Votre avis sur LOL (Laughing Out Loud) ® ?
0,5
Publiée le 19 juillet 2019
Lisa Azuelos, après "Comme t'y es belle" persiste dans le "bling bling" avec cette mièvre chronique. Bien peu d'ados pourront se reconnaître dans le milieu social de ses jeunes héros, tous très aisés - le Beur de service pour l'alibi de mixité mis à part (on est dans le Seizième, mais dans un lycée public, que diable !) - et dont on ne voit jamais les parents travailler... Seule l'omniprésence technologique peut servir d'élément fédérateur, tant Internet et téléphonie mobile sont répandus chez les jeunes actuels, même dans les cités, réalisant un abêtissant lit commun. C'est un enchaînement de clichés qu'on nous donne à voir pendant 1 H 40, tout au long d'un scénario sans aucune imagination, pauvrement articulé qui plus est sur une année scolaire.
Comment être tenté de comparer ce triste opus à "La Boum", sinon pour constater que ni la fraîcheur, ni l'humour et la verve de celle-ci ne se retrouvent avec "Lol". Ce n'est en effet même pas amusant, sauf peut-être le passage consacré au voyage en Angleterre, encore que le ressort comique vienne d'une image très outrée et très convenue de nos voisins britanniques.
Histoire très faible, aucune trouvaille de mise en scène... Pourrait-on au moins sauver l'interprétation ? Pas vraiment ! Sophie Marceau, maigrichonne et sans éclat, n'est plus que l'ombre de la prometteuse Vic, la grande Fabian a l'air de s'ennuyer profondément. Les jeunes acteurs sont meilleurs, mais pas Christa Théret/Lol et sa moue permanente. Très très décevant, pourtant le battage médiatique éhonté devrait faire des entrées !
1,5
Publiée le 22 août 2014
Ce qu’il y a de plus détestable dans "LOL (Laughing Out Loud)", c’est l’intention clairement affichée de Lisa Azuelos d’en faire un film générationnel dans lequel tous les ados des années 2000 se reconnaîtraient, or le résultat est clairement à l’opposé de tout réalisme. Comment croire qu’un jeune puisse se retrouver dans les soucis amoureux d’une poignée de Parisiens d’une arrogance sans limite ? Ce monde que décrit la réalisatrice, c’est le royaume de la superficialité, de l’égocentrisme, de la suffisance et de l’inculture ; peut-être existe-t-il quelques personnes dans ce cas, mais ce n’est pas là que réside le problème. Comme je l’ai écrit ci-dessus, c’est l’universalité que le film prétend atteindre qui est vraiment consternante – puisque "LOL (Laughing Out Loud)" se veut un portrait réaliste d’une époque – de même que la volonté manifeste d’Azuelos d’idéaliser cet univers. Ainsi, tout adolescent qui ne se reconnaîtrait pas dans les personnages aurait en quelque sorte raté ses années lycée, et tout adulte qui ne vivrait pas les aventures sentimentales des parents du film serait anormal. Le film suinte alors la mièvrerie dans toutes les situations : les quelques conflits qui ont lieu se résolvent toujours dans la joie, des querelles amoureuses aux crises familiales, et sont donc sans conséquence alors qu’ils peuvent bouleverser des vies dans la réalité. Ici, tout est angélique : mère et filles prennent leur bain ensemble, chantent les Rolling Stones dans la voiture et partagent leurs vies sexuelles à demi-mot, tout le monde finit en couple à la fin, y compris la garce que tout le monde déteste mais qui est au fond une bonne petite fille, il faut cinq secondes pour que le père réprouvant les activités musicales de sa progéniture soit conquis par son talent et – une des