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    The Doom Generation
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    3,4
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    78 critiques spectateurs

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    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 095 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 décembre 2015
    Je crois que je déteste fondamentalement le "cinéma" de Gregg Araki et je me demande si White Bird que j'avais apprécié n'était pas une erreur de parcours, ou si je ne me suis pas planté totalement en trouvant quelques qualités à ce film...

    Je m'ennuie devant ce film, c'est une catastrophe... C'est tellement pas pour moi ce délire qui se croit subversif... ça le serait si jamais les personnages existaient, s'ils avaient un peu de consistance, s'ils voulaient un temps soit peu être dans le vrai, là je suis désolé je n'y crois pas. Je n'aime pas vraiment les road movie... Donc là en voyant ce film je suis un peu en enfer. Je vois un truc qui n'a fondamentalement aucun intérêt, qui est juste un gros bordel.
    Alors je veux bien croire qu'on puisse trouver un intérêt à un gros bordel jouissif, sauf que là ça n'est pas le cas... Le film ne peut rien détruire, déconstruire vu qu'il n'est pas dans la réalité, il est dans son propre délire... Si certains accrochent tant mieux... c'est pas mon cas.

    Pourtant je pense voir ce que veut faire Araki avec cette folie qui envahi de plus en plus le film... Mais voilà ça ne prend pas, les personnages je ne peux pas y croire, leurs réactions sont illogiques au possible... Je ne peux même pas dire que ça m'énerve tant je ne peux pas me sentir concerné par ce qui se passe à l'écran. Ces gens là n'existent pas, ces personnages n'existent pas, ces lieux n'existent pas, ces actions n'existent pas... Il n'y a rien de vrai qui va émaner des interactions entre les personnages. J'ai juste eu l'impression de voir un film qui se veut ou se croit marrant ou délirant, mais tout ce que je vois c'est du vide.

    Je ne vais pas m'étendre plus dessus, mais je suis tellement hermétique à ce genre de trucs, j'aurai tout oublié d'ici demain. Et pourtant j'ai fait l'effort de me procurer la version la plus longue pour avoir la bonne version, la version voulue par Araki... En fait je dirai que c'est une sorte de Richard Kelly (c'est-à-dire du sous Lynch pour ados) en plus psychédélique et avec du cul. Mais j'ai quand même envie de faire un parallèle avec Noé, Noé qui va aussi loin dans la provocation, qui aime aussi ce qui est psychédélique, les histoires tordues... Sauf que chez lui les relations entre les personnages existent... Il se passe un truc entre eux qui fait qu'ils existent... qu'ils ne sont pas juste les pions dans le jeu d'un réalisateur un peu fou.

    J'ai vu que pas mal de gens se touchent sur la fille... mouais vite fait... elle me parle pas...

    Cependant je dois quand même dire que j'ai presque apprécié le début que je ne trouvais pas si mal, mais dès que ça part trop dans le n'importe quoi j'ai regardé ça avec un ennui certain.
    ferdinand75
    ferdinand75

    563 abonnés 3 896 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 février 2016
    Encore un film original, très créatif mais paradoxal de Araki.Il y a de très belles choses , mais aussi des moment très farfelus, trop farfelus, et qui ne sont pas à la hauteur des ambitions affichées. Les points forts du cinéma de Araki sont une réalisation très moderne , style vidéaste créatif , avec beaucoup de couleurs, une bande son décapante, et ensuite son approche du sexuel, bien qu’il n’y a pas vraiment beaucoup d’explicite dans les scènes sexuelles, filmées de manière « classique », Araki les accompagne par des dialogues très crus , très réels ,pris sur le vif, un peu trash parfois avec une pincée l’humour .II évoque verbalement le sexe , avec un côté presque « éducatif » , pédagogique : comment bien le faire ?, quelles pratiques essayer ?, sans tabous , « straight to the point » , des dialogues que l’on entend rarement , même dans le cinéma européen , pourtant beaucoup plus libéral au niveau du visuel. Mais la parole d’ Araki est très libre et très sensuelle , et les acteurs se lâchent vraiment ( i.e. quand Amy dit à Jordan d’essayer un truc avec son doigt , dans un endroit interdit, elle lui susurre à l’oreille « Take a walk on the wild side » paraphrasant Lou Reed avec humour. Par contre il y a un côté un peu loufoque qui est presque gênant, un peu style « fanzine » pour ados , avec parfois une déviance un peu gore. La manière dont Xavier tue ses victimes ou l’ « horrible » scène finale où le sang coule à flot, les membres sont éparpillés de partout , même si c’est du second degré, et en plus très bien filmé en mode stroboscope . Ce mélange de genre , met le spectateur en porte à faux, dans une position inconfortable : on est pas dans du teen movie classique , mais pas du tout non plus dans du Larry Clark ( il n'y a pas la même profondeur, les personnages sont quelque part sans corps, futiles). C’est une sorte de positionnement intermédiaire , avec un zeste de vidéo Arty, de collages coloriés.. Les trois acteurs principaux sont excellents : Rose Mac Gowan , découverte ici, tournera ensuite Scream dans la foulée, puis fera une belle carrière.. James Duval et J . Schaech feront tous deux une belle carrière grâce à ce film. Araki nous livre un cinéma très original, à part, il faut le prendre pour ce qu’il est, et se laisser porter par sa poésie atypique ..
    Le-Droogie
    Le-Droogie

