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    Le Chat à neuf queues
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    43 critiques spectateurs

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    Tietie007
    Tietie007

    3 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2024
    Dans cette "trilogie animalière", voilà un film original et inquiétant. Karl Malden, en aveugle enquêteur est surprenant.
    Redzing
    Redzing

    1 107 abonnés 4 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 novembre 2022
    Dario Argento poursuit sa série de giallos "animaliers"... qui n'en a ici en fait que le nom. Le "Chat à Neuf Queues" (nom d'un instrument de torture dérivé du fouet) évoque ici en fait la multitude de pistes dans une sinistre affaire de meurtre. Affaire qui occupe une police dépassée (comme souvent dans les giallos), un journaliste intrépide, et un ancien journaliste devenu aveugle.
    Ce film n'est clairement pas le meilleur de son réalisateur, avec une intrigue à la cohérence avouons-le assez limitée. En effet, plutôt que de construire une trame policière rigoureuse, l'enquête fourmille de piste pour noyer le spectateur de suspects... et l'assassin de victimes ! Car il y a ce gimmick (à moitié drôle à force) où dès qu'un personnage découvre le nom du tueur, il ne peut s'empêcher de le garder pour lui... pour évidemment finir brutalement tué à son tour...
    Mais sur la forme, c'est très soigné. Des séquences de meurtres justement très maîtrisées, sanglantes et baroques. Des moments de suspens très bien gérés, même avec un objet aussi anodin qu'un verre de lait. Un travail de montage assez astucieux, mélangeant des séquences pour les relier, ou injectant ses fameux gros plans organique sur un oeil inquiétant.
    Et la jolie musique d'Ennio Morricone. Sans compter des acteurs plutôt bons. Malheureusement, Karl Malden, très convaincant en aveugle vieillissant qui en a encore sous le capot, est finalement peu utilisé (quoique sa cécité serve à plusieurs reprises dans le récit). James Franciscus (le professeurs Hammond dans "La Classe Américaine" !) est quant à lui assez charismatique en journaliste déterminé. Quelques belles gueules à leurs côté, dont Horst Frank, connu dans nos contrées pour son rôle dans "Les Tontons Flingueurs" !
    A noter que Dario Argento a révélé être un peu déçu du film, qu'il trouve trop américain (la faute aux deux acteurs précités ?). "Il gatto a nove code" n'en demeure pas moins un giallo très plaisant, tout à fait divertissant et prenant au tripe malgré les faiblesses de son intrigue.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 avril 2021
    Malgré une intrigue conventionnelle (le nombre de suspects est limité : neuf d’où le titre, même si un chat à 9 queues désigne aussi un instrument de torture, un fouet doté de 9 lanières de cuir comprenant des nœuds et se terminant par une griffe en métal), l’histoire, aux nombreux rebondissements, a comme décor un institut de recherches génétiques sur les anomalies chromosomiques ( spoiler: association entre la trisomie XYY et la prédisposition à la violence
    ). Dario Argento y imprime sa touche personnelle avec une ambiance angoissante, de nombreuses scènes nocturnes (dont une dans un cimetière), un montage original (caméra subjective, gros plan d’œil et images subliminales), suspense à la Hitchcock [lait drogué à la seringue et gros plans sur les verres, hommage probable à « Notorious » (« Les enchainés ») (1946)] et un duo original de journalistes enquêteurs, Carlo Giordani (Karl MALDEN), aveugle et Franco Arno (James FRANCISCUS). Outre la musique d’Ennio MORRICONE, le film bénéficie d’acteurs non italiens tels que James FRANCISCUS [qui venait de jouer dans « Le secret de la planètes des singes » (1970) de Ted Post], Karl MALDEN (juste avant de tourner la série télévisée américaine « Les rues de San Francisco » à partir de 1972) et la française Catherine SPAAK.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 517 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 avril 2021
    Un journaliste et un aveugle se retrouvent impliqués dans une enquête pour tenter d'élucider une série de meurtres. Le film a peut-être bon en son temps. Mais il a certainement fait son temps j'en ai peur. Il y a une musique épouvantable de style des années 70 qui est incluse alors que les acteurs actrices sont italiens. L'aveugle se déplace comme s'il n'était pas aveugle du tout et a l'ouïe d'un chien c'est-à-dire qu'il est surhumain. L'intrigue offre des personnages évasifs ou gardant les choses derrière des portes fermées pour finalement aboutir à une révélation artificielle. Le film passe sans but d'une scène à l'autre mijotant doucement sans jamais vraiment atteindre l'ébullition. Il n'est donc pas surprenant qu'il n'ait pas connu de succès à sa sortie en 1971...
    TUPINIER Olivier
    TUPINIER Olivier

