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Oriwa
63 abonnés
898 critiques
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0,5
Publiée le 20 avril 2013
Quel film de... Inutile, inefficace, calme, lent, chiant, vide. Des plans interminables à tout va, pareil pour les silences, un scénario qui aurait pu être correct mais très mal mené, des dialogues assez creux, un montage aussi raté que celui de Robert dans le film. C'en est même presque impossible de juger les acteurs tant la tournure est mauvaise et pénible au plus haut point.
Un film plutôt ennuyeux ou il est difficile de comprendre ou veut en venir le réalisateur. De plus la mise en scène et les cadrages sont plutôt catastrophiques!!
La seul raison qui m'a pousse a voir ce film c'est pour Ezra Miller que j'ai trouve incroyable dans ''We need to talk about kevin'' et dans ce film c'est la seul raison qui ma pousser a mettre cette etoile ... Le scenario . Cassiment inexistant , cette histoire ne peut pas tenir 1h40 , le scenariste s'est vraiment pas fouler ! Les acteurs . Seul Ezra Miller vaut le coup et encore ... Les prises de vues sont horribles ,ont dirait que l'on a choisie au pifs , les scenes sont ''rallonger'' ont dirait qu'il essaye de gagner du temps pour que en tout le film dure asser de temps , ont n'arrive et on ne veut pas suivre cette histoire , c'est somnolant au possible et pour finir ont ne comprend vraiment pas le message du realisateur ! Sincerement il n'y a rien de bons dans ce film , ni la mise en scene , ni les acteurs , ni le scenario , des images pornographiques inutiles et degoutant ... Bref a par ezra miller c'est un ratage TOTALE !
N'est pas Gus Van Sant qui veut... Néanmoins, Afterschool a de nombreuses qualités : une mise en scène travaillée, prenant ses origine dans le théâtre, le cadre est fixe, les acteurs semblent entrer et sortir de scène. Des acteurs plutôt doués. Et Afterschool sait prendre son temps : plans fixes, introduction longue... Cinéaste à suivre.
Un supplice cinématographique tant la mise en scène conceptuelle est pénible. Pas de rythme, mal cadré, mal filmé, Afterschool est d'un ennui comme rarement vu sur grand écran.
En me mettant devant ce film je peux dire honnêtement que j’allais le visionner sans aucun a priori étant donné que j’ignorais à peu près tout, pour ne pas dire tout, de ce film à commencer par son sujet. Hélas le film une fois terminé je ne suis pas plus avancé ! On passe une heure quarante dans une école privée américaine à suivre un protagoniste quasi muet pour ne pas dire autiste qui s’engage dans le club de vidéo et, suite au décès violent auquel il assiste de deux jumelles très populaires, se met à réaliser un film hommage. Le film ne possède aucun rythme et ses faux airs d’« Elephant » de Gus Vant Sant ne sont que leurres tant l’histoire est soit trop absconse pour mon intellect soit trop peu aboutie. On s’ennuie ferme devant se lent, très lent film d’auteur qui ne parvient jamais, mais peut-être tel n’était pas son but, à créer une empathie envers son personnage et de manière générale un tant soit peu d’intérêt pour son histoire et les péripéties qui le composent. On peut à la rigueur donner un bon point à la réalisation qui utilise les différents types de caméra (webcam, téléphones portables, petite caméra du club vidéo…), ce qui crée une image intéressante, mais sans arriver à compenser le manque de tension du film. Le film terminé on s’interroge sur les intentions de l’auteur et sur le message ou le propos qu’il a tenté d’exprimer, en ce qui me concerne je n’ai rien vu dedans. Quand je constante qu’il a été sélectionné à Cannes, à Deauville et nommé aux Independent Spirit Awards, les bras m’en tombent tant je ne vois pas ce qui a motivé les organisateurs pour considérer ce pensum ennuyeux d’une heure quarante comme méritant, hormis peut-être pour la prestation d’Ezra Miller prometteuse dans ce premier film, de figurer dans leurs sélections. Évitable sans regrets et avec l’avantage de s’épargner un moment d’ennui.
Si le début du film intrigue et questionne à la fois, on va vite déchanter au fur et à mesure que le film se dévoile. Antonio Campos, jeune cinéaste d’une vingtaine d’années, dresse un portrait peu flatteur des lycéens Américains. Une immersion dans un campus où un étudiant filme involontairement la mort par overdose de deux jeunes filles (les plus populaires du lycée). Entre plans fixes interminables et mise en scène contemplative, Afterschool déroute et offre une version malsaine de cette univers. Voyeurisme à outrance et persistance exaspérante, on voit le temps passé et c’est regrettable car l’idée de départ était pourtant intéressante.
Afterschool établit dès le départ un lien instantané entre Robert et le spectateur : nous sommes voyeurs en même temps que lui. Pire, nous sommes impuissants avec lui. Les premières images donnent le ton du film d'Antonio Campos : un constat froid et clinique du voyeurisme adolescent. Si Robert garde une certaine lucidité, il n'en demeure pas moins perturbé. " Je ne suis pas quelqu'un de bien " dit-il à sa mère au téléphone, comme un appel au secours. D'ailleurs, les adultes sont le plus souvent dans le hors-champ ( ou alors ils sont floutés ). Campos filme avant tout le malaise adolescent au détriment des parents et des professeurs. Plus proche de Benny's Video que d'Elephant, Afterschool est un film limite, comme au bord d'un gouffre d'idées destructrices. Antonio Campos a réussi à suggérer la détresse et l'humanité de son personnage avec une économie de moyens étonnante, dans un cadre aseptisé ( du reste, c'est ce qui rend le film effrayant ). Afterschool est un coup de poing ainsi qu'un signal d'alarme. A voir absolument.
