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btravis1
114 abonnés
529 critiques
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1,0
Publiée le 11 mars 2007
Ce film démarre très bien, grâce à un ton original, servi par de bons dialogues, malheureusement la suite est moins enthousiasmante car Laure Marsac n'a plus rien à raconter, elle se contente ensuite de filmer inlassablement ses jambes et on attend avec impatience le générique de fin, un comble pour un film d'1h10. Dommage donc, car le début était plus que prometteur.
ce film est un des plus nul, des plus vide de mon existence et dieu c est si je suis cinephile et que je visionne beaucoup de films mais la c en ai trop! une nulité dans les dialogues, une histoire bidon ou on n y comprends rien, on ne ressens aucune emotion....... bref mais nul mais nul! et cela se veut intellectuelle......faut m expliquer le sens alors de l histoire car je pense a n etre pas la seule a avoir pratuqement sombrer dans les bras de morphée.
Les tribulations plus qu'inintéressantes d'une femme-enfant découpées en trois actes tout aussi inintéressants les uns que les autres. Laure Marsac est toute jolie et a de très jolies gambettes, voilà ce que je retiens de cette bluette, sorte de trip égocentrique qui ne nous mène nul part. Le deuxième acte représente parfaitement le vide ressenti durant une très longue heure dix en nous obligeant à ressentir le même ennui que sa protagoniste à travers une attente interminable sur un parking entrecoupée de rencontres improbables et qui sonnent totalement fausses. Quelle idée de réaliser un film lorsque l'on a rien à dire ! Au final c'est le spectateur qui en subit les conséquences en s'ennuyant comme rarement durant la quasi totalité du métrage, une expérience inutile et des plus gonflante.
Aaaaaah les jolies jambes chaussées d'escarpins rouges de LAure Marsac, sa jolie frimousse (trop longtemps oubliée par le cinéma) et sa voix douce... Vous l'aurez compris, je n'ai pas grand chose à dire du film. Il faut dire qu'il n'y a pas grand chose à en dire de toutes façons. Une femme qui passe son permis de conduire, puis qui se retrouve enfermée sur un parking de supermarché, sans le sou, parce qu'elle a vérouillé sa voiture de l'intérieur en y oubliant ses clés. Je veux bien que ces situations servent de pretextes à une plongée introspective dans la vie de cette femme. Mais franchement, on s'ennuie ferme devant ce film pourtant court. On en retiendra donc Laure Marsac que je trouve toujours aussi jolie et qui a au moins le mérite de tenter ici un film très personnel et de forme originale. ça peut être un bon pretexte pour y aller. On est pas obligé non plus.
Alors là les amis, je sors mon couteau de cuisine électrique 12 vitesses pour hacher menu cet opus minimaliste, pour lequel le scénario tient sur un ticket de métro ( et encore, déjà composté). Laure Marsac est bien jolie, pas de problème, elle apprend à conduire laborieusement, passe encore, mais l'INTERMINABLE ( avec "INTER" en bonus cadeau ndlr) séquence sur le parking du CORA est impressionnante de vacuité, de nombrilisme et m'a atterré ( je n'ai pas dit enterré). Au secours, halte-là Robin des Bois, on arrête la tequila et on ne fume plus son tapis persan, mais quand je lis les critiques entendues et parisiennes de mes chers Inrocks, Libé, Télerama ou le Monde, je tombe de ma chaise. Il ne se passe rien, c'est une déclinaison du néant à tous les temps. De plus, chez Renault, ont-ils écrit une lettre de prostestation pour signifier qu'il est IMPOSSIBLE de fermer un Espace de l'intérieur ? Imaginez alors les parkings de supermarchés, bondés d'actrices évanescentes en train de télephoner avec le portable des autres clients ? Enfin, l'ultime scène de la petite Laure M. et de sa maman très élegante bien sûr qui roulent dans la nuit , filant à bord d'une very trendy 404 et nous laissant supposer par le finaud dialogue du niveau de finesse fin CP- début CE1 que : "non, le papa n'est pas très gentil", que "oui, la petite fille sera un peu traumatisée par cette enfance atypique mais ô combien proche de toi, spectateur", et que : "ouaiiis tu vois, c'est c'que j'ai dit à mon psy la semaine dernière, j'ai un trauma post paternel pérenne et séquentiel inversé..."
Au secours En résumé
- 20/20 au titre ( qui m'a fait entrer dans le cinéma , d'ailleurs,et j'aurais dû aller voir La Vie des Autres !) -1/20 au scénario - Allez, 15/20 aux jambes de Laure Marsac
Un doute horrible m'assaille soudain: les critiques parisiens se cantonnent-ils pour leurs papiers au seul titre et à la plastique des jambes de l'actrice principale ? King Kong 2 est-il cuit d'avance alors
L'idée de départ était follement amusante,et furieusement authentique: une sorte de fable identitaire en mosaïque sur une jeune femme et son rapport avec les voitures.Le résultat,lui,l'est beaucoup moins: il s'agit d'une succession inégale de 'sketchs' plus ou moins drôles,rassemblés dans un ensemble mal monté et mal découpé.Les relations entre chaque scènes restent floues,et donnent un aspect décousu vite fatiguant.Le résultat est finalement banal,terne,longuet,et le casting approximatif n'arrange en rien le lourd échec de ce court film (1h10) qui avait à la base tout pour plaire.Si l'on s'attendait à beaucoup d'invention,beaucoup d'idées,c'est justement l'exact contraire qui en résulte;jamais surprenant,souvent linéaire et répétitif,le film de Laure Marsac fait toutefois preuve d'un sens du cadre évident et maîtrisé.Ce qui ne rehausse que partiellement l'interêt au final restreint de l'ensemble.
