Derniers Avis : Transformers 3 - La Face cachée de la Lune - Page 2

Après un second volet assez decevant,les transformers reviennent avec le 3ème volet de la saga Transformers nommé Tranformers 3 la face caché de la lune.Et ce nouveau volet est assez decevant. Coté casting on retrouve une nouvelle fois Shia LaBeouf qui est vraiment excellent,il est très bon. Un grand regret pour le départ de Megan Fox,une actrice britannique l'a remplace mais elle est moins convaincante que Megan . L'action est toujours au rendez vous avec des scènes d'actions très éfficaces au effets spéciaux surprenant et impressionant. C'est incroyable.On n'en prend plein les yeux une fois de plus. Le film est vraiment trop long et la saga s'essoufle et devient vraiment lassante. L'histoire est convaincante mais elle tourne en rond . Un nouveau ennemi dans le film aurait été bien mieux.La scène finale est vraiment très bien faite.Transformers 3 est un volet reussi mais si on fait comparaison avec les précédents volet il est decevant.
Mais je conseille de le voir car meme si il est assez decevant l'action est toujours au top. C'est vraiment surprenant

Derrière ses aspects attrayants et spectaculaires, notamment dans la mise en scène et le visuel irréprochable, se cache un scénario des plus catastrophiques, des performances des moins crédibles de la franchise depuis son lancement en 2007. Alors certes, on part sur une idée de départ annonçant un film époustouflant, et qui remplit sa mission dans ce domaine (visuel), mais l'action et les effets spéciaux ne peuvent pas suffire pour faire d'un film de ce genre une réussite ! Aucun volet actuel ne surpasse le premier ; même reproches pour le dernier volet en date "L'âge de l'extinction", qui a misé uniquement sur le visuel et l'action pour séduire le spectateur, mais où est le scénario? Où est la crédibilité? Et puis ce film part sur un concept quand même relativement banal et sans surprises, avec une intrigue similaire aux précédents opus et au quatrième. La bande-son est peut-être ce qui sauve, en parti, légèrement ce film de la médiocrité, car elle accompagne les malheureux dialogues et les nombreuses scènes d'action avec une épatante énergie. Décevant, long, pas crédible, un véritable fiasco pour l'ultime apparition de Shia LaBoeuf dans cette célèbre saga, sauvée cependant par un assez bon casting malgré le scénario, une excellente bande-son, et bien inévitablement des effets spéciaux en veux-tu en voilà, remarquables et soignés.

Mickael Bay patoge, nage même dans le néant...Est-ce possible ? à priori oui;;;Aucune originalité depuis le premier épisode de la saga, On essaie alors de mettre encore plus d'actions, plus de glamour pour essayer de dissimuler une pâle copie scénaristique des précédents opus sans aucune remise en cause.

Une 3D bien faite, mais alors tellement de 2nd rôle inutile (celui de J. Malkovitch en tête de liste).
Pour le reste ça pète de partout, ça fait du bruit itou itou.

Mieux que le 2, clairement. On reste dans le divertissement bas du front cependant, et une certaine lassitude s'installe. Michael Bay fait du Michael Bay, donc il nous ressort encore et toujours les mêmes trucs visuels et personnages stéréotypés.

Houston, nous avons un problème ! Après les deux premiers Transformers, qui ne se prenaient pas pour plus que ce qu'ils étaient, des divertissements explosifs, plein d'adrénaline au scénario basique faits pour permettre à l'ami Michael d'exploiter son talent, je me suis lance dans Dark of the moon. Et là, le souci est que le film, après les maintes réclamations et plaintes du grand public, veut se prendre un peu trop au sérieux. Pour commencer, le rythme, bien que toujours dans le Bay-style, est un peu moins soutenu, avec la mise en place de quelques ralentis qui collent bien avec la 3D qui avait été lancée dans la franchise avec cet opus. Au-delà de la réalisation, de nombreuses incohérences viennent un peu polluer ce qui faisait l'essence de Transformers. Ici, la copine de Sam, bien que toujours canon, est stupide et superficielle, et on n'a pas affaire à une guerre entre Transformers, avec effets spéciaux à la clé, mais à une guerre entre humains et robots. Les affrontements directs entre robots se comptent sur les doigts d'une main, sont filmés de loin, contrairement à avant, et sont moins mis en valeur. spoiler: A côté de cela, Sam arrache l'oeil d'un robot, Optimus supplie Sentinelle avant d''arracher la tête de Megatron à une main, et Megatron marche tous droits face aux provocations d'une adolescente
. Pour résumer, le résultat final divertit toujours, ce serait faux de dire le contraire, il y'a toujours quelques moments plein d'humour, notamment à la fin lors des retrouvailles déguelasses à la Roméo et Juliette et cela rend l'ensemble plutôt agréable. On ressens tout de même l'évolution par rapport à la revanche, en espérant qu'Age of extinction s'en rapproche plus.

