Avis sur The Duchess

Voici un film d'une étonnante beauté à la réalisation de haut vol ...
Fin du XVIIIe siècle, en Angleterre, l'ancêtre de Lady Diana, la Duchesse du Devonshire, est une femme charismatique,et adulée par la population. Mariée au richissime Duc, ce dernier attend de son épouse une seule chose "un héritier". Donnant naissance à deux filles, et mal aimée de son époux, Georgiana s'engage dans la vie publique en s'engageant dans la vie politique luttant pour les droits des femmes, au cours de laquelle elle s'éprendra du futur Premier Ministre Charles Grey...
Il est toujours difficile de porter l'Histoire à l'écran, tout en respectant des faits souvent inconnus mais Saul Dibb ne transgresse en rien les règles de la grammaire cinématographique et c 'est en cela que la réussite est complète .The Duchess offre une vision flamboyante de l'Angleterre du XIIIème siècle, de sa culture ainsi que sa politique.
Ralph Fiennes campe admirablement la dureté et la froideur....
Keira Knightley est simplement "immense" (même si sa prestation n 'a pas été récompensée) son jeu subtil et juste, marque sa peine tout au long de ce récit poignant ,son allégresse se meurt petit à petit sa joie de vivre se désintègre avec une rapidité sans égale .
Malgré ses douleurs et pourtant détruite ........elle reste ensoleillé et ne montre pas véritablement sa détresse morale et physique .
Même au crépuscule de sa vie elle OFFRE joie et bonheur autour de ceux que elle aime .
Rachel Portman sublime sa partition en ajoutant le coté émotionnel en ses notes et laissant la beauté des images se faufiler à travers celle-ci.
The Duchess est un voyage dans le temps mais au delà de cela reste un monument de fragilité et force à l 'instar de son héroïne ...

Superbe !

Retour vers le passé en l’an 1774 (puisque le film s’est inspiré d’une histoire vraie), là où les costumes reflétaient le train de vie des personnes. D’ailleurs ils ont été oscarisés en 2009. Les décors ne sont pas mal non plus, non récompensés ceux-là mais nominés aux mêmes Oscars. Et que dire de la prestation de Keira Knightley ? Elle crève littéralement l’écran, en révélant à merveille la forte personnalité de la duchesse, ascendante directe de la regrettée princesse Lady Diana. Vous trouviez des ressemblances dans la vie sociale et affective? Eh bien voilà, c'est dit. Ralph Fiennes ne démérite pas non plus spoiler: en goujat accompli
. La réalisation est impeccable, accompagnée par une musique splendide signée Rachel Portman. J'avoue qu'avant de le regarder, j'étais assez sceptique car dans les films historiques de ce genre, il est difficile de nous transporter à l'époque voulu. Mais les costumes somptueux, les décors magnifiques, le langage soutenu fort bien maîtrisé, et les comportements liés au rang dans la société et les obligations qui en découlent, parviennent à nous embarquer à bord de cette formidable machine à remonter le temps. La fin laisse un peu perplexe, mais fort bien résumé par l'intermédiaire de sous-titres. Après tout, la vie de la duchesse a dû retomber davantage dans la "normalité", ce qui nous évite de tomber dans un film fleuve qui pourrait se révéler à la longue ennuyeux. Non, je ne vois pas de défaut à ce film très bien maîtrisé de bout en bout, dans lequel on se prend d'une sympathie inébranlable pour la duchesse. Le film porte décidément bien son nom car on a bien l'histoire non pas d'une duchesse parmi tant d'autres, mais bien de "THE Duchess". Respect.

