Derniers Avis : Transformers 3 - La Face cachée de la Lune - Page 4

Tout simplement ridicule. Même en ayant fait un extrême effort intellectuel, je n'ai rien compris au scénario. Un humour au ras des pâquerettes, mention spéciale à la scène où Patrick Dempsey décrit les courbes d'une voiture alors que la caméra remonte Rosie des pieds à la tête. Que dire de plus, des acteurs comme John Malkovich, Frances McDormand et John Turturro (qui aura quand même joué dans les trois !) en plein suicide artistique. Des scènes construites uniquement pour la 3D (même en l'ayant vu en 2D c'était évident). La scène de fin est l'une des plus ridicule et des plus bâclées que j'ai pu voir, comme si l'action terminée, il n'y a avait plus qu'à tirer le rideau en ayant bien pris soin de placer un drapeau américain certes mutilé mais bien fidèle au poste. Et ce n'est même pas tout car on assiste en plus à un formidable cours de géopolitique. En effet, Mégatron est de couleur sombre et se balade avec une capuche sur la tête, l'autre grand méchant, Sentinel Prime est de couleur rouge et jaune et Optimus arbore quant à lui le bleu et le rouge. En somme Etats-Unis contre Moyen-Orient et Chine. Plus de doute possible : Michael Bay est patriote ! Signalons également la grande intelligence du personnage de Patrick Dempsey qui aide une espèce extra-terrestre qui veut détruire la terre. Celle-là, il fallait quand même la faire ! Je ne sais pas ce qui est arrivé à Ehren Kruger qui avait fait un super boulot sur Scream 3... Je regrette juste d'être partit sans écouter la chanson du générique qui avait l'air sympa, mais je devrais tout de même m'en remettre !

Comment dire...inutile, en trop, sans intérêt, trop c'est trop, bourrage de crâne à la sauce boulons ? Bref, un troisième volet sans intérêt si ce n'est remplir les caisses des producteurs...

J'ai adoré le premier, le deuxieme bof mais alors celui là je ne suis même pas aller jusqu'au bout tellement je m'ennuyais

Mais c'est nul ce truc que du show off permanent ca te donne envie de ne plus regarder apres 10 min et tout la propagande et patriotisme ricain ca va 2 secs

Alors, je ne vais pas y aller par quatre chemins : C'est nul à ch###. Les deux premiers opus étaient déjà ridicules, scénaristiquement vides et aussi bien rythmés qu'un film d'auteur russe des années 70, mais là on touche le fond ! Le scénario est plat, mal agencé et tient avec des ficelles qui sont plus des cordages de bateau qu'autre chose, quand aux acteurs, on a l'impression qu'ils executent une chorégraphie d'electro, stylisée à outrance, plus qu'ils ne jouent. L'inintelligence des dialogues et des situations n'arrangent rien à l'affaire, et je decerne une mention spéciale au sieur Laboeuf qui prouve une fois de plus qu'il est mauvais acteur (qui à dit "très" ?) dans le rôle de ce personnage qui sert encore moins à quelque chose que dans les épisodes précedents. Alors, certes, les effets spéciaux "dépotent grave", mais encore faut il ne pas s'être endormi devant ce film qui véhicule, de surcroit, des messages et une idéologie plus que douteux sur la soi-disant supériorité de certaines personnes dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom... Mais qu'importe, Michael Bay peut se prendre pour le roi des super-productions, d'autres réalisateurs ont prouvé qu'ils étaient capables de faire du fric tout en proposant un divertissement qui ne grillait pas les neurones, eux, au moins !

Rarement vu un film aussi bidon.
Le protagoniste déborde d'arrogance, sans compter le jeu d'acteur très moyen.
Rien n'est fait pour rendre le film crédible.

