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Vu un soir de disette cinématographique, je suis tombé dessus sur Netflix.
Le titre ne me disait rien du tout, deux mois après c'est le film tout entier qui ne me dit plus grand chose.
On suit un mariage avec forcément une opposition de familles, des gens plus délurés que d'autres, des retards, des enfants qui salissent leur costume, bref rien de bien nouveau.
Les acteurs ont l'air de s'ennuyer même si j'ai quand même apprécié Jérémie Renier. Clémence Poésy a le regard vide, rien d'anormal la concernant. Christophe Alévêque fait la démonstration qu'un humoriste ne fait pas forcément un comédien; il en fait des tonnes, déclame sans texte sans y mettre d'intention, ou alors en en mettant bien trop, ... Julie Depardieu joue à nouveau quelqu'un de perché, dommage car elle a davantage à offrir selon moi.
Restent Jean-Pierre Marielle et Danielle Darrieux qui sont parfaits au point qu'ils semblent participer à un autre film dans le film.
Totalement dispensable.
Le titre ne me disait rien du tout, deux mois après c'est le film tout entier qui ne me dit plus grand chose.
On suit un mariage avec forcément une opposition de familles, des gens plus délurés que d'autres, des retards, des enfants qui salissent leur costume, bref rien de bien nouveau.
Les acteurs ont l'air de s'ennuyer même si j'ai quand même apprécié Jérémie Renier. Clémence Poésy a le regard vide, rien d'anormal la concernant. Christophe Alévêque fait la démonstration qu'un humoriste ne fait pas forcément un comédien; il en fait des tonnes, déclame sans texte sans y mettre d'intention, ou alors en en mettant bien trop, ... Julie Depardieu joue à nouveau quelqu'un de perché, dommage car elle a davantage à offrir selon moi.
Restent Jean-Pierre Marielle et Danielle Darrieux qui sont parfaits au point qu'ils semblent participer à un autre film dans le film.
Totalement dispensable.
Cette comédie dramatique française est une nouvelle caricature de la bourgeoisie française.
Elle se fait sans finesse pour nous rassurer sur l’argent ne fait pas le bonheur.
Les dialogues et relations entre les protagonistes de cette fête de mariage hors de prix sonnent tous faux et au montage et interactions entre les personnages on arrive à séquencer les temps de présence voir le planning des comédiens !!
Restent les beaux sourires des regrettées Danielle Darieux et Jean-Pierre Marielle
Improbable, caricatural, grotesque, outrancier ... le film balance entre conte de fée, bande dessinée et comédie dramatique spaghetti, si bien qu'on ne comprend pas où le réalisateur veut nous emmener. Les scènes courtes s'enchaînent trop vite pour qu'il soit possible d'y approfondir quoi que ce soit, ce qui rend l'ensemble des plus superficiels. Seule, la romance avec le curé (JP Marielle) et Danielle Darrieux est (trop) détaillée, ce qui me paraît hors sujet et d'autant plus agaçant que ses invraisemblables outrances lors de la cérémonie m'ont très vite détaché de lui. Quel gâchis avec un casting pourtant si exceptionnel. Belle BO cependant et mention spéciale à Inès de Pracomtal, la petite fille trisomique.
On va mettre 2 étoiles ce qui équivaut à pas terrible car il faut bien remercier le travail que même un navet nécessite pour cuire
Malgré un bon casting (Rénier, Poésy, Darrieux, Marielle...), ce film peine à nous captiver. Tout le monde se déteste, l'ambiance de ce mariage est éprouvante. Tout est fragile et un peu indigeste comme la pièce montée bricolée.
Extrêmement mauvais. Rien ne va, malgré le casting et quelques acteurs qui essaient de ne pas jouer trop faux. Pas de rythme, une avalanche de clichés téléphonés.
Au mariage de Bérangère et Vincent (Clemence Poésy et Jérémie Rénier),dans un coin perdu du Bordelais, se pressent les familles, bourgeois de province sur leur 31 dont Denys de la Patellière, corrosif et grinçant, s'apprête à tirer le portrait.
