Votre avis sur Machine Girl ?
2,5
Publiée le 3 septembre 2023
Si vous n'aimez pour le second degré - c'est le cas de le dire - et l'ultra gore ce film n'est pas fait pour vous, il est même à fuir car l'accumulation d'une violence physique, graphique et jusqu'au boutisme est assez perturbante. Si au contraire vous êtes preneur, ce film vous plaira sans mal. On est d'entrée fixé, soit on continue soit on quitte le navire. Une mise en bouche de ce qui nous attend, si passé ce cap vous êtes curieux de découvrir la suite, vous n'allez pas être déçu.
Des démembrements, des décapitations, des geysers de sang à profusion qui éclaboussent même l'écran à de nombreuses reprises. On pense à Kill Bill inévitablement car ici ce que Quentin Tarantino n'a pas osé Noboru Iguchi le fait et n'y va pas avec le dos de la cuillère, ce n'est pas le spectateur averti qui va bouder son plaisir. Un manga live gore à souhait, on est en plein dedans. Une surenchère gratuite et insolente plus proche d'une comédie gore à l'impact moins probant qu'un Ichi The Killer mais le budget n'est assurément pas le même.
Asami, l'actrice principale est charmante et interprète son personnage avec force et détermination, son arme est dévastatrice et rappelle le Planet Terror de Robert Rodriguez d'où The Machine Girl a dû emprunter l'idée de base. D'autres trouvailles demeurent intéressantes comme le soutien-gorge métallique à l'effet déchiquetant, ou encore la tronçonneuse placée sur une jambe coupée en guise d'arme de défense.
The Machine Girl n'a certes pas une photographie exceptionnelle mais la nervosité de sa mise en scène est assez maîtrisée pour nous faire passer un agréable moment en essayant de nous faire oublier un vaseux scénario quasi inexistant. La plupart des films asiatiques de ce genre ont toujours de petites longueurs dans le récit, à croire qu'ils ne se contentent que de l'impact visuel.
2,0
Publiée le 21 mars 2022
Je viens de regarder ça mais très dur d'exprimer un avis... un nanar japonais totalement barré... je me suis fendu la poire mais c'est vraiment spécial... effets spéciaux vraiment bas de gamme , scènes de combat risibles, doublage en français catastrophique bref un ovni que je regrette pas d'avoir regardé mais que je ne regarderez pas une seconde fois , très mitigé pour le coup ...
2,0
Publiée le 14 février 2022
The Machine Girl, premier du nom, reste un film bis à demi-juissif, qui repose sur des effets douteux d'une rare débilité, mais d'une surenchère aboutit que certains qualifieront d'oeuvre culte, se satisfaisant de l'univers totalement cheap de Noboru Iguchi, quitte à s'enfermer dedans. Pourtant, le produit reste inspiré d'autres œuvres bien plus abouties, telles que Tetsuo (89), Planet Terror (2007) ou la trilogie Evil Dead.
0,5
Publiée le 7 mai 2021
alors déjà a peine commencé qu'il fait la PIRE chose a faire: un doublage français SUR UN FILM COREEN ????? WHAT ??? ont ne fait pas de doublage sur un film coréen du coup les voix occidentales déjà loin d'être a la hauteur des voix originales ne correspondes pas aux personnages ça fait trop bizarre, les effets spéciaux sont affreux ont dirait des effets spéciaux des années 80, des incohérences comme le coup du gars qui se désintègre après avoir reçu des balles d'une mitrailleuse, c'est TROP MAL filmé, ils courent comme des canard, les son de coup de feux ou de coup de couteau sont horrible, le scénario n'a aucun sens NUL NUL.
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 4 mai 2019
Délirant mélange de comique et de gore.Mis à part le sang et les tripes, j'ai trouvé délicieux au début ce film conçu comme une parodie.Mais malheureusement le scénario (si on peut l'appeler ainsi) ne tient vraiment pas la route.Au moins le rire est garanti.
2,5
Publiée le 17 août 2017
The Machine Girl est un bon gros Z qui tâche en provenance directe du Japon. A la limite de l'amateurisme, le film de Iguchi comporte malgré tout quelques scènes bien marrantes où le sang coule par hectolitres. Devant cette version live et ultra gore du collège fou fou fou, on hésite souvent à arrêter le film pour s'occuper de manière plus intelligente. Mais curieusement, The Machine Girl accroche quand même le spectateur. Le réalisateur va jusqu'au bout de son projet en utilisant un second degré assez réjouissant. Sûrement fan de Evil Dead, Iguchi arrose son film de clins d'oeil à la trilogie de Sam Raimi. L'idée même de la tronçonneuse qui s'intègre au moignon du héros est recyclée. Certains effets gores sont plus que ridicules et Iguchi semble s'en moquer royalement. L'héroïne du film est très jolie et joue comme une savate, tout comme l'intégralité du casting par ailleurs. Le surjeu ambiant et la désinvolture totale de l'entreprise rend le film assez sympathique. C'est toujours drôle de voir dans des films aussi gores, les scènes les plus cucul la praline qui puissent exister. C'est un style qui est propre au Japon. Après que l'héroïne ait arraché la tête à deux collégiens et trucidé à la mitrailleuse une dizaine de personnes, le réalisateur n'hésite pas une seconde à caler des flash back de "machine girl" digne des feux de l'amour. C'est un phénomène qui m'a toujours marqué dans le cinéma de genre japonais, cette capacité à passer du trash au romantisme le plus bêta en une fraction de seconde. L'affiche du film clame avec fierté que ce sont les producteurs de Meatball Machine qui ont allongé les dollars pour The Machine Girl. Dans mes souvenirs, Meatball Machine était un incomensurable nanar gore au budget plus que dérisoire. Si vous avez 1h40 à perdre et que l'idée de vous vider le cerveau ne vous déplaît pas, vous pouvez regarder The Machine Girl. Sinon, allez boire un coup avec des amis ou profitez en pour aller au musée.