    20 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juillet 2011
    Film complètement déjanté, et dans le bon sens du terme (pas comme Even Cowgirls Get the Blues, quoi…), The Doom Generation se pose comme une cassure complète dans le cinéma d’Araki, et le ton très sérieux employé jusque là. Et ceci même se trouve dès les cartons du générique introductif, avec cette annonce : « Un film hétérosexuel par Gregg Araki ». Ca ne vous rappelle pas Totally Fucked Up ?..
    Plus sérieusement, ce film est une véritable tuerie qui découle sur quelques fins partis-pris de mise en scène contrastant avec ce scénario totalement barré. Que dire de cette génération maudite, si ce n’est qu’à chaque commerce où elle s’arrête pour acheter à bouffer, l’addition sera de 6$66, que le numéro de chaîne de leur premier motel est le 666, et que le niveau d’aptitude scolaire d’Amy Blue (Rose McGowan, exceptionnelle ici) est de 666, et que le briquet qui allume chacune de leurs clopes forme une tête de mort, rappelant ces chères vanités pascaliennes, et que dans chaque endroit où ils marquent une pause, une connaissance de la belle Amy souhaite leur faire la peau ?
    Ce film permet vraiment de découvrir en Araki un cinéaste tout à fait intéressant à suivre ardemment. Personnellement, il me fait penser à un de la Iglesia américain…
    Le film en lui-même est jouissif au possible, avec un trio d’acteurs incroyable, une zik’ qui colle parfaitement aux images (merde quoi, cette scène toute simple, qui shoot un gros plan sur le visage de McGowan puis la bagnole s‘éloignant de plus en plus pour venir clôturer le film, le tout saupoudrer par ce merveilleux morceau de Slowdive (Blue Skied an' Clear) est un putain de monument !), la mise en scène est simple mais reste à croquer…
    A voir, sous peine de vous voir presser les couilles dans un presse agrume. Vous êtes une fille ? C’est pas grave, on avisera. Parce que bordel, comme dirait Sean Bateman des Lois de l’attraction, c’est quand même bien « Rock’n’roll »? ! Un putain de film rappelant parfois les mythiques
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 329 abonnés 7 541 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 mars 2023
    Jordan & Amy, deux ados punks et rebelles croisent sur leur route Xavier, un mystérieux vagabond qui va les entraîner dans une spirale infernale, un cauchemar éveillé, entre sexe, drogue et meurtres sanglants.

    Second opus de la trilogie "Teenage Apocalypse", après Totally F***ed Up (1994) et juste avant Nowhere (1997), où cette fois-ci, Gregg Araki (Kaboom - 2010) semble laisser libre court à son imagination débordante. En l’espace de 85min, le film nous embarque dans un road movie urbain déjanté, psychédélique, surréaliste et parfois comique. Pêle-mêle, il y est question d’hallucinations, de plans à trois, de néo-nazis, de décapitation, d’émasculation, de personnages azimutés et des dialogues WTF.

    Ce teen movie cauchemardesque avait toutes les cartes en main pour pleinement séduire s’il avait su faire dans la demi-mesure, sauf qu’il n’en sera rien, le réalisateur se complait dans ses excès outranciers, faisant par la même occasion, un bon gros fuɔk à la bien-pensance (je n’ai rien contre, sauf qu’à la longue, ça fini par devenir assommant).