Bon, aprés un deuxieme opus ridicule, attaquons le 3eme. D'emblée on s'aperçoit qu'une potiche a été remplacée par une autre, et qu'elle est encore moins crédible. Shia en fait des tonnes dans ce pseudo rôle de sauveur du monde/ami des gentils robots. Ses parents ne servent à rien, tout comme à peu prés tous les personnages humains. Les effets spéciaux sont toujours présents mais voir une énieme transformation au ralenti d'une voiture en robot, perso, ça ne fait plus rien. le syndrome du 2 est de retour,au bout d'une heure de film, on a l'impression que cela fait 3h qu'on regarde cette gentille daube. Certaines scenes essayent l'humour sans y arriver, et mettre un pseudo mannequin en train de courir avec la bouche en cul de poule n'arrive pas à sortir du naufrage la franchise Transformers, qui malgré un premier assez réussi, s'embourbe dans la facilité scénaristique et pyrotechnique. Affligeant.

Ridicule. Incohérent. Les scènes se suivent dans un bazar incompréhensible. Ce film est grotesque. On se demande ce que font des acteurs comme Frances McDormand et John Malkovitch dans ce............ truc. Je peux même pas dire "navet". Le 2 était un navet. Celui-là c'est juste un "truc", tellement la réalisation est pitoyable.

Il y a beaucoup d'effet, il y a aucun dialogue.
Acteur principal agaçant. Science fiction non, fiction tout court.

un filme qui dure entre 45 minutes et 1 heure de trop, long ennuyant, plat. Le scénario est sûrement deux lignes sur un post-it "un gentil endormie sur la lune qui en fait est un méchant". Shia L. m'adonné l'impression d'être énervé et criard tout du long. une bimbo blonde pour attirer des spectateurs mâles en mal d'émotion, des effets spétiaux qui pourrais sauver le tout s'il n'y en avais pas autant. N'allez, s'il-vous-plaît, pas l'acheter.

Mon dieu, fallait osé . Réunir autant de clichés, de scènes ridicules, de dialogues niais et creux en 2h35 de film et récolter 3,6 étoile de moyenne . Le scénario est d'un vide absolu, et on sent à chaque instant que c'est un film à fric, sans âme et réalisé sans talent . Ah, si . Les effets spéciaux sont réussis, voir même parfois impressionnants . Mais un film misant tout sur cela mérite t-il une note au dessus de la moyenne ?

Pour n’importe quel homme doté d’un cerveau, il paraîtrait étonnant que le principal débat qui entoure ce film soit le remplacement de Megan Fox par Rosie Huntington-Whiteley, et non l’incompétence de Michael Bay à fournir des films un tant soit peu correct. Cela dit, pour n’importe quelle personne capable de remarquer le niveau intellectuel de ceux qui apprécient ce genre de film, il n’est pas étonnant que ce type de débat soit des plus importants. Michael Bay a-t-il réussi à faire encore mieux dans la franche débilité ? La réponse (faut-il vraiment que je la donne…) dans quelques lignes.

L’intro assez sympathique est gâchée par l’enchaînement sur le couple formé par Sam Witwicky (Shia Labeouf) et Carlie (Rosie Huntington-Whiteley). En effet Michael Bay semble plus intéressé de filmer les jambes de sa nouvelle conquête plutôt que les Transformers, ce qui au final, reflète bien la philosophie dans laquelle il a fait ses films. Il s’attarde cette fois encore plus sur Sam ce qui est loin d’être passionnant, et en profite pour enchaîner les situations qui se veulent drôle mais qui ne le sont pas. Et nous voilà reparti pour deux heures et demie de calvaire. Tout se fait avec une lenteur insupportable. Le scénario est ennuyeux à mourir et aucunement captivant. Même les scènes d’actions sont d’une mollesse indescriptible. C’est un film sans rythme que nous balance Michael Bay, les rebondissements ne sont pas bien rendus et s’insèrent dans la platitude générale. Dans la droite lignée de ce que le réalisateur a fait jusqu’à présent, on a droit à une intrigue sublimement banale qui cache de magnifiques clichés et offre comme sujet le plus profond la lutte manichéenne des gentils contre les méchants…Quelle surprise !