4,0
Publiée le 5 novembre 2016
Oh la sacrée bobine que voilà !! Ayant déchaîné les passions à l’époque avec sa bande-annonce délirante qui promettait tant et tant, les cinéphiles amateurs de cinéma de genre ont pu constater que le réalisateur Noboru Iguchi était quelqu’un de sérieux et qui tenait ses promesses : amateurs de sensations fortes et de gore à outrance, " The Machine Girl" est parfait pour vous !! Nous suivons donc la jeune Ami : depuis la mort de leurs parents, elle s’occupe maternellement de son petit frère Yu. Malheureusement, ce dernier sera victime d’une bande de voyous qui le rackettaient régulièrement et qui feront passer le décès du jeune homme pour un suicide. Ne tolérant pas un tel acte, elle décide de venger son petit frère...Avec "The Machine Girl", Noboru Iguchi intègre aux codes du film de vengeance (deux actes : 01) mise en abîmes du personnage principal et 02) la vengeance de ce dernier) la thématique du héros handicapé : au Japon, des héros tels que Zatoichi, Sasori ou Tange Sazen sont des exemples d’individus au mental si fort qu’ils en parviennent à transformer leur handicap physique en simple anomalie, une anomalie qui se révèlera être en fait une arme redoutable…c’est sans doute dans ces héros que Iguchi a trouvé son inspiration pour Ami : après avoir enfoncer son héroïne plus bas que terre (elle est battue, humiliée, violée et mutilée…à un tel point qu’on flirte grave avec l’auto-dérision !!), il la fait renaître de ses cendres et la transforme en impitoyable machine à tuer. Unique et diablement efficace, la mitrailleuse qui remplacera son membre sera le prétexte à une monstrueuse hécatombe…et oui, âmes sensibles, passez votre chemin : "The Machine Girl" est très, très gore, nous offrant un divertissement viscéral comme on en fait que trop peu aujourd’hui. Dès le début du film, Iguchi nous montre de quel bois il se chauffe et ne lésine pas sur la violence graphique granguignolesque dont les nombreux délires à la fois décomplexés, inventifs, surprenants et hilarants feraient passer "Baby Cart" ou "The Blade" pour des contes de fées ! Chaque nouvelle scène se veut encore plus violente que la précédente, à un tel point qu'à la moitié du métrage, on se demande comment le réalisateur fera pour continuer crescendo ! Les effets gores sont généralement bien réalisés : les effets « plastiques » par maquillage, malgré leur aspect « bricolés » sont plus réussis que les effets numériques dont la qualité est trop approximative. On passe du surprenant ( spoiler: la séance de torture avec les clous plantés dans la tête, les doigts du cuisinier en sushis
) au craspec dégueu spoiler: (la femme avec le couteau planté dans la bouche qui vomit sur la tête tranchée de son fils, le tronc sans tête qui sert à asperger les autres copieusement d’hémoglobine avec la puissance d’un karcher !
) avec une facilité et une jubilation déconcertante ! Mais la folie du film ne se limite pas aux effets visuels, tous les personnages sont immoraux : le père yakuza est une sorte de samouraï taré qui fait boire son sang à son fils, ses hommes de main sont des pervers se livrant à la nécrophilie, la mère est une femme superbe mais d’un sadisme énorme ( spoiler: le soutien-gorge perceur, c’est quelque chose !!
