caméra suit les mouvements des sentiments, fuyante ou approchante au gré des variations. Celle-ci est d’ailleurs au plus proche de Lucie, suivant ses atermoiements, ses questionnements et l’évolution de ses croyances. L’ambivalence est d’ailleurs forte entre cette beauté volée, l’amour pur assassiné, le portrait triste dessiné et l’espoir naissant de la vie. L’équilibre est toujours fragile entre ce que l’on dit et ce qui est caché, entre jeunesse et maturité. La nudité parfois affichée à l’écran répond à cette même quête d’équilibre des appétits charnels.
Le souvenir de cette balade dans les champs toscans n’est pas impérissable mais c’est un doux film d’été, sans prétention, suave et honnête.
. Elle symbolise à la perfection, avec ses charmes et son jeu, l’adolescente en fin de cycle à la recherche d’identité, jouet des hommes, perdu entre l’âge adulte et la jeunesse qui s’échappe. La belle Arwen du Seigneur des anneaux est, comme le reste du casting, tout à fait agréable, tout en distinction et en particularisme. Mention spéciale à Jeremy Irons, qui incarne avec brio un homme valétudinaire en phase terminale et en quête de frivolité, prophète de la baise évoluant en vieux sage, un pied tourné vers la mort, l’autre vers l’amour. Cette atypique société, ses bavardages, ragots, séductions ou rancœurs, est mise en valeur par une photographie et des paysages langoureux. L’essentiel de l’action se déroule dans un spacieux gîte perdu aux confins de la Toscane, près de Sienne, entouré de champs et de vignes sublimés par de beaux plan-séquences. L’atmosphère est paisible, sans vis-à-vis, réchauffée par un choix musical judicieux (Portishead est le plus-plaisir) et la chanson de la langue italienne. On sent sur notre nuque le souffle chaud de l’été transalpin. La caméra suit les mouvements des sentiments, fuyante ou approchante au gré des variations. Celle-ci est d’ailleurs au plus proche de Lucie, suivant ses atermoiements, ses questionnements et l’évolution de ses croyances. L’ambivalence est d’ailleurs forte entre cette beauté volée, l’amour pur assassiné, le portrait triste dessiné et l’espoir naissant de la vie. L’équilibre est toujours fragile entre ce que l’on dit et ce qui est caché, entre jeunesse et maturité. La nudité parfois affichée à l’écran répond à cette même quête d’équilibre des appétits charnels.
Le souvenir de cette balade dans les champs toscans n’est pas impérissable mais c’est un doux film d’été, sans prétention, suave et honnête.
Déroutant au début, car le rythme est lent et l'intrigue mince. Au final, c'est assez bien senti et réaliste. Cela peut nous rappeler des étés vécus. Il n'y a pas d'esbroufe exagérée, et la sensibilité se révèle au fil du film. Pour vous laisser un souvenir bien plus durable que des œuvres plus faciles d'accès. Quelques défauts, oui, mais une réussite qui se révèle après coup, pas au premier abord. Bravo.
Ajout fin 2014 : il ne faut pas voir ce film comme un divertissement qui vous fera passer un bon moment, c'est quelque chose de plus profond et sensible. Si vous y allez pour voir du brio, de l'érotisme simpliste, du bruit et de la fureur, vous serez déçus. C'est ce qui a dû arriver à certaines personnes dont on lit les critiques. Ce film m'a paru ennuyeux pendant 1/2 heure au début, et puis, finalement, 2 ans plus tard, je m'en souviens encore avec émotion. N'est ce pas le plus beau compliment pour un film ? Une oeuvre qui se livre avec un délai, en général, ce sont les meilleures. Jeremy Irons est inoubliable dans ce rôle, c'est magnifique ce duo avec Liv Tyler, la grande réussite du film. Avec la scène finale ;-)
Ajout fin 2014 : il ne faut pas voir ce film comme un divertissement qui vous fera passer un bon moment, c'est quelque chose de plus profond et sensible. Si vous y allez pour voir du brio, de l'érotisme simpliste, du bruit et de la fureur, vous serez déçus. C'est ce qui a dû arriver à certaines personnes dont on lit les critiques. Ce film m'a paru ennuyeux pendant 1/2 heure au début, et puis, finalement, 2 ans plus tard, je m'en souviens encore avec émotion. N'est ce pas le plus beau compliment pour un film ? Une oeuvre qui se livre avec un délai, en général, ce sont les meilleures. Jeremy Irons est inoubliable dans ce rôle, c'est magnifique ce duo avec Liv Tyler, la grande réussite du film. Avec la scène finale ;-)
Le coté carte postale est parfait, le scénario semble pouvoir amener des développements mais reste finalement trop insipide. Par ailleurs Jean Marais n'est pas très gaté avec son role.
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