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Anonyme M
65 abonnés
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0,5
Publiée le 30 janvier 2022
ho que c'est nul !! le film met une plomb a démarer, une fille qui est repeché dans l'eau qui se comporte comme une folle, le type alcoolique, les soupson bizare sur le fait qu'elle serait une sirène, le film super long, pas intéressant NUL.
Adorable film sous forme de conte. Colin Farrel sort de ses rôles musclés habituels pour nous offrir une prestation tout à fait honnête en marin père d'une enfant handicapée. Au-delà de l'histoire, le film presque entièrement irlandais décrit avec précision cette société où l'alcoolisme est omniprésent (spoiler : spoiler: Syracuse a été plaqué parce qu'il voulait cesser de boire ). Reste une belle histoire romantique. On regretterait presque la fin, trop réaliste à mon goût, mais cependant belle.
Je n'ai pas adhéré du tout à l'atmosphère de ce film. Ni les acteurs, ni les lieux, ni l'histoire ne m'ont accroché et j'ai trouvé ça sombre et inintéressant par dessus le marché. Dommage car le scénario paraissait original mais non ! Trop indigeste !
Un film ovni, inclassable, surprenant, bouleversant, onirique… Parti d’une légende celtique, Neil Jordan nous offre un film poétique, sublimé par des décors magnifiques irlandais et par une histoire touchante, sous forme de conte de fée. A mi chemin entre la science fiction et le drame social, le spectateur est transporté par le récit sans savoir réellement ce qu’il doit croire ou de quel coté penchera finalement le film. Et puis, il y a Colin Farrell, parfait, métamorphosé, émouvant. C’est un vrai plaisir de le voir aussi inspiré dans ce rôle, tout en sensibilité et en retenue. Il trouve enfin un rôle qui lui permet d’exprimer pleinement son talent, et c’est tellement plus agréable de le voir ainsi plutôt qu’en blonde peroxydée (Alexandre). En face de lui, Alicja Bachleda et Alison Barry sont également très convaincantes et prometteuses. Enfin, il est merveilleux d’entendre Sigur Ros sur la BO de ce film pour le magnifier encore un peu. Bref, un film émouvant et poétique, passé inaperçu mais qui mérite vraiment d’être découvert et apprécié, comme une fable. Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
« Ondine » est un petit film sympathique qui nous fait agréablement voyager sur les jolies côtes d'Irlande, pleines de charme et de poésie. On y suit une histoire d'amour improbable entre un marin pêcheur un peu paumé et la très belle jeune femme qu'il a la surprise de remonter dans ses filets. Le conte de fée peut alors commencer, oscillant en permanence entre légende et réalité. On se laisse d'autant mieux prendre au piège que les acteurs font leur job avec une visible implication. Colin Farrell est ténébreux à souhait et la sublime Alicja Bachleda campe une sirène plus vraie que nature... Quant à la toute jeune Alison Barry, elle apporte la petite touche de fraîcheur indispensable à ce genre d'exercice. Il ne reste plus qu'à se laisser porter par l'atmosphère étrange de ce film gentiment fantastique. Léger bémol, quelques longueurs émaillent le scénario par ci, par là... Ceci dit, l'ensemble sort de l'ordinaire et reste bien agréable à suivre. Une belle surprise dans l'ensemble !
Film envoûtant et étrange dans la première demi-heure mais son intérêt décroit au fil de l’histoire. Entre la fable, le mythe et la réalité, on se perd, on s’accroche comme on s’accrocherait à un récif mais la barque s’éloigne du rivage tout en évitant cependant le naufrage. L’ambiance de plénitude et les sentiments qui naissent entre les personnages sont catalysés par le charme envoûtant des éléments naturels. C’est beau, parfois un peu longuet, rattrapé une interprétation de Colin Farrell pleine de justesse et une Alicja Bachleda Curus, toute en beauté. Dommage que la fin vienne un peu ternir le cliché.
Si l’on passe outre le manque de rythme évident du début du film, on rentre dans une histoire d’amour sympa, poétique, fraîche, un brin naïve qui donnerait presque envie de tout laisser pour aller travailler comme pécheur en Irlande. Personnellement, j’étais sous le charme comme le héros du film et sa fille.
Un film passé presque inaperçu en France et qui pourtant gagne à être davantage connu. On assiste là à une histoire à la fois mélancolique, tendre, belle et mâtiné d'un peu d'humour avec une très jolie histoire d'amour et une Irlande idéalisé, superbement photographié. Un conte de fée pour adultes qui brille par son originalité et sa magie spéciale. Très beau film à voir.