Pour faire court : sujet chiant, pas le meilleur pan de l'Histoire, un peu de féminisme (amis on peut le comprendre) mais bien filmé.
En effet, suivre la vie d'une duchesse anglaise, à peine entrecoupée de grossesse, c'est pas très passionnant. Si on rajoute le pouvoir incroyable du mari envers elle, et ses envies d'ailleurs ainsi que de pouvoir politique, on n'est pas dans le sensationnel. Cependant c'est bien joué, cela semble réaliste et fidèle à l'Histoire, ça ne tombe pas dans le féminisme genre chiennes de garde, c'est bien monté (très clair, facile à suivre, pas un enchainement de scènes désordonnées), la musique ne fait pas anachronique, les costumes sont magnifiques, les dialogues cohérents et le rythme se tient malgré les longueurs inhérentes à ce genre de film.
Au final c'est triste, poignant parfois, on est mal pour Keira, on s'ennuie un peu mais si on apprécie les films historiques on va passer un bon moment, sans pour autant retrouver les caractéristiques des films Hollywoodiens.

Un bon moment passé devant ce film. L’ambiance aristocratique du 18ieme siècle anglais est plaisante, tout comme le lien avec la politique qui apporte un intérêt historique au film. Les décors, le langage, les costumes sont également réussis et nous ramènent avec plaisir deux siècles en arrière. On oublie cependant ce film immédiatement après l’avoir vu car l’intrigue est limitée et le scénario parfois convenu. Le film repose beaucoup sur la performance des deux acteurs principaux. Le dynamisme et la fraicheur de Keira Knightley rythment le film, même si elle a parfois tendance à exagérer la tristesse ou l’enthousiasme. La performance de Ralph Fiennes crève l’écran, son personnage est le plus complet et il joue parfaitement ses contradictions. Son autorité n’est pas sans faille, son infidélité n’échappe pas totalement à la culpabilité et on ne sait jamais quels sont ses véritables sentiments pour sa femme.

Curieusement, et malgré les différences d'époques, de styles et de nationalités, les trois derniers films que j'ai vus traitent du même sujet, à savoir la difficulté d'être une femme dans un monde façonné par les hommes. Après le docu-fiction des "Bureaux de Dieu" et le mélodrame crépusculaire de "L'Echange", voici donc l'adaptation du livre d'Amanda Foreman sur la Duchesse de Devonshire, femme originale et populaire, qui fut la maîtresse du futur premier ministre Charles Grey et qui perdit plusieurs millions de livres au jeu.

Reprenons : une Lady Spencer qui épouse un grand du royaume plus âgé, froid et distant, qui fut adulée par le peuple et traînée dans la boue par la presse, et qui ne maintint son mariage que pour ses enfants malgré les frasques de son mari, ça ne vous rappelle rien ? Cette lecture "Point de Vue-Images du Monde" de l'histoire de celle qui fut l'arrière-arrière-arrière-grand-tante de Diana Spencer n'est pas fortuite, il suffit de constater la similitude physique entre Keira Knightley et Lady Di, ainsi que certaines scènes (le peuple qui acclame la jeune mariée au grand agacement de son ducal époux) ou répliques ("Quand ils paraissent, tous les regards sont sur elle", "Le Duc de Devonshire est le seule à ne pas aimer sa femme", "Vous agissez ainsi parce que vous avez toujours besoin qu'on vous aime"). Amanda Foreman qui a conseillé Saul Dibb souligne d'ailleurs la ressemblance entre les deux femmes : "Georgiana et Diana étaient toutes deux des femmes intelligentes et puissantes qui ont été mises en pièces par la presse et se sont battues pour se reconstruire et devenir au final les femmes qu'elles voulaient être".

Alors que Diana avait à composer avec l'étiquette compassée de la Cour et la tyrannie de sa belle-mère, Georgiana se confronte au sort des femmes de son temps, fussent-elles de sang noble, soumises à l'arbitraire de leurs maris, et la figure de la royale douairière est ici tenue par la mère de la Duchesse, jouée par Charlotte Rampling. Plus qu'à Diana, on pense surtout durant toute la première moitié du film à "Marie-Antoinette", tant l'obsession de donner un héritier pèse sur le destin des deux femmes.