scènes les plus ridicules de toutes – un ado immature qui commence par se moquer d’une trisomique va subitement se rendre compte qu’elle est après tout un être humain elle aussi et donc son égale, comme si l’intolérance pouvait disparaître en quelques jours. De cette façon, l’hymne à la tolérance devient une incitation au conformisme.La galerie de personnages est à l’avenant, tous plus affligeants les uns que les autres. On commence par Lola, ado imbue d’elle-même et débordant pourtant de vulgarité, qui inspire dès les premières secondes un profond dégoût. Telle mère, telle fille : le personnage de Sophie Marceau, adulescente jalousant son enfant, suscite elle aussi la consternation, tant son attitude de femme à la fois sexuellement avide et réactionnaire quand il s’agit de sa fille est insupportable. Mais tout cela n’est rien comparé aux mâles du film, des bourgeois risibles se prenant pour des rebelles et se faisant passer pour les futurs Beatles alors qu’ils jouent la musique la plus fade et conformiste du monde. Ces affreux personnages sont pourtant filmés comme des êtres réalistes et profondément humains, les seuls ennemis du film étant les profs. La mise en scène utilise d’ailleurs de nombreux effets séduisants, dont des séquences musicales, des plans sur les écrans de portable ou d’ordinateur, des références populaires, etc. Tout est fait pour que tout soit embelli à outrance et qu’on ne se pose aucune question sur la période trouble qu’est l’adolescence. Il suffit de voir "Les Beaux Gosses" pour constater le gouffre qui existe entre "LOL (Laughing Out Loud)" et la réalité : Riad Sattouf, en exerçant un regard satirique, se rapproche beaucoup plus des tourments que vivent les collégiens qu’Azuelos ne le fait avec ceux des lycéens. Sattouf se moque, enlaidit ses acteurs, montre leurs questionnements sur le sexe en insistant sur le pathétique, et parvient par la caricature à dessiner un portrait vif et crédible de l’adolescence, celui d’une étape de la vie plutôt que ceux de personnages en particulier. Soit tout ce à quoi la réalisatrice aspirait et échoue lamentablement. Il faut d’ailleurs noter que ce sont ses personnages les plus caricaturaux, à savoir les meilleures amies de Lola ainsi que Paul-Henri, le fils de ministre, qui surnagent au-dessus de ce ramassis d’idioties. Voir Charlotte filmer l’intérieur d’un poulet comme s’il s’agissait de son vagin paraît hautement improbable dans la réalité, et pourtant cette situation est, dans son impossibilité, beaucoup plus vraie que les autres scènes qui se donnent une allure crédible tout en étant à côté de la plaque en se qui concerne la justesse des sentiments humains. Ainsi, ces personnages qui assument le fait de ne pas êtres réels deviennent les seuls pour qui on éprouve de la sympathie.Évidemment, on peut s’amuser voire passer un moment agréable devant ce film, puisque la réalisatrice possède tout de même un sens du rythme, pour peu qu’on ferme les yeux sur la stupidité inhérente à l’œuvre. Il ne faudrait après tout pas trop intellectualiser la volonté d’Azuelos ; certes, "LOL (Lauhing Out Loud)" est avant tout un coup commercial sans grand intérêt cinématographique et à la mièvrerie envahissante – mais vendeuse, forcément –, mais il contient tout de même quelques moments de comédie, dans les vacheries que les lycéens se font entre eux, une vivacité qui répond à celle de la jeunesse et une narration certes convenue et sans surprise, mais assez efficace.