Ce film est une arnaque totale...il se passe que dalle pendant 1h40 !! Je me suis mis devant, intrigué à l'idée de savoir ce qui allait bien pouvoir se passer et bien j'attends toujours !! C'est lent, c'est lourd (les dialogues crus et puérils autour du sexe sont soûlants au plus haut point !!) et le scénario est bidon et totalement creux !! Encore un film made in US avec caméra au poing, sexe et horreur qui tourne en grand n'importe quoi et qui horripile plus qu'il ne passionne !! Cela devient lassant ! Bref un calvaire que je vous conseille d'éviter à tout prix !!
Oscillant entre le "Elephant" de Van Sant et du Haneke sur-millimétré, "Afterschool" s'impose comme une première oeuvre majeure, réalisée avec peu de moyens et une maîtrise formelle rarement vue pour un premier essai. Si en général au cinéma le cadrage rigoureux a souvent tendance à pallier un manque de nuances ou de maîtrise scénaristique, ici il fait rage comme un substitut génial au confort d'un développement prévisible. L'utilisation du hors-champ ou la crudité d'une action qui se joue de face, tout ici est à lier à une analyse comportementale du milieu adolescent victime de ce qui l'entoure. Alliant la sobriété de ce qui est joué et la violence de ce qui ne l'est pas (vidéos piochées sur le net), Antonio Campos joue d'un contraste sublime dans lequel sa création personnelle s'oppose par son captage aride à une réalité filmée en rythme, faussement ingénieuse et tout à fait artificielle (la comparaison est aussi à faire lors du film-hommage que Robert a monté sobrement, sans musique, avec grand respect, et celle, définitive, remontée par un professionnel, plus cohérente mais larmoyante et irrespectueuse). "Afterschool" parle de ce média quelconque qui dicte l'homme la vue et la pensée commune. Le cinéaste dément ce geste, ce mensonge et ce conditionnement monstrueux en nous montrant comment l'innocence perturbée devient une folie communicatrice et hors limites. L'installation de caméras amateurs, de cinémascopes, de portables ou autres supports permet au cinéaste de varier l'image, la qualité, il permet, au-delà du pouvoir d'un cinéma réfléchi, de ne plus mettre en scène pour prouver que toute captation audio-visuelle peut être une condamnation humaine, l'antre d'un voyeurisme sans retour. Cette observation crue, parfois étirée, passe d'une action ludique à une action tragique ; ainsi le premier baiser avec Amy, filmé au caméscope, n'est pas de l'ordre du désir comme on peut le croire en premier lieu, mais plutôt l'application effrayante d'une scène pornographiqu
Agé d’à peine 24 ans, Antonio Campos prouve dès son premier film son potentiel de réalisateur talentueux, et ce en traitant un sujet particulièrement délicat, celui de l’addiction de la jeunesse aux médias informatiques. La mise en scène minimaliste semblable à celle d’un documentaire rend dérangeant l’élément moteur du scénario, le pouvoir de l’image qui va tourmenter cet adolescent au point de devenir prétexte à un voyeurisme malsain. Le peu de moyens financiers ne permettant pas un découpage trop important est comblé par un travail sur des effets de caméras simples et déroulés avec souplesse rappelant les premiers films de Jarmusch ou d’Haneke (en particulier Benny’s vidéo qui traitait un thème similaire), ce qui est bien la preuve que la suite de la carrière prometteuse de Campos sera à suivre de près même si, comme les réalisateurs susnommés, son coup d'essai n'a pas su trouver son public.
À mi chemin entre Van Sant et Haneke, Afterschool s'avère être un excellent film sur l'adolescence, ce qui est très rare. Oscillant sur diverses formes de qualités visuelles et mettant en abîme son propre film, le réalisateur pousse indirectement à la réflexion sur l'universel combat ado/adulte. Le cadrage est particulièrement acide et réitère davantage la place de l'Homme sur celui de l'Enfant, ainsi que celle de l'amour, du sexe et de la violence. Chef d'œuvre.
Dur et lent , entre elefant de Gus Van Sant et Benny's video.de Haneke..Ce film nous dresse le portrait d'une adolescence perdue, solitaire et cynique dans un lycée huppé...Passant de la subjectivité d'un jeune filmant les couloirs de son colllege, fasciné par les vidéos violentes du net à la réalité , collective , celle de la mort qui frappe des camarades, celle des adultes encadrants, imperméables aux malaises des élèves, trop occupés à soigner l'image de leur établissement élitiste dans une fausse convivialité qui dépeint bien l'Amérique. Le film traine un peu en longueur et l'on s'ennuie parfois mais ce premier long métrage révèle un Grand Réalisateur.
Une sombre merde. Derrière les poses auteuristes, le réalisateur fait mine de décrire un certain mal-être adolescent. On y croit même un temps grâce à la luminosité d'une partie du casting (Addison Timlin est vraiment très douée)...sauf que tout sonne faux (A-t-on déjà vu des ados si peu réactifs -cf. scène de l'étranglement-?) jusqu'au dénouement final, totalement absurde, digne d'un épisode de série télé policière à 22h sur TF1.