AlloCiné
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Votre avis sur Un Heureux Événement ?
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benoitG80
"Un heureux événement" est contre toute attente, un film réussi et convaincant ! La période de la rencontre du couple, puis celle de la grossesse sont plutôt artificielles et surjouées par les acteurs, mais un changement de cap s'opère complètement et heureusement... En effet, l'histoire démarre vraiment lors de la venue de l'enfant ! Le film gagne alors en épaisseur et vise au plus juste... Toutes les interrogations, les doutes, les bons ou très bons moments comme les plus difficiles sont extrêmement bien traités ! On est bien loin de toute les caricatures qui auraient pu prendre le dessus comme je le craignais. Il faut reconnaitre que, bonne surprise, le duo Louise Bourgoin/Pio Marmai s'en sort très bien et que les seconds rôles ne déméritent pas non plus ! Josiane Balasko tout particulièrement !
Un thème pas si souvent abordé et de plus avec beaucoup de fraicheur et de sincérité, ce qui ne gâte rien
!
Un thème pas si souvent abordé et de plus avec beaucoup de fraicheur et de sincérité, ce qui ne gâte rien
!
film traitant du sujet de la grossesse des bons et des mauvais moments de celle-ci
à travers la vision d'une jeune femme
beaucoup de parents se reconnaîtront
film réaliste
louise bourgoin toujours aussi craquante
un joli couple à l'écran
film pour public féminin
à travers la vision d'une jeune femme
beaucoup de parents se reconnaîtront
film réaliste
louise bourgoin toujours aussi craquante
un joli couple à l'écran
film pour public féminin
C'est la plus belle aventure humaine que l'arrivèe d'un enfant mais c'est aussi un bouleversement dans le couple, un ouragan! Cette transposition enlevèe du best-seller d'Eliette Abècassis est le troisième long-mètrage de Rèmi Bezançon, rèalisateur et auteur d'un magnifique succès en 2008: "Le premier jour du reste de ta vie". Ici, il est question de maternitè, de l'arrivèe d'un enfant chez un couple d'aujourd'hui! C'est le pitch le plus simple au monde mais derrière cet "Heureux èvènement" il y a un duo d'acteurs attachant qui donne le prix à cette chronique amusante, tendre et poètique sur la parentalitè! il fallait tout le talent de Louise Bourgoin et Pio Marmai pour faire exister ce couple à l'ècran ou Rèmi Bezançon part de quelque chose de très rèaliste en malmenant et en bousculant leur quotidien! Un beau film tragi-comique avec des acteurs vrais comme si on avait vraiment menè avec Louise Bourgoin et Pio Marmai cette course intime et sans tabous de la maternitè (et plus particulièrement la scène de l'accouchement). Musique de Sinclair qui signe la bande originale du film...
Louise Bourgoin et Pio Marmaï sont au centre de cette comédie douce-amère qui lève tous les tabous sur la maternité. Pour sa seconde réalisation, Rémi Bezançon adapte très librement le roman d’Eliette Abecassis dans lequel bon nombre de jeunes mamans se reconnaîtront à coup sur. Et puis, Josiane Balasko est fracassante !
🎬 RENGER 📼
Les 9 mois de grossesse, l’accouchement et les nombreuses nuits sans sommeil sont-elles le signe d’un heureux évènement ? Lorsque Barbara & Nicolas s’apprêtent à avoir leur premier enfant, ils ne s’attendaient pas à un tel bouleversement dans leur vie…
Rémi Bezançon (Le premier jour du reste de ta vie - 2008) adapte ici le roman éponyme (publié en 2005) d’Eliette Abécassis qui nous entraîne dans les affres de la maternité. L’écrivaine y décrivait de façon hyper réaliste (et empli de désillusions) la naissance de sa fille, son ressenti et son quotidien, loin d’être une sinécure et surtout, loin d’être l’heureux évènement tel qu’on nous le décrit depuis toujours (libre à chacun de se faire sa propre opinion).
Le réalisateur nous embarque au cœur de cette aventure loin de tout repos qui va mener ce jeune couple de l’euphorie à la perdition. Les nouveaux parents ne sont jamais préparés à ça, on aura beau assister à des cours de préparation à la naissance, cela ne se passera jamais comme prévu. Idem pour l’allaitement, ça ne marche pas du premier coup et malgré les divers conseils à droite et à gauche, on peut vite perdre patience ou penser que l’on s’y prend mal.