0,5
Publiée le 22 mars 2018
Les élèves du lycée où se nouent les pauvres intrigues de "LOL" ont bien du souci à se faire. En plus de devoir penser à leur avenir, gérer leurs amours inutilement compliquées, supporter la pression des parents et des profs, et assumer les ravages de leur propre ego, ils doivent subir les assauts d’une réalisatrice et de sa co-scénariste qui les accablent à la fois de tous les clichés que la pub et les émissions télé de deuxième partie de soirée leur collent au train, et des piteux ressorts des comédies de mœurs pour la génération au-dessus. Pour instaurer l’ambiance "djeunz" : ton de tchatche en continu et vannes misérables, gros chagrins d’amour dans les toilettes, et d’une manière générale réduction de la bande de lycéens à une enfilade de caractérisations pompées dans les revues pour 15-25 ans, aussi primaires que sans saveur (il y a la pouffe insupportable, le crevard incurable, le nerd, le bouffon, etc...). Pour animer le tout (et là, qu’on se rassure, les parents trinquent aussi) : quiproquos à trois francs, ressorts de vaudeville miteux, brouilles et rabibochages jamais crédibles car ne concernant jamais de vrais personnages. Les scénaristes ont-elles jamais été jeunes dans leur vie, au point de se rabattre sur une telle caricature en guise de portrait d’une génération ? Les visages sont frais, mais rien de ce qui leur arrive ne peut émouvoir ou même faire rire, car la moindre part de vérité y a été remplacée par le cliché le plus moisi. Les émois de la nouvelle année de lycée de l’héroïne Lola, 16 ans (diminutif "Lol", on est morts de rire, là), c’est un long épisode de la défunte série "Seconde B", tourné dans des décors de téléfilm de luxe, puis (c’est le pire de tout) vendu dans les magazines comme un nouveau péril jeune en encore plus jeune. Car il ne faut pas s’y tromper : malgré le ton comique affiché, ce cousin jeune et joli des films de Patrick Braoudé est assez culotté pour travailler à se donner de l’importance. Ça joue d’un second degré facile, c’est toujours pratique pour parer aux critiques. Ça pense réconcilier les générations en convoquant l’ex-Boum-euse Sophie Marceau (idéale pour les couvertures de magazines féminins) en mère célibataire, cool mais ferme de Lola, qui redécouvrira, à la faveur de pauvres épisodes sentimentaux avec Alexandre Astier puis Jocelyn Quivrin, qu’elle aussi a été jeune. Ça hurle sa prétendue communion avec son temps, avec ses allusions au supposé moyen de communication préféré des ados d’aujourd’hui, MSN (le titre-acronyme, les incrustations des fenêtres du logiciel à l’écran), avec ses conversations de comptoir entre adultes sur l’éducation des enfants, la consommation du joint… Quand on réalise combien ce triste "LOL" prend finalement son propos très au sérieux, il devient impossible de trouver une quelconque excuse à sa pauvreté, et le goût sucré et acidulé de son titre tourne au rance. La caricature prétendument légère et gentille devient un effarant simulacre de vision du monde, qui dépasse ses propres frontières d’origine lors d’abjectes scènes de voyage dans un fantasme d’Angleterre méritant l’incident diplomatique. On repense alors au générique, à la voix-off de Lola commentant son arrivée au lycée montée au ralenti, ironisant sur les clichés des teen movies américains. Par ce triste et prétentieux décalque, c’est un certain cinéma englué dans ses pauvres certitudes qui a perdu une bonne occasion de se taire. C’est qu’il est bien petit, le monde de la comédie franchouillarde vendant son approche moderne des mœurs et de la société, mais au fond de commerce rance et profondément déconnecté de la réalité. Réalisatrice du film de femmes libérées pour couvertures de magazines "Comme t’y es belle !", Lisa Azuelos, au fond, fait subir ici aux adolescents d’aujourd’hui le même sort infamant qu’aux femmes, aux hommes, au racisme (Agathe Cléry), à tout ce qui a le malheur d’être ingéré dans l’ensemble de ce genre à vocation télévisuelle qui infecte le cinéma français. Soit un nivellement fédérateur par le bas, par des clichés d’un autre âge et une vision du monde effrayante de petitesse derrière son masque de modernité, tristement idéal pour assurer au film une confortable place en prime time. Et dire que ce film aura soi-disant "bercé" toute une génération...
3,0
Publiée le 25 novembre 2015
Une comédie distrayante, au ton léger, réalisée par Lisa Azuelos, la productrice de "Max" que j'avais beaucoup apprécié. On y retrouve, 35 ans après, l'ambiance potache de La Boum bien restituée. Cette comédie est dotée d'une BOF de qualité, attrayante et bien placée. Le casting est très relevé avec l'icone Sophie Marceau, la présence toujours appréciée d' Alexandre Astier et de Françoise Fabian, et dans les rôles des jeunes de premiers plans, Christa Theret et Jeremy Kapone qui font une bonne prestation. Le scénario plus que léger est sauvé par l'enchainement de scènes courtes qui donnent à l'histoire un bon rythme qui nous sauve de l'ennui.
