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    Vinyan
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    1,8
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    141 critiques spectateurs

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    Acidus
    Acidus

    715 abonnés 3 702 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 octobre 2024
    Pas convaincu par "Vinyan" de Fabrice Du Welz, déjà auteur d'un film de genre : "Calvaire".
    L'intrigue débute comme un drame assez classique pour prendre petit à petit une tournure fantastico-horrifique. Le cinéaste mise plus sur l'ambiance que sur son scénario. Il en ressort de longues plages d'ennui liées à un rythme lent, des effets visuels maladroits et un aspect mystique mal maîtrisé. Tout cela donne une impression de bazar cinématographique assez prétentieux qui en perdra sûrement plus d'un.
    Le cinéaste s'est peut-être fait plaisir mais ce n'est pas mon cas.
    redhead69
    redhead69

    1 abonné 36 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 mai 2022
    Alors le problème avec ce film, c'est qu'on s'ennuie beaucoup.
    spoiler: C'est l'histoire d'un couple qui à perdu son enfant en Thaïland, et sa mère croit le reconnaître dans une vidéo tournée en Birmanie, alors ils y vont et ils le cherchent, et puis ils continuent à le chercher, et puis il le cherche encore, et puis finalement ils ne le trouvent pas...

    Houlala ! Que c'était long..
    Le fait d'être en Asie centrale, Thaïlande puis Birmanie n'apporte absolument rien à part quelques décors exotiques, sinon ça pourrait se passer dans n'importe quelle foret dans le monde ça serait pareil.
    Je trouve dommage de tourner dans un pays avec une culture si différente et de ne même pas s'y intéresser un peu, mais bon..
    Sinon Emmanuelle Béart est jolie, très inexpressive, mais jolie. ^^
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    680 abonnés 2 990 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 novembre 2020
    Il y a quelque chose de trop conscient dans Vinyan qui empêche la folie de naître à l’écran, une maîtrise formelle trop exhibée depuis son ouverture saisissante jusqu’à sa clausule sensuelle qui court-circuite toute progression dans la perte des repères. Dit autrement, Fabrice Du Welz réalise un film sur une détresse affective et sexuelle qui mute en fièvre hallucinatoire et orgiaque sans penser cette mutation en termes artistiques : le bouillonnement initial place d’emblée le spectateur dans une position contemplative, livré à des expériences sensorielles encore déconnectées des enjeux dramatiques – puisque de ces enjeux, nous ne savons rien. La virtuosité du geste précède l’accomplissement de ce même geste, pire anticipe sa naissance, annule son point d’origine. Vinyan répond à des critères et à des attentes, coche des cases, démontre. Or, on ne démontre pas du sensitif, on ne démontre pas du pulsionnel, on les fait vivre tout entiers. C’est ce qui rend le jeu des deux acteurs principaux prévisible et parfois stéréotypé, en dépit de leur investissement et de leur talent respectifs. Seule la photographie, que signe Benoît Debie, apporte ce qu’il faut d’étrangeté à l’instant capté et semble prolonger l’onirisme teinté de rugosité qui définissait la découverte du village faite par les explorateurs du film King Kong de Peter Jackson, sorti trois ans plus tôt. En résulte un long métrage trop conscient de ses effets qui n’envoûte que lors de brèves séquences au cours desquelles la musique se tait et les bruits d’une nature encore sauvage grouillent à l’oreille.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    394 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 février 2020
    Un film au bon potentiel, rien que l’aspect semi documentaire au début pour placer l’action dans un environnement plus ou moins tangible jusqu’à l’enfoncer petit à petit dans le surnaturel et la noirceur humide de la jungle, seulement je trouve qu’on finit par se perdre entre l’intimisme du couple et le relief fantastique, ce qui fait que le virage définitif du film vers la folie s’opère maladroitement, on finit par ne plus croire aux personnages et à leur quête, la conclusion est d’ailleurs assez gratuite.
    Moyen.
    RamiValak
    RamiValak

    6 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 février 2020
    Reviens gamin !