Un heureux événement (2011) c’est tout ça à la fois, une immersion dans les premiers pas de jeunes parents confrontés à l’inexpérience, à ce qu’ils liront à droite et à gauche (en prenant pour argent comptant tout ce qu’ils trouveront), aux conseils parfois avisés (ou pas) des parents et beaux-parents, …
N’importe quels parents devraient s’y reconnaître dans le film vu les divers sujets abordés, il y en a pour tout le monde (l’épisiotomie, le post-partum, le biberon est-il l'ennemi de l’allaitement ?, le club du lait, la belle mère avec ses recommandations (parfois agaçantes), l'absence de vie sexuelle ou encore la rééducation du périnée).
Pour ma part, j’avais découvert le film lors de sa sortie en salle et je n’y avais pas du tout adhérer, me sentant exclu (n’étant ni femme et encore moins père de famille). Depuis, de l’eau à coulé sous les ponts, je suis père et j’ai connu la désillusion, les fausses joies, les rires, les pleurs, la douleur endurée par ma compagne, un accouchement pas toujours facile, des nuits sans sommeil, bref, je ne vais pas m’étendre ici, je ne suis pas sur un divan chez mon psy. Tout ça pour dire qu’une décennie plus tard, bien évidemment, je regarde ou plutôt, je redécouvre ce film d’un autre œil.
Mais il n’empêche que le film ne parvient toujours pas à pleinement me convaincre. En cause ? Cette accumulation de cliché (on est devant une comédie dramatique grand public, j’en conviens que c’est un passage obligé, sauf que ce déversoir devient vite redondant et lassant), ajouter à cela, ce côté féministe où les hommes y sont dépeints comme des loosers (Nicolas doit se trouver un "vrai" travail qui rapporte et passe le plus clair de son temps avachit devant ses jeux vidéo quand son meilleur ami préfère la polygynie), sans oublier la durée du film qui s’éternise au point de frôler les deux longues heures. Fort heureusement, le duo incarné par Louise Bourgoin & Pio Marmaï fonctionne à merveille et on fini par se prendre d’affection pour eux.
Seul conseil s’il n’en fallait qu’un, pour celles et ceux qui n’auraient jamais vu le film et s’apprêtent à avoir leur premier enfant, ne regardez pas ce film avant d’en avoir eu un ! Au risque de clairement vous dégouter d’enfanter et de pousser monsieur à se faire une vasectomie fissa.
(critique rédigée en 2011, réactualisée en 2022)
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Rémi Bezançon (Le premier jour du reste de ta vie - 2008) adapte ici le roman éponyme (publié en 2005) d’Eliette Abécassis qui nous entraîne dans les affres de la maternité. L’écrivaine y décrivait de façon hyper réaliste (et empli de désillusions) la naissance de sa fille, son ressenti et son quotidien, loin d’être une sinécure et surtout, loin d’être l’heureux évènement tel qu’on nous le décrit depuis toujours (libre à chacun de se faire sa propre opinion).
Le réalisateur nous embarque au cœur de cette aventure loin de tout repos qui va mener ce jeune couple de l’euphorie à la perdition. Les nouveaux parents ne sont jamais préparés à ça, on aura beau assister à des cours de préparation à la naissance, cela ne se passera jamais comme prévu. Idem pour l’allaitement, ça ne marche pas du premier coup et malgré les divers conseils à droite et à gauche, on peut vite perdre patience ou penser que l’on s’y prend mal.
Un heureux événement (2011) c’est tout ça à la fois, une immersion dans les premiers pas de jeunes parents confrontés à l’inexpérience, à ce qu’ils liront à droite et à gauche (en prenant pour argent comptant tout ce qu’ils trouveront), aux conseils parfois avisés (ou pas) des parents et beaux-parents, …
N’importe quels parents devraient s’y reconnaître dans le film vu les divers sujets abordés, il y en a pour tout le monde (l’épisiotomie, le post-partum, le biberon est-il l'ennemi de l’allaitement ?, le club du lait, la belle mère avec ses recommandations (parfois agaçantes), l'absence de vie sexuelle ou encore la rééducation du périnée).
