Avis sur Captain America : First Avenger

du bon marvel, rien à dire

classique respecté! l'un des premiers super héros et c'est ce qui est bien suivi par le réalisateur Joe Johnston, le héros est lisse, irréprochable, plein d'idéalisme et de bons sentiments! ce qui correspond très bien avec l'image du super-héros qu'on se faisait au départ.... Simple mais assez efficace. On ne s'en souviendra pas pendant des années mais c'est assez divertissant quand même.... A voir avant d'aller voir "The Avengers!"

Peut-être la plus difficile adaptation de super-héros à laquelle nous avons droit depuis une dizaine d'année. Car parmi la pléiade des hommes en slip, il faut bien reconnaître que le personnage de Captain America est de loin le plus ridicule : costume de cirque, ailettes ridicules, message d'un nationalisme douteux, histoire capillotractée en raison des aléas de la vente du comics dans les années 50... D'ailleurs, l'affiche pue le nanar à plein nez. Seulement, la cure de jouvence que Joe Johnston lui fait subir s'avère une pure réussite. A la faveur d'effets spéciaux éblouissants, d'un design mis au goût du jour, des scènes de combat splendides, il réussit là où le pauvre Albert Pyun avait échoué 20 ans plus tôt. Captain America n'a pas à rougir devant Batman, Hulk, Iron Man et autres justiciers du même genre. Pourtant, les tares d'origine ne disparaissent pas pour autant. Le héros est un bisounours aussi serviable que gauche avec les femmes, ce qui n'est pas sans énerver le spectateur amateur de vrais héros, dont la personnalité aurait une once d'intérêt. Rien à voir avec Thor par exemple, personnage autrement plus vendeur. De plus, Captain America évolue dans le plus manichéen des univers qui soit, Red Skull représentant son double maléfique. Le scénario ne vaut pas grand chose, il est ultra-prévisible. Les dialogues, qui auraient pu baigner dans un rafraîchissant comique, restent fades et sans relief. Enfin, en 2h de film on ne nous présente que les origines, autrement dit ce qu'il y a de moins intéressants. Vivement la suite que l'on voit ce que Captain America a vraiment dans le slip. Les producteurs vont-ils ressortir l'équipe de super-héros qui accompagnent Steve Rogers à sa sortie de la glace en 1963 ? En clair, va-t-on enfin avoir droit à un vrai film de super héros où ça se castagne à tout va, et pas un Ersatz à but commercial ?

Après le présent pour Iron Man et Hulk, le monde des Dieux pour Thor, Marvel propose une plongée dans la Seconde Guerre Mondiale avec Captain America, récit évoquant le premier avenger mis en scène par Joe Johnston.

Déjà, on ne peut que constater que ça fait du bien de changer de cadre et de se retrouver dans une Amérique s'engageant dans la Guerre et en Europe sur le front, surtout que c'est plutôt bien retranscrit, avec une petite touche de charme qui est la bienvenue. Tout n'est pas encore parfait pour Marvel mais force est de constater qu'ils arrivent à mettre en place un univers cohérent et intéressant, tout en rendant intriguant les super-héros décrits, notamment Steve Captain America Rogers.

Cet opus ne fait pas dans la dentelle, proposant un mélange de nazis, d'expériences humaines plus ou moins réussies ou encore de secte scientifique au sein du Troisième Reich, et si c'est parfois trop, frôlant l'indigeste, l'oeuvre trouve son salut avec son protagoniste. En effet, héros d'abord improbable pour devenir le défenseur de l'Amérique, Rogers est assez vite intéressant, alliant force et humour, et étant en plus bien entouré, avec des personnages alliés réussis, là où les méchants laissent clairement à désirer tant ils sont décris avec caricature.