    Alors j'ai rien pigé à la fin, mais reste un travail sur l'ambiance et sur le cadre que je ne peux que saluer. On est plus du tout dans une horreur type Calvaire, Vinyan est avant tout un film fantastique, même si le film est parfois vraiment effrayant. On retrouve l'ambiance oppressante du précédent film de Fabrice du Welz, le film est même encore plus poisseux, crade et glauque. On n'a pas les moments de répits qu'on avait dans Calvaire, ces petits moments où le film en venait même à nous toucher émotionnellement. La pluie omniprésente à la Blade Runner augmente cet effet, la saleté des vêtements, la boue, tout est là pour mettre mal à l'aise. C'est d'ailleurs aussi à cause de ce film que je n'irais jamais en Birmanie, sérieusement les enfants qui se multiplient dans le film ajoutent une présence fantomatique - ce qu'ils sont d'après ce que j'ai compris - et une tension supplémentaire, vu la méchanceté et la cruauté dont ils font preuve. Les acteurs se donnent à fond, le couple est plus qu'investi, ça sonne tellement vrai que s'en est troublant. La mise en scène sait les mettre en valeur, tout comme elle arrive à nous faire sentir palpable les forêts, la pluie, la nature en général. La photographie m'a moins impressionné que dans Calvaire, mais ça reste de très bonne facture. La réalisation laisse parfois de côté l'aspect poisseux de l'image pour un onirisme très appréciable, lors de plans larges sur le bateau par exemple, où lors d'un plan séquence virtuose qui nous fait ressentir avec brio le sort qui s'acharne sur ce malheureux couple. Sans aucune coupe, du Welz nous fais passer du monde des vivants à celui des morts.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    204 abonnés 2 839 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 juin 2019
    Après un Calvaire ahurissant, Fabrice Du Welz provoque encore. La Thaïlande, un enfant emporté par les eaux d'un Tsunami, un couple endolori délabré qui, dans une quête impossible et risquée pour le retrouver, fini par se disloqué. Les décors sont poisseux et l'atmosphère étouffante, témoignage d'un remarquable travail de l'image et du son. La présence de Rufus Sewell est un atout pour excuser le jeu inégal d'Emmanuelle Béart, peu convaincante quand elle bascule dans la folie. Du contemplatif qui laisse songeur. Des enfants assassins et victimes, peinturlurés façon Cannibal Holocaust, qui ne renversent pas la tendance d'une dramaturgie balourde, ou symbolisme désastreux. Périlleux.
    Stef G.
    Stef G.

    20 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 décembre 2018
    Franchement, dans l'île aux enfants c'est pas tous les jours le printemps... Long, lent et une fin à la romero pour une juliette plus triste du tout puisqu'elle devient mère de famille très très nombreuse. Ha, c'est Francais ?
    Julien M
    Julien M

    33 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 décembre 2017
    Je me rappèlerai toujours de ce film qui m’a marqué car après l’avoir visionner je me suis demandé comment j’ai pu faire pour regarder un tel navet jusqu’à sa fin ! Car mise à part la scène du Tsunami, il ne se passe rien ! C’est le néant total, une belle bouse ! Alors on est dans l’attente, on regarde, on attend et le film défile, on attend encore, et la d’un coup PAF c’est la fin !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 août 2017
    Comment perdre 1h30 de sa vie? Regardez ce film!
    Je pense que le réalisateur à voulu montrer le deuil de la perte d'un enfant... super angoissant, des acteurs énervants au plus haut point... bref une bonne bouse à la française.
    Eric C.
    Eric C.

