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septembergirl
608 abonnés
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2,5
Publiée le 18 mars 2011
Un film à l’univers déjanté et surprenant. Une comédie qui possède certaines scènes très drôles, des dialogues qui font mouche, et de sympathiques clins d'oeil. Il est dommage que la réalisation s’essouffle sur la longueur et que l’histoire fasse dans la redondance des combats.
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2,5
Publiée le 18 février 2016
Un bon dèfouloir en forme de choc des cultures pour ce film de bastons à l'humour geekesque opposant Michael Cera (en grande forme) et Mary Elizabeth Winstead à Satya Bhabha, Brandon Routh et Chris Evans! Que le match commence...A condition d'aimer le genre (celui des comics) car "Scott Pilgrim vs. the World" est construit comme un jeu vidèo où les effets visuels fusent de partout! Mêlant cinèma, jeux vidèo et manga, l'oeuvre nous plonge dans un univers bien à lui! Le film de Edgar Wright eût pu être un film complètement barrè dans la lignèe de "Kick Ass" qui parlait de justice et d'hèroïsme avec jubilation et humour, il n'en ai pas toujours le cas ici, tant l'intèrêt s'effiloche au film de la projection en une suite de situations rocambolesques (voire grotesques, les naïvetès des personnages qui se battent contre Scott Pilgrim sont difficilement crèdibles) qui manquent singulièrement de rythme! Hormis quelques clashs amusants, le comique est loin d'être percutant et l'on ne retient que les scènes souvent magiques entre Cera et Winstead dont la couleur des cheveux change au grè des pèripèties! C'est quand même un film surprenant et plaisant à regarder même si le scènario, au demeurant simplet, part dans tous les sens sans rèelle nècessitè! A voir absolument en V.O (la V.F ètant pourrie jusqu'à la moelle)...
Divertissant mais beaucoup trop niais. Après les multiples références geek font que dans le fond ce n'est pas un mauvais film , puis c'est bien foutu et bien exagéré, un jeu vidéo filmé quoi...
Bof... Certes ça fourmille d'idée, le pitch de départ est sympa, il y a une esthétique geek qui ne me laisse pas insensible mais à quoi est-ce que cela sert? C'est pas hyper drôle non plus, les effets bd sont parfois cool mais passent souvent inaperçus et le tout est super répétitif. Les combats avec les 7 ex sont lourds à suivre, on a vite compris que ça va démarrer par un combat avant de prendre une autre tournure, sauf qu'on nous inflige le combat à chaque fois ! C'est juste super long. En soit le film est pas mauvais, qu'il soit très référencés ou pas je m'en tape, ce qui me gêne c'est que le réalisateur oublie de faire un film pour se concentrer sur le fan service, sur l'aspect comics, tout ça au détriment du rythme.
Voilà l'exemple parfait du faux cinéma... Ceci n'est pas un film pour cinéphile mais un film spécial geek... Et j'en suis pas un. Trop de références videogames et une mise en scène trop dirigée pro-geek pour faire une réelle oeuvre du 7ème art. Le vari bonus reste le casting, réussit et tous particulièrement investis. Si quelques scènes restent savoureuses le film manque de créativité notamment dans les scènes de combat, mal chorégraphiées et trop courtes. D'ailleurs le côté répétitif enlève tout suspense pour finalement en faire un teen-movie sentimental. 1 étoile pour les acteurs et pour les geeks !
Je ne sais pas si j'attendais trop de ce film, mais j'ai été déçu. A aucun moment la sauce ne prends, pourtant les moyens sont là! Mais l'histoire ne m'a jamais captivé, du coup entre les scènes de fight on s'ennuie. Pourtant les personnages paraissaient intéressants. Reste les scènes de combats vraiment excellentes et bien filmées.
Après le bon Shaun of the Dead et l'excellent Hot Fuzz, Edgar Wright nous sert un nouveau délire Geek avec cette improbable comédie romantique traitée à la manière d'un jeux vidéo. Le générique et certains effets du film m'ont fait penser à Electric dragon 80 000 volts de Sogo Ishii . Il y a fort à parier qu'auprès de certains initiés, Scott Pilgrim jouira du statut de film culte mais étrangement, moi qui pensait être légèrement nerd sur les bords, je n'ai pas réellement accroché au concept. c'était un peu trop special pour moi. Je pense aussi que c'est la faute à Michael Cera. Qu'est ce qu'il me fatigue à incarner toujours le même personnage dans ses films!!!
spoiler: 2.5/5 Scott Pilgrim est un film que l'on pourrait qualifier de "what the fuck" Visuellement, on à rarement vu un film aussi original. Des idées révolutionnaires de mise en scène qui mélangent habilement l’esthétique cinéma / comics / mangas / jeux vidéo se succède à un rythme infernal. Un rythme peut-être même trop rapide. Car Scott Pilgrim à les défauts de ses qualités.
L'esthétique manga m'a rebuté, c'est bien dommage car il y'a de l'idée, de bons dialogues, mais les onomatopées omniprésente deviennent superflues et agaçantes.