On retrouve également les fameux personnages stéréotypés si chers à Michael Bay. Et la star de son film, Shia Labeouf, en est pour quelque chose dans l’échec total du rapprochement avec le spectateur. Le rôle qu’on lui a écrit est aussi creusé que la tombe d’un lapin nain et aussi inspiré qu’une notice de four micro-ondes. Ce dernier passe ainsi de loser comique à enquêteur chevronné, puis commando des forces spéciales en une heure et demie…totalement crédible. Et pour prouver son importance dans le scénario, Michael Bay le fait tuer Starscream, pour la mort la plus pitoyable de l’histoire du cinéma. Franchement, le Decepticon le plus stylé (tout est relatif avec la direction artistique dégueulasse) n’aurait-il pas mérité une meilleure mort ! Mais bon cela ira dans les aspects du film dont Michael Bay se fout totalement, c’est-à-dire 95% de son film (je rappelle qu’il y a 5% d’explosions dans le film). Et pour notre déplaisir le plus total, d’autres personnages aussi intéressants se glissent dans le film, assez longtemps pour qu’on puisse les détester eux aussi. Vient donc la concubine de Sam, Carlie. Elle est interprétée par Rosie Huntington-Whiteley, qui est mannequin de métier…Ai-je vraiment besoin de préciser qu’elle joue comme un gosse de cinq ans…je ne pense pas. Et on se demande toujours pourquoi Michael Bay a eu besoin de donner des rôles inutiles aux irritants John Malkovich et Frances McDormand. Il est également paradoxalement ironique que celui qui fait le plus alien du film soit un humain joué par Patrick Dempsey qui était parti pour une pub de L’Oréal et qui s’est perdu en chemin.

Je vous vois déjà crier que dans un film de ce calibre le scénario et les personnages peuvent passer à la trappe, du moment qu’il y a de l’action. Si cette façon de penser est immensément débile elle n’est toutefois pas prônée par Michael Bay, qui ne donne pas des séquences d’action mais des enchainements d’explosions. Outre le fait qu’elles soient très mal amenées, les scènes d’action sont beaucoup trop courtes pour demeurer intéressantes, et elles sont toujours aussi mal filmées. L’action illisible et les ralentis ostentatoires témoignent d’une mise en scène déplorable et d’une réalisation sans goût. On voit, on ne ressent rien, on contemple avec horreur la joie de Michael Bay qui s’éclate à tout faire péter. Il glisse parfois certains éléments qui pourraient être intéressants, pour mieux les oublier pour toujours : la frustration est le seul domaine dans lequel Michael Bay s’améliore. D’ailleurs ce dernier profite de ce film pour s’essayer à la subtilité : en plus de refourguer les mêmes scènes que les films précédents, il refourgue aussi les mêmes bruitages. Même la musique de Steve Jablonsky, pourtant de très bonne qualité ne suffira pas à donner une once de force à l’action, tant la réalisation de Michael Bay est inexpressive.

Le réalisateur préfère passer dix fois les trente premières secondes de « Iridescent » de Linkin Park pour marquer le ton fortement émotionnel (drôle n’est-ce pas) qui est sensé se dégager, mais qui captive le spectateur autant qu’une mouche qui s’acharne sur une fenêtre fermée alors que celle d’à côté est grande ouverte.

On reconnaît toutefois le style de Michael Bay dans ce film…ce qui est malheureusement une mauvaise chose. Il se voit obligé de placer son humour lourdingue pour détruire l’atmosphère sérieuse instaurée cinq secondes plus tôt et ne nous arrache même pas un semblant de sourire. Les nouveaux Transformers sont encore moins réussis et attachants que dans le film précédent (un exploit en soi) et sont encore une preuve de la direction artistique immonde. On constate également une pléthore d’incohérences dont je vis vous donner quelques exemples des plus pitoyables : maintenant les militaires tuent les Decepticons avec des mitraillettes…maintenant les Decepticons saignent…maintenant la planète Cybertron est totalement différente de celle présentée dans l’opus précédent, qui était déjà totalement différente de celle du premier film…maintenant Michael Bay est pété de thune et il se prend pour un bon réalisateur (la pire de toutes). Il accomplit même l’exploit de ridiculiser Optimus Prime !