Neil Jordan déçoit de nouveau. Aussi amoureux de son pays qu'au temps de "Michael Collins", le cinéaste signe "Ondine" en 2009. Dans ce nouvel opus, il tente de puiser dans le folklore irlandais à travers l'histoire de ce pêcheur épris d'une mystérieuse femme sortie des eaux. Néanmoins, malgré la présence de Colin Farrell en tête d'affiche, "Ondine" est un ratage, frôlant même par moment le nanar. Car le cinéaste ne nous livre finalement qu'une histoire d'amour à l'eau de rose, pourvue de lacunes. À commencer par la photographie d'une laideur exceptionnelle. Un tel cadre ne masque donc pas les personnages stéréotypés, noyés tous dans le pathos. Sans même parler de la dite surprise finale, prévisible à mille lieues. Tel est pris celui qui croyait emberlificoter son spectateur !
Je ne veux pas casser le film, mais alors que c'est mou, que c'est mal joué, spoiler: une gamine qui remarche, une femme que l on repèche un mec qui se remet à boire et puis à la fin il vive heureux c'est nul. La version française rend le film encore plus nul. Désolé
Un très joli film. Bien servi par des acteurs au ton juste. Ni trop ni trop peu. Un excellent Collin Farrel à la fois doux et dur, Alicja Bachleda-Curus délicieuse dans son rôle de sirène qu'elle attrape au vol désenchantée. L'astuce du film est de nous entraîner dans la légende et les acteurs avec nous: Une de celle à laquelle nous voulions croire à 8 ans et nous voulons y croire toute invraisemblable qu'elle soit, comme antidote au désespoir. Désespoir auquel le personnage du film pourrait être confronté: Ex-femme alcoolique, fille handicapée. Alors, à tout prendre, va pour la légende!! Mais au fond nous savons, et le héros avec nous que celle-ci cache une réalité certainement plus brutale.L'ambiance Irlandaise est restituée avec une fidélité touchante, en dehors des sempiternelles cartes postales du Connemara. Ici, le ciel est bas et la mer est grise.Un beau film. Qui sans doute ne marquera pas l'histoire mais nous fait passer un très joli moment. Merci Mr Jordan
Ondine : Vraiment, c’est un très beau film, remplit de bon sentiment et de pureté. Car, ce film montre l’équilibre fragile qu’il y a entre les contes de fées et la dure réalité. Car, ce film parle d’un pécheur qui repêche par hasard une femme qui était inconsciente dans l’eau. Et c’est la que le mystère et la magie commence. Car, tout le monde va penser que c’est une sirène, même le gars et surtout sa fille. Et donc, c’est à travers une légende du coin que le conte de fée va prendre forme. Est-ce une vrai sirène… on aimerait le crois. Et c’est ça que j’ai adoré dans ce film, c’est qu’on s’attache beaucoup a l’histoire et aux personnages qui sont très humains mais rêveur en même temps. Et leur relation son tellement sensible et timide. Bon, il y a juste le final qui perd un peu de sa magie mais la fin rattrape. Sinon, la réalisation est superbe, la photographie magnifique : vraiment, l’atmosphère du film y est excellente. Et que dire des acteurs : Colin Farrell, Alicja Bachleda-Curus, Alison Barry… a part qu’ils sont tous d’une justesse appréciable avec une belle sensibilité. Donc voila, un film qui nage sur la vague du mystère et du conte de fée réel : on passe un bon moment.
Drôle de film. Envoûtant et étrange au début. Mais très vite barbant malgrès de bons sentiments. Dommage. Dommage aussi pour Colin Farrell, j'espère voir un jour un bon film de cet acteur surcoté avant qu'il ne meurt ou que ce soit moi qui meurt ...
Un film sympathique traitant principalement d'une légende écossaise des "Selkins", traduisé sirène. Syracus (Colin Farell) lors d'une sortie en mer va repêcher la jeune et jolie Ondine (Alicja Bachleda-Curus). Syracus vit une vie des plus tristes ex-alcoolique, il se bat pour obtenir la garde d'Annie sa fille atteinte d'une maladie en la retirant de sa mère alcoolique, petit pêcheur qui gagne mal sa vie et assez solitaire. Ondine ne va pas se rendre compte qu'elle va apporter de la joie et du changement dans cette famille. La réalisation et le scénario sont bien fait et prenant, les paysages d'Irlande toujours aussi captivant malgré la brume et la pluie.