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apotheme
118 abonnés
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0,5
Publiée le 26 avril 2010
Encore un film d'horreur nul. Quand on voit le scénario ( une chaise démoniaque qui envoie les personnes dans un monde parallèle),on peut y voir qu'une daube de plus et de surplus mal interprétée. A EVITER
Pathétique, infecte. Un acteur principale qui a du faire ses débuts dans des sitcoms? c'est pas possible c'est notre gérard Vivés a nous et encore Gégé était poilant.
Le professeur a cru faire un remake de gandalf?
le monstre est abominablement mal fait.
je ne parle pas du scénario hein il a était écrit sur du pq et jeté aux wc aprés ( à esperer )
Le point positif du film est heu humhmu attendez je vais bien en trouver un ....
Cinéaste qui apprécie le cinéma de genre, Adam Mason sort The Devil's Chair en 2007. Ce long-métrage qui emmène ses personnages, et les spectateurs, dans un décor bien connu, aurait dû être une énième bouse. Il est vrai que ce type de produit n'est pas franchement original et s'impose à nous plus qu'il n'est souhaité. Pourtant, The Devil's Chair, dès ses premières minutes, parvient à capter l'attention grâce à sa réalisation et à un rendu esthétique qui colle parfaitement à son décor. Un hôpital psychiatrique où les fous ne sont pas nécessairement ceux qu'on croit. Et puis le traitement narratif du récit, à base de voix off, d'arrêts sur images et d'ironie cinglante réussissent à combler les nombreux défauts de la pellicule. The Devil's Chair, en effet, reste quand même une série b qui manque de force et de caractère : entre des comédiens pas toujours à l'aise, ce même décor trop peu utilisé et un twist prévisible si l'on suit bien, on ne pourra que noter des faiblesses criantes. La violence graphique, en outre, est trop souvent suggérée, pas assez démonstrative. Pourtant le script promettait un déchainement savoureux.
Nick a été interné après qu'il a été soupçonné du meurtre de sa petite-amie. Libéré, il est convié à se rendre dans l'ancien hôpital psychiatrique où, des années plus tôt, le crime a eu lieu. Avec une équipe de médecins, il va tenter de trouver une réponse aux nombreuses interrogations...spécialement à propos d'une chaise qui aurait des pouvoirs diaboliques.
Des incohérences flagrantes perturbent l'histoire de Nick, c'est là où le bât blesse. Le twist rend ces défauts visibles et relativise le travail d'Adam Mason. Car The Devil's Chair, s'il ne convainc pas entièrement, jouit d'une réalisation par moment très intéressante, d'effets savamment dosés et d'une créature très réussie. Dommage dans l'ensemble, on a manqué de peu une très belle surprise. 3/5
Ce film est une bonne petite surprise d'où cette note correcte!!! Film sur la folie (ou non) d'un homme qui nous fait entrevoir un monde paralléle plutôt glauque et hanté par un démon aveugle sentant le sang (peut-être influençé par "Reeker")!!! Le probléme de ce genre de production, c'est son côté bavard voir trés bavard (le meilleur exemple en est le professeur) même si l'interprétation de son acteur principal est plutôt bonne!! à réserver aux amateurs du genre et à ceux qui aiment le sang (mais pas le gore)
encore un film d'horreur tout pourri!!! aucun suspense ni originalité on sait à quoi s'attendre, qui est le méchant de l'histoire ,les acteurs sont nuls décidément se doit être à la mode de jouer comme un pied,et la voix-off est d'un chiant et d'un vulgaire.Voilà encore une déception dans le milieu de l'horreur.
Quand je vois l'avis sur ce film je me demande bien si nous avons vu le même. J'avoue : PSYCHORIGIDE ET SENSIBLE s'abtenir, et aux petits esprits aussi. Sinon bon film psychologique, côté gore. Suspens et angoisses au rendez-vous.. Pour ceux qui aiment comme moi.. C'est un grand film psychopate, on s'en rend compte au fil et à mesure, que ce mec est fou, alors qu'on jurerai le contraire, écrit comme narrateur, ce qui permet le côté humoristique le côté vulgaire d'entendre tout ce qu'il se dit. Petit côté sexualisé, folie.. ' monde de fou ' ' monde de merde ' serait l'arrière goût de ce film. J'ai adoré, un des meilleurs films de ces dernières années pour moi!
Encore un film pseudo-psychologique, ça ne méne à rien, tout est creux, pas d'histoire. Et oui! on connait déjà TOUT après les quelques premières minutes!!! Même le gore n'est pas au RDV car on ne voit absolument rien! que des litres de sirop de glucose pour pomme d'amour (qui ont dû pourrir et il fallait bien les utiliser quelque part!), déversés sur les pseudo-acteurs. Pourtant j'en ai vu des tonnes de film d'horreur et d'épouvante tout pourris, mais avec celui-là, rien ne se dégage, ni tension ni suspense (car tout est bien dit au tout début du film!).... Ah, aussi le soit disant humour aussi hilarant que les blagues à la télé avec arthur et cauet, et le sex on en voierait beaucoup plus et mieux en regardant des clips du top du moment!
Un film qui avait des début prometteurs, mais qui sombre littéralement à la fin. Pourquoi on ne sait pas mais il n'en reste pas moins que le grand n'importe quoi final nous laisse perplexe quant à l'issue du film, et on à du mal a l'apprécier à sa juste valeur.
The devil’s chair est un film étrange et il est vrai qu’il est difficile de noter ce film parce qu’il y a la fois de bonnes idées, des mauvaises choses et un scénario à part.
