ses le candyman que je préfère dans la trilogie basé sur la célèbre histoire de bloody mary avec l'histoire des miroirs est de l'appellation de son nom tony todd est excellent dans son interprétation je met +4 etoiles
Il était inévitable qu’une suite ne voit pas le jour, après une première adaptation qui rapporta 4 fois sa mise de départ, il aurait fallu être inconscient pour ne pas avoir envie de faire revenir ce fils d’esclave en quête de vengeance.
Pour cette suite, Bernard Rose cède sa place à Bill Condon, son nom ne vous dit rien et c’est bien normal puisqu’il s’agissait de son second long-métrage de cinéma, avant de nous provoquer des AVC à la chaîne en réalisant des purges pour adolescentes avec Twilight : Chapitres 4 & 5 (2011/2012).
Oubliez le ghetto de Cabrini Green, le film quitte Chicago pour la Nouvelle-Orléans. Pour sa première immersion dans le registre de l’horreur, le cinéaste ne peut s’empêcher de verser dans la facilité en nous assénant de violents jump-scare toutes les 5 minutes, comme pour mieux masquer l’indigence du scénario et l’absence de direction artistique (avouons-le toute de suite, ils ne feraient même pas sursauter votre petit frère de 10ans).
Candyman 2 (1995) a des relents fadasse de Série B, pseudo ersatz de téléfilm du dimanche après-midi, le tout bercé par le main theme de Philip Glass (qui finit rapidement par devenir lassant). Une suite qui n’apporte strictement rien à l’œuvre d’origine, cette dernière se suffisant amplement à elle-même.
On ne comprend pas très bien où veut en venir Candyman : Farewell to the Flesh, suite du premier Candyman (Bernard Rose, 1992). Le cadre festif du carnaval à la Nouvelle-Orléans pour mardi gras sert de toile de fond sans véritablement dire quelque chose de pertinent ni de la légende urbaine investie ni du carnaval en tant que tel, sinon annoncer, par voix off interposée, le retour des morts parmi les vivants. L’intrigue familiale alourdit considérablement le récit : les relations entre frère et sœur puis entre mère et fille encombrent la narration et nuisent au climat malsain et poisseux du premier opus. De plus, la grossesse d’Annie, censée rejouer celle de la femme de l’ancien esclave privé de sa famille, constitue un lien trop faible pour tenir ensemble le passé douloureux du croquemitaine et sa résurgence dans le monde moderne ; sa vengeance reste artificielle et glisse bêtement depuis la révolte antiesclavagiste vers la volonté de réparer un affront sentimental moins intéressant parce que moins intrinsèquement arrimé à ce que représentait le Candyman, soit l’esprit maléfique issu de la barbarie de la société blanche et soucieux de se venger. Trop explicatif, le long métrage de Bill Condon évacue toute l’aura du personnage spectral en dévoilant ses origines ; la démonstration prend le pas sur le mystère, et l’incompréhension générale qui déroutait jadis le spectateur mute en une anticipation de toute chose. L’épouvante, quoique ponctuée de trouvailles macabres plutôt réjouissantes, demeure prévisible et stéréotypée, le réalisateur confondant la peur et le sursaut, abusant des jump scare à tout-va. Une suite inutile, en somme, rehaussée par la partition musicale de Philip Glass et d’une mise en scène soignée, quoique trop perturbée par ces fameux sursauts des plus agaçants.
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2,5
Publiée le 29 juin 2009
"Candyman", la crèature issue de l'imagination du romancier Barker, reprend du service! Dans ce deuxième volet horrifique, Clive Barker, qui a supervisè l'ècriture du scènario, revient sur les origines du croquemitaine au crochet d'acier et suit l'enquête d'une jeune institutrice ètrangement attirèe par le monstre! Dans l'atmosphère du carnaval de la Nouvelle Orlèans, les meurtres se succèdent, tandis que l'hèroïne, campèe cette fois par Kelly Roman, dècouvre les secrets d'un passè enfoui! Beaucoup moins forte que sa première mouture, cette suite fait preuve un tant soit peu d'originalitè avec un Tony Todd toujours aussi bon, rèservant quelques effets bien sanguignolents...
Le premier numéro épisode avait l'avantage d'être nouveau, ce deuxième nous montre l'apparition d'une franchise et nous fait craindre d'en voir de nouveaux sortir et ça ne rate pas.
Deux ans après le premier film, succès oblige, sort ce nouvel opus. Changement de lieu et de personnages. On en apprend plus sur les origines du monstre. Une certaine ambiance et puis La Nouvelle Orléans est une bonne toile de fond. Pas un chef d’oeuvre mais se laisse regarder comme une suite plutôt réussie.