Après une fin pas du tout prévisible (ironie !) et durant le générique, on ne se dit qu’une chose : Quelle injustice ! Quelle injustice qu’un film aussi pauvre et vide connaisse un succès mondial et rapporte des milliards alors que Michael Bay a dû se creuser la tête deux minutes maximum pour trouver des idées. Ce film encore plus que les autres, reflète la superficialité du travail de Michael Bay et de l’œuvre qu’il crée. Avec toutes ses incohérences et ses fautes de réalisation, il fait bien pire qu’un mauvais film, il ruine la licence des Transformers, il ne leur accorde qu’une place encore plus futile que tout le reste. Il a bâti une saga qui n’apportera rien à l’univers des Transformers et encore moins au cinéma. A quoi bon alors faire un quatrième volet, si ce n’est pour se faire encore plus de thune ? A quoi bon mettre des explosions partout, à quoi bon s’efforcer de placer les humains au cœur de l’intrigue et de ne faire des Transformers que des personnages tertiaires, à quoi bon recruter des acteurs bankables pour leur donner des rôles inutiles…A quoi bon faire voler Optimus Prime ! Tout cela reflète l’état d’esprit de Michael Bay en faire beaucoup trop pour avoir au final, quelque chose d’horriblement vomitif.

Cependant, le film de Michael Bay est historique, car il montre à quel point une production de ce genre peut être lamentable. En 2011, Michael Bay accordait à Premiere un interview dans lequel il disait qu’il était conscient de l’échec de Transformers 2 e qu’il allait nous faire rêver pour le troisième film. Maintenant pour ceux qui auraient eu le profond malheur de voir ce film, admettez que Michael Bay se rapproche plus du marketeur qui aime empocher les chèques que du cinéaste soucieux de son œuvre et du regard du spectateur. Pour ceux qui ne l’auraient pas vu, profitez de votre chance, vous avez raté un des pires, si ce n’est le pire, film de tous les temps.

Après le quasi ennuyeux Revenge of the Fallen, Michael Bay - capitaine du Transformers - qui avait promis de faire mieux, ne change pas de cap et se heurte à la dure réalité, entraînant dans son sillage tous ceux qui avaient eu la naïveté de croire que ce troisième opus ne pourrait être pire que son prédécesseur. Le réalisateur américain n'a toujours pas compris ou du moins refuse de comprendre que les effets spéciaux sont un moyen et non une fin, attitude plutôt paradoxale pour celui qui avait confessé que la faiblesse de Transfromers 2 venait de son mauvais scénario. Ainsi, ce qu'on pouvait encore qualifier de scénario - avec certes beaucoup de complaisance - dans les deux premiers volets devient ici en l'espace de 2h30 une simple géodésique entre les différentes scènes d'action. Vous l'aurez compris, avec une trame scénaristique qui n'a pas pour autre ambition que d'être le support de la dualité action/effets spéciaux chère à Bay, le film devient terriblement ennuyeux parce que le spectateur à l'intellect un tant soit peu développé prend rapidement conscience de la vacuité absolu d'un long-métrage qu'on classera aisément parmi les pires apologies de la superficialité. Malheureusement, ce troisième volet de la saga Transformers, dont l'humour juvénile constitue l'une des principales voies d'eau, ne se rachètera pas davantage par la 3D qui était censée être son principal atout. En effet, en dépit du fait qu'elle soit pleinement effective lors de la première scène du film, les scènes suivantes ne sont pas toutes aussi convaincantes en raison notamment d'un manque de clarté de l'image et parce bien souvent les objets apparaissent pour ce qu'ils sont réellement : des maquettes ! Les acteurs, ayant réalisé qu'à un tel niveau de médiocrité la noyade devient inévitable, ne luttent pas et sont logiquement balayés par l'absurde déluge d'effets spéciaux, attisant de fait le mécontentement et le désarroi du spectateur qui cherche en vain une bouée à laquelle se raccrocher ! De cet impressionnant naufrage digne du très mauvais Poséidon de Wolfgang Petersen, il ne restera finalement qu'un gigantesque navet sur fond bleu que l'épicier indélicat tentera de faire passer pour une belle émeraude. Consternant. 0/20

Ce troisième volet n'est qu'une pâle copie des deux premier. Le scénario n'a aucune originalité. Ce film est long est ennuyeux et sans intérêt.

Nul, idiot, sans intérêt sauf si vous aimez voire plein d"effet speciaux dans tous les sens. South park a raison, ce réalisateur confond vraiment scénario et effet spéciaux.