Convoquant son Panthéon personnel (Jean Marais, Maria Casarès, Picasso, Lucia Bosè...), Cocteau se met en scène dans un songe éveillé, errance dans le temps et l'espace au milieu de créatures mythologiques et fantasmagoriques. Même si « les poètes font semblant d'être morts », ce testament est bel et bien le sien, bouleversant.