Pour ma part, j’avais découvert le film lors de sa sortie en salle et je n’y avais pas du tout adhérer, me sentant exclu (n’étant ni femme et encore moins père de famille). Depuis, de l’eau à coulé sous les ponts, je suis père et j’ai connu la désillusion, les fausses joies, les rires, les pleurs, la douleur endurée par ma compagne, un accouchement pas toujours facile, des nuits sans sommeil, bref, je ne vais pas m’étendre ici, je ne suis pas sur un divan chez mon psy. Tout ça pour dire qu’une décennie plus tard, bien évidemment, je regarde ou plutôt, je redécouvre ce film d’un autre œil.
Mais il n’empêche que le film ne parvient toujours pas à pleinement me convaincre. En cause ? Cette accumulation de cliché (on est devant une comédie dramatique grand public, j’en conviens que c’est un passage obligé, sauf que ce déversoir devient vite redondant et lassant), ajouter à cela, ce côté féministe où les hommes y sont dépeints comme des loosers (Nicolas doit se trouver un "vrai" travail qui rapporte et passe le plus clair de son temps avachit devant ses jeux vidéo quand son meilleur ami préfère la polygynie), sans oublier la durée du film qui s’éternise au point de frôler les deux longues heures. Fort heureusement, le duo incarné par Louise Bourgoin & Pio Marmaï fonctionne à merveille et on fini par se prendre d’affection pour eux.
Seul conseil s’il n’en fallait qu’un, pour celles et ceux qui n’auraient jamais vu le film et s’apprêtent à avoir leur premier enfant, ne regardez pas ce film avant d’en avoir eu un ! Au risque de clairement vous dégouter d’enfanter et de pousser monsieur à se faire une vasectomie fissa.
(critique rédigée en 2011, réactualisée en 2022)
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Un homme, une femme, ils s’aiment, chabadabada. Un enfant va arriver, elle ne pense pas être prête, il doit changer de travail, leurs amis vont moins les voir, etc… Le bébé est né, il pleure beaucoup et leur vie personnelle, affective et sexuelle s’en retrouve toute chamboulée. C’est dur la vie quand même…
Le film est réussi quand il ne cherche qu’à être une chronique à la fois drôle, dure et tendre de l’arrivée d’un enfants chez de jeunes parents parfois un peu dépassés. Entre les deux grand-mères insortables (pour des raisons différentes), les difficultés du couple et puis tous les clichés sociétaux sur cette période si particulière, il y a du grain à moudre. Même si en 2011 ce n’est plus spécialement provocant d’en aborder tous les aspects, même les plus intimes, le film fait souvent mouche grâce à des échanges vifs et bien écrits, et à des acteurs très à l’aise (en particulier Josiane Balasko, merveilleuse en mère post 68arde). La description de la période de la grossesse est également plutôt réussie, malgré un faux-ventre en alliage papier mâché – kevlar qui ruine quelques scènes..(faut virer le responsable effets visuels, là, c’est pas possible). Le fil rouge de l’histoire d’amour des deux parents est moins passionnant, même si il parvient in fine à nous toucher, surtout quand tout explose et qu’on nous offre un belle scène tendue de séparation.
Mais il y a dans le film un côté récurrent "analyse sociologique forcée" un peu lourdingue, comme si Rémi Bezançon ne pouvait pas se cantonner à juste regarder ce nouveau noyau familial vivre. L’arrivée de l’enfant qui transforme le père en bourreau de travail impatient et désagréable par exemple, le trait est quand même bien épais… A trop se forcer à vouloir prendre de la hauteur et faire de grandes analyses, le film se perd souvent dans de longs discours en voix-off, dans des digressions oniriques pénibles ou dans des parallèles pas très heureux. Au bout de la soixantième séquence en voix-off avec ralenti où Louise Bourgoin nous partage la difficulté d’être mère sur le mode de la dissertation philosophique, on décroche.
Dommage, car après Le premier jour du reste de ta vie le réalisateur-scénariste prouve avec ce nouveau film qu’il a définitivement un vrai sens du rythme, des dialogues et de son époque. Il faut juste qu’il se cantonne à ce qu’il sait manifestement bien faire : de petits films populaires drôles, graves et légers… mais surtout pas plus.