    (critique rédigée en 2011, réactualisée en 2023)

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 185 abonnés 5 188 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 janvier 2017
    J'avais cru que Kaboum était une exception dans la filmographie. je me rends compte en regardant "fucked up", "nowhere" et "living end", que c'est une habitude. Filmer librement, presque sans réfléchir, sans penser à l'image des dialogues grossiers à chaque plan, des personnages vulgaires et déjantés. Un style franchement laid qui se développe sur ces quatre films. Tout simplement détestable.
    Mathieu Dumont-Roty
    Mathieu Dumont-Roty

    40 abonnés 988 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 janvier 2014
    Un film iconoclaste et barré qui convaint grace à sa singularité. 13/20
    Jérôme H
    Jérôme H

    174 abonnés 2 295 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 avril 2008
    Voyage dans un monde totalement hallucinant à la twin peaks, on comprend pas tout mais on ai fasciné par cet univers.
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    998 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2013
    Cinquième long-métrage de Gregg Araki et deuxième opus de sa "Trilogie de l'Apocalypse Adolescente", The Doom Generation est une œuvre insolente, décomplexée et déroutante. Coloré de toutes parts, outrageux de par sa violence graphique sans retenue, aux scènes érotiques sensuelles et provocantes et aux dialogues naturels, le film met en scène un couple d'adolescents paumés qui, après une rencontre fortuite avec un énigmatique beau jeune homme, va commencer un road-trip dramatique fait de rencontres improbables et d'expériences nouvelles. De nombreuses scènes-choc nous clouent de par leur spontanéité et leur improbabilité tout en restant dans un contexte purement logique et réaliste. On reste tout de même intrigué par tous ces signes récurrents qui viennent se caler dans le scénario (chaque achat coûte 6.66$, les ex de l'héroïne Amy, etc...), s'entremêlant à une expérimentation physique des trois jeunes gens qui goûtent peu à peu aux plaisirs sexuels les plus incongrus, se découvrant petit à petit. Au niveau de l'interprétation, Araki retrouve son acteur fétiche James Duval et s'entoure de la magnifique Rose McGowan, alors débutante, ainsi que du charismatique Johnathon Schaech. Le reste du casting n'est qu'apparitions (importantes) d'acteurs alors inconnus comme Parker Posey, Cress Williams et même le groupe Skinny Puppy. Commençant comme un film de mœurs américaines à scénettes sans réelle importance, l'histoire de The Doom Generation se concrétise petit à petit jusqu'à un final déconcertant d'imprévisibilité et de violence, une marque de fabrique chez Araki, qui boucle un road-movie passionnant sur les crises d'identité chez les adolescents des années 90. Ainsi, à travers une trame au semblant banale, le metteur en scène réussit à captiver avec grâce et volupté un univers réel palpable pas si lointain que ça...
    Gonnard
    Gonnard

    248 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 janvier 2008
    Du cul et du sang en abondance. Au final on en sort un peu blasé. Les références du style "Mmm, 6,66 dollars monsieur", oh comme par hasard c'est le chiffre de la Bête, ça va bien 5 mn. On est pas des crétins obnubilés par le cul. Dans le même genre j'ai préféré "Tueurs nés", il n'y a pas le côté fantastique mais c'est plus original.
    so13
    so13

    37 abonnés 632 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 septembre 2010
    Violent, vulgaire, gore, pas de scénario,... Ce film est proche du néant!
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 199 abonnés 4 182 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 février 2024
    « The doom generation » de Gregg Araki que l’on peut traduire par « Génération maudite » s’inscrit aux côtés de « Kids » de Larry Clark sorti la même année dans le constat violent du désarroi et de détresse ne disant pas leur nom d’une jeunesse qui née dans les années 1970 est la première issue de parents tout d’abord bercés par le rêve hippie pour être ensuite très vite récupérés par le consumérisme. Des parents qui ont en réalité abandonné leur mission éducative au nom du slogan : « Il est interdit d’interdire » comme alibi facile. Le constat est sans appel sans doute proposé de manière plus radicale et réaliste par Larry Clark né en 1943 alors que Gregg Araki né en 1959, guère moins lucide met un peu à la manière de Stanley Kubrick dans « Orange Mécanique » (1970) davantage l’accent sur une esthétique qui pourrait aux yeux de certains être mal comprise. Ce parti pris met en relief la vérité prophétique d’une certaine déréalisation tout d’abord induite par les ruses marketing capitalistes pour être ensuite rapidement décuplée avec l’apparition des réseaux sociaux seulement dix ans après la sortie du film. Ce road-movie semi-urbain qui conserve un esprit teenager bien de son temps (le courant gothique bat alors son plein alimenté par les prestations scéniques démoniaques d’un chanteur comme Marylin Manson) faisant référence à des signes cabalistiques comme le nombre 666 dit signe de la bête (Livre de l’Apocalypse) placé à dessein à chaque étape du parcours des trois adolescents qui chacun à sa manière s’interroge sur le sens de la vie. Avant d’avoir trouvé une réponse que n’ont pas su leur indiquer leurs parents, reste la drogue et le sexe que Gregg Araki place au centre de la relation qui unit fragilement ces trois pauvres hères qui passent d’un fastfood à un autre ou d’un motel miteux à un hangar désaffecté pour étancher comme ils le peuvent un mal-être qui ne trouvant pas de mots, s’atténue pour quelques instants dans l’exaltation frénétique des corps. Le film qui oscille entre humour déjanté, vulgarité assumée, romantisme enfantin, sexualité débridée et esthétique léchée n’est certes pas sans défaut mais se révèle avec le recul terriblement annonciateur du malaise qui frappe aujourd’hui les sociétés occidentales qui sans vraiment y croire se construisent un "projet-mirage" à travers la réécriture de l’histoire, le déboulonnage des statues et la remise en cause des fondements anthropologiques de la race humaine. On peut donc encore regarder avec curiosité ce film interprété par trois acteurs convaincants et sacrément séduisants.
    NeoLain
    NeoLain

