Derniers Avis : Machine Girl - Page 2

Lamentable, un film certainement conçu pour ceux qui ont un quotient intellectuel en dessous de 30...

Allez hop, je lui met 5 étoiles à celui-là. Perso, j'ai adoré. Je suis assez fan de ce genre de gros délire Jap' et contrairement à certaines critiques que j'ai pu voir à droite à gauche par ici, j'y vois une sorte de version asiat' de nos grands classiques indémodables et définitivement cultes du gore (Braindead) ou de l'horreur délirante (Evil Dead) (d'ailleurs, comment ne pas faire le rapprochement dans ce film là précisément, avec une héroïne qui a une sulfateuse à la place de l'avant bras et sa pote avec une jambe tronçonneuse, y a qu'à imaginer que l'étudiant classique d'université américaine (Ash) est remplacé par une écolière classique Japonaise en jupette (Ami) et hop, on y est)
Un film très bon dans le genre, le meilleur à mon sens tant il est poussé dans le délire et la défoule tout en restant un peu moins bordélique que certains.
C'est, avec Alien vs Ninja de Seiji Chiba un de mes films cultes dans le genre gros délire du style "oh ouais, t'imagines, genre ils auraient buté son frère, coupé son bras gauche, et elle reviendrait trop vénère pour se venger avec une Gatling greffée à son moignon pour les trucider un par un owi owi trop !! Allez, on a pas les moyens mais on va s'débrouiller pour pondre ce film !!"
A voir avec une bonne grosse dose de second degré hein, faut pas déconner non plus.

Machine girl est film qui fait très fort dans le trash et le gore et heureusement car tout le reste est plutôt maladroit. On trouve néanmoins de quoi se divertir la dedans. A prendre au second degré!

Très mal fait et très gore, il vaut mieux regarder ce film avec une bonne dose d'humour. Très proche d'un dessin animé japonais.

Tourné avec trois francs, six sous, un pur délire Z gorissime et cartoonesque à voir impérativement au second degré, certes totalement con et le plus souvent mal joué mais jouissif à plus d'un titre, drôle, d'une énergie folle et empreint d'une certaine mélancolie.

C'est mon film préféré de la Terre ! Les scénarios c'est vraiment pour les films nuls.

je ne vais rien ajouter aux commentaires précédents vu que j'ai regardé ce film sans vraiment connaitre ce genre.Hémoglobine a outrance .C'est spécial . Reservé aux amateurs du genre uniquement

Beaucoup de gens comprenne pas que ce genre de film comme TGP, Meatball Machine, Vampire Girl vs Frankenstein Girl, doit etre pris au second degré. Quand vous regarder ce pure délire gore japonnais ne chercher pas le réalisme, ne chercher pas a juger le scenario ou le jeu d'acteur car ce genre de film est specialement réaliser pour nous amuser, pour délirer, pour s'écarter de la réalité. The Machine Girl réalisé par Noboru Iguchi est un des film jouissif qui n'a aucune limite dans la débilité, dans le sang qui gicle encore et encore avec des effets speciaux à nous faire vomir pour le manque de réalisme. C'est pour cela qu'il ne faut pas reflechir quand on regarde ce film, ce genre de film s'inspire des manga animés en ce qui concerne le jeu d'acteur, les efets gore ect...Il faut donc savoir déliré et mettre de coté nos jugement serieux sur les film et faire appel à un grand sens de l'humour. C'est aussi simple que ça pour trouver ce film exelent tout comme TGP ou frankenstein girl vs vampire girl. un pure délire japonnais et unique à voir et revoir pour ceux qui savent aprecier cette perle du divertissement décomplexé et avec une liberté illimité de scene aussi ridicule que jouissif !

un manga pas animé... un style à part entière, ça passe ou ça casse.

3sur5 Machine Girl est une pièce de choix du récent cinéma grindhouse, soit du cinéma pop-corn offrant son lot d'hémoglobines et d'évocations sexuelles dans le but de réjouir un auditoire en général conquis d'avance à l'idée de passer une heure et demie en stand-by total à se délecter de tant de dérives bis.

C'est avec ce film que Noboru Igushi, ancien réalisateur de pornos en tous genres (du fétichisme à l'orgie), va devenir une coqueluche des adeptes de cinéma trash et de bizarreries du 7e art. Son Machine Girl a émergé de façon spectaculaire pour devenir la référence définitive dans son domaine. Toutefois, et même si le film est une bonne trouvaille parmi les V-Video (les direct-to-video japonais), sa réputation paraît un peu abusive. Sorti au Japon dans la foulée de Tokyo Gore Police de l'homologue Nishimura, son vieil associé pour les maquillages, Machine Girl n'est pas aussi baroque que son concurrent, à mille lieux de là ; mais de toutes manières, il est bien trop probable d'être déçu dans tous les cas ou on compare Tokyo Gore Police à un autre V-Video, aussi hargneux soit-il.

Si le pitsch est férocement basique et déjanté comme il se doit dans le domaine, Machine Girl laisse plus de place à l'intrigue et développe un sentimentalisme surprenant (qui ne lâchera jamais le métrage et occupe l'espace jusqu'au final), parvenant à susciter l'empathie pour les vengeurs et l'heroine en particulier. Une certaine profondeur est approchée avec la démonstration de la solitude de l'héroine, jeune fille orpheline et hai de tous pour la faute présumée de ses parents (ils s'en sont donnés la mort – à cause de la disgrâce, présuppose-t-on).