La comparaison entre le film de Sofia Coppola et celui de Saul Dibb est cruelle pour ce dernier. Quand la première introduit sa propre vision et son propre univers dans une histoire pourtant tellement balisée, le second prend bien soin de suivre les sentiers battus, que ce soit du point de vue pictural (Reynolds et Gainsborough ayant peint Lady Georgiana) ou cinématographique (l'incontournale "Barry Lindon", avec scènes éclairées à la bougie, ici dans des teintes plus rousses que chez Kubrick). Cet académisme semble encore plus indigeste avec le recours à tout le catalogue du genre (coup de tonnerre dans le lointain quand arrive une mauvaise nouvellle, envol de canards sauvages sur la campagne anglaise après la violence conjugale), et particulièrement avec la musique violonneuse de Rachel Portman, omniprésente et redondante.

Pourtant, on ne s'ennuie pas vraiment, car même si l'histoire en rappelle bien d'autres, certaines scènes accrochent, la relation entre Georgina et la maîtresse de son époux intrigue, et l'Angleterre offre suffisamment de palais, de chateaux et de paysages champêtres pour offrir un bel écrin aux émois de la Duchesse. Keira Knightley s'en sort plutôt bien, mais dans un décor assez similaire, elle ne retrouve pas la liberté aérienne d'"Orgueil et Prejugés". Après avoir campé Amon Goetz et Voldemort, Ralph Fiennes réussit à rendre la complexité du personnage du Duc, corseté par le code de somportement de son époque et de sa caste.

Impeccable reconstitution avec de beaux costumes, des décors somptueux et la crème des acteurs britannique, "The Duchess" manque pourtant d'un détail qui change tout : un véritable regard de cinéaste.
http://www.critiquesclunysiennes.com

Un bon gros mélo basé sur un scénario simpliste. A l'origine, le film se veut l'adaptation de la biographie de Georgiana, Duchesse du Devonshire, sorte de Lady Di du XVIIIe. Mais à l'écran, on obtient des caricatures ridicules qui tiennent plus du parfait cliché: un mari intransigeant, une femme soumise mais rebelle, des parents incompréhensifs. Du coup, pas besoin d'un grand scénario (quelqu'un a compté le nombre de répliques de Ralph Fiennes ?), il suffit simplement de laisser déambuler Keira Knigthley dans les couloirs de son château, les yeux embués, le tout sur une musique lancinante. Point positif: les costumes qui méritent leur oscar, mais pas le déplacement pour autant.

Nul. Long, lent, bavard et démonstratif au possible, «The Dutchess» est un énième film de costumes tendance XVIIIe, avec tous ce que cela suppose d'amours contrariés, d'épouses opprimées, de maris rustres et sévères, d'amants secrets, de parties de jambes en l'air et autres passages obligés du genre. La photographie a beau être léchée, elle est très laide, et la réalisation à tout ce qu'il faut pour ne pas heurter le spectateur, merveille de conformisme mou et de facilité. Keira Knightley pose, mais elle le fait plutôt bien, tantôt irritante au possible tantôt regardable. Le reste de la distribution donne dans les clichés et stéréotypes en tous genres, Ralph Fiennes y compris. L'intrigue en elle-même, bien que suivable, n'est que déjà vu et revu. Bref, «The Dutchess» est un bon petit film bien inutile, et s'il est possible de faire pire je désespère du nombre croissant de longs métrages de cet acabit envahissant nos écrans de nos jours. Impeccablement formaté, aussitôt consommé aussitôt oublié, du cinéma jetable comme on l'aime. A soigneusement éviter. [0/4] http://artetpoiesis.blogspot.fr/