Suite direct au 1er opus ou là on aborde un peu plus approfondie la légende urbaine concernant candyman et son personnage qui en a fait, avec le temps devenir un mythe. Les acteurs sont comme dans la globalité des slashers de cette époque. Et cette suite apporte donc diverses réponses posées au début. Mais malheureusement, au lieu d y ajouter le côté "général" du 1er et évidemment l effet de surprise en moins. Les ficelles du genre sont plus utilisées que pour le 1er (notamment au niveau des jumpscares... qu ils soient prévisibles ou non, on sent d embler que le réalisateur ne s est pas contenté comme dans le 1er de d une histoire basique partant d une légende urbaine). Mais en rajoute un peu comme la pseudo famille maudite, des scènes plus gore (la dessus pas pour mon deplaisir"") etc... Ici tout les codes de l l'epoque y sont. Amenant cette suite à être plus (pour le coup) commercial. L interdiction a même été baissé et est -12 contre le 1er. on passera les incohérences tout en notant un scénario pas très linéaire mais un peu plus "remplit". Prenant quelques idées sur d autres films du genre. Comme annie (même si la relation n est pas sur la même chose) qui était deja présente, candyman voulant la tué. Et se retrouve une fois de plus au cœur de l histoire ou il en est de même entre ses 2 personnages ou la saga Halloween utilisé 2 perso principal entre le Mickael M. et Jamie Lee C. Malgré tout l ensemble a un peu plus de consistance. Penchant donc sur du négatif mais aussi du positif (il aurait inverser les 2 volets. le public aurait sans préféré le 1er qui plus "consistant" et original aurait sonné comme quelques chose d innovant, créatif et gore). Le twist final n est pas exceptionnel mais le précédent opus en était de même. Mais pour ma part même si de nouvelle question ou chose que je n ais peut-être pas fait attention reste encore en suspens. le 3ème l annonce peut-être mais j ai tenté, et ne suis pas été jusqu'au bout mais la trilogie s avère pour le coup clôturer. Bref un ensemble qui a autant vieillit que le 1er l est également et tient un rythme relativement constant. Entre moment ou Annie cherche diverses choses le concernant et en gros le pourquoi du comment. Et d autre ou l on ait da s l horreur (visuel). il y a donc du bon et du mauvais comme dans bien souvent lors des suites. Le rythme n est pas trépidant mais le condensé de l ensemble nous fait tenir on va dire. Tout comme la psychologue vis a vis des 2 personnes. Bref légèrement mieux que le 1er ou subsistaient plusieurs longueurs. Ici cela reste moindre. Pourquoi pas, si le 1er vous a convaincu mais l on peut comprendre qu entre le lien avec des ancêtres Esclaves de la famille de Annie et diverses choses (certaines maudites, d autres on ne sait trop etc...). iI est normal que la majorité est trouvé cela plus que tout much.
Suite paraissant trois années après la sortie du volet originel, Candyman 2, cette fois-ci réalisé par Bill Condon, est un film de qualité parvenant même à être supérieur à son ainé. L'histoire nous fait suivre Annie Tarrant, une institutrice à La Nouvelle-Orléans, orpheline de père, qui va se retrouver au cœur de la terrible légende de Candyman, ce jeune artiste noir, fils d'esclave et d'une femme blanche, né au lendemain de la guerre de Sécession. Ce scénario s'avère plaisant à visionner pendant toute sa durée d'une heure et demie. Si ce deuxième opus ne révolutionne par le genre, ni le récit initial, il apporte tout de même quelque chose à la saga en nous en apprenant d'avantage sur les origines du tueur. En effet, son passé est approfondi et cela permet de nous aider à mieux comprendre ses motivations et à ressentir de l'empathie pour lui. On retiendra donc avant tout les séquences le mettant en scène qui sont plus nombreuses que dans le premier. Des apparitions qui se font de plus en plus fréquentes au fil des minutes. Hélas, le reste du temps, lorsque l'essaim d'abeilles laissant présager le pire n'est pas visible à l'écran, l'ambiance change pour devenir moins prenante. L'ensemble est porté par des personnages appréciables interprétés par une nouvelle distribution convaincante comportant Kelly Rowan, Veronica Cartwright, Bill Nunn, William O'Leary ou encore Timothy Carhart. Seul le charismatique Tony Todd reprend son rôle d'homme au crochet menaçant. Tous ces individus entretiennent des relations basées sur la peur procurant quelques frissons. Des échanges soutenus par des dialogues de bonne facture. Sur la forme, la réalisation du cinéaste américain s'avère bonne. On sent le sens de la mise en scène et il parvient parfaitement à iconiser sa tête d'affiche. Les mises à morts sont sanglantes et bien crédibilisés par des effets spéciaux convaincants. Ce visuel sombre est superbement accompagné par la grandiose b.o. signée à nouveau par Philip Glass, très présente à l'écran pour notre plus grand bonheur auditif. Ses compositions à la fois inquiétantes et puissantes sont en totale symbiose avec l'action et les images. De plus, le thème mémorable conférant une grande partie de l'identité à l'œuvre est lui aussi toujours de la partie. Reste une très bonne fin venant mettre un terme de façon satisfaisante à ce Candyman 2, qui, en conclusion, est un bon long-métrage et une suite utile méritant d'être visionnée.