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 20 octobre 2017
Ce film parle que des conneries de la plupart des adolescent de nos jours. C'est n'importe quoi. Drogue pris par la mère et la fille sexe à 16 ans sortir avec 50 filles et garçons différents. Bref du grand n'importe quoi. Moi je suis une adolescente de 16 ans je n'ai jamais embrasser jamais eu de copain jamais eu de sexe jamais pris de drogue ou de cigarette. Et je vis très bien comme ça . Ce film c'est nul et à éviter
0,5
Publiée le 9 décembre 2018
Oups ! .. LOL .. en fait ce film et semblant de comédie ne m'a fait ni chaud ni froid, nous nous sommes vite ennuyés,
il n y a aucune moralité , un mauvais Français, des scènes glauques, des comédiens qui surjouent … ambiance lourde
Sophie marceau était beaucoup plus naturelle dans ses rôles il y a 25 ans …..
2,5
Publiée le 15 octobre 2022
En 2009, Lisa Azuelos signe un petit divertissement sur les émois de l’adolescence. Sa principale qualité est de décrire les états d’âmes d’une jeunesse dorée à travers les troubles sentimentaux d’une jeune fille (Christa Théret). Mais le scénario évoque également la crise de la quarantaine que traverse sa mère (Sophie Marceau). Sans grande profondeur psychologique, le ton reste léger avec quelques touches d’humour. Il n’y a rien de fantastique mais l’ensemble reste fluide. Bref, une comédie romantique qui fait écho à « La Boum », sorti presque trente ans auparavant.
3,0
Publiée le 16 mars 2018
même si le cote dramatique du film me tape sur les nerfs je l'ai bien aimé pour ses dialogues et sa mise en scène. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 3/5
2,0
Publiée le 12 juin 2017
"LOL (Laughing Out Loud)" s'inscrit dans la même lignée et le même esprit que la saga "La Boum" avec Sophie Marceau. Cette dernière est également présente au casting dans un rôle inversé puisqu'elle joue ici la mère en conflit avec sa fille. Rien de bien nouveau avec "LOL" qui aborde des thématiques revenant constamment dans ce genre de films générationnels et ciblant une catégorie précise de spectateurs à savoir les adolescents. La formule reste la même avec les années. Si un ado peut s'identifier aux personnages sur certains passages, le film reste toutefois bourré de clichés tant au niveau de l'intrigue que des personnages. Faute de nuances, cette caricature est tellement poussée qu'elle en vient à sonner faux. La cinéaste réussit à nous faire détester chacun de ces ados qui mériteraient tous une bonne paire de claques.
Les nostalgiques de "La boum" y trouveront assurément leur compte mais cette caricature d'une "jeunesse bobo parisienne" n'est pas terrible.
1,0
Publiée le 8 juin 2021
LOL (Laughing Out Loud)® est un concentré de vulgarité qui, sous le prétexte de rassembler les adolescents et leurs parents sous des thématiques communes, partageant les mêmes déboires sentimentaux, la même mauvaise foi et le même appétit sexuel, célèbre la médiocrité intellectuelle et morale comme ce juste milieu complètement artificiel qui mobilise des valeurs à la mode pour mieux légitimer son propre embourgeoisement. Le film se veut « branché », « cool » et confond alors la dédiabolisation de sujets intimes avec une crudité grossière qui non seulement condamne la pudeur, le secret, l’intimité de façon générale, mais dénature surtout le rapport de l’adolescent à son corps et sa relation avec les autres. Rarement les lycéens auront été à ce point caricaturaux et faux que derrière la caméra de Lisa Azuelos : chacune de leurs interactions, chacune de leurs crises, chacune de leurs réconciliations sonnent mal et échouent à recouvrer la langue et la spontanéité de la population étudiée. Quelques répliques bien senties restent en mémoire, écrasées sous le poids des conventions et d’une obsession du remplissage qui contraint la réalisatrice à accumuler les scènes dans l’espoir d’en tirer une quelconque vitalité. Nous passons donc de La Boum (Claude Pinoteau, 1980) au Badaboum sans autre forme de procès. Une comédie peu drôle dont la vulgarité congénitale et la notoriété publique déconcertent.