), le fils est un lâche qui n’hésite pas à battre à mort les faibles sans défense, les ninjas du clan sont des spécialistes du démembrement sous toutes ces formes, l’alliée d’Ami est une cinglée des armes obsédée par la vengeance, et même Ami déclare elle-même être devenue un démon ! Ne cherchez pas de « gentils » dans ce film car il n’y en a pas : une vraie hystérie collective !! Le véritable point faible du film demeure son casting justement : il faut avouer que pour beaucoup d’entre eux, il s’agit de leur première apparition devant une caméra (inutile de dire que leur jeu d’acteur laisse à désirer !). Quand à Minase Yashiro (celle qui interprète Ami) sa prestation se trouve être plus qu’honnête quand on sait que jusqu’à présent, elle s’est contenté de jouer les «Gravure Idol », c’est-à-dire une jeune fille exhibant ses courbes en bikini devant des appareils photos. Pour une première prestation, elle donne vie à une héroïne hors norme, indestructible et particulièrement charismatique avec sourire carnassier et sadique (elle est presque aussi flippante que Eihi Shiina dans "Audition" de Takashi Miike !!). The Machine Girl est donc un film grotesque, lourdingue, gore, irrévérencieux, délirant et hystérique ! Dans l’esprit, il se rapproche d’autres folles péloches telles que "Bad Taste" et "Evil Dead 2" ou de mangas trashs comme "Violence Jack" ou "Ichi The Killer". Enchaînant les délires ultra-violents les uns après les autres, le métrage réussit à tenir toutes les promesses qu’il avait suggérées. Rien que pour cela, il vaut largement le coup d’œil. On se demande réellement où l’esprit de Noboru Iguchi est allé chercher tout ça, mais une seule chose est certaine : ce type sait ce qu'il fait, comment il le fait et pour qui il le fait. Il ne prétend jamais à plus et ne se prend jamais au sérieux : c'est ça, le VRAI cinéma de genre !
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 20 septembre 2014
Comment dire... Ce film, c'est du n'importe quoi, mais le genre de n'importe quoi que j'adore; c'est inexplicable.
3,0
Publiée le 25 mars 2014
Un film complètement déjanté avec des effet spéciaux a la limite du kitsch mais a voir tout de même (éviter la V.F c'est une horreur)
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 13 mars 2014
Un film japonais sanglant et tranchant. Mais pourquoi tant de haine et de vengeance ? Les effets spéciaux sont grossiers mais c'est tellement grotesque que parfois ça fait rire.
4,0
Publiée le 29 janvier 2014
Bienvenue dans le monde du slasher japonnais avec comme héroine , l'ecoliere Asami toujours prete à en découdre avec les vilans.
Résolument gore aux allures de Manga , ce produit est le pur délire d'un réalisateur deglingué , à prendre au 3e degré tout comme une autre aventure d'Asami avec "Zombie ass" quelques temps plus tard.
Un régal pour les yeux, du grand n'importe quoi avec ses effets speciaux bien moche à l'ecran mais qui font du bien quand on veut passer une soirée à ne pas reflechir !!
anonyme
Un visiteur
3,0
Publiée le 8 mai 2014
C'est un style qu'on apprécie ou pas, tout est une question de goût, mais ce cinéma gore japonais a une marque de fabrique typique. Les têtes qui se décrochent, la lycéenne pleine de sang, tout cela relève de la pure comédie, un peu à la Brain Dead avec moins de réussite dans les effets spéciaux.
1,5
Publiée le 26 novembre 2012
Félicitez moi, je l'ai fini ! Ce n'était pourtant pas gagné au vue du jeu d'acteur pitoyable et du doublage, encore pire. Ayant découvert plusieurs titres du même genre, je me suis lancé dans celui qui me paraissait le plus abouti, histoire de me faire une idée, on comprend rapidement le but de ce type de cinéma, amuser à grands coups de gore et de giclées de sang interminables, totalement typé manga. J'ai envie de dire pourquoi pas, les hectolitres d'hémoglobine déversés à droite à gauche ne me gêne pas en soi mais le minimum, c'est d'accompagner le tout d'une bonne mise en scène et d'une réalisation à la hauteur, ce qui n'est manifestement pas le cas ici. Certes j'ai ri un peu mais on tourne rapidement en rond et les scènes gore s'enchainent sans saveur entre des personnages stéréotypés et dont on se désintéresse totalement. Bon et bien ce n'est clairement pas un genre qui me plait, tout du moins sous cette forme quelque peu débile, à oublier pour ma part.
anonyme
Un visiteur
1,5
Publiée le 6 septembre 2012
À part le mélange manga et gore qui prête parfois à sourire (tel le moment où les émules de Bioman en survêt' rouge se transforment en viande hachée sanguinolente)
, c'est quand même très mal fait. Réalisation minable, jeu des acteurs pitoyable, effets spéciaux lamentables... Un "bon" délire, quoi.
4,0
Publiée le 1 mai 2012
Certes il n'est pas très abouti pour ce qui est du scénario. son frère se fait tuer et elle se venge mais se fait couper le bras.Alors elle décide de se greffer une arme. Après s'ensuit toute une cascade d'action où le cerveau n'est pas obligatoirement requis. Mais on parle de quoi là?De film à la barbare façon asiatique où on met de côté le cerveau et c'est parti pour 1h30 de giclage de sang et de coupage de membres. Si les gens regardent ces films comme ils regardent les superproductions, alors ils n'ont rien compris car c'est tout un art ce style cinématographique. D'ailleurs, pour ce qui est des films d'horreur, je vous conseille les films asiatiques.
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