Le film est réussi quand il ne cherche qu’à être une chronique à la fois drôle, dure et tendre de l’arrivée d’un enfants chez de jeunes parents parfois un peu dépassés. Entre les deux grand-mères insortables (pour des raisons différentes), les difficultés du couple et puis tous les clichés sociétaux sur cette période si particulière, il y a du grain à moudre. Même si en 2011 ce n’est plus spécialement provocant d’en aborder tous les aspects, même les plus intimes, le film fait souvent mouche grâce à des échanges vifs et bien écrits, et à des acteurs très à l’aise (en particulier Josiane Balasko, merveilleuse en mère post 68arde). La description de la période de la grossesse est également plutôt réussie, malgré un faux-ventre en alliage papier mâché – kevlar qui ruine quelques scènes..(faut virer le responsable effets visuels, là, c’est pas possible). Le fil rouge de l’histoire d’amour des deux parents est moins passionnant, même si il parvient in fine à nous toucher, surtout quand tout explose et qu’on nous offre un belle scène tendue de séparation.
Mais il y a dans le film un côté récurrent "analyse sociologique forcée" un peu lourdingue, comme si Rémi Bezançon ne pouvait pas se cantonner à juste regarder ce nouveau noyau familial vivre. L’arrivée de l’enfant qui transforme le père en bourreau de travail impatient et désagréable par exemple, le trait est quand même bien épais… A trop se forcer à vouloir prendre de la hauteur et faire de grandes analyses, le film se perd souvent dans de longs discours en voix-off, dans des digressions oniriques pénibles ou dans des parallèles pas très heureux. Au bout de la soixantième séquence en voix-off avec ralenti où Louise Bourgoin nous partage la difficulté d’être mère sur le mode de la dissertation philosophique, on décroche.
Dommage, car après Le premier jour du reste de ta vie le réalisateur-scénariste prouve avec ce nouveau film qu’il a définitivement un vrai sens du rythme, des dialogues et de son époque. Il faut juste qu’il se cantonne à ce qu’il sait manifestement bien faire : de petits films populaires drôles, graves et légers… mais surtout pas plus.
Animée par le désir tout à fait louable de démolir le cliché de la grossesse joyeuse, l'équipe d'un "Heureux événement" réussit à nous faire douter de l'intérêt de la reproduction. Simple revanche des personnes ayant souffert au moins une fois dans leur vie de soirées passées en compagnie des mioches de leurs amis ? Même pas. Loin d'être creux, le film s'articule autour de tout un ensemble de problématiques, allant de la relation parenté-vie intellectuelle à la place de la sexualité, en passant par le rôle des grands-parents. Surtout, "Un heureux événement" évite l'écueil du portrait trop sombre, et n'occulte pas tous les aspects positifs de la vie familiale. Si l'on rajoute à cela les quelques passages humoristiques qui émaillent l'1h40 de film, on aboutit à une œuvre réussie, même s'il n'y a rien non plus d'exceptionnel.
Ce film tendance franco-française, où un couple se résume à l'accouchement (je ne vois aucune vision négative, faudrait-il en plus en faire l'apologie ?), enfermé dans sa bulle, n'a aucun intérêt. On est dans le nombril à la place du cerveau, bref le contrat social et la biologie, ce qui n'a vraiment aucun intérêt. Le monde extérieur n'existe pas. Bref, au lieu de voir ce film, lisez le magazine Parents.
Petite variation sur la grossesse et ses conséquences. Louise Bourgoin est rayonnante.
Un bon film ou beaucoup de personnes vont se reconnaître , marrant sans tomber dans le niais , vraiment bien joué et un plaisir de voir Josiane Balasko
C'est tellement vulgaire la première moitié que je voulais arrêter le film au bout de 20 minutes.
La deuxième partie du film prend un plus de substance. Mais, on finit par se poser de question. Tout ça, pourquoi ?
Ca commence comme Rosemary's baby mais termine comme un documentaire pour les supporteurs de pro-life.
Les femmes enceintes auront toutes à gagner, de regarder un bon documentaire, ailleurs.