    4 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2021
    Dario Argento suit toujours un même plan et ce film ne déroge pas : une intrigue policière avec mystérieux tueur, et un final grand guignolesque. Et ça marche à chaque fois, à condition d'être fan.
    Ce film se distingue par un choix de personnages assez original : la petite fille est trop mignonne avec son oncle aveugle. Et on s'attache à l'écrivain et à sa petite amie.
    Shawn777
    Shawn777

    579 abonnés 3 464 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 janvier 2021
    Ce deuxième long-métrage réalisé par Dario Argento et sorti en 1971 n'est pas mal mais sans plus. Dans une volonté de découvrir au maximum la filmographie du réalisateur, je me suis lancé dans le visionnage de plusieurs de ses films et je dois dire que je suis un peu déçu par celui-ci, surtout après "L'Oiseau au plumage de cristal" qui était, à mon sens, bien plus réussi ! C'est en gros ici l'histoire d'un aveugle et d'un journaliste qui enquêtent sur une série de meurtres autour d'un institut de génétique. Bon c'est un giallo, nous sommes donc dans le film policier, doublé d'une violence exacerbée (enfin pour l'époque quoi), mais je trouve ici le scénario bien moins passionnant que les autres films du réalisateur. On rentre dans l'histoire, on veut bien-sûr savoir qui est l'assassin, surtout que le réalisateur met toujours en place un jeu de piste afin de perdre au maximum son spectateur, mais pour autant, je ne trouve pas l'histoire si captivante que cela. La fin n'est de plus pas extraordinaire, enfin on n'en reste pas bouche bée, comme, encore une fois, dans la plupart des films du réalisateur (enfin, dans sa période des années soixante-dix aux années quatre-vingt, avant que tout ne parte un peu en vrille quoi). Même en ce qui concerne la mise en scène, qui est certes loin d'être mauvaise, le réalisateur nous aura habitué à mieux, à plus de couleurs, à plus de symboliques etc. Nous retrouvons malgré tout la vue subjective, filmer des armes blanches ou des parties du corps en (très) gros plan etc. qui font partie de la marque de fabrique du réalisateur. On retrouve également des thèmes chers à Argento, comme le fait de mettre en scène un personnage féminin fort et de le confronter aux hommes (la course en voiture) et mettre en scène également des minorités, comme ici les homosexuels, qui ne sont à aucun moment discriminés, ce qui est une prouesse pour l'époque. Du côté des acteurs, nous retiendrons surtout James Franciscus, Karl Malden et Catherine Spaak qui jouent très bien. "Le Chat à neuf queues" n'est donc pas mauvais mais est loin d'être le plus marquant du réalisateur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 novembre 2020
    Réalisateur culte marginalisé par la cinéphilie, maître de l’horreur, intransigeant et intègre, Dario Argento poursuit sa route malgré le mépris de la critique et l’indifférence de la production cinématographique formatée. Expérimentant dans chacun de ses films pour le meilleur et pour le pire, revenons sur ce qui a introduit Argento dans le panthéon des maîtres…

    Critique disponible dans son intégralité : http://cestquoilecinema.fr/critique-le-chat-a-neuf-queues-1971-enquete-labyrinthique-sur-les-debuts-dun-dario-argento-inspire/
    Alexis C.
    Alexis C.

    4 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 novembre 2020
    En toute sincérité, je trouve que ce film est le meilleur du grand Argento. Son sens du suspens est ici à son zénith, c'est habilement mis en scène avec une galerie de personnages vraiment intéressants. On retrouve un côté ludique, qui donne au spectateur beaucoup de plaisir à suivre le film. De plus le réalisateur ne tombe jamais dans la facilité ou les effets gratuits. Argento est toujours sur le bon ton est dans le bon rythme, il une sensation d'équilibre parfait qui ressort de ce film vraiment impressionnante.
    Et tout ça sublimé par une magnifique bande originale signée Ennio Morricone.
    konika0
    konika0

