AlloCiné
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Votre avis sur The Roommate ?
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defleppard
Un navet.................................................................
Cet petit thriller au féminin disponible sur Netflix était l’occasion de revoir la sympathique Leighton Meester (aka Blair Waldorf de Gossip Girl).
Et comme on pouvait s’en douter, ce petit film enfile les pires clichés sur les universités américaines, les approximations sur la matière étudiée : la mode.
Le film transpire la superficialité des études américaines, la beauferie et la niaiserie insupportable de son héroïne.
La mise en scène téléfilmesque n’aide pas, d’autant que pour le réalisateur danois, c’était sa première fois à Hollywood, ce qui lui a valu après un second film mineur un retour sans lauriers au pays.
Le scénario, un imbuvable thriller mou du genou, ne crée aucune tension, aucun rythme, pour se terminer par une séquence d’action tout droit sortie d’un Scary Movie…
On sent bien que tout le film est vendu pour la plastique de ses actrices, la pauvreté intellectuelle qui l’habille est désespérante.
Quitte à ne pas se prendre au sérieux, les auteurs auraient pu justement en faire un film parodique, dénoncer la superficialité de la culture américaine et de sa jeunesse, mais faut-il encore avoir une vision artistique.
Le moment le plus désespérant du film est le caméo improbable de Billy Zane en professeur de mode, avec son béret basque et son foulard Hermès. Il manquait plus que la baguette sous le bras…
Et comme on pouvait s’en douter, ce petit film enfile les pires clichés sur les universités américaines, les approximations sur la matière étudiée : la mode.
Le film transpire la superficialité des études américaines, la beauferie et la niaiserie insupportable de son héroïne.
La mise en scène téléfilmesque n’aide pas, d’autant que pour le réalisateur danois, c’était sa première fois à Hollywood, ce qui lui a valu après un second film mineur un retour sans lauriers au pays.
Le scénario, un imbuvable thriller mou du genou, ne crée aucune tension, aucun rythme, pour se terminer par une séquence d’action tout droit sortie d’un Scary Movie…
On sent bien que tout le film est vendu pour la plastique de ses actrices, la pauvreté intellectuelle qui l’habille est désespérante.
Quitte à ne pas se prendre au sérieux, les auteurs auraient pu justement en faire un film parodique, dénoncer la superficialité de la culture américaine et de sa jeunesse, mais faut-il encore avoir une vision artistique.
Le moment le plus désespérant du film est le caméo improbable de Billy Zane en professeur de mode, avec son béret basque et son foulard Hermès. Il manquait plus que la baguette sous le bras…
un pseudo film d'angoisse , mauvait et mal jouer , et surtout une leighton meester ridicule
Entre les filles qui sortent à chaque instant de Sephora maquillage et le fait qu'il ne se passe rien.
Passez votre chemin ou venez perdre 1h30 de votre vie.
Passez votre chemin ou venez perdre 1h30 de votre vie.
Je l'avoue, je n'ai regardé ce film qu'à cause de la présence de Leighton Meester (Blair dans Gossip Girl). Elle incarne là Rebecca, une jeune fille solitaire par le passé, dû aux troubles bipolaires dont elle est atteinte. Elle va voir en Sarah, sa nouvelle colocataire, une nouvelle amie, celle qui pourrait la sauver et la convaincre qu'elle n'est pas seule et qu'elle peut vivre comme tout le monde. Mais voilà, Rebecca débarque à l'université en ayant pris la décision d'arrêter ses médicaments. Résultat, la tension monte et le suspens s'installe.
spoiler:
Il est clair que la fin est prévisible, mais si le film m'a plu, c'est parce que le personnage de Rebecca m'a attristé. Et d'un autre côté, il m'a énervé aussi.. Parce que j'ai pensé que derrirèe ce script, des gens sont vraiment atteint de ces troubles, des troubles contre lesquels ils se battent (pour certains..) et qui les plongent dans une solitude, un renfermement, des troubles qui les poussent à devenir violents malgré eux. Entendre Rebecca dire à Sarah "Je voulais juste que tu sois mon amie" m'a fait pitié pour elle, tout comme avant ça lire dans son regard à quel point elle aimerait que Sarah ressente la même chose à son égard, ou sa réaction après avoir fait le tatouage qui traduit qu'elle ne comprend même pas en quoi c'est mal ce qu'elle vient de faire... Elle est malade et ne peut rien contre ça. Et la fin est beaucoup trop facile, on la catalogue, c'est la méchante et elle doit payer. Oui c'est vrai, mais avant que son "attachement pour une nouvelle cible" ait eu lieu, quelqu'un aurait peut-être pu l'aider, ou pas.. Quoi qu'il en soit, cette histoire est très triste. Leighton Meester joue très bien, on peut l'affirmer quand on connait son personnage quasi à l'opposé dans Gossip Girl, le seul lien est qu'elles sont riches toutes les deux. Et on sait bien que c'est quand une actrice réussit à jouer plusieurs rôles opposés que l'on peut affirmer son talent. Ca m'a fait plaisir de la voir interrpéter un autre rôle et surtout un rôle très profond. En dehors d'elle, le casting est bon, et quant à la bande originale, elle est excellente puisque d'habitude je ne fais pas tellement attention à ça !
