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    Chacun son cinéma
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    3,0
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    Alain D.
    Alain D.

    589 abonnés 3 282 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 septembre 2017
    Les cinéastes de 25 pays ont réalisé chacun un court métrage sur le thème commun de "La Salle de Cinéma" :
    Anna : format court réalisé par Alejandro Gonzalez Inarritu (4.5* - Exc) : Un film d'une sensibilité extrême sur une musique aussi dramatique que sublime et une superbe photographie de Luisa Williams, l'actrice unique de ce film.
    "En regardant le film" du réalisateur Chinois Yimou Zhang (4* TB) est un format court émouvant et bourré d'humour avec la présence dominante des enfants.
    "Le Dibbouk de Haïfa" est un film choc de l'Israélien Amos Gita.
    "Cinéma de boulevard" (3.5* B) : une évocation tendre et drôle de la vie de Claude Lelouch à travers des extraits de films bien choisis.
    First kiss (3*) est un format court original de Gus Van Sant faisant preuve d'une belle qualité technique.
    "Cinéma érotique" : un excellent format court de Roman Polanski (4.5*). Un film osé, efficace, au scénario à la fois dramatique et drôle. Avec l'excellente prestation de Michel Vuillermoz, et les participations de Jean Claude Dreffus et Denis Podalydes.
    Toujours la démesure dans le format court de David Cronenberg qui ne donne pas dans la dentelle avec "At the suicide of the last Jew in the world in the last cinema in the world".
    "Happy ending" 3* : Un format court en VO, sympathique et drole, realisé par Ken Loach : Le pitch Un père et son fils doivent choisir un film. Ils font la queue dans la file d'attenre du cinéma.
    Fodscraft
    Fodscraft

    21 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 septembre 2008
    Chacun son cinéma, ou Ce petit coup au coeur quand la lumière s’éteint et que le film commence comme le précise son sous-titre, est une création collective. Gilles Jacob, le président du Festival de Cannes, a commandé à 35 réalisateurs primés à Cannes la réalisation de court-métrage ayant pour thème la salle de cinéma, à l’occasion du soixantième anniversaire du Festival.
    Les réalisateurs viennent de tous les continents et traitent chacun d’un aspect du cinéma. Tantôt drôle (Kitano, Suleiman, Polanski, Loach), tantôt émouvant (Angelopoulos, Dardenne, Inarritu), souvent féérique (Van Sant, Campion, Egoyan) ou polémique (Gitaï, Cronenberg, August, Wenders), ou encore racontant des tranches de vie (Kaige, Oliveira, Lelouch, Chahine), la vision de chacun reste très personnelle et ne trahit pas leur cinéma.
    On reste admiratif devant l'art de créer l'émotion en 5 minutes !
    Un moment magique, étonnant et universel. Merci à M. Gilles Jacob pour cet hommage au grand écran
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 mai 2008
    Certains sont bien(Chahine, Lelouch, Cronenberg), d'autres moyens(Moretti, Van Sant), d'autres sont de veritables navets(Zhang Yimou, Lynch, Dardenne). Ou sinon, l'ensemble est inégal.
    NoSerious Man
    NoSerious Man

    181 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 avril 2016
    Petite déception ! Je croyais que j'allais adorer regarder des courts-métrage sympas. Et, finalement, malgré quelques bons passages, j'ai trouvé ça assez ennuyeux !! La plupart des court-métrages sont inintéressants. Il y a en même où il ne se passe absolument rien (deux plans de 2 minutes et une minute de deux personnages qui se rencontrent style "bonjour ça va au revoir"!) !!!!! Quelques uns sont biens, mais dans l'ensemble, j'ai trouvé ça assez inégal ! Dommage, mais bon film quand même !
    7eme critique
    7eme critique

    534 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 mai 2013
    33 courts-métrages sur "la salle de cinéma". Un condensé de cinéastes où l'on découvre les différents traits artistiques des plus grands metteurs en scène, mais qui épuise tout de même sur la longue. Deux ou trois réalisations sortent du lot, mais l'overdose arrive rapidement dans ce pot-pourri de courts-métrages. Une idée originale qui peinera à captiver le spectateur pendant 2h.
    cristal
    cristal

    177 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 novembre 2007
    Après l'inégal "Paris je t'aime", où plusieurs réalisateurs confirmés montraient à travers un court-métrage leur vision de Paris, voici "Chacun son cinéma", réalisé pour l'occasion du 60ème festival de Cannes. Les réalisateurs de ces 33 essais liés à la salle de cinéma ont tous eu, auparavant et peut-être par la suite, un rapport avec ce festival mondialement connu.
    La critique se fera, pour simplifier, court-métrage par court-métrage (non dans l'ordre de projection) :

    - "Absurda" **, de David Lynch : étrange, forcément, incompréhensible sur le moment, forcément aussi, en trois minutes on peut facilement reconnaître la patte de Lynch. Mélange hypnotique de tout et de rien, voilà un court-métrage qui porte bien son nom. Le plus fascinant.

