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Votre avis sur Ondine ?
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il ètait une fois un pêcheur qui remonta dans ses filets une jolie femme qui s'avère être peut-être une sirène (?) ou une Selkie! Lui c'est Syracuse (Colin Farrell) et elle c'est Ondine (Alicja Bachleda-Curus), qui veut dire "Sortie des eaux". Cette fable moderne à tendance poètique de Neil Jordan n'a rien de comparable avec des oeuvres fortes telles que "Mona Lisa" ou "The Crying Game". Nous sommes plus ici dans un sentiment de tendresse et d'èmotion gentiment vraie où l’on se laisse bercer par les vagues irlandaises. "Ondine" possède ainsi un charme naïf mais ne manque jamais d'intensitè! il faut dire que le duo Collin Farrell-Alicja Bachleda-Curus incarne avec conviction deux êtres que tout oppose et qui fera les dèlices des fleurs bleues en manque d'histoires d'amour! Leur interprètation confère d'ailleurs une rèelle dimension à la fois humaine et romantique! De plus ce film garantit le dèpaysement total...
Ridicule du début à la fin, cette tentative de revisiter la légende d’Ondine en conte social tombe à l’eau. A désespéré de Neil Jordan.
Ridicule du début à la fin, cette tentative de revisiter la légende d’Ondine en conte social tombe à l’eau. A désespérer de Neil Jordan.
Neil Jordan revient dans son pays natal et du même coup à un cinéma plus confidentiel, loin des sirènes hollywoodiennes et signe un joli conte fort attachant, abordant le fantastique sous un angle réaliste, à moins que ce ne soit l'inverse, la frontière entre réalité et merveilleux étant des plus ténus. Si l'on peu reprocher quelques longueurs et un dernier acte trop explicatif, cassant tout le mystère qui a précédé, les superbes paysages d'Irlande, la modestie de l'ensemble et une interprétation pleine de justesse (Colin Farrell prouve une fois de plus qu'il n'est jamais aussi bon que loin des blockbusters) compensent ces menus défauts.
Ondine, nymphe des eaux, sirène des mers. Dans toutes les mythologies, la légende des femmes poissons est récurrente, comme avec celui de Lorelei en Allemagne, ou en l’occurrence le mythe des Selkies, humains revêtant la peau d’un phoque pour se transformer en l’un d’eux. Histoire d’origine écossaise, le film nous propose une plongée au cœur de légende.
Syracuse (Colin Farrell), pécheur irlandais, sillonnait ses eaux froides comme tous les jours, le regard vide, pensant à son passé d’alcoolique dépressif, à son ex-femme irresponsable, et surtout sa fille qu’il ne voit pas assez, souffrant de graves insuffisances rénales au point de devoir attendre sa possible greffe dans un fauteuil électrique. Mais ce jour là, ce n’est pas du poisson qui sorti de son filet, mais une femme (Alicja Bachleda-Curus / Farrell). Mystérieuse et semble t-il amnésique, elle préfère rester dissimulée et se cacher des autres. Se faisant appeler Ondine, comme dans la mythologie, son chant attire tous les poissons dans les filets, et elle semble avoir une connexion avec l’eau. À la fois fascinés et envoûté par elle, Syracuse et sa fille la regardent avec cette même étincelle dans le regard : « et si c’était une selkie ? ».
Coïncidence, chance, ou tout simplement force divine, le film fait monter le mythe autour de son Ondine. Sans jamais pouvoir être catégorique sur son caractère mystique, le film ne se montre pas non plus exclusif et nous laisse dans le doute jusqu’à la révélation finale. Bien que notre esprit sait que les sirènes n’existent pas, notre cœur a envie d’y croire, et tel un enfant rêveur, on suit cette aventure avec espoir et passion. Poétique, romantique, magique, dans une atmosphère d’une tristesse sans nom, ce personnage bienfaiteur arrive comme la providence et illumine notre regard, tandis que l’excellent Colin Farrell nous met la boule à la gorge et que sa petite Annie nous émeut au plus haut point. D’une grande poésie, cette troublante histoire joue énormément sur la métaphore avec un talent fourbe, avant un final tout en désillusions, mais pleinement maîtrisé, nous laissant sur une fin réaliste et mélancolique, mais tellement forte et féerique. L’alchimie qui se dégage est d’ailleurs sincère puisqu’après le tournage, Colin Farrell a épousé son Ondine et lui a fait un enfant. Qui a dit que le romantisme était mort ?