Au long de la cérémonie religieuse -conduite par un curé irrascible (Marielle)!- puis du repas de noces au château, le cinéaste n'épargnera pas grand monde ( comme jadis dans son "Que les gros salaires lèvent le doigt"); Au mépris que se vouent déjà deux familles qui, pourtant, se connaissent à peine s'ajoutent la perfidie et les méchancetés individuelles, les messes basses désobligeantes et les mesquineries de toute nature. Un jeu de massacre bien drôle qui pourrait même atteindre les jeunes mariés, pas exempts non plus de vilénies. Au dessus de la mélée et de tout reproche, l'aïeule Danielle Darrieux et le curé Marielle semblent se connaitre, plus précisément s'être connus...
Le film est plaisant parce qu'il est toujours jubilatoire de voir le bourgeois égratigné dans ses médiocrités et vulgarités polissées. Dommage que le réalisateur rate plus ou moins la fin, la fin des festivités et des hostilités, en versant dans une relative mélancolie et, surtout, dans quelques idées convenues. Sa comédie chorale est plus réussie dans l'acidité que dans les tentatives d'émotion vraie quand ses personnages font preuve de lucidité.
Au long de la cérémonie religieuse -conduite par un curé irrascible (Marielle)!- puis du repas de noces au château, le cinéaste n'épargnera pas grand monde ( comme jadis dans son "Que les gros salaires lèvent le doigt"); Au mépris que se vouent déjà deux familles qui, pourtant, se connaissent à peine s'ajoutent la perfidie et les méchancetés individuelles, les messes basses désobligeantes et les mesquineries de toute nature. Un jeu de massacre bien drôle qui pourrait même atteindre les jeunes mariés, pas exempts non plus de vilénies. Au dessus de la mélée et de tout reproche, l'aïeule Danielle Darrieux et le curé Marielle semblent se connaitre, plus précisément s'être connus...
Le film est plaisant parce qu'il est toujours jubilatoire de voir le bourgeois égratigné dans ses médiocrités et vulgarités polissées. Dommage que le réalisateur rate plus ou moins la fin, la fin des festivités et des hostilités, en versant dans une relative mélancolie et, surtout, dans quelques idées convenues. Sa comédie chorale est plus réussie dans l'acidité que dans les tentatives d'émotion vraie quand ses personnages font preuve de lucidité.
Comment peut on faire un film aussi nul. C'est plat, c'est sans vie, ce n'est pas drôle du tout. Jamais vu un navet pareil.
Dommage car le casting était intéressant.
Dommage car le casting était intéressant.
Scénario vide et rempli de poncifs du genre . Le seul intérêt de ce film reste de bons comédiens sous employés. Jean Pierre Marielle et Danièle Darrieux sont impériaux.
Le reste est long et vide .
Le reste est long et vide .
Super distribution. On s'attendait à mieux au vue de la palette de bons acteurs et actrices.
Vu sur Netflix, de nombreuses années après la sortie, j'ai passé un moment agréable. Je ne sais pas si j'aurais apprécié ce film dans une salle de cinéma. Cela reste un film plutôt sociétal sans grande profondeur mais pas nul pour autant et pas vraiment la comédie qu'on aurait pu attendre.
Vu sur Netflix, de nombreuses années après la sortie, j'ai passé un moment agréable. Je ne sais pas si j'aurais apprécié ce film dans une salle de cinéma. Cela reste un film plutôt sociétal sans grande profondeur mais pas nul pour autant et pas vraiment la comédie qu'on aurait pu attendre.
Cette petite comédie française se construit autour d'une réception de mariage dans laquelle se créera des situations plus relationnelles que comique.
En effet au début de de long métrage, le réalisateur fait le choix de filmer de façon platonique les préparatifs du mariage juste avant la cérémonie. Il fait le tour des personnages, cependant leur nombre augmente ce qui a pour conséquence de perdre le spectateur. D'ailleurs au niveau des personnages, Nanny et le père Victor s'en sortent très bien ainsi que celui de la mariée grâce à l'interprétation tout en subtilité et profondeur de leurs acteurs respectifs. Voilà donc pour cette première partie très convenue et sans saveur. Heureusement le film commence à décoller lors de la seconde partie en axant le scénario et la réalisation autours de thèmes humains et sociétales tels que le handicap, la vie de couple, l'amour interdit, etc.