Ce film n'a aucune classe. Les acteurs jouent mal. Les acteurs n'ont aucun charisme. Comme d'hab, placement de produits pour cigarettes et l'alcool (1664 bien en évidence pour ne pas la rater et une scène où les gens sont hyper heureux de fumer des clopes !). Les dialogues ne volent pas très haut.
Ce film ne m'a pas donné envie de lire le roman contrairement à ce que j'ai ressenti en regardant l'excellent The Descendants.
La deuxième partie du film prend un plus de substance. Mais, on finit par se poser de question. Tout ça, pourquoi ?
Ca commence comme Rosemary's baby mais termine comme un documentaire pour les supporteurs de pro-life.
Les femmes enceintes auront toutes à gagner, de regarder un bon documentaire, ailleurs.
Ce film n'a aucune classe. Les acteurs jouent mal. Les acteurs n'ont aucun charisme. Comme d'hab, placement de produits pour cigarettes et l'alcool (1664 bien en évidence pour ne pas la rater et une scène où les gens sont hyper heureux de fumer des clopes !). Les dialogues ne volent pas très haut.
Ce film ne m'a pas donné envie de lire le roman contrairement à ce que j'ai ressenti en regardant l'excellent The Descendants.
J'avais bien aimé "Le Premier Jour du reste de ta vie" du même réalisateur et je suis loin (très très loin même !!!) d'être de marbre devant le charme et le charisme de Louise Bourgoin, donc deux bons arguments pour moi en faveur d'une vision de ce film...
"Un Heureux événement" a le mérite de nous sortir de l'imagerie d’Épinal de la maternité en nous montrant surtout que la maternité c'est du vomi, des nuits sans sommeil, une destruction grave de la vie sociale, une destruction de la vie tout court, avec juste comme satisfaction très minime celle d'avoir un enfant qu'on aime... Mais quand même au final, les femmes seront bien tentées par un stérilet, les hommes par une vasectomie...
On peut compter aussi sur une scène d'intro charmante où les deux protagonistes se séduisent par l'intermédiaire de titres de films, et quelques répliques drôles qui font mouche.
Mais un sentiment de déception domine malgré tout. Déjà un fond un brin machiste, la femme fait tout en ce qui concerne son enfant, le mec en dehors du boulot ne fait que jouer à la Wii et tout cela apparaît comme une chose normale. Et puis l'histoire a tendance à fâcheusement se répéter, surtout dans la seconde moitié, tout en peinant à faire exister les personnages secondaires...
Le charme de la très jolie bretonne fait mieux passer la pilule de la déception mais ne peut pas totalement l'atténuer...
"Un Heureux événement" a le mérite de nous sortir de l'imagerie d’Épinal de la maternité en nous montrant surtout que la maternité c'est du vomi, des nuits sans sommeil, une destruction grave de la vie sociale, une destruction de la vie tout court, avec juste comme satisfaction très minime celle d'avoir un enfant qu'on aime... Mais quand même au final, les femmes seront bien tentées par un stérilet, les hommes par une vasectomie...
On peut compter aussi sur une scène d'intro charmante où les deux protagonistes se séduisent par l'intermédiaire de titres de films, et quelques répliques drôles qui font mouche.
Mais un sentiment de déception domine malgré tout. Déjà un fond un brin machiste, la femme fait tout en ce qui concerne son enfant, le mec en dehors du boulot ne fait que jouer à la Wii et tout cela apparaît comme une chose normale. Et puis l'histoire a tendance à fâcheusement se répéter, surtout dans la seconde moitié, tout en peinant à faire exister les personnages secondaires...
Le charme de la très jolie bretonne fait mieux passer la pilule de la déception mais ne peut pas totalement l'atténuer...
pierrre s.
Une comédie douce/amère, sur l'arrivée d'un enfant dans un couple. Peut-être pas le meilleur film pour promouvoir la maternité, mais un drame bien fait et bien joué.
Chronique d’un enfantement avec ses joies et ses peines. Une comédie à la fois drôle, touchante et subtile, portée par l'excellent couple Louise Bourgoin, rayonnante et Pio Marmai.
Un pur moment de vécu , d'amour , d'émotion de larmes et de bonheur... Louise Bourgoin est magistrale de justesse....
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