Syracuse (Colin Farrell), pécheur irlandais, sillonnait ses eaux froides comme tous les jours, le regard vide, pensant à son passé d’alcoolique dépressif, à son ex-femme irresponsable, et surtout sa fille qu’il ne voit pas assez, souffrant de graves insuffisances rénales au point de devoir attendre sa possible greffe dans un fauteuil électrique. Mais ce jour là, ce n’est pas du poisson qui sorti de son filet, mais une femme (Alicja Bachleda-Curus / Farrell). Mystérieuse et semble t-il amnésique, elle préfère rester dissimulée et se cacher des autres. Se faisant appeler Ondine, comme dans la mythologie, son chant attire tous les poissons dans les filets, et elle semble avoir une connexion avec l’eau. À la fois fascinés et envoûté par elle, Syracuse et sa fille la regardent avec cette même étincelle dans le regard : « et si c’était une selkie ? ».
Coïncidence, chance, ou tout simplement force divine, le film fait monter le mythe autour de son Ondine. Sans jamais pouvoir être catégorique sur son caractère mystique, le film ne se montre pas non plus exclusif et nous laisse dans le doute jusqu’à la révélation finale. Bien que notre esprit sait que les sirènes n’existent pas, notre cœur a envie d’y croire, et tel un enfant rêveur, on suit cette aventure avec espoir et passion. Poétique, romantique, magique, dans une atmosphère d’une tristesse sans nom, ce personnage bienfaiteur arrive comme la providence et illumine notre regard, tandis que l’excellent Colin Farrell nous met la boule à la gorge et que sa petite Annie nous émeut au plus haut point. D’une grande poésie, cette troublante histoire joue énormément sur la métaphore avec un talent fourbe, avant un final tout en désillusions, mais pleinement maîtrisé, nous laissant sur une fin réaliste et mélancolique, mais tellement forte et féerique. L’alchimie qui se dégage est d’ailleurs sincère puisqu’après le tournage, Colin Farrell a épousé son Ondine et lui a fait un enfant. Qui a dit que le romantisme était mort ?
Après le monstrueusement raté "A vif", film à la morale plus que douteuse, Neil Jordan remet le couvert dans un tout autre registre: le fantastique encré dans la réalité la plus banale. Colin Farrell interprète très justement et sobrement un pêcheur qui un jour remonte une jeune femme dans ses filets. On le devine éprouvé par la vie et c'est sans aucuns doutes que cette rencontre plutôt atypique va tout changer. Sous les traits de la ravissante et envoûtante Alicja Bachleda-Curus déjà vue dans le bon "Trade, les trafiquants de l'ombre", le mystère reste entier quand à l'origine de cette femme. Une sirène ? Une créature marine de légende qui enlèverait sa peau de phoque pour pouvoir rester sur terre ? Le récit balance constamment entre réalité et merveilleux et on suit ces personnages attachants dans ce conte social teinté de surnaturel. Il est donc des sujets que le réalisateur traite bien mieux que celui de la vengeance. Une sobriété de mise en scène pour des actes qui titillent notre imaginaire, cela me rappelle le cinéma de M. Night Shyamalan. Un film assez prenant qui livrera sa vérité sans nous laisser pantois et qui ne nécessitera pas de deuxième lecture. Pas mal.
De superbes paysages d'Irlande, de bons acteurs et un bel accent. Une histoire fantastique qui tourne au réaliste... Ce film est envoûtant et a une vraie âme. Magnifique.
J'ai trouvé ce film original. Je m'attendais à un film plat, un peu niais, mais je me suis laissé prendre au jeu des acteurs (qui jouent juste). Pourtant amateur de film d'action, je ne me suis pas ennuyé pendant ce film puisque le scénario est bien mené. Les paysage d'Irlande sont splendides.
Si vous souhaitez vous divertir avec un film touchant et rafraichissant, n'hésitez pas, vous ne serez pas déçus!
Si vous souhaitez vous divertir avec un film touchant et rafraichissant, n'hésitez pas, vous ne serez pas déçus!