Il y a une certain charme dans cette oeuvre, surtout lorsqu'on est loin des combats à l'image des séquences dans New York, et Joe Johnston signe une mise en scène efficace à défaut d'être brillante, maîtrisant bien le tempo et bénéficiant d'une bonne reconstitution. Devant la caméra, on notera les atouts que sont Hayley Atwell, Sebastian Stan, Tommy Lee Jones et surtout Chris Evans là où Hugo Weaving montre lui toute sa science du cabotinage.

Joe Johnston propose avec Captain America une oeuvre assez étrange, où les excès sont en tout genre et tendent vers l'indigestion, mais finalement sauvée par un personnage principal attachant et bien entouré, ainsi qu'un cadre sympathique exploité avec un minimum de savoir-faire.

La bonne surprise de l’improbable "Thor" m’a rendu optimiste pour les prochaines adaptations Marvel. Je suis donc aller voir ce "Captain America" relativement confiant, rassuré par une bande-annonce dévoilant un costume moins kitsch qu’on aurait pu le craindre et une ambiance de Seconde Guerre Mondiale collant bien au personnage. Car, n’oublions pas que Captain America est avant tout un patriote américain arborant les couleur de la bannière étoilée pour affronter les ennemis de la Nation… soit un personnage complètement désuet ne répondant plus aux codes des héros actuels, en proie à leurs doutes et à leurs contradictions (voir les derniers "Batman"). Et s’il faut reconnaître une qualité au film, c’est celle d’avoir réussi à éviter le piège du ridicule (comme "Thor" avant lui) en offrant un certain recul au super-héros (tellement patriote qu’il apparaît en décalage avec les autres soldats et se voit récupéré à des fins politiques) et en jouant avec l’image kitsch du personnage lors de ses tournées de gala. Une fois le personnage accepté, le pari aurait dû être remporté haut la main. Malheureusement, le réalisateur Joe Johnston, sans doute tenu par un cahier des charges exigeant du grand spectacle, n’a pas su livrer un univers homogène à ce personnage rendu crédible. Pourquoi ne pas avoir fait le pari du vintage, en se passant de rayons lasers, de vaisseaux high-tech et autres dérives futuristes, pour, au contraire, se contenter d’un équipement à l’ancienne. Un tel parti-pris aurait permis de renforcer la crédibilité du personnage et de jouer sur le décalage avec le 21e siècle dans les prochains films. On a malheureusement trop souvent l’impression que l’intrigue aurait très bien pu se dérouler de nos jours, le réalisateur ne jouant pas assez avec l’époque (j’aurais également aimé qu’il s’autorise quelques libertés historiques comme le récent "X-Men"). Autres défauts : l’absence d’un thème musical fort et reconnaissable ainsi qu’un manque d’écriture des personnages qui s’avèrent étonnement pauvres, tout comme le scénario franchement prévisible. Le casting est, malgré tout, une source de satisfaction concernant Chris Evans qui campe un Captain America convaincant (mention à son apparence chétive au début du film, rendu possible par des effets spéciaux épatants), la révélation Hayley Atwell qui devrait refaire parler d’elle très bientôt, le terrible Hugo Weaving qui réussit à exister sous le masque du méchant Crâne Rouge (dont le look peut néanmoins paraître un peu trop lisse et écarlate), l’inattendu Tommy Lee Jones en autoritaire mais amusant Général Phillips et l’indispensable Samuel L. Jackson en Nick Fury. J’ai moins été marqué par les prestations attendues de Stanley Tucci et Toby Jones ainsi que par les interprétations transparentes de Sebastian Stan en Bucky et de Dominic Cooper dans le rôle d’Howard Stark, père du futur Iron Man. Il aura donc essentiellement manqué à ce "Captain America" une direction artistique plus cohérente et une intrigue plus dense. On se contentera de son statut de préquel au futur The Avangers qui réunira tous les héros Marvel. Qui aurait cru cependant, au début de l’année, que "Thor" serait plus réussi que "Captain America" ?

un film pas mal du tout un genre de indiana jones en super heros tre bonne realisation acteur pas trop mas mai je trouve combat contre le mechant trop rapide sinon un bon film d'aventure grandiose bien meilleur que iron man thor et compagnie.