Ce mélange de sérieux, de nonchalance et d'agressivité abouti à une atmosphère décontractée et gentiment irréelle ; le film gagne -un peu- en épaisseur et parvient à ressembler à une série B niveau sitcom (en gore et offensif) avec des personnages typés à l'extrême. Machine Girl est beaucoup plus construit que le V-Video standard, curieusement c'est aussi ce qui freine régulièrement sa folie.

Toutefois, l'extravagance est de mise. Après les trente minutes de savante préparation, le film retrouve la nature profonde du genre : offrir un spectacle gorasse à souhait. Au programme, scènes de combats grotesque et second degré, humour slapstick, violence extrême, démembrements en pagaille et giclées de sang à la Braindead. Si Girl Machine se démarque sur le plan formel, c'est moins par des envolées graphiques qu'une imagination prégnante dans ses gadgets. La crédibilité de ses effets plastiques achève de hisser le film à mi-chemin entre la moyenne et le meilleur du genre. Le film offre au moins une séquence mémorable avec le combat final, ou interviendra une arme on ne peut plus perverse et dégénérée. Notons que, par le thème de la vengeance et l'accessoire principal de l'heroine (son bras d'acier armé), l'ensemble rappelle parfois le Kill Bill de Tarantino et Planète Terreur de Rodriguez qui rendaient hommage, justement, au grindhouse et à la série B. Il va de soi que les performances de Machine Girl tendent à le rapprocher plus particulièrement du second. D'autres citations sont allègrement repérables, comme celles visant Hellraiser ou encore Evil Dead 3.

A condition d'avoir encore une once d'adolescence au fond de soi et sans doute une certaine ''ouverture d'esprit'' (que les esprits culpabilisateurs évitent – à moins que, justement..), Machine Girl s'avère un film attachant malgré ses failles évidentes ; il aurait notamment gagné en efficacité à être légèrement plus concis. Son outrance et l'euphorie qu'elle dégage feront de toutes façons plaisir à un public sensible à ce genre de déviances sur pellicule. On évitera la VF, vraiment, vraiment trop Z quand à elle.

Du grand guignolesque japonais dans la droite lignée de Tokyo Gore Police (2008) & Vampire Girl vs Frankenstein Girl (2009), tous deux réalisés par Yoshihiro Nishimura. The Machine Girl (2008) reprend le même principe, à savoir : des hectolitres de sang, du gore et du trash toutes les secondes, du grand n'importe quoi sur plus de 90 minutes, autant vous dire qu'il faut être sacrément motivé pour se farcir le film jusqu'au bout. Les amateurs décérébrés de films aussi futiles et sanguinolents seront comblés, pour les autre passez votre chemin car sincèrement il n'y a rien à voir ici, à part une boucherie à ciel ouvert, entre les décapitations, les coups de tronçonneuses, perceuses, sulfateuses, les crânes éclatés, les types éventré de la tête aux pieds et le sang qui gicle comme des geysers. Ajoutez à cela de très mauvais SFX et autres makeup-effects (ainsi qu'un clin d'oeil évidant à Planète Terreur - 2007, où l'héroïne a une sulfateuse greffée à la place de la jambe), autant vous dire tout de suite que ce genre de production japonaise on peut s'en passer !
A noter qu'il existe aussi un spin-off, réalisé par Noboru Iguchi, sous la forme d'un court-métrage (de 22 minutes) à savoir Shyness Machine Girl (2009).

The Machine Girl est une sombre bouse sans odeur ni saveur. Les « acteurs » donnent la nausée à chacune de leurs répliques, le scénario est cousu de fil blanc et aborde avec maladresse certains thèmes comme le lesbianisme. Quant au technicien chargé de la prise son, il a dû être pris d'une chiasse foudroyante lors du tournage, c'est pas possible autrement. Les dialogues sont insipides et les effets spéciaux, point névralgique de ce genre de production, sont dépassés. Le réalisateur nous inflige un condensé de grand n'importe quoi où l'héroïne doit faire face à des apprentis ninja, des parents revanchards, des sabres, des tronçonneuses et des yakuzas nécrophilies. Au milieu de tout cette gerbe, on est trop souvent interrompu par des scènes mollassonnes où la Machine Girl spoile l'intrigue générale : la vengeance (une fois encore, mal amenée) où tous les méchants crèvent à la fin (et effectivement, tous les méchants crèvent à la fin).
Quand je vois certaines comparaisons avec Evil Dead, je hurle au scandale. La production de 1982 enterre sur tous les points celle de 2008.

Complétement débile, inintéressant et sans aucun intéret...... Tout cela est juste prétexte à faire du gore pour du gore et à force, ça lasse trés vite!!!!!!!!!!!!!!!!

Gore, dégueux, un peux foufou aussi. L'histoire est là. Les méchants sont punit. Du grand n'importe quoi !

Un bon gros Z japonais avec des effets visuels entre le nanar et evil dead. Le scénario est une quête de vengeance classique mais plutôt bien écrit, les acteurs surjouent volontairement, les effets spéciaux kitschissime assumé. c'est sympa à regarder par curiosité on rigole beaucoup.