Les promesses sont tenues dans ce deuxième long-mètrage du londonien Saul Dibb qu'il serait injuste de limiter à son film suivant, "Suite française". Chez Dibb, ce sont les femmes à la vie tumultueuse qui sauvent l'honneur des hommes! La mise en scène est à l'image de Georgiana, la Duchesse du Devonshire : belle et lumineuse! Rarement Keira Knightley avait ètè aussi bien mise en valeur! il faut croire que le film d'èpoque ("Pride & Prejudice", "Atonement"...) lui sied à merveille! Cela vaut autant pour Ralph Fiennes, remarquable en duc infidèle! Une oeuvre de qualitè, tout en finesse, confirmant une fois de plus le talent de Saul Dibb qui donne ce petit supplèment d'âme si important pour rendre èmouvante l'èvolution de Georgiana! Certes, il n'y a rien de nouveau dans le genre mais il y a des regards (souvent magiques) qui en disent longs et valent mieux qu'un long discours! A noter que "The Duchess" a obtenu l'Oscar des meilleurs costumes, ce qui n'a rien de surprenant, quand on sait que certaines robes ont exigè plusieurs dizaines de mètres de soie et de dentelle...

Keira Knightley compose une héroïne vulnérable, pleine de vie et formidablement moderne. Sa performance donne un visage humain à l'Histoire.

Les décors et les costumes magnifiques, nous offrent un véritable voyage dans le temps. Les interprétations de Ralph Fiennes et de Keira Kneightley sont si convaincantes qu'on se croirait transporté à la fin du XVIII°siécle en Angleterre. Un beau film mais triste au final.

Je n'ai jamais été un grand fan des films en costumes, mais force est de reconnaître que certains parviennent de temps à autre à me séduire. C'est le cas de cette « Duchess » qui, malgré sa dimension plutôt classique, parvient à susciter un réel intérêt. Au-delà d'un aspect technique impeccable et d'un budget cherchant manifestement à nous en mettre plein les yeux niveau décors et costumes presque « rutilants », sans oublier les coiffures et autres couleurs, c'est avant tout ce beau portrait de femme qui séduit, sorte de première figure « people » à certains égards. Rares sont devenues aujourd'hui les héroïnes de cette trempe : courageuse, charismatique, surtout au vu du contexte de l'époque, mais aussi remarquablement joué, Keira Knightley confirmant une fois encore son talent dès qu'elle s'éloigne de « Pirates des Caraïbes ». Ce qui donne lieu à quelques scènes fortes, mais aussi à une dramaturgie intense, à l'image des beaux et assez complexes personnages que sont également le Duc de Devonshire et Lady Bess Foster. Reste alors un logique manque d'audace dans la réalisation et un côté « inspiré d'une histoire vraie » pesant (inconsciemment?) légèrement sur le récit, mais cela n'enlève pas les qualités de l'entreprise et le réel intérêt qu'on a à la suivre pendant 110 minutes : voilà une figure féminine (féministe?) qui mérite le détour.