Les autres critiques sont bien dures avec ce film. Non il n'est pas vide....il est rempli... de pub: pour une marque de voiture (mise en cause), une enseigne de grande surface (chere au regard de ce qu'elle a pu acheter pour 60€), une cafeteria, un coiffeur, les tickets restaurant (on ne doit pas travailler au même endroit vu le montant des siens), une société de location de vehicules.... Eh oui, peut-etre Laure Marsac s'est elle fait plaisir en réalisant ce film (et encore, elle n'a pas du le visionner ensuite) mais elle s'est surtout rempli les poches avec les references publicitaires. Ou s'il elle ne l'a pas fait c'est qu'elle est vraiment aussi cruche que le personnage qu'elle incarne. Car demeure toujours la question ... mais pourquoi donc a t elle été faire ses courses en Touraine, elle qui habite Paris???? un titre raccoleur, une belle affiche (avec les chaussures rouges qu'on nous refourgue à chaque plan du film en référence aux souliers de la gamine, une technique de realisation grossiére et dépassée que même les amateurs n'utilisent plus!). Et pour le reste c'est comme les cadeaux bonux, on s'attend à un trésor mais il n'y a une grosse m... inutile à l'intérieur du paquet. Le film le plus nul de 2006 et très certainement de la décennie puisqu'il se veut intellectuel et sensible!
Euh... voilà que ça résume ce que j'ai pu penser du film. Les acteurs sont très bien surtout Laure Marsac. Elle a fait le film qu'elle voulait mais on a l'impression qu'elle ne l'a fait que pour elle même car on ne comprend pas ce film. On sort et on se dit voilà je l'ai vu et on l'a oublié dans les 5 minutes qui suivent ce qui est vraiment dommage car le personnage est attachant et il y a des dialogues pas mal mais un court métrage aurait été préférable. Grand point d'interrogation comme film.
Ce genre de film nous fait regretter que certains réalisateurs(trice) ne se limitent pas à développer leurs scénarii sous forme de courts. Le "4ème morceau de..." est un film sans interet, mal joué et très déséquilibré. Pourtant les 20 premieres minutes sont très bonnes et malgré quelques imperfections, on passe un bon moment (avec en plus une réalisation originale). Et tout d'un coup, tout change : on passe presque à un autre film. On nous montre le personnage principal qui s'ennuie pendant 45 minutes. Il faut reconnaitre une chose : cet ennui est tellement "bien" joué et filmé de facon si monotone qu'il parvient à emporter le spectateur dans des abysses de lassitude et d'indigestion de pellicule. Qu'est-il arrivé à Laure Marsac pour jeter l'éponge en plein parcours ? En tout cas, donner à ce film un titre à rallonge ne fait pas oublier qu'il est totalement vide, fade et ennuyeux.
De beaux moments de poésie, quelques fous rires sympas (les épisodes à l'auto-école,terribles!), mais (eh oui, le mais arrive) beaucoup de lenteur, et une belle dose d'ennui, surtout à la fin...
Louise Coleman, jolie femme de la trentaine, essaie d'apprendre à conduire. Le précieux sésame une fois en poche, une étrange aventure lui arrive, qui la fait se souvenir de son enfance à l'arrière de la voiture de sa mère. Trois temps, trois histoires différentes qui s'enchainent et se lient, un peu inégales mais très attachantes. La première est très drôle, la troisième tendre et nostalgique, seule la seconde est un peu moins emballante, mais Laure y filme longuement ses jambes chaussées d'escarpins, et comme elle les a fort jolies, on lui pardonne très volontiers. Le film est plein d'ellipses, de silences, de moments un peu hors du temps. C'est vraiment attachant, étrange, poétique et joli comme tout !
Un joli petit premier film avec des jolis plans, (j'ai beaucoup aimé la lumière changeante de cette ruelle, quand les nuages passent devant le soleil) Ce film ne dure qu'1h10' mais semble trop long, J'aurais aimé qu'il soit un peu plus concentré, différend, je reste sur ma faim.
Une surprise revigorante que ce film inqualifiable. Un univers improbable mais tout a fait maitrisé. Marsac , comédienne est parfaite. (Podalidès aussi)
Bravo pour le titre. Mis à part l'excellent Denis Podalydès et la troisième partie du film dans les années 70, on s'ennuie sec. C'est long, trop long. Il n'y en a que pour les jambes amaigries de Laure Marsac, et la recherche artificielle de plans originaux se fait dans la plus grande souffrance pour le spectateur qui ne comprend toujours pas ce que Louise est venue f... dans ce bled près de Tours, et comment elle a fait pour laisser ses clés dans son Espace. Probablement trop intello pour moi...