    5 051 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 novembre 2013
    The doom génération à du potentiel il ne faut pas le nier, atmosphère pesante et sombre avec des décors d'intérieur psychédélique et un soupçon de violence qui se veut être dans l'esprit du chef-d'oeuvre Orange Mécanique. L'actrice Rose McGowan tient là un rôle ou elle est attirante et torturé. Au final au lieu d'être bon il aurait pu être excellent, il manque de la force visuel et scénaristique.
    Shawn777
    Shawn777

    598 abonnés 3 485 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 septembre 2021
    Ce second opus de la Trilogie de l'Apocalypse Adolescente, réalisé par Gregg Araki et sorti en 1995, n'est pas mal du tout et je dois même dire que c'est le meilleur des trois, enfin de mon point de vue du moins ! Comparé au premier opus, très sombre et réaliste, celui-ci est le premier qui pose réellement les bases du côté complètement déjanté et non-sens du réalisateur, que l'on retrouvera par exemple dans "Nowhere", "Kaboom", "Smiley Face" ou sa série "Now Apocalypse". Alors certes, c'est donc particulier car cela n'a pas vraiment de sens, du moins en surface. C'est l'histoire d'un couple d'adolescents qui tombe sur un étrange individu. S'en suit un road trip de plus en plus étrange qui va plonger les personnages dans des meurtres. Bon, déjà, rien qu'avec le synopsis, on se doute bien que ça ne va pas être le teen movie gentillet avec ses codes bien connus. Non, ici, nous sommes dans quelque chose de très particulier avec une ambiance propre, ce que j'apprécie par ailleurs tout particulièrement. Je n'ai en effet pas vraiment aimé ce film, ni cette trilogie d'ailleurs, pour son intrigue car elle est quasi-inexistante (mis-à-part bien-sûr les nombreuses métaphores, analogies et sens plus ou moins cachés) mais bel et bien pour son ambiance. Même au niveau des décors, on sent que c'est complètement irréaliste et qu'ils servent avant tout un univers perché. Comme d'habitude chez Araki, j’adore l’utilisation des couleurs et sa mise-en-scène dont de nombreux plans peuvent passer pour des tableaux. J'ai cependant été très surpris par la fin qui part dans un tout autre délire et qui pourra en surprendre plus d'un ! Concernant les acteurs, nous retrouvons James Duval, Rose McGowan et Johnathon Schaech qui jouent très bien ! "The Doom Generation" n'est donc pas le meilleur de la filmographie du réalisateur mais reste intéressant.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    90 abonnés 1 751 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 octobre 2023
    Film ovni très 90's. Film culte aussi sans doute car tres sexe, drogue et violence. C'est fun à regarder même si c'est pas très bien joué et si le film tombe souvent dans le piège de la provoc pour la provoc. Arraki fera mieux par la suite.
    WardStradlater
    WardStradlater

    56 abonnés 469 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2012
    Sans pour autant aller aussi loin dans le psychédélique qu'un Festin Nu, The Doom Generation porte tout de même un aspect plaisant de folie, d'absurdité et de surréalisme. Un cri pour un monde avant-gardiste, aussi bien libéré de la société de consommation, que du joug judéo-chrétien. En un mot, sans pour autant parler de Beat, on assiste ici à un microcosme libéré de toutes notions de tabou et d’interdits.
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