“Candyman 2” est sorti trois ans après le premier volet. Le réalisateur hétéroclite Bill Condon n’en est encore qu’à ses débuts. Cette suite se veut revenir sur les origines de l’homme au crochet au lendemain de la guerre de Sécession en alternant les scènes du présent avec l’une des descendantes. L’effet de surprise a néanmoins disparu car l’intrigue repose essentiellement sur les conséquences à répéter cinq fois le mot “Candyman” devant un miroir. L’ambiance pseudo fantastique nuit quant à elle définitivement au réalisme au premier épisode. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Ce deuxième volet déplace l'action des ghettos de Chicago jusqu'aux bas-fonds de la Nouvelle-Orléans, et voit le célèbre tueur au crochet terroriser la population pendant le Mardi Gras. "Candyman: Farewell to the Flesh" est clairement inférieur au premier volet. D'une part, l'originalité n'est plus de mise, et le détail des origines de Candyman n'était pas indispensable. D'autre part, la thématique des légendes urbaines est ici troquée contre une intrigue fantastique très classique autour d'une famille maudite. Quant à la réalisation, Bill Condon n'est pas Bernard Rose. Plusieurs décors et quelques scènes sanglantes sont sympathiques, mais il n'y a pas grand chose de marquant, et le réalisateur abuse des jump scares artificiels pour effrayer son spectateur. A noter tout de même que Philip Glass reste à la BO, et réutilise agréablement de nombreux thèmes du précédent film. Une suite dispensable.
Avec Candyman 2 on délaisse le côté légende urbaine du premier pour aller plus vers le fantastique et un côté malédiction. J’ai trouvé que le film passait à côté du formidable potentiel que pouvait proposer son sujet avec cet artiste noir massacré pour avoir fait un enfant à la fille d’un riche propriétaire. Son côté fantôme qui veut venger les crimes du passé qui n’ont pas été punis aurait pu donner quelque chose de très intéressant mais ça n’est pas exploité. Au lieu de cela le réalisateur multiplie les Jump Scare grossiers pas aidé par un scénario qui semble naviguer à vue. Dommage car l’ambiance de la Nouvelle Orléans au moment du carnaval convenait là aussi bien à ce qu’aurait du être l’histoire bien soutenue par une bonne partition musicale. Non qu’il soit réellement mauvais, j’ai trouvé ce Candyman 2 terriblement décevant.
Miroir, mon beau miroir... Le tout jeune Bill Condon (oui, celui-là même qui nous a infligé les Twilight 4 et 5, et - pour notre part - l'épuisant remake de La Belle et la Bête) commence ici par un film que l'on devine de commande, étant très proche du premier opus Candyman et n'ayant fondamentalement rien de plus à nous dire. Ah si, qu'il y a un miroir-Horcrux...pardon, on s'est trompé de saga, un miroir maudit, donc, qu'il faut détruire pour réduire à néant le boogeyman. On a même droit à un récap' du premier film au début de celui-ci, et à la scène de mise à mort de Candyman dans le passé, ce qui était si bien décrit dans l'original qu'on a l'impression de ne rien découvrir de plus en le voyant en vrai. Cette suite aime donc beaucoup perdre (ou plutôt : gagner ?) du temps sur le visionnage, en ne nous donnant rien à grignoter, si ce n'est un final avec le miroir qu'on peut prédire dès la mention de l'artéfact, et au twist de dernière seconde également très prévisible... On attendait aussi une diversification des attaques, car le simple "crochetage" commence à être très répétitif, ce que Condon n'aura pas compris puisqu'il les multiplie sans aucun effet supplémentaire. Vraiment, il est difficile d'avoir des choses à dire sur une suite qui ne dit rien elle-même, reprend des scènes du premier pour grappiller quelques minutes, met en images l'historie de Candyman sans que cela ne soit nécessaire, y ajoute une quête du miroir qui est vraiment très mince et dont on connaît la fin, et n'ose rien sur la mise en scène ou la direction d'acteur (perdus). Un film paresseux.