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    Chacun son cinéma
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    stanley
    stanley

    66 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 août 2010
    Les films à sketchs sont souvent décevants, désiquilibrés, sans unités ou ni de bonnes concertations et ennuyeux. Ici, l'idée de Gilles Jacob s'est révélée bonne et il a su faire appel à ce qu'il y a de mleux dans le cinéma mondial tous continents réunis. Résultat : un bon moment pour des films très brefs. Le meilleur pour Kiarostami, Egoyan, Haou Hsiao Hsien et les frères Dardenne. Assyas, Gitai ou De Oliveira sont franchement décevants.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 070 abonnés 3 968 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2009
    33 films sur le même sujet qui se suivent mais ne se ressemblent pas… il faut le faire, la liste des réalisateurs est prestigieuse. Si certains court métrage m'ont déçu vu que je m'attendais à mieux de la par du réalisateur(GVS), d'autres m'ont ébloui (le Polanski, Loach, Cronenberg (le meilleur), Chahine…)
    WalkthisWay
    WalkthisWay

    22 abonnés 670 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 février 2015
    Le résultat était prévisible comme dans tous les films à sketches : inégal. Certains réalisateurs impriment vraiment leur univers et font de très bons courts (Kitano, Loach, Suleiman, frères Coen, Polanski, Lelouch, Yimou,...) mais d'autres au contraire semblent vraiment pas inspirés.

    On a donc des courts métrages de la part de certains cinéastes (néanmoins très bons dans leur œuvre respectif) très premier degré, sans véritable originalité (frères Dardenne, par exemple). Deux courts sont particulièrement dérangeants : l'auto célébration de Chahine et le court métrage de Gus Van Sant, qui reprend de façon très premier degré, le concept de "la Rose pourpre du Caire" qu'Allen avait beaucoup plus creusé.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 226 abonnés 7 515 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mai 2007
    Trente-cinq réalisateurs ont accepté la proposition de Gilles Jacob (Président du Festival de Cannes), de tourner chacun un court-métrage de 3 minutes (chrono en main), ayant pour thème principal « la salle de cinéma ».
    Une trentaine de réalisateurs ce sont donc amusés à réaliser un mini-court chacun, des réalisateurs de divers horizons, des quatre coins du monde et faisant parti de « l’élite » des réalisateurs de notre époque.
    Réunir les meilleurs pour célébrer en beauté le 60ème Festival de Cannes, et donc, fêter les 60ans de l’un des plus grands Festival du cinéma au monde, il fallait y penser !
    Venus des 5 continents, de 25 pays, ces trente-cinq réalisateurs rivalisent d’ingéniosité, de trouvaille, car en 3 minutes, il s’en passe des choses. Nous offrant toutes une palette d’émotions à chaque fois, on passe de l’émotion à la passion, du rire à la tendresse, de la tristesse à la compassion.
    Sur la trentaine de courts-métrages, on se souviendra surtout d’une bonne dizaine de courts, notamment : 47 ans après (de Youssef Chahine), World cinema (des frères Coen), At the suicide of the last Jew in the world in the last cinema in the world (de David Cronenberg), Dans l'obscurité (des frères Dardenne), Anna (d'Alejandro Gonzalez Inarritu), One fine day (de Takeshi Kitano), Cinéma de boulevard (de Claude Lelouch), Journal d’un spectateur (de Nanni Moretti), A 8944 km de Cannes (de Walter Salles), Occupations (de Lars Von Trier) et le plus drôle de tous : Cinéma érotique (de Roman Polanski).
    Un mélange de cultures, de traditions, d’origines, de croyances, le tout regroupés autour du thème « la salle cinéma » vu par des réalisateurs du monde entier, que demander de plus pour célébrer avec autant de fierté ce 60ème anniversaire ?? Chacun son cinéma est un splendide hommage au 7ème Art, ou plutôt à la salle obscure !
    C’est un véritable régal !
    stebbins
    stebbins