Pour moi , le moins reussi des Marvel . Tous les Comics ont un interet et sont généralement bien retranscris à l'ecran mais Capitaine America est tres déçevant.Certes le personnage principal est interessant et "attachant" mais le scénario est plat et sans interet.L'histoire manque de credibilité : un artefact bleu , des rayons lasers...ok mais pas à l'epoque de la seconde guerre mondiale! Bref pas terrible ce Marvel!

Allez, fallait se faire le 1er, enfin celui qui est censé être le 1er puisque le Cap n’a jamais été le 1er vengeurs et ce film n’a pas été le 1er tourné ni montré.
Bon, passés ces détails je me disais que j’allais me farcir une purge, le Cap n’étant pas mon héros favori, trop cabochard, trop patriote, trop béni oui-oui, un soldat basique (pléonasme), le héros gentil et propre sur lui, sans intérêt. Bref, c’est la pierre angulaire des Vengeurs donc fallait se le trimballer. En plus, l’acteur qui l’incarne faisait des pieds et des mains pour être dans le MCU après la Torche, il a réussi et on voit qu’il est motivé. S’il fait un bon Cap America, il n’est pas le seul, les autres stars, Tommy Lee Jones et Hugo Weaving, sont bonnes aussi, sauf que Crâne Rouge révèle son vrai visage trop vite.
Par contre, et je vais sûrement aller à l’encontre du plus grand nombre, ce qui m’a plu c’est le fait de mettre l’origin story au début. Normal me direz-vous, ben non, de trop nombreuses fois j’ai vu le Cap après sa décongélation, avec les vengeurs et tout ça. C’est zapper le héros de guerre, son côté propagande, son grand âge, le vintage, son décalage avec le monde moderne... Si on ne voit que trop peu ce dernier point, le reste est bien mis en avant, ça m’a surpris mais surtout c’est très bien fait, ça colle à la réalité (autant que faire ce peu) et aux comics d’antan. C’est d’autant plus fort que le patriotisme demeure en sourdine. Un film de guerre avec une touche de fantastique comme dit Newt23, c’est bien dit et c’est une approche inédite.
Hormis cela les musiques sont bien trouvées (normal avec Alan Silvestri), l’action est bien présente, le rythme tient bien tout le long, peu de longueurs, la reconstitution est là (sauf les vaisseaux et les lasers, Disney rachetant Star Wars), le montage et les dialogues sont assez clairs pour que tous comprennent, puis la petite touche d’humour passe crème, sans abus ni qu’on s’y attende. Allez, on risque juste d’être déçu par les combats, surtout à la fin, mais perso j’étais pas là pour ça, puis fallait bien en faire un blockbuster, c’est taillé pour.
Au final, c’est vraiment l’opus qui m’a le plus surpris de cette 1ère phase, peut-être parce que j’en n’attendais pas grand-chose mais le rendu m’a presque enthousiasmé. Entre images et FX ça reste un « vrai » film, qui repose plus sur des idées que du visuel, un fond plus qu’une forme, et ça c’est plus profond, venant du Cap c’est étonnant.

Ce personnage n’est pas mon Marvel préféré, je n’ai donc pas apprécié ce film plus que ça. Je ne dis pas qu’il est mauvais, mais je n’accroche pas. Déjà, on aura plus l’impression de voir un film de guerre qu’un de super héros. On assistera plus à des combats militaires, l’affrontement avec le super-vilains Crane Rouge restant succin. Les effets spéciaux étant assez moches à mon goût, je n’ai pas pris particulièrement de plaisir à le voir. Il va surtout servir à poser les bases pour expliquer qui est Captain America, afin de préparer AVENGERS. On verra la personnalité de ce Steve Rogers devenu un héros national. À l'image de son début dans les comics il y a plus de 70 ans, Captain America est assez caricatural du patriotisme Américain. Je n’ai pas trouvé la performance de Chris Evans exceptionnelle. Elle s’améliorera grandement dans les prochains films quand son personnage s’étoffera. CAPTAIN AMERICA : FIRST AVENGER aura donc été pour moi un point de passage obligé plutôt qu’un plaisir.