Tout d’abord, on sera surpris qu’il s’agisse d’une histoire racontée par le personnage masculin principal. Au début, ça dérange un peu par manque d’habitude et puis au fil du film, on s’habitue (surtout qu’il mettra un peu d’humour dans ses interventions). La scène d‘introduction est plus que correct : une bonne entrée en matière dans cet endroit lugubre et glauque. Et puis la fameuse scène de la chaise du diable bien appréciable, nous donnant envie d’en savoir plus. Après cette scène d’intro, c’est la grosse frayeur ! Le début est moche visuellement et les acteurs puent la grosse série z. Ça parait lent et mou : de suite, tu te prépares à passer une mauvaise heure. Mais quand l’équipe viendra à l’asile abandonné, ça retrouvera l’ambiance de la scène d’intro. Franchement, le lieu est bien choisi : l’asile est glauque et fout la chair de poule. On en saura plus sur cette chaise : l’idée d’un monde parallèle avec un monstre est intéressante. Sans non plus voir des choses extraordinaires, l’ambiance est bonne et le suspense est maintenu. Jusqu’à la scène finale inattendue et bluffante, qui ne nous fera pas déplaire ce que l’on a vu jusque-là car le film aura bien joué de nous et la fin se montre malsaine et très dérangée. On regrettera seulement les images gores cachées.
The Devil’s Chair est donc un bon film qui se démarque un peu en raison de son scénario et de sa mise en scène. On regrettera certaines images de vieux série z et le manque d’audace pour montrer les dernières images du film. Un film qui marche à voir une fois car je pense que plus d’une fois l’ennui ferait sa place.
Alors qu'il réalise en même temps son petit survival intimiste Broken, le metteur en scène Adam Mason ne chôme pas. Il tourne la même année le fameux The Devil's Chair, au scénario unique et à la réalisation décadente. Après avoir tourné quelques films passés inaperçus, le réalisateur britannique s'est occupé pendant trois ans de réaliser une soixantaine de clips pour différents groupes de métal plus ou moins connus, ce qui l'a forgé pour son style visuel : propre mais sale à la fois, ambiance malsaine, grain de caméra usé, plans saccadés et effets gore à gogo... Le style narratif est ici présenté par notre anti-héros, Nick, déblatérant ses opinions sur la situation avec un humour noir et un langage très cru. Le scénario, très bien écrit, regorge quant à lui de rebondissements bienvenus (surtout durant le twist final, totalement imprévisible et absolument jouissif) mais souffre également de répétitions au niveau des dialogues, qui tournent un peu en rond. Cependant, Adam Mason ne manque pas d'idées et ce Devil's Chair peut se tarir d'être sacrément original. À voir pour les amateurs du genre ...
Les premières impressions sont très bonnes, mais elles s'estompent au fil de l'avancement de l'histoire. Même le réalisateur s'en rend compte et fait une pirouette pour essayer de faire de son film une réflexion sur la représentation de la violence à l'écran et sur les motivations des spectateurs. Sauf que l'histoire se limite à étirer de façon interminable une scène sanglante, sabordant ainsi le film. Comme quoi il ne faut jamais bâcler un scénario.
Un film assez indigeste dans son histoire. Naviguant ou voulant naviguer entre surnaturel et schizo mais sans marquer l'intérêt, verbalement indigeste et inutile, hémoglobine à l’extrême mais çà n'apporte rien, scénario compliqué, entremêlé et alambiqué ou les fx sont déplorables. Pas grand chose d'acceptable dans tout çà, des dialogues (volontairement) débiles coiffent l'ensemble, donc : 0/5 Navet 1 !!!
Avant de voir le film on s'attend à un gros navet contenant des scènes de dajà vu mais finalement on est un peu surpris par ce long-metrage à très faible budget. Mais ce n'est pas pour ça qu'il sera bon car sans parler du mauvais jeu d'acteur, l'histoire est inninteressante bien qu'original ainsi que le twist final attendu mais pas mauvais. Par contre les scènes gore le sont trop justement, à peine la victime assise sur la chaise, le sang coule sans savoir pourquoi. Sinon l'hémoglobine éclabousse un peu partout, les commentaire du personnage principale, assez mysterieux et étrange, en exterieur avec le film sont plaisant mais parfois assez osée et vulgaire. Rien de trop interessant pour ce "Devil's Chair" (malgré de bonnes scènes d'horreur) car certaines lenteur ont tendance à nous impatienter d'en avoir fini avec le film. Meme par curiosité, ce film d'horreur de série Z ne vaudrait pas le coup à moins que vous n'ayez rien d'autre à voir car le gore ne sauve pas grand chose. 2/5
Bonne surprise ! Dommage que l'interprétation laisse quelque peu à désirer, sinon... ça aurait presque pu être un grand film. The Devil's Chair, qui n'est pas sans rappeler un certain Hellraiser (dont la voix-off fait plusieurs allusions au cours du film) fait partie de ces petits plaisirs coupables gores (à l'instar d'un Troma genre Cannibal the musical ou un Toxic avenger) aux effets spéciaux pour le coup plutôt réussis. Amateurs/trices d'effroi et d'horreur viscérale : si ce n'est d'essayer la fameuse chaise, je vous propose néanmoins de découvrir ce sympathique petit film et de vous faire votre propre jugement.
Introduction beaucoup trop longue qui montre dès le début que le film ne sera pas crédible. Pour un film d'horreur, on dirait presque une mauvaise comédie les dix premières minutes. Une fois ces 10 minutes passées, le film d'horreur se transforme en film psychologique et cela reste plat jusqu'à la fin. Il y a pourtant de bons films d'horreur psychologiques tels que A Cure For Life ou Patrick, mais là c'en est très loin. C'est le genre de film où on s'endort littéralement. Souvent, tout se joue dans le décor qui apporte un peu d'angoisse. Ici, les décors sont trop normaux pour nous mettre mal à l'aise.