    502 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 novembre 2007
    Un très beau projet sur le thème des salles de cinéma. On retrouve là plus d'une trentaine de cinéastes conviés à nous offrir quelques courts métrages. Le film de Raymond Depardon ouvre le spectacle...Et puis celui des frères Dardenne ( film assez comique et innatendu de la part des cinéastes belges ), celui d'Inarritu ( certainement le meilleur du projet, tout en émotion, réellement bouleversant ), celui de Gus Van Sant ( étrange et pourtant convaincant ), celui de Lars Von Trier ( plutôt amusant mais surprenant : la scène gore, on aurait pu s'en passer !). Viennent également participer au projet David Lynch ( Son Absurda risquera d'en dérouter plus d'un, mais c'est l'un des rares courts métrages vraiment effrayant ), David Cronenberg ( un film difficilement supportable de par sa tension présente du début à la fin ), Angelopoulos ( ses Trois Minutes sont plutôt ronflantes, et ce malgré la présence de Jeanne Moreau ), Wong Kar-Waï, Kiarostami, Ken Loach, Claude Lelouch...et j'en oublie évidemment. L'ensemble est louable et certains courts sont très drôles ( je repense à l'excellent Cinéma Erotique de Polanski, ou encore au film de Kitano ). Une curiosité à voir sur grand écran.
    lucyinthesky4
    lucyinthesky4

    249 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 août 2010
    35 courts métrages autour du thème – à la fois imposé et libre – de la salle de cinéma. Vide ou pleine, désaffectée ou active, elle est en tout cas le lieu de l’amour, de la nostalgie, de la colère, de la contemplation, toutes sortes de sentiments mêlés. Le résultat est bien entendu inégal, mais permet une expérience, un voyage dans l’univers de plusieurs des grands cinéastes de notre temps. C’est pour eux comme un retour aux sources : au format court-métrage, par lequel beaucoup ont commencé, et à la salle de cinéma qui, semble nous dire le film, reste l’endroit de tous les possibles. Pour le spectateur, c’est un jeu permanent qui, grâce à la bonne idée de ne faire apparaître le nom du réalisateur qu’à la fin des 3 minutes, permet de tester sa culture ciné. Un film ludique qui nous balade de déceptions en enchantements et permet au final d’établir sa petite hiérarchie personnelle. Sympa comme tout.
    GabbaGabbaHey
    GabbaGabbaHey

    205 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 août 2011
    Difficile de se faire un avis sur ce film, étant donné qu'il s'agit d'une compilation de court-métrages très différents les uns des autres et très nombreux... Et faire une critique de chaque court et une moyenne serait presque ridicule. Alors on va faire de notre mieux... Déjà, le problème avec "Chacun Son Cinéma", malgré qu'il soit tiré d'un concept extrêmement intéréssant et original, c'est que les films son trop différents, et on peux aussi bien en adorer certain qu'en détester d'autres, c'est assez gênant... Je n'en ai détesté aucun, mais un grand nombre ne m'ont que trop peu plu. Mais ils restent dans l'ensemble tous bons... Et certains sont vraiment très bons, notamment ceux de Gus Van Sant, David Cronenberg, des frères Coen, Theo Angelopoulos, Aki Kaurismaki, Nanni Moretti, Claude Lelouch... Et les deux meilleurs sont l'excellent "Cinéma Érotique" de Roman Polanski et le magistralissime "Occupations" de Lars Von Trier, deux courts que je ne me lasse pas de revoir et de rerevoir.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    238 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 novembre 2007
    Exercice difficile que celui du film collectif. Le cinéma, dans son identité hybride, revient souvent sur ce tour de force. En l’occurrence l’expérience est justifiée par l’anniversaire du 60ème anniversaire du Festival de Cannes. Pour ce faire, Gilles Jacob réunit 33 réalisateurs parmi les plus prestigieux du monde. La règle majeure de ce genre de film consent à réunifier les différents courts-métrages sous une même tutelle thématique, en l’occurrence : la salle de cinéma. Que reste-t-il de cette commémoration du plus grand festival de cinéma hors de son contexte ? Sa sortie en salle décalée permet de constater le film autrement que comme cadeau d’anniversaire. Ce qui demeure, c’est le paysage cinématographique mondial que propose savamment le film. Largement plus ambitieux que «Paris, je t’aime» (France, 2006), «Chacun son cinéma» (France, 2007) possède l’avantage de fournir un échantillon énorme du cinéma contemporain d’art. Mais cela ne reste qu’un abrégé. Met d’introduction au cinéma international, «Chacun son cinéma» véhicule également la force de la salle de cinéma. Le message titube nécessairement de sa pluralité. Comme plusieurs voix dans une foule, si tout cela ne sonne pas d’un seul clairon, les sonorités inégales délivrent tantôt de petites prestations tantôt des courts-métrages extraordinaires. L’incohésion inévitable du film en procure peut-être sa singularité rythmique, encore faut-il ne pas achopper un rythme car celui-ci s’évapore aussitôt. C’est donc par éclats que ce saisit le film, par éclats géniaux qui entraînent le spectateur dans un tourbillon. La séance finit, que reste-t-il du long-métrage ? Peut-on par ailleurs véritablement considérer le film comme un long-métrage au sens harmonieux ? Certes non, c’est la particularité des films collectifs, livrer une œuvre ponctuée. La valeur de montage connectique ne semble que peu avoir de valeur, ça n’intéresse pas d’ailleurs le genre. Souvent génial mais absolument incertain.
    LUET M
    LUET M