Bon eh bien c'est légèrement mieux que le deuxième volet, mais ça reste quand même très en dessous du niveau du premier et encore plus de celui d'un vrai film. Je ne me répèterai jamais assez sur le fait que l'écriture du scénario est aussi importante que la mise en scène. Ce qu'ont tendance à oublier, depuis déjà une trentaine d'années, les producteurs des blockbusters hollywoodiens. Un parfait exemple est cette saga des "Transformers" : tout miser sur l'action et la forme est payant, car les spectateurs en redemandent, mais attention à l'effet d'overdose (que je sens venir à grand pas avec l'année prochaine, chargée en superproductions US de super-héros) qui va finir par apparaître. Comme vous vous en doutez, "La Face cachée de la Lune" continue dans la droite lignée de ses prédécesseurs, nous offrant un spectacle toujours plus dantesque, au détriment de ce qui fait vraiment le cinéma. Je ne m'étendrai pas plus sur le sujet car je crois que mon opinion est claire mais en tout cas pour moi c'est sûr : ce film ne mérite pas de figurer dans ma cinémathèque personnelle.

Moins bien que le premier et moins que le second, il n'y a que le niveau de Linkin Par qui reste constant.

Rien de bien nouveau chez les "Transformers" pour ce troisième volet encore plus explosif et encore plus impressionnant que les autres. La lutte entre les Autobots et les Decepticons fait encore rage, forçant une fois de plus le jeune Sam Witwicky à se retrouver au milieu d'événements qui le dépassent. Michael Bay poursuit l'adage qui impose que chaque suite doit être plus forte que la précédente en multipliant les robots, les explosions et les destructions d'immeubles. Si ça ne rend pas plus intelligent, il faut avouer que le réalisateur sait s'y prendre pour ce genre de choses. Le spectacle est donc total, qu'importe si le scénario n'est pas plus travaillé que ça. Dans le rôle principal, Shia LaBeouf s'en sort bien face à des Patrick Dempsey, John Turturro et John Malkovich qui prennent un malin plaisir à cabotiner. On regrettera cependant l'absence de Megan Fox, Rosie Huntington-Whiteley étant beaucoup plus fade même s'il faut bien avouer que le rôle de la copine du héros est dans cette franchise, totalement inutile.

Jamais dans toute l'histoire de l'humanité on aura vu autant de propagande réunie en un seul et même film. Jamais on aurait pensé nous, êtres intelligents et plutôt prévoyants, que les services de propagandes allemands et soviétiques d'antan se prendraient une véritable raclée pour ce qui est de faire croire quelque chose aux gens. Ces deux heures et demie furent un lavage de cerveau intégral et je peux enfin affirmer fièrement au monde que je suis devenu un vrai américain des united states of america of all the times. Michael Bay à réussi l'impossible en faisant prendre conscience au monde entier sa faiblesse et que seuls les vrais américains peuvent vivre en paix et espérer un avenir radieux. Pauvres hommes que nous sommes !
A la fois admirablement et désagréablement surpris, je n'aurais retenu que ces quelques lignes citées en amont de cette incroyable arme dont dispose nos chers compatriotes d'outre-atlantique. On assiste à plus de deux heures d'exhibitions du sacré matos de l'oncle Sam avec des démonstrations par dessus le marché, histoire d'en rajouter une bonne couche dans des scènes de combats aux plans constamment en mouvement, a tel point qu'on se croirait dans " Bumblebee " dégringolant en tonneaux un versant de l'Everest sous le feu de la DCA allemande et de toute la flotte américaine. Vous l'aurez compris, mieux vaut ne pas être sujet aux crises d’épilepsie. Il fallait bien sûr montrer le tout puissant, le grand, le sacré missile tomahawk, l'ange gardien des légendaires " meurinss ", qui avait forcément son utilité face à des machines des centaines de fois plus agiles, plus intelligentes, plus modernes, plus rapides. Etre un américain c'est bien, mais soutenir les " meurinss ", c'est le stade final de l'humanité, la voie de l'ascension suprême. Autant faire la prochaine fois un défilé comme nous faisons en France, ça ira plus vite.
Ah oui, il fallait aussi qu'on retrouve la tête à claques, le petit capricieux dont tout le monde parle. Plus on avance dans les épisodes, plus il devient pénible, arrogant, égocentrique. Je ne vois pas ce qu'il y a de merveilleux à vouloir être le seul héros voulant récolter toute la gloire ( Il suffit de regarder toutes les fois où il essaye de se servir de son hypothétique statut de héros de la planète, en clair les autres n'ont rien fichus ), lorsque ce sont les autres qui ont fait le plus dur labeur. Quelle est cette philosophie inquiétante et très révoltante chez cet illuminé qui traite son compagnon " Bumblebee " comme son moyen de transport, comme un simple outil dans la vie de tout les jours ( combien de fois ce brave robot lui a sauvé la vie ? ). Nous faisons face à toute l'arrogance humaine, qui méprise n'importe quelle autre forme de vie. Il semblerait que cet imbécile ne puisse en aucun cas concevoir une amitié honnête et franche avec les " Autobots ", il ne s'en sert uniquement que pour arranger ses petites affaires.
Afin de terminer, parlons du dernier point néfaste, à savoir la romance perpétuelle a hurler de rire que l'on retrouve à chaque nouveau volet. Le seul mot qui convient, ce serait celui-ci : pathétique. On aurait vraiment l'impression de se retrouver coincé dans un " Izanami " duquel on ne pourrait plus sortir a moins de devenir des décérébrés ( technique issu du manga " Naruto " pour ceux qui ne connaissent pas ).
Au final, c'est un retour au source qui nous est proposé, sans pour autant apporter les éléments de fraîcheurs qui auraient fait la différence, non sans quoi une distinction avec le premier épisode demeurerait ardue et vraiment inutile. En outre, ce dernier s'avère bien plus équilibré avec moins de temps morts et bénéficiait de la surprise de lancement.
2,5/5 grâce à la maîtrise des scènes de grand spectacle, un domaine ou excelle Bay.