    - "Happy ending" **, de Ken Loach : on est loin du travail de cinéaste remarqué durant toute sa carrière dans l'ensemble de ses longs-métrages, toutefois ce court divertissement, léger et amusant, porte un regard lucide sur le cinéma d'aujourd'hui, avec exagération bien sûr, mais ironie simple et savoureuse. Le plus attendrissant.

    - "Le don" *, de Raoul Ruiz : De ces élucubrations humaines, nous ne retiendront que l'échange des deux acteurs (Michael Lonsdale, encore une fois excellent), et non pas la fausse ambiance grisâtre qui plombe le film. Le plus déprimant.

    - "Lady insecte" *, de Jane Campion : drôle de court, ambiance surréaliste réussie mais maladresse narrative. L'idée y est, mais la réalisation trop cérébrale désactive l'étrangeté voulue. Le plus loufoque.

    - "The electric princess house" 0, de Hou Hsiao-Hsien : incohérent, divisé en deux parties figées et désaccordées entre elles, Hou Hsiao-Hsien déçoit et signe un court-métrage ennuyant. Et cela en trois minutes seulement... le plus longuet.

    - "Le dibbouk de Haïfa" 0, de Amos Gitaï : probablement le plus mauvais de la partie, Amos Gitaï réalise un film ridicule (bonjour les effets spéciaux), lamentablement mis en scène (succession de fondu enchaînés fo
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 17 août 2010
    L'ensemble est un peu mou du bulbe niveau créativité. Les réalisateurs ne se sont pas foulés pour pondre pareils lieux communs. Même les plus grands noms, même ceux que j'affectionne particulièrement (Cronenberg, Gus Van Sant) n'ont accouché que d'un petit truc assez minable à la philosophie de comptoir. Faut dire qu'en 3 mn, l'exercice est un peu difficile, voire vain.
    Sylvain P
    Sylvain P

    338 abonnés 1 356 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 novembre 2007
    Force est de constater que les grands cinéastes sont mal à l'aise en format court. A leur décharge, 3 minutes c'est très court... (même si je suis le premier à dénoncer les courts-métrages de plus d'une demi-heure souvent hors de propos.). Au final, seul Roman Polanski s'en tire, en ayant opté pour l'humour et un entourage de stars : JC Dreyfus, D.Podalydès, M.Vuillermoz et S.Forestier dans son cinéma érotique. Le reste est inégal mais en général tiré par le bas. Sortent du lot le gore de Lars Von trier, les musiciens brésiliens de Walter Salles, les impatients de Zhang Yimou, l'horreur de la guerre de Amos Gitai, le retournement de Bille August, la rencontre Khrouchtchev-Pape de Manuel de Oliveira (bien que totalement hors sujet) et les autobiographies de Lelouch et Moretti (bien plus réussies que celle de Youssef Chahine, très mal interprétée). On est en revanche déçu : Gus Van Sant est reconnu dès l'apparition de son titre, mais ne convainc pas vraiment (sans ennuyer), Olivier Assayas et les frères Dardenne ratent leur fin, une quatrième minute aurait été utile, Takeshi Kitano noie ses gags, Inarritu reste dans l'anecdotique. On est même franchement énervé : Wong Kar Waï est trahi par les couleurs mais ennuie très vite, David Lynch se moque encore une fois de son spectateur et Theo Angelopoulos est risible.
    Cocobusiness
    Cocobusiness

    13 abonnés 382 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 juin 2007
    2007, collectif à l’occasion des 60 ans du Festival de Cannes, commande de Gilles Jacob, qui a fait plancher 35 cinéastes de 25 pays sur un même thème, la salle de cinéma. Chacun disposait donc de 3 minutes pour s’exprimer. Exemple type d’une fausse bonne idée qui rappelle ce que disait Woody Allen : la seule compétition intéressante à Cannes, serait de juger les films, travaillés sur un même thème. Mais 3 mn, c’est trop court, et on tombe vite dans des lieux communs : les pleurs, les rires, le couple qui flirte et plus…et l’entreprise devient un exercice de style dont on ne retient pas grand chose. Le Cinéma Paradiso (Tornatore, 1988) nous racontait tout cela de façon tellement émouvante…
    robert_ginty
    robert_ginty