    39 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 mai 2012
    'Chacun son cinéma', né d'une proposition de Gilles Jacob à 34 réalisateurs, à l'occasion du 60ème anniversaire du festival de Cannes, est un florilège de courts métrages de 3 minutes chacun sur le thème de la salle de cinéma. L'ensemble est plutôt bien et, comme dans la plupart des compilations de courts et des films à sketch, on constate une hétérogénéité dans la qualité des différents segments, mais aussi dans leur genre.
    Le meilleur, tout d'abord selon moi, est 'Absurda' de Lynch qui dégage une vraie sensation étrange entre l'admiration et la peur, comme dans la plupart de ses films, à travers son registre habituel - onirique, bizarre et angoissant. Suivent de près les plus drôles courts de cette compilation : 'Cinéma Erotique' de Polanski, 'Occupations' de Lars Von Trier - jouant tous deux sur une chute surprenante et très drôle - et 'One Fine Day' de Kitano. Dans le même style 'Irtebak' d'Elia Suleiman n'est pas mal non plus. Nous avons également le droit à des hommages, des déclarations d'amour explicites au septième art - 'World Cinema' des frères Cohen, 'Cinéma de Boulevard' de Claude Lelouch, 'Diario di uno spettatore' de Nanni Moretti, 'A 8944 km de Cannes de Walter Salles ou '47 ans après' de Youssef Chahine. D'autres sont plus émouvants - 'Anna' de Inarritu, 'Artaud double bill' d'Egoyan ou 'I travelled 9000 km to give it to you' de Wong Kar-Wai avec une mise en scène très poétique - ou dérangeants - celui de Cronenberg et de Gitaï. En revanche, certains n'accrochent pas, voire déçoivent. Il faut dire que les quelques meilleurs courts métrages ont mis la barre haute, réussissant avec brio à surprendre, à choquer, et à émouvoir le spectateur en très peu de temps.
    ygor parizel
    ygor parizel

    241 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 mars 2013
    Chouette initiative, réunir autant de grands noms sur l'affiche c'est pas mal. Dommage qu'en trois minutes certains ne savent pas développer quelque chose d'intéressant. Je reteins surtout 5 sketchs, les meilleurs selon moi. Celui de Roman Polanski, celui de Alejandro Gonzalez Inarritu, Zhang Yimou, Atom Egoyan et finir celui de Walter Salles.
    stillpop
    stillpop