Dommage que dans ce volet les effets spéciaux et les combats l'emportent sur l'intérêt du scénario.

On ne peut pas dire que Transformers soit une saga que je porte dans mon cœur. Les deux premiers opus ne m'avaient pas du tout convaincu. Même les dessins animés diffusés à l'époque avaient tendance à m'ennuyer. Ainsi, inutile de préciser que je n'attendais rien de ce troisième épisode. Mais comme il était diffusé à la télé, je me suis dit "pourquoi pas?". Je n'avais rien d'autre à faire, j'avais eu une semaine éprouvante côté boulot, alors pourquoi ne pas se changer les idées et mater un truc bien con? C'est ce que j'ai fait, et je ne me suis pas trop ennuyé.
Alors oui, le scénario est naze, comme c'est le cas pour tous les autres Transformers, mais l'histoire est déjà plus intéressante, grâce notamment à la menace qui pèse sur notre monde. Et surtout, cet épisode se veut plus violent et montre enfin des victimes civiles à l'écran. Car dans les deux premiers Transformers, c'est bien beau de tout faire péter, mais c'est quand même drôle de ne jamais voir de morts. C'est pareil dans Avengers, les aliens viennent tout faire péter, mais on ne voit pas un seul corps humain. Ici, les humains se font exploser, ça rend le film déjà plus intéressant et "crédible" (même si on ne peut pas vraiment parler de crédibilité dans un film où des robots géants parlent et se transforment en véhicules). D'ailleurs, ces robots qui parlent, je n'arrive toujours pas à m'y faire, mais ça, c'est depuis que je suis petit. J'ai toujours trouvé cela ridicule.
Concernant les acteurs, ça n'a pas beaucoup évolué, et c'est même triste de voir John Malkovich se perdre là-dedans. Côté actrices, Rosie Huntington-Whiteley remplace Megan Fox. Côté profondeur du personnage, on n'y a pas vraiment gagné au change, mais au moins, on peut dire que cette chère Rosie en fait moins des tonnes que cette chère Megan. Le mieux aurait été de mettre un personnage féminin qui sert à autre chose que montrer ses atouts. Mais bon, on ne va pas trop leur demander hein.
Au final, je ne me suis pas tant ennuyé que cela devant ce Transformers 3! Les effets spéciaux sont toujours aussi bien faits, et ils sont encore plus fluides que pour les deux premiers films. Et honnêtement, la fin envoie du pâté! Cette destruction en masse de la ville de Chicago est quand même incroyablement spectaculaire! La scène avec le bâtiment qui se détruit en deux et qui s'effondre est quand même assez jouissif! J'aurai eu 8 ans, ça m'aurait rendu tout fou!
Bref, ce troisième épisode est le moins pire de la saga. Ça reste con, mais après une dure journée, ça fait du bien de se déconnecter un petit moment et de regarder un tel divertissement. Et je pense qu'il se laisse encore plus apprécier si on le regarde avec nos yeux d'enfants.

Pour une face cachée, ce film est bien bruyant, plus qu'il n'est efficace d'ailleurs.

Film d'action fouillis, pas franchement pris de plaisir à le revoir...

Toute la première partie est beaucoup trop rapide ; la fin est intense, mais pour le coup dure une plombe !

Pour moi, ce qui manque dans ce film, c'est la magie des gros robots ...

je n'avais pas aimé le premier et pas vu le 2 qui est pire encore selon les critiques, qu'est ce que ça doit être !!! celui est guère mieux. C'est d'un ennui mortel, les dialogues sont creux. Pourtant fan des films de SF là rien à faire j'accroche pas j'ai zappé au bout de 45 min.