    26 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 août 2020
    Quand on tire dessus, il griffe.
    C’est dans la foulée du succès de l’Oiseau au Plumage de Cristal qu’Argento se lance dans le Chat à Neuf Queues, deuxième chapitre (mais il ne faut pas y chercher une suite) de la trilogie des animaux comme on dit dans le milieu. C’est du pur giallo comme l’indique l’intrigue. Un vol a lieu dans un centre de recherche en génétique. Quelques heures plus tard, un témoin meurt dans d’obscures circonstances. Un journaliste et un aveugle aidé de sa très jeune nièce vont tenter d’élucider tout ça. Pendant ce temps, les cadavres s’accumulent. C’est donc à la fois un pur giallo disais-je et en même temps un pur Argento. Le montage est vif et même assez renversant. Perso, j’aime beaucoup la recherche de nouvelles transitions par un montage stroboscopique saccadé entre deux scènes, un genre de fondu enchaîné pas du tout fondu. On retrouve la fascination d’Argento pour les escaliers et on a donc droit à de magnifiques constructions de plans dans les entrailles des immeubles romains. Également présent, le jeu du regard. La caméra est très souvent subjective quand il faut montrer la scène par les yeux du tueur, les scènes de meurtres sont à ce titre très réussies. Comme dans Suspiria, les mains d’Argento lui même commettent l’irréparable. Ici, les yeux du réalisateurs sont visibles à l’écran, ils symbolisent le regard du meurtrier, celui-ci étant celui qui tient la caméra (référence à Powell bien sûr). En contraste, un des héros est aveugle alors comme souvent, Argento s’amuse avec ce qu’on voit et ce qu’on entend. En bref, un vrai thriller efficace bien que parfois confus (un défaut qu’il partage avec De Palma) et un bijou de trouvailles visuelles dans un cinéma sans prétention … et c’est exactement pour ça qu’il atteint parfaitement ses objectifs. Un classique, forcément.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 18 août 2019
    Il doit y avoir un effet de lassitude avec le cinéma d’Argento: chaque nouveau film que je découvre me paraît un peu moins bon que le précédent, plus tiré par les cheveux, moins beau, plus ennuyeux. Celui-ci réserve encore quelques belles idées de mise en scène, mais l’histoire m’a laissé complètement indifférent et le temps m’a paru bien long!
    Antoine D.
    Antoine D.

    39 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2018
    Deuxième opus de la trilogie animale de Dario Argento. Le chat à neuf queues, bien qu’il est le moins apprécié d’Argento dans sa filmographie, est un bon giallo. Cependant, suite à la volonté de capitaliser ce genre grâce à des acteurs américains, ce giallo tend quelque fois au polar américain.

    L’institut Terzi est victime d’un drôle de cambriolage, puisqu’en apparence aucun document n’a été volé. Si les policiers butent sur cette enquête, ce n’est pas le cas de Franco, un ancien journaliste aveugle, qui a été témoin avec sa nièce Lori d’une scène qui révèle l’ambiguïté du vol. Suite à l’enquête de Franco, aidé par le journaliste Giordani, les meurtres se multiplient et l’étau se resserrent sur eux et le meurtrier.

    On retrouve beaucoup de codes mis en place par Mario Bavo et Argento comme des plans subjectifs, la fascination pour l’arme blanche et le voyeurisme avec les gros plans de l’œil de l’assassin. Là où le style du cinéaste devait primer, le film perd parfois de sa valeur en mettant en scène des pauses dialogués qui fait tendre le film vers le polar/thriller.
    On notera tout de même une belle interprétation de Karl Malden et de la française Catherine Spaak.
    Housecoat
    Housecoat

    121 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 octobre 2017
    Deuxième volet de la Trilogie Animale de Dario Argento et son deuxième film. On sent qu'il y a du progrès dans sa démarche artistique, comme l'idée audacieuse de mettre un aveugle au centre de l'enquête (Karl Malden très bon) et d'employer plus de gimmicks visuels justifiés et sans aller vers la surcharge. Il va également plus loin dans ses propos et ses sous-textes osés très voilés dans son précédent film, Argento devient de plus en plus talentueux. Même si malheureusement ses idées restent au stade d'idées et ne vont finalement pas aussi loin qu'elles auraient pu l'être. Elles compenseront au moins la trame de l'enquête moins prenante que L'Oiseau au plumage de cristal en raison de son twist qui n'impressionne pas à cause du trop grand nombre de suspects peu travaillés et du mobile peu intéressant.
    Christian M.
    Christian M.