Frédéric M.
Film rempli des clichés, du ultra déjà vu. Une pale copie de JF partagerait appartement. Meme si les actrices se défendent moyennement, le film manque de singularité et d'originalité en terme de suspense.
Leighton Meester impressionne dans ce rôle de colocataire sympathique. Un film d'horreur pour tout les gens en collocations.
Sympa mais sans originalité aucune.
Sympa mais sans originalité aucune.
Napoléon
Un début plutôt intriguant, mais qui est assez lent et qui s'essouffle rapidement, avec un final sans grande surprise.
film beaucoup trop soft, histoire moyenne, acteurs convenable. a regarder une fois si on a rien d'autres sous la main.
J'ai été agréable surprise par The Roommates. Bien que le script soit le parfait cliché de ce genre de film (ce serait pas le premier qui aurait été fait sur le même schéma), j'ai trouvé que c'était très bien réalisé. C'est probablement ce que je retiens de bien dans les thrillers: à part pour les plus mauvais, les réalisateurs savent faire durer le supplice. J'entends par là, l'action n'arrive pas tout d'un coup, ça arrive par petits morceaux, ça fait monter doucement mais surement la pression jusqu'à la scène finale qui va dénouer le film en entier.
The Roommate suit parfaitement cette logique et c'est très appréciable en ce qui me concerne.
J'ai trouvé le casting surprenant. Ce qui est surprenant, c'est le mélange d'acteurs. Un peu de telle série, d'autres de tels films. Malgré tout, chacun joue parfaitement son rôle. Je tiens à saluer la performance de Leighton Meester qui a su gràce à son jeu exemplaire montrer ce qui chez les bipolaires est un combat interne.
J'aime aussi que l'on retrouve le point de vue posé et sain du personnage de Sara en opposition au point de vue dérangé de Rebecca. C'est ce moyen subtil mais compréhensible dès le premier instant qui je pense nous permet de réaliser qu'il y a un problème chez ce personnage.
J'ai aussi apprécié la suggestion dans les actes affreux de Rebecca. On ne voit jamais vraiment l'horreur de ces faits, quel qu'ils soient. On joue plus dans la suggestion, le réalisateur laisse en quelque sorte l'audience se faire sa propre idée. Ce n'est bien sûr que mon impression.
En définitive, je dirais que j'ai apprécié ce film même si ce n'est définitivement pas mon genre de prédilection. La construction et le développement des actions sont logique et parfaitement dans les temps. Le casting porte le script à merveille. Un très grand pouce vert pour moi.
PLUS: j'ai adoré le slogan sur ma pochette de DVD. "16 millions d'étudiants... une seule à éviter" ^^
The Roommate suit parfaitement cette logique et c'est très appréciable en ce qui me concerne.
J'ai trouvé le casting surprenant. Ce qui est surprenant, c'est le mélange d'acteurs. Un peu de telle série, d'autres de tels films. Malgré tout, chacun joue parfaitement son rôle. Je tiens à saluer la performance de Leighton Meester qui a su gràce à son jeu exemplaire montrer ce qui chez les bipolaires est un combat interne.
J'aime aussi que l'on retrouve le point de vue posé et sain du personnage de Sara en opposition au point de vue dérangé de Rebecca. C'est ce moyen subtil mais compréhensible dès le premier instant qui je pense nous permet de réaliser qu'il y a un problème chez ce personnage.
J'ai aussi apprécié la suggestion dans les actes affreux de Rebecca. On ne voit jamais vraiment l'horreur de ces faits, quel qu'ils soient. On joue plus dans la suggestion, le réalisateur laisse en quelque sorte l'audience se faire sa propre idée. Ce n'est bien sûr que mon impression.
En définitive, je dirais que j'ai apprécié ce film même si ce n'est définitivement pas mon genre de prédilection. La construction et le développement des actions sont logique et parfaitement dans les temps. Le casting porte le script à merveille. Un très grand pouce vert pour moi.
PLUS: j'ai adoré le slogan sur ma pochette de DVD. "16 millions d'étudiants... une seule à éviter" ^^
Bon scénario ! Tres bon casting ! Leighton dans le role de la méchante ! J'adore ! 4.5/5
Un métrage aux allures de téléfilm d'été qui ne réussira à convaincre que les amateurs du genre, en particulier les adolescentes.
Un film correct dans son genre, l'histoire et trop prévisible. Du déjà vu.
J'ai bien aimé l'histoire même si ce n'est pas un film que je regarderais une deuxième fois. Il y a de bons acteurs. J'ai été surprise de voir Leighton Meester dans un rôle comme celui-ci et je trouve qu'elle s'en sort très bien !
Classique ... scénario vu 1000 fois .. mais ça fonctionne quand même et on passe un bon moment bien stressant .
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