    12 abonnés 381 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 novembre 2007
    A peine remis de la torpeur occasionnée par la vision de Paris, je t'aime, le spectateur se voit infliger un nouvel ouvrage collectif "de luxe". Gilles Jacob nous propose ici les variations de ses chouchous cannois sur le thème : la salle de cinéma. Bonne nouvelle : les segments sont limités à 3 minutes, ce qui devrait logiquement nous épargner les séquences interminables. Mauvaise nouvelle : c'était sans compter sur les trésors d'invention de la plupart des cinéastes sollicités qui s'escriment à rendre indigeste au possible ce qui est censé passer comme une lettre à la poste. La quasi-totalité des courts-métrages est triste à pleurer et lente à mourir, et certains sont d'une laideur incroyable (merci la video), mais ce qui frappe le plus, c'est la prétention et l'égocentrisme d'un bon nombre d'entre eux qui n'hésitent pas à s'auto-citer sans vergogne. On se demande parfois si on n'est pas dans la parodie pure et simple tant certains films donnent dans l'autocélébration la plus outrée, la queue du mickey étant décrochée haut la main par Angelopoulos (un hommage à Mastroianni qui relève du grand n'importe quoi arty/pédant) et Chahine (deux minutes de nanar jouées n'importe comment suivies d'une minute d'images d'archives du festival de Cannes où le cinéaste reçoit son prix du 50ème anniversaire - tordant, au regard de la qualité de ce qui a précédé !). C'est assez désolant de voir tous ces réalisateurs reconnus (avec une légitimité toute relative, pour certains) incapables de produire quelque chose un tant soit peu original, voire même un minimum décent pour les cas les plus désespérés - on se doute bien qu'ils n'ont pas eu des millions à dépenser et un format aussi court ne permet pas de développer grand chose, mais quand même ! Les îlots de fraîcheur sont bien rares dans cet océan de nombrilisme confit... Seul Lars Von Trier, en dépit d'une amorce qui laisse présager du pire, parvient à remuer la salle en lançant un pet espiègle au milieu de cette sinistre réunion.
    Fiflo
    Fiflo

    4 abonnés 105 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 janvier 2008
    Un film de cinéma sur la salle de cinéma:
    Attiré par le grand nombre de réalisateurs connus, et la rapidité des courts métrages même si c'est mauvais cela n'engage qu'a trois petites minutes. Le thème trés étroit la salle de cinéma reste pour moi un sujet qui manque vraiment d'intêret, c'est donc plus au thème qu'aux réalisateurs que j'attribue cette note. On s'ennuis souvent; peu de réalisateurs sortent de carcans préétablit, seuls quelques courts métrages sorte du lot (sur 33 cela rend le film assez long). Certains courts métrages peut être trop long pour être traités en 3min sont incompréhensibles et donnent l'impression de ne pas avoir de fin. A voir pour les inconditionnels de la culture cannoise ou pour parfaire sa connaissance des réalisteurs, à éviter pour les autres!
    ocelot
    ocelot

    24 abonnés 927 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 mai 2008
    Un excellent "film". Tous les genres y sont réunis et chacun y trouvera donc son compte.

    J'ai particulièrement aimé les courts-métrages de David Cronenberg, Roman Polanski et de Gus Van Sant.

    A voir !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 28 mai 2007
    Chacun son cinéma est parsemé de bons et de mauvais moments: sentimentaux,"créatifs",nostalgiques... De passages , d'arrêts, même d'idées.J'irai jusqu'à dire ellipse,dérange cette idée de cadeau "hommage". Trente et quelques réalisateurs plus ou moins, aussi grands qu'ils veulent le faire paraitre proposent. Quel est le lien direct ou indirect qui lit le cinéma à Cannes.Cannes de tout les cinémas, Cannes est cinéma?
    Peut être Depardon a reniflé le piège à esquisser de facon assez adroite ce malentendu. Parcouru plus en profondeur, on peut apercevoir que le theme de l'aveugle revient.Cannes serait ce sa? Donner l'image que le cinéma est.A chacun.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 septembre 2007
    0 étoile, tomates et oeufs pourris pour: "Le Don"
    de Raul Ruiz (nul comme d'hab), "Rencontre unique"
    de Manoel de Oliveira (anecdotique, débile et pas drôle du tout), "47 ans après" de Youssef Chahine (c'est le pire de tous! Un vieux monsieur comme Chahine devait avoir un peu d'humilité et être moins nombriliste. J'ai rougi à sa place)
    Requiemovies
    Requiemovies

    207 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 décembre 2007
    Inarritu s'en sort haut la main, sublime. Pour le reste difficile d'être critique tant il faudrait passer les courts un par un. Idée originale faite par de grands réalisateurs...A découvrir quand tant de talents sont réunis...Cependant la qualité de l'ensemble reste inégale. Pas la faute aux metteurs en scène...jsute difficile d'être critique sur des 3 minutes...
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