    81 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 octobre 2011
    L'histoire de réalisateurs qui ont voulu rendre hommage à la salle de projection cinématographique, lieu culte de la religion cinéphilique. Ce à l'occasion des 60 ans du festival de Cannes.
    Le plus drôle, c'est de deviner les noms des cinéastes aux 3 premières minutes, sans connaître la liste avant bien sûr. Je suis vraiment fier d'en avoir trouvé 5 dès les 15 premières secondes, voilà, c'est dit ! Il faut préciser que les noms des réalisateurs ne sont révélés qu'au petit générique de fin de chaque court métrage.
    Il y a 33 films quand même, donc inutile de dire que j'en ai oublié.
    Dans l'ensemble, le niveau est quand même élevé, même si deux ou trois réalisateurs se sont inspirés des mêmes approches, il faut bien dire que la personnalité des auteurs crève l'écran, et c'est tant mieux, surtout sur des courts métrages.
    Je ne vais pas faire la critique noms par noms, ce serait un peu long, et j'en ai déjà confondus, plutôt survoler par catégorie :
    - Le meilleur, pour moi, c'est clairement Von Triers qui nous livre une parabole sur la victoire de l'exigence du cinéphile éclairé et talentueux face à l'américain beauf, fier de lui et plein de fric. C'est idiot, très marrant, rapide et parfait. Occupations.
    - Les plus marrants :
    Le Kitano bien sûr, simple, rapide, efficace. (One fine day)
    Le Nanni Moretti sur une parodie amusée de la cinéphilie militante. (Diario di uno spettatore).
    Irtebak d'Elia Suleiman, fidèle à son seul film qui a marché en France, avec cet humour discret presque entre Woody Allen et Tati.
    Cinéma érotique de Roman Polanski, on l'attendait au tournant et il ne déçoit pas avec un mini scénario tendancieux à suspense.
    - Les plus porteurs de sens :
    At the suicide of the last Jew in the world in the last cinema in the world de David Cronenberg, un OVNI indiscutable et excellent.
    The Lady bug de Jane Campion, où les aveugles ont droit de cité.
    Where is my Romeo ? d'Abbas Kiarostami pour voir des femmes en voiles qui regardent des films d'avant quand les iraniennes ne portaient pas le voile. Vive le cinéma !
    - Les plus émouvants :
    Lelouch gagne la palme, avec un hommage à Cannes, au cinéma, à sa famille pied noir sans arrière pensée, juste du cœur, et c'est très beau dans Cinéma de boulevard.
    Nanni Moretti sur le même thème que Lelouch. (Diario di uno spettatore).
    Dans l'obscurité de Jean-Pierre et Luc Dardenne, avec Duquenne dans une bien belle composition.
    Tous les films chinois, hommage à l'enfance et son émerveillement face à la magie de l'écran blanc.
    Ming-Liang (It's a dream), Yimou (En regardant le film), ou Kaige. (Zhanxiou village).
    Moins impressionnant, mais même combat et conclusion populaire en diable, Happy ending de Ken Loach.
    Cinéma d'été de Raymond Depardon, hommage au cinéma des pays du tiers monde, qui a plus besoin que les autres de rêver, et qui en a bien moins !
    - Les plus esthétiques :
    Kar-Wai évidemment (I travelled 9 000 km to give it to you).
    First kiss de Gus Van Sant, d'une maîtrise du décor étonnante, et d'un sujet bien fade quand on connaît les goûts du réalisateur. Peut-être ironique ? Ou peut-être une parabole pour montrer tout ce que le cinéma peut nous faire vivre sans que l'on en ait l'occasion ?
    - Les plus déjantés :
    Le Cimino, totalement incompréhensible, surtout de la part d'un des meilleurs réalisateur américain ? (No translation needed).
    World cinema de Joel & Ethan Coen, étonnant, avec un Nolte pseudo cowboy pseudo homosexuel, et un projectionniste pseudo arabe en plein Arizona. Sorte de parodie des films indés dernier cri.
    La Fonderie d'Aki Kaürismaki, hommage aux Leningrad Cowboys, toujours aussi incompréhensible.
    A 8944 de Cannes de Walter Salles, ironie cinglante aux bobos de tous bords qui pensent que le cinéma ne vaut que pour les pays qui peuvent le subventionner.
    - Les plus agaçants :
    Chahine, qui fait la même chose que Lelouch, mais uniquement avec son ego en oubliant tout le reste, l'humour n'étant pas suffisant. (47 ans après).
    Amos Gitaï, avec son partisanisme latent, comme si les salles de cinéma israéliennes avaient le monopole des bombardements. Et comme si la salle de cinéma, seul rempart contre les emmerdements ambiants, étaient destinés à protéger des roquettes palestiniennes. Ce n'est pas parce que le septième art existe que les israéliens meurent sous les bombes, c'est parce que 3 fois plus de palestiniens meurent chaque année sous les armes israéliennes, bref, un problème politique et même racial, (quand on voit le Chahine, seuls films polémiques de cet hommage aux salles de cinéma) dont le cinéma n'a que faire, et qui n'a aucune place dans la culture des civilisations occidentales qui ont construit leur paix depuis bien longtemps sans doute dans un esprit bien différent. (Le Dibbouk de Haïfa).
    Recrudescence d'Assayas, quand on veut donner un message sur la déliquescence des couples mixtes ou de la fraterie musulmane en France, on travaille un peu moins couvert, et on a le courage de ces opinions ou on se fait plus compréhensible.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 décembre 2012
    (...) Monsieur Jacob, écoutez-moi. Je ne suis pas de nature à faire des éloges à tous vents, et écrit donc ce qui suit avec la plus grande modestie et sincérité. Vous n’êtes peut-être « que » le producteur de ce film, comme vous dites, mais après tout, c’est un peu grâce à vous si le cinéma continue d’exister, et d’être ce qu’il est : un formidable moyen d’expression, un véritable art. Aussi, je ne peux finir ces quelques lignes par un mot : merci.