    236 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mai 2016
    Incroyable film inqualifiable, inclassable, entre fantastique, thriller, psychologique, épouvante, ... Un film à l'image, à la couleur particulière, dans les gris, sépia, marron, vert d'eau, une ambiance fantastique, étouffante, psychotique. Un enfermement tant dans la quête quasi mystique, psychotique et fantastique que dans la jungle omniprésente, le tout nimbé par la pluie et la boue. Une épopée dans cette nature humide, abondante et particulière de la jungle thaïlandaise et Birmanie, dans cet environnement particulier et magique à la fois de l'Asie du Sud est. Emmanuelle Béart, magnifique, habitée, qui occupe l'écran par sa présence, son jeu, sa folie, son engagement, et livre là une de ses plus impressionnantes prestation d'actrice au milieu de sa filmographie pléthorique, inégale, hétéroclite. Une mère à la recherche insensée de son fils noyé 6 mois plus tôt , happé par le tsunami. Une quête insensée et folle qui l'entraînera au delà du réel. Elle est accompagné par Rufus Sewell, excellent lui aussi, en père ambigu, inconstant, aux sautes d'humeur et aux sentiments imprévisibles . Un film à part, spécial mais très beau, prenant qui laisse souvent une sensation de malaise et d'étouffement.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 mai 2015
    C'est le genre de cinéma qui appartient aux O.F.N.I (objet filmique non identifié) ; c'est donc assez difficile de porter un jugement sur un film qui par moment amène des choses grandioses à l'écran (ex: la remontée en caboteur dans la brume) et dès fois donne des scènes qui tiennent du nanar (ex : les mouvements de caméra peu subtils pour souligner les visions des personnages). De plus le film reste creux et vain (comme la poursuite fantasmée après ce garçon) dès qu'il s'agit de confrontation entre les personnages, le dialoguiste ayant certainement pris ses congés R.T.T pendant le tournage du film.

    On peut s'en féliciter car il est toujours de bon ton de copier les chefs-d’œuvre du cinéma mais Vinyan reste cependant trop influencé par Apocalypse Now pour s'en détacher totalement. D'où cette désagréable impression de "déjà-vu" en mieux.

    Toutefois vu la proposition de cinéma qui en découle et si on est fan comme moi de la filmographie très éclectique du sieur Fabrice Du Welz, on peut se laisser tenter.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 mai 2014
    Il y a des films comme ça ou dès le départ on n'y est pas, ni avec les personnages, ni transporté dans les lieux. Arf on n'est loin d' une remontée de fleuve avec le capitaine Willard. Ensuite le film devient étrange mais vu que j'avais décroché bien avant ...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 mars 2014
    Second film exporté en Thailande, anglophone, habité par une sorte d'incroyable fascination pour la jungle et son image ésotérique, Vinyan est un conte noire d'une grande limpidité, abordant autant cet amour fantastique et tragique entre le couple et cet enfant perdu. La grande et belle idée du film est de tout délaisser dans la suite de l'histoire (la caméra libre, l'angoisse, les questions, la narrations même au sens de dialogues) pour livrer une vision féconde de fantasme des forêts. Tout y vient. Y compris ces enfants qui se fondent, se mêlent, tous ces naufragés du tsunami (imaginé dans un début de film saisissant).

    Pour toutes ces bonnes intensions (et aussi celle de faire des images sensées et magnifiques), Fabrice fait difficilement sa place dans un cinéma français un peu allergique au fantastique (alors qu'il en était un grand représentant auparavant) et ne peut que être applaudi. La présence de deux excellents acteurs ne fait que renforcer la puissance morbide que le film provoque. Le voyage, on a envie de le retenter, encore et encore, non pas pour voir souffrir des gens, mais pour souffrir avec eux et nous libérer.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 novembre 2013
    Je ne comprends pas les mauvaises de notes de ce film. Rufus Sewell et Emmanuelle Beart dans un role à contre emploi, qui jouent avec justesse et gravité. La Thailande est un pays où le Visible et l'Invisible se cotoient au quotidien...Un très beau film. Mais pour l'apprécier à sa juste mesure, il faut être capable d'enlever les préjugés de nos habits occidentaux et aller au dela des apparences, pas aisé du tout pour la plupart des gens!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 juin 2013
    Rarement je m'étais autant ennuyé au cinématographe. Mal joué, mal filmé, manquant d'ambition : c'est difficile à suivre. La fin est encore pire que le reste, ridicule au lieu d'être effrayante. On peut s'épargner ce naufrage.
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