Dès le début, le filet ramenant la sirène avec cette caméra qui balaie large ou se recentre sur la capture, on part dans le fantastique. Et voilà qu'elle vomit cette créature, répond au pêcheur. Crainte de déboucher sur la platitude ou le désastre. Surtout que le filet d'après, cette prise saumonée inédite résultant du chant, déclenche l'hilarité. Là-dessus une petite handicapée, une famille qui sent le soufre, on a peur pour le réalisateur. Il reste à compter avec le caractère un peu à part du père (Colin Farrel), ce Syracuse, Circus, pour aller plus vite "le clown". Sa marginalité fait qu'on suit la petite pâlichonne (Alison Barry). C'est celle qui inquiète. Du chêne religieux lors des confessions à l'hôpital ou en pleine causerie sur route (joli plan de la petite tête de l'enfant vue de la voiture), on passe aux sauts dans l'eau pour moult raisons. Tout cela sur vie communautaire sur une île de buveurs envahi par toutes sortes de gros poissons. Brillante et brève plongée explicative justifiant le point de départ... Possible donc d'apprécier à condition de se laisser aller entre étrange et pince-sans-rire. La splendide Alicja Bachleda-Curus aurait gagné à limiter son chant de surface (si plat, si artificiel qu'on se boucherait bien les oreilles) et à le propulser tout de suite dans les profondeurs.
JeremGar
"Ondine" est un assez bon film. L'histoire était tellement originale que je voulais absolument le voir. Seulement, j'ai été beaucoup déçu par la tournure que prend le scénario. Du féerique et du surnaturel on revient finalement à l'ordinaire et au possible... Le jeu d'acteur de Colin Farrell est excellent et la beauté de la "sirène" donne encore plus d'âme à ce film.
Visuellement le film est sublime, la réalisation est soignée, et les paysages sont fabuleux... sans oublier les acteurs qui sont assez convaincants, et la bo qui est vraiment belle et relaxante (à l'image du rythme du long-métrage) !! Dommage que le scénario soit un peu trop linéaire, parfois sans manque de rebondissement. Et j'ai aussi été déçu par la fin, je souhaité un autre dénouement... le sujet des ondines est trop mal exploité à mon goût, j'en entendais beaucoup plus (ils auraient du continuer dans le mythe des sirènes) ! Dans l'ensemble, 'Ondine' est un film qui se laisse regarder une fois pour son ambiance et son climat assez particulier et intriguant, mais ce n'est pas un coup de cœur, loin de là !!
Un Neil Jordan plutôt mitigé voir frustrant. Le pitch s'annonce original, intéressant mais la trame et la fin ne sont finalement que trop classiques voir totalement prévisibles et cette facilité agace d'autant que les paysages sont beaux, l'interprétation de la mythologie poétique et le casting bon. Tout les ingrédients sont là mais ça relève plus du joli conte moderne sur fond de mysticisme qui ne prend qu'à moitié et se révèle surtout monotone voir lent. Un gros plus pour l'atmosphère, un gros moins pour le scénario. Excellente surprise que celle de retrouver Sigur Rós dans la bande son.
Autant le dire de suite, ce fut une bonne surprise. J'étais septique au départ, et pas spécialement emballé à voir "Ondine", mais fort de constaté que c'est agréable à regarder, et pas seulement grâce aux formes de la douce Alicja Bachleda-Curus. (un nom plus facile à écrire qu'à dire, tellement celui-ci est difficile à prononcer...) qui passe son temps à se baigner en petite culotte. Et déjà juste pour ça, on se dit que l'on ne perd pas notre temps. Mais le reste du casting n'est pas en reste. Colin farrell est impeccable. Et la jeune Alison Barry qui joue sa fille, est extrêmement touchante, mais si celle-ci est un peu crédule sur certains points. Reste que l'on peut être déçus par l'indigence du scénario. Mieux travaillé, il aurait pu être excellent. Seulement le suspense est presque nul, on ne nous livre aucun indice sur la vraie identité de la demoiselle. Et quand on découvre le pot aux roses, il n'y a aucune surprise, car on ce douté déjà d'une fin comme ça des le départ. Mais dans tout les cas "Ondine" se rattrapent par une mise en scène astucieuse avec quelques plans fort sympathiques et une musique qui accompagne les moments clés de bien belle manière. Au final, loin d'être inoubliable, ça reste un bon petit film plein de poésies qui fait passer une bonne soirée.
Comment peut-on touver ce film nul? On ne nous oblige pas à croire à l'existence fantastique, il y a bien un enfant dans l'histoire! Et le scénario tient bien la route, c'est très poétique, l'image et la musique sont belles et Colin Farrell est émouvant!
un bon film qui mêle le folklhore irlandais à la pêche traditionnelle sur fond de drame quotidien. Bien que légèrement monotone, le film envoûte par ses paysages, ses traditions et le jeu des acteurs. Un joli conte irlandais sur fond de romance.
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