« Captain America » (le plus ancien des personnages « Marvel ») est un bon film de super héros, ni plus ni moins ! Il y a eu tellement de productions de ce genre au cours de ces dernières années que les nouvelles sorties, même si elles sont de qualité, finissent par être diluées dans la masse. Le scénario tente bien d'innover en nous transportant au cœur de la seconde guerre mondiale mais force est de constater que l'originalité n'est guère au rendez-vous. L'effet de surprise se disperse rapidement et on retrouve vite les codes habituels du genre. Finalement ça n'a guère d'importance, la raison d'être de ce genre de film est de divertir et de ce côté on en a pour notre argent. L'action est bien présente, les combats nombreux et bien filmés et le super méchant plutôt réussi. Ce dernier, sorte de guerrier nazi zombifié, figure même parmi mes personnages favoris. Les effets spéciaux, confiés à 13 compagnies différentes, sont (très) spectaculaires et on passe globalement un bon moment. Alors certes ce « Marvel » ne fera pas surchauffer vos méninges et vous aurez vite fait de l'oublier... Mais pour passer une soirée télé sans prise de tête, ça vaut bien « l'amour est dans le pré » !

Pendant une bonne heure, Joe Johnston parvient à déjouer intelligemment les pièges du patriotisme exacerbé et orchestre un spectacle à l'ancienne fort distrayant, peignant un anti héros attachant loin du simple casseur de nazis à la solde d'une Amérique toute puissante. Puis tout intérêt se dilue petit à petit dès que l'on entre dans l'action véritable, la faute surtout à un manque d'ampleur et à une absence totale d'innovation.

Une fois n'est pas coutume, qui aurait pu prétendre que les studios Marvel allaient passer à côté de leur nouveau film ? Peu il faut l'avouer, si ce n'est quelques langues fourchues qui ne réussissent à croire qu'à un cinéma fragile qui peut être décevant à de nombreuses reprises. Alors que les amateurs des Avengers attendaient beaucoup de Captain America, la surprise fut principalement quand au choix du réalisateur Joe Johnston, que l'on a beaucoup vu travailler aux côtés de Spielberg mais aussi Lucas. Ce dernier s'avère être rapidement convaincant, en plus de s'assigner à un contexte historique difficile. Certes, quelques facilités dans le scénario déplaisent, mais l'important reste de satisfaire le large public qui rentre parfaitement dans la peau du personnage Steve Rogers.

Ce film d'action est intéressant car il montre parfaitement ce qu'est un comic book.
Les Etats-Unis étant un jeune pays, ils avaient besoin d'une mythologie véhiculant des valeurs à la fois fondatrices et identitaires, et pour les transmettre de générations en générations rien de tel que de les inclure dans l'imaginaire de milliers d'enfants américains par l'intermédiaire de bandes dessinées.
Mi arme de propagande, mi divertissement, les comic books et particulièrement Captain America font partie de la culture américaine.
Un homme chétif réalise son rêve parce qu'il le veut vraiment. Dans ce cas précis, son rêve est de défendre son pays.
Eh oui, c'est ça l'Amérique, le drapeau avant tout et tout le monde a une chance de réussir à condition qu'il s'en donne la peine !
Du moins en théorie ...

Divertissant mais le film ne dépasse pas son sujet à cause notamment de trop nombreuses approximations sur les effets spéciaux ou le maquillage de Red Skull.
On a pourtant un casting de luxe et de bons costumes, mais rien d'inoubliable.3D anecdotique!

Une franchise marvel qui reste correct sur la première heure.Dépassé ce stade les combats et les explosions s’enchaine,juste pour avoir de l'action a l’écran,celle-ci est sans intérêt.Le film évite cependant et même s'amuse avec le patriotisme du héros.