    1 abonné 154 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 décembre 2016
    D'une facture plus proche du thriller U.S que d'un véritable Giallo du fait sans doute de sa distribution très internationale, le second film de David Argenton n'en reste pas moins intéressant. Il ne marquera pas les esprits comme le feront "l'oiseau au plumage de cristal" "Suspiria" et d'autres encore mais demeure un excellent film ou l'on ne s'ennuie pas du début à la fin.Comparé à ce que le réalisateur a tourné ces derniers temps il est fortement recommandé de le voir.
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    41 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 juin 2016
    A la sortie de son deuxième film, Dario Argento avait défini son propre style, mais celui-ci était encore jeune et parfois hésitant. De ce fait, Le Chat à neuf queues présente quelques lourdeurs mais il n'en est pas moins intéressant. L'histoire s'inscrit dans la lignée des grands giallo et suit les aventures d'un journaliste qui cherche à démasquer le responsable d'une série de meurtre. Bien que le déroulement de l'enquête soit relativement simple, le cinéaste fait en sorte que le spectateur se prête au jeu du whodunnit en faisant tomber les soupçons sur plusieurs personnages clés. Ces incertitudes restent un peu trop molles pour qu'on sente véritablement le danger planer au dessus du héros, mais le doute s'installe parfois suffisamment pour créer une tension très hitchcockienne (le passage dans le caveau par exemple). En outre, ce sont principalement les apparitions du tueur qui rendront l'ensemble dynamique. Le réalisateur le fait intervenir grâce à une vue à la première personne. Ce procédé est vu et revu, mais il prend ici toute sa force grâce à la mise en scène, et plus particulièrement aux décors. Ces derniers sont rendus abstraits par les mouvements de caméra. Lors d'un seul plan long, l'appareil panote, recule et avance, tout en filmant l’obscurité pendant de longues secondes, ce qui brouille totalement les repères spatiaux. De plus, le montage brutal prend souvent le spectateur par surprise lors des changements de scène. L'apparition soudaine d'un gros plan sur l’œil du tueur avec en fond le bruit d'un appareil photo est saisissante, et en dit long sur la pulsion scopique du personnage. Argento n'a rien laissé au hasard. Il est donc regrettable que ces qualités soient ternies par le fait que le film termine sa course à bout de souffle. Les vingt dernières minutes prennent trop de temps pour conclure l'enquête, c'est un peu indigeste. Le Chat à neuf queues reste quand même de bonne facture et est plutôt accessible, pour peu que le côté production italienne fauchée et kitsch ne vous fasse pas peur.
    Extremagic
    Extremagic

    67 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 janvier 2016
    Ah bah dis donc ! Quelle déception ! Du peu que j'avais vu d'Argento j'ai toujours bien apprécié avec des films certes meilleurs que d'autres bien que tous un peu semblables. Mais alors celui-là quel ennui. C'est mou, c'est pas intéressant et encore une fois le scénario pose pas mal de problèmes. J'ai l'impression que les scénar' d'Argento c'est particulier parce qu'on a d'une part des personnages assez intéressants, atypiques et bien écrits, avec des dialogues qui font naturels et quotidiens quand il s'agit d'échanges entre protagonistes et en même temps tout est calibré, avec des divagations inutiles (ce discours sur l'eugénisme qui sort de nulle part...), des choix discutables (le mec qui sauve la fille en train de boire son lait juste pour un pauvre rebondissement pourri en fin de film alors que sa mort aurait pu entraîner des quiproquos intéressants), et des choses laissées en suspend (qu'est ce qui est arrivé à l'aveugle lorsqu'il enferme le journaliste, et cette femme qu'est-ce qu'elle est devenue, on développe le personnage pour rien du tout). Du coup le scénario c'est pas vraiment ça mais le pire c'est que ce film est ennuyeux. Quand je vois un Argento, même si je me prends pas toujours une tannée, je passe un bon moment parce qu'il y a de la tension, du suspense, et une esthétique irréprochable. Ici il n'y a rien de tout ça. Il nous fait ses fameux plans en vue subjective (et je déteste ce procédé) qui d'habitude passent bien mais là ça n'apporte rien. Alors au début j'étais assez enthousiaste, l'intrigue présageait quelque chose d'intéressant. Mais finalement il s'avère que la seule chose intéressante du film c'est cette réflexion sur le voyeurisme, enfin en quelque sorte, il s'agirait d'étudier la question mais ce n'est pas hasardeux si on a une personnage aveugle en opposition avec la vue subjective toujours enclenchée avec un gros-plan sur l’œil du tueur qui devient de plus en plus opaque. En plus avec cette histoire de photographe au début on est totalement dans les thématiques qui plaisent à Argento et qui sont déjà celles de Blow-Up. En gros c'est tout ce que je retiendrais du film, si toutefois je le retiens puisque c'est une constante chez le réalisateur. Largement dispensable.
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