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Tiwayker
44 abonnés
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4,5
Publiée le 22 septembre 2010
Un des meilleurs film Français de cette année, claude Lelouch réussi son 50ème anniversaire de cinéaste, belle histoire et belle hommage au cinéma, Audrey Dana est magnifique dans son rôle, l'émotion est présente, du grand cinéma !
En 1981, Lelouch nous proposait LES UNS ET LES AUTRES ; il nous montrait avec brio comment le destin et le hasard des rencontres forgent nos vies… Depuis, tous ces films semblent imprégnés de cette même fascination. Avec CES AMOURS LA, je dois avouer ma lassitude : je n’y vois aucun renouveau, c’est du Lelouch pur et dur et c’est bien le problème. J’ai souvent regretté de ne pas avoir de télécommande pour accélérer. La fin n’en finit pas : c’est une torture, le supplice de l’éternité !
Je ne suis pas une fan de Lelouch, je ne connais que trop peu de ses films... Je suis sortie de la salle bouleversée par les comédiens, le rythme, la sensibilité, la photographie, la musique... Partagée entre un silence indispensable et l'envie d'en parler à tout le monde.
Ce n'est sûrement pas un grand, ni un mauvais Lelouch, ça ce regarde, sans plus. Lelouch a cette fâcheuse et horripilante tendance de faire passer ces films pour des chefs d'oeuvre, parfois cela se mérite, d'autres NON.
Claude Lelouch a commencé à filmer à ma naissance, j'ai eu 50 ans cette année, et il nous enchante à l'occasion de cet anniversaire Après un démarrage un peu lent et convenu, l'émotion l'emporte et on sort les yeux humides... Merci Claude Lelouch, vous avez bercé ma vie de cinéphile et vous serez toujours dans mon coeur...
On peut avoir un grand respect pour Claude Lelouch, qui sut innover il y a bien longtemps avec sa caméra furtive et intimiste d'Un Homme et Une Femme et sa fresque chorale des Uns et les Autres, tout en regrettant qu'il radote aujourd'hui son cinéma. Son nouvel opus est consternant de pathos et de sentimentalisme facile et nous inflige une suite de scènes déjà vues mille fois. Destins croisés et contrariés sur fond d'occupation allemande et de libération, chansonnettes d'époque répétées jusqu'à la nausée, intrigues amoureuses de romans photos, tout est insupportable. En guise d'hommage au cinéma on assiste à une auto-célébration en forme de bande annonce étirée sur deux heures. Quand on n'a plus rien à dire le silence est la meilleure option.
Pathétique dans tous les sens du terme. Mise en scène grandiloquente avec des envolées musicales insupportables. Histoire improbable d'amours singulières pendant l'occupation allemande. J'avais de l'affectation pour Claude Lelouch, mais il est maintenant temps qu'il raccroche sa caméra et qu'il consulte.
J'attendais ce film avec impatience, et suis très déçue. Je me suis ennuyée avec un scénario rocambolesque sur fond de guerre, des comédiens moyens (notamment Gilles Lemaire/Singer pas du tout crédible ) excepté Pinon, toujours excellent, et Laurent Couson. Un film qui traite de l'amour sans nous donner l'émotion de l'amour, sans nous transporter, sans nous faire rêver, et qui n'apporte pas grand chose. Inintéressant.
film qui marque bien les 50 ans de carrière de Claude Lelouch, beau , émouvant, musicalité énorme, en un mot un des meilleurs Lelouch à voir sans aucune hésitation
"Ces amours là...", un hommage au cinéma, un hymne à l'amour. Les mélomanes apprécieront, les romantiques également. Claude Lelouch, nous pose, essentiellement, deux questions existentielles, à savoir, "Peut-on tout accepter par amour ?" et "Jusqu'où peut-on aller par amour ?". Le tout sur fond de nazisme et des deux guerres mondiales. Audrey Dana sous ses airs de Chiara Mastroianni tient là un beau rôle assez attachant malgré tout. La musique est absolument splendide. Jouée par Laurent Couson, le passage au conservatoire est juste magique, avec ces changements de styles on passe du classique au jazz ! A noter tout de même un son qui se laisse parfois désirer avec des changements d'intensité sonore. Le mixage n'est, en somme, pas terrible ! De plus la fin est peut être un peu long. Ce que l'on peut appeler l'épilogue (Paris 2012) est long et on se serait passé de cette conclusion. Un bel hommage touchant par Claude Lelouch !