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 23 novembre 2015
Les déboires des adolescents de la classe aisée.... Le film nous raconte donc le quotidien navrant d'une jeunesse dorée égoïste qui, n'ayant aucun réel problème dans la vie, s'en invente. Le postulat de base étant synonyme de néant, le scénario empile les clichés et les caricatures pour combler le vide. Donc ça fume du pétard et les parents sont bien entendu trop stupides pour s'en rendre compte, à croire qu'ils n'ont pas de sens de l'odorat.

Les mecs sont beaux-gosses, ils jouent dans un groupe de musique, les gamines sont mignonnes, (la puberté? Connais pas). Si c'est ça l'adolescence, on ne doit pas vivre dans le même monde. Vous savez, les questionnements sur le changement de son physique, sa sexualité, tout ça....

Le film est chiant comme la pluie, l'humour est consternant de nullité, jamais on ne sourit (rappelez-moi le titre du film d'ailleurs?). Les ados ont de la fraicheur, mais jouent mal (dur de jouer des personnages aussi creux en même temps). Bref, c'est nul.
4,0
Publiée le 6 mars 2022
Considéré par certains comme "La boum 3", ce film pourrait effectivement être le successeur de ses deux illustres prédécesseurs dans lequel Vic serait devenue maman. En tout cas, il est le portrait de son époque, celle des années 2000 avec le début des téléphones portables et des réseaux sociaux, narrant les pérégrinations d'adolescents encore lycéens, toujours insouciants mais avec chacun leurs problèmes en tous genres. Drôle, touchant et bien interprété, pas aussi culte que ses aînés, LOL constitue toutefois un très bon divertissement.
3,5
Publiée le 28 août 2019
Grand succès en salles, ce film d’adolescents un brin parisiano-centré met un peu de temps à décoller mais finit par nous embarquer dans de très belles séquences qui nous font passer du rire aux larmes avec une certaine réussite. Rythmé et plutôt fin dans sa description des enjeux de l’âge « ingrat », LOL est d’abord et surtout une belle chronique sur les rapports parents-enfants, et sur l’aveuglement plus ou moins conscient des premiers sur le passage à l’âge adulte des seconds. Avec Sophie Marceau dans le rôle d’une mère de famille courage, divorcée et débordée, 29 ans après son mythique rôle quelque peu inverse dans La Boum. Et un très beau rôle clin d’œil de Françoise Fabian.
3,5
Publiée le 25 septembre 2019
Un bon film qui nous montre avec justesse la vie des adolescents à notre époque !
L'histoire est satisfaisante et Sophie Marceau et Christa Théret sont convaincantes, c’est assez sympathique de voir Sophie Marceau dans le rôle d'une mère qui voit sa fille grandir et devenir femme car on repense forcément au célèbre "La Boum".
Les autres acteurs sont corrects, tous les jeunes qui interprètent les amis de Lola sont satisfaisants et l’ambiance est plaisante.
Les musiques sont bonnes et les gags et les répliques sont amusants.
Un film donc réussi qui nous montre également très bien la relation parfois tendu mais aussi attachante entre une mère et sa fille avec un duo Sophie Marceau et Christa Théret vraiment efficace.
3,0
Publiée le 15 juin 2021
Une comédie familiale divertissante sur les rapports difficiles entre une quadragénaire divorcée (Sophie Marceau très touchante) et sa fille adolescente : un film générationnel drôle et bien écrit.
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