Avouons de suite, le début sonne comme enfin le renouveau d’un cinéma pop, dynamique, osé et inventif. On tombe ensuite très vite dans un cinéma de fan de jeu vidéo avec beaucoup trop de phases de « combo » au détriment de l’histoire. Le film n’en perd pas son humour ni son charme mais l’intérêt disparaît quelque peu ; usure ? âge ? simplement le fait de ne pas adhérer. Le casting et les comédiens sont pourtant parfaits mais dans un genre rapproché sur le fond, on lui préfèrera Kick Ass moins dynamité visuellement mais plus réussit dans l’intérêt constant que l’on peut porter au film. Reste en dernière mesure, les moments jouissifs de voir certains comédiens grimés pour aller dans un ridicule porteur d’une « éclate totale », Rock n’ Roll comme dirait Sean Bateman !
Scott Pilgrim n’a jamais eu de problème à trouver une petite amie, mais s’en débarrasser s’avère plus compliqué. Entre celle qui lui a brisé le cœur – et qui est de retour en ville – et l’adolescente qui lui sert de distraction au moment où Ramona entre dans sa vie - en rollers - l’amour n’a jamais été chose facile. Il va cependant vite réaliser que le nouvel objet de son affection traîne les plus singulières casseroles jamais rencontrées : une infâme ligue d’ex qui contrôlent sa vie amoureuse et sont prêts à tout pour éliminer son nouveau prétendant. À mesure que Scott se rapproche de Ramona, il est confronté à une palette grandissante d’individus patibulaires qui peuplent le passé de sa dulcinée : du mesquin skateur à la rock star végétalienne en passant par une affreuse paire de jumeaux. Et s’il espère séduire l’amour de sa vie, il doit triompher de chacun d’eux avant que la partie soit bel et bien « over ». Échec commercial à sa sortie, chef d’œuvre incompris amené à devenir un film-culte dans vingt ans pour certains, Scott Pilgrim avait suscité le débat à sa sortie, les fans déplorant son échec immérité selon eux. Pour ma part, il ne me surprend pas le film ne m'ayant absolument séduit. Le film reprend des procédés du cartoon, de la BD et des jeux vidéos. Mais si les fans voient en Edgar Wright (les excellents Shaun of the Dead et Hot Fuzz) un démiurge créateur d'un style absolument nouveau, pour ma part, je trouve que le grand problème du film est que Edgar Wright navigue entre différents genres... mais ne parvient pas à en tirer quelque chose pour créer un style. De fait, le film est assez bâtard (les fans préfèrent le terme hybride) le cul constamment entre trois chaises sans jamais arriver à choisir et à créer quelque chose. Et s'il suffit d'insérer une bulle de BD ou une image de jeu vidéo pour être un génie, le Hulk d'Ang Lee est aussi un chef d’œuvre incompris. Le film est loin d'atteindre le génie des burlesques américains ni celui d'un Roger Rabbit ou un Mary Poppins. Certes, il y a quelques gags sympathiques mais dans l'ensemble, le film a peiné à me séduire la faute à un trop grand éparpillement du film entre plusieurs genres sans jamais en faire l'unité pour créer une œuvre originale. Dispensable.
"Scott Pilgrim" d'Edgar Wright a commencé par nous séduire par son originalité dans sa mise en scène, le réalisateur ne se refusant rien. Mais progressivement, ce qui apparaissait comme une qualité finit par embourber le scénario, l'enfonçant dans l'absurde et la répétition, et la lassitude finit par triompher de notre émerveillement initial. La mise en scène surchargée nous fait sourire, mais l'histoire tournant en boucle donne finalement un air de déjà-vu à certaines scènes. Les transitions inventives sont parfois difficiles à suivre, et l'humour absurde n'est pas très percutant. On a également du mal à trouver le personnage de Michael Cera attachant, il devient même progressivement un peu irritant. On pourra reconnaître à "Scott Pilgrim" la force de son originalité, lui permettant de se détacher de tout autre teen-movie, devant un OVNI du septième art, mais ceci impacte la qualité globale du film qui finit par nous faire osciller entre ennui et agacement.
Le moins que l'on puisse dire c'est que la forme est originale. Ce film exploite tous les effets de mise en scènes imaginables, puisant dans l'univers visuel des comics et des jeux vidéos, avec rythme dynamique et montage épileptique. Mais passé l'effet de surprise du début, on finit par se lasser devant cette avalanche d'effets visuels. On se rend vite compte que ce débordement de créativité peine à masquer un scénario qui lui est prévisible, linéaire et finalement peu intéressant. (Pas terrible)
Avec Scott Pilgrim, j'attendais un bon gros délire geek réalisé avec toute la folie du créateur de Hot Fuzz et Shaun of the Dead. Ça l'est pendant la première heure, assez éblouissante d'humour, d'inventivité visuelle et de rythme. Le problème, c'est que la ligue dispose de 7 protagoniste... SEPT COMBATS !!! Ca devient répétitifs, long et comme les enjeux n'évoluent pas (et sont très limités) et bien ça devient chiant. Du coup, on se sent devant un film adressé qu'aux ados prépubères qui veulent que ça "cogne geek". Dommage, si le film avait su s'arrêter avant, ça aurait pu être bien.
J'adore le réalisateur. Mais qu'il se soit lancé dans ce film est une vraie énigme. C'est original, bien filmé, mais l'histoire est complètement absurde. Réservé aux fans. Les autres passez votre chemin.