    (l'intégralité de l'article est visible sur http://wp.me/p2gEpo-5O)
    D'autres critiques cinéma sont disponibles sur http://lestempscritiques.wordpress.com
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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 30 août 2012
    Un thème : la salle de cinéma. Une trentaine de courts-métrages pour autant de façons d'aborder la question. On y trouve de tout, à commencer par des hommages solennels un peu plombants : les Dardenne et Hou Hsiao-Hsien citent Bresson, Angelopoulos reprend Antonioni... là où Chahine s'auto-congratule fièrement ! Comme ce dernier, Lelouch ne peut se retenir de parler de sa propre personne, exercice dans lequel Moretti se révèle bien plus intéressant. On a aussi des hors-sujet ratés (Campion) et des hors-sujet réussis (Oliveira), des intermèdes musicaux étranges (Cimino, Salles), des femmes qui pleurent beaucoup au cinéma (Dardenne, Kiarostami, Inarittu). De beaux moments de poésie sont à signaler chez Gus van Sant et Zhang Yimou. Mais il y a également le gros ratage sioniste de Gitaï, aussi idiot que déplacé. Fort heureusement, dans cet univers cannois qui se prend un peu trop au sérieux, il y a quelques sympathiques perturbateurs qui jouent la carte de la comédie (alors que c'est loin d'être leur genre de prédilection) : le Polanski est très bon, et le Lars Von Trier est incroyable. A l'inverse, Kitano et Suleiman déçoivent un peu. Mais celui qui sort véritablement du lot, c'est indéniablement Cronenberg : « At the suicide of the last jew in the world in the last cinema in the world » est un véritable chef d'oeuvre de trois minutes, réflexion passionnante sur les médias, la judéité et la mort du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 novembre 2015
    C'est un film à sketches très réussi voir un des meilleurs! on passe par toutes les émotions! je me suis régalée avec mes deux frères et soeurs!!! il faut aller le voir!!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 novembre 2007
    qui n'a pas vu ce film n'est pas un vrai cinéphile
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