Le problème c'est que l'on pensait se trouver en face d'une comédie rigolote et joyeuse et on se retrouve en face d'un film sociétal qui en dépeint tous les travers même les plus dérangeants tel que le traitement infligé à la petite Lucie atteinte de trisomie 21 et discriminée par la sœur de la mariée.
Cependant le thème de l'amour et de l'acceptation du couple par un homme d'Eglise est très bien abordée, c'est ce qui peut sauver le film. En effet l'exploitation de la relation entre le père Victor et la grand-mère maternelle donne du corps et de la profondeur à un scénario ennuyeux et pataud.
En somme malgré le talent du réalisateur à filmer ses personnages pour en exploiter un maximum de facettes, on se retrouve perdu face à un film qui se voulait être une comédie et qui en est finalement loin.
En effet au début de de long métrage, le réalisateur fait le choix de filmer de façon platonique les préparatifs du mariage juste avant la cérémonie. Il fait le tour des personnages, cependant leur nombre augmente ce qui a pour conséquence de perdre le spectateur. D'ailleurs au niveau des personnages, Nanny et le père Victor s'en sortent très bien ainsi que celui de la mariée grâce à l'interprétation tout en subtilité et profondeur de leurs acteurs respectifs. Voilà donc pour cette première partie très convenue et sans saveur. Heureusement le film commence à décoller lors de la seconde partie en axant le scénario et la réalisation autours de thèmes humains et sociétales tels que le handicap, la vie de couple, l'amour interdit, etc.
Le problème c'est que l'on pensait se trouver en face d'une comédie rigolote et joyeuse et on se retrouve en face d'un film sociétal qui en dépeint tous les travers même les plus dérangeants tel que le traitement infligé à la petite Lucie atteinte de trisomie 21 et discriminée par la sœur de la mariée.
Cependant le thème de l'amour et de l'acceptation du couple par un homme d'Eglise est très bien abordée, c'est ce qui peut sauver le film. En effet l'exploitation de la relation entre le père Victor et la grand-mère maternelle donne du corps et de la profondeur à un scénario ennuyeux et pataud.
En somme malgré le talent du réalisateur à filmer ses personnages pour en exploiter un maximum de facettes, on se retrouve perdu face à un film qui se voulait être une comédie et qui en est finalement loin.
Voilà un film qui sur le papier s'avérait prometteur. Pensez donc, un casting de rêve et l'espérance d'un joli jeu de chamboule-tout. Pour ce qui est du chamboule tout, la scène de l'église assure avec un Jean-Pierre Marielle impérial. Ensuite ça se gâte sévère en partant dans tous le sens et en virant dans la guimauve. Ajoutons-y une bande son parfois inaudible, certains dialogues qui sont plus littéraires que parlé, un Jérémie Renier décevant et une fin absurde et bâclé, on appréciera l'entendue du désastre. Quelques lueurs cependant notamment le rôle de Dominique Lavanant toujours impayable en peu de vache, ou ce baiser "cheveux sur la soupe" entre Julie Depardieu et Hélène Fillières. Et puis saluons malgré tout la performance de Danielle Darrieux (93 ans au moment du tournage)
Vu et revus dans le style mariage bourgeois avec quiproquo, secret de famille, belle-mère ou belle odeur invivable.
On empile les clichés, certains font sourire certes, mais au final, c'est trop gros. L'accumulation rend cette pièce montée indigeste. Avec un scénario plus fin, il aurait été possible de faire une bonne comédie. Ici, c'est raté.
Tous les ingrédients sont réunis mais ça ne prend pas. On voit tout le côté mielleux des mariages, ces faux semblants qui font société, ces apparences qu'on veut absolument sauver pour on ne sait quoi. Deux scènes se dégagent : la fin de la cérémonie et le coup de théâtre de Maddie, la grand-mère, interprétée par Danielle Darrieu sublime. Il y a souvent un problème de son rendant difficile la compréhension de certaines répliques pas assez articulées. Les acteurs sont corrects, sans plus. Bref, on a le sentiment d'une bonne idée mal exploitée. Seul mérite : arriver à faire ressortir des choses enfouies, comprendre pourquoi certains passages de nos vies se sont passés comme ils se sont passés.
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