Si Lady Diana demeure une figure emblématique de son époque, on peut en dire tout autant de son ancêtre Georgiana, la Duchesse du Devonshire, aussi adulée par la population que malheureuse dans sa vie affective. S'appuyant sur la biographie de la duchesse écrite par Amanda Foreman, le jeune réalisateur Saul Dibb retransmet à l'écran le portrait fascinant d'une femme victime de son époque, de ses moeurs et de ses conventions. Emprisonnée dans un mariage sans amour ni affection avec le Duc de Devonshire, Georgiana devra composer avec son devoir d'épouse, les infidélités et la froideur de son époux, un ménage à trois, la pression de sa vie publique et son idylle impossible avec Charles Grey. Outre la comparaison tentante avec la vie de son arrière-arrière-arrière-petite-nièce Lady Di, l'histoire de la Duchesse du Devonshire fait écho à une autre grande figure féminine controversée de l'époque, celle de la dernière reine de France Marie-Antoinette. Toutes deux délaissées par leurs époux respectifs, elles partagent un certain goût pour les jeux d'argents et les soirées mondaines, et la question d'engendrer un héritier mâle était devenue obsessionnelle chez les deux femmes. Mais alors que Sofia Coppola avait fait de son Marie-Antoinette un film biographique décalé à la mise en scène pop et glamour, Saul Dibb lui a pris, au contraire, le parti d'une réalisation très classique. Néanmoins, grâce à la maîtrise de ses plans, et au scénario qui n'aura de cesse d'amener son spectateur dans un ascenseur émotionnel, The Duchess évite le piège du film-documentaire, malgré son académisme.
Appuyé par une distribution de renom, le long-métrage a déniché pour son rôle titre une grande habituée des films d'époques romantiques et des corsets serrés. Keira Knightley apporte toute la vivacité, l'élégance et le charisme indispensable pour redonner vie à cette Duchesse, égérie de son époque et du parti libéral britannique, les Whigs. Dommage d'ailleurs que The Duchess ne fasse qu'effleurer l'implication politique de cette femme intelligente, influente et résolument moderne. Tout comme son amour du jeu d'ailleurs, qui l'amena au surendettement à la fin de sa vie, un fait pourtant à peine abordé ici. Le personnage aurait gagné en nuance, édulcorant cette idée de la femme trop parfaite, bien que très attachante, qui se contente d'essuyer les épreuves et les affronts dont l'inflige son mari. Flegmatique, misogyne et odieux, Ralph Fiennes est parfait dans la peau de ce riche aristocrate britannique parfaitement haïssable, mais qui dévoile néanmoins une grande complexité, tant on le sent lui même embrigadé par les contraintes, les codes et le comportement à adopter imposé par son rang.
Les autres atouts majeurs du film sont assurément la panoplie de costumes somptueux (récompensé à juste titre par un Oscar), les décors naturels des plus beaux domaines britanniques, une photographie soignée ou encore la musique violoneuse de Rachel Portman. Artistiquement parlant, on ne peut donc qu'applaudir cette retranscription historique minutieuse, que le récit va parfaire en évoquant avec justesse les coutumes, les usages et la piètre condition de la femme, même dans les hautes sphères de la société. Georgiana, la Duchesse du Devonshire, en est l'un des meilleurs exemples de l'Histoire, à travers une existence faîte de sacrifices, où la naïveté de la jeunesse et ses illusions laissent peu à peu place à la résignation. Émouvant, prenant voire poignant, The Duchess lui rend amplement justice, ainsi qu'à toutes les femmes qui ont jadis défendu leur liberté.

Dans l'histoire du film "en costumes", il y eut un avant et un après Barry Lyndon. Jugé à l'aune du chef d'oeuvre de Kubrick, The duchess, de Saul Dibb, ne soutient évidemment pas la comparaison, il s'en faut de beaucoup. Scénario linéaire et faussement audacieux, mise en scène académique, interprétation sans faille mais ultra classique, décors très...décoratifs, musique sirupeuse : l'histoire de cette duchesse bafouée et rebelle méritait mieux que ce joli livre d'images. Pour pimenter la chose, le marketing a imaginé une analogie grotesque entre les destins de la duchesse du Devonshire et une certaine Lady Di. Sans commentaires.

on peut très vite s'ennuyer devant ce genre de film, il faut dire que l'actrice cantonnée à ces petits sourires en coin énerve très vite.PLV : à réserver aux fans de film d'époque.

Un film à regarder un soir quand on a pas envie de se prendre la tête (et encore, les histoires d'amours et de trahisons sont usantes à la longue) Bref, tout ça veut dire qu'il n'y a pas grand chose à retirer bien que le film passe plutôt bien. Les costumes et dors sont sympas, la brochette d'acteurs n'est pas à vomir (quoi que ... Keira Knightley montre avec brillo qu'elle ne sait faire que deux expressions avec son visage : je suis triste/je suis malicieuse/je suis triste, etc.)
J'en avais marre 20 minutes avant la fin. Trop "tragédique" et pas assez fouillé alors que le sujet avait du potentiel (les bonus DVD m'en ont plus appris sur le personnage...), le goût qui reste à la fin est : romance rose bonbon touche pipi pour soirée pyjama.