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Miamsolo
199 abonnés
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0,5
Publiée le 5 septembre 2013
Pour être honnête, je ne m'attendais absolument pas à ça. Certes, j'avais vu la bande-annonce quelques semaines avant et ça n'avait pas l'air vraiment génial, mais à ce niveau, c'est carrément de la merde! Et ce, dès les premières minutes du film. Pourtant, ça aurait pu être pas mal. On a une sorte de mélange entre Mad Max et un truc de zombies (pour l'ambiance), mais là c'est vraiment raté, ça ne ressemble à rien! Les personnages sont très loin d'être attachants. Rhona Mitra est tout simplement mauvaise, inutile de rappeler qu'au départ elle n'était pas comédienne, simplement mannequin officiel pour vendre les jeux de Lara Croft. Et à voir ce film, on dirait qu'elle a été choisie pour sa plastique. Bob Hoskins, je me demande ce qu'il fiche là. Il s'agit là d'un de ses derniers films, c'est triste de finir sa carrière sur un tel navet. Concernant les scènes d'action, elles donnent la nausée. On a droit à 36 plans différents pour un combat au sabre de 20 secondes, c'est totalement ridicule, j'ai rarement vu des scènes de baston aussi mal filmées... Le scénario quant à lui regorge d'éléments trop nanardesques pour en faire un bon film. Après, on remarque que le budget du film est assez petit, et ça joue beaucoup en sa défaveur. Mais il y en a qui s'en sont bien mieux tirés avec beaucoup moins d'argent derrière. Doomsday est un gros navet qui puise dans différents films sans en atteindre une once de qualité.
Et bien en voilà un bon gros OFNI comme on en voit de moins en moins ! Alors je dois être honnête : au départ, j'ai trouvé ça assez indigent, pour peu d'ailleurs que ce ne soit plus le cas par la suite. Travail sonore assommant, bourrinade en veux-tu en-voilà, point de départ vu et revu... La messe semblait dite concernant cette série B furieuse, burnée et donc plutôt éreintante. Reste qu'il faut reconnaître que celle-ci n'a pas peur du ridicule, s'essayant même à un mélange des genres et des époques complètement délirants, pouvant aussi bien provoquer l'affliction que la jubilation, voire les deux en même temps. C'était d'ailleurs mon état d'esprit à ce moment : c'est aberrant, « what the fuckesque » au possible et parfois risible, ce goût pour la démesure, l'excès voire le n'importe quoi a quelque chose de plutôt salutaire, décomplexé et en définitive assez marrant. Dommage du coup que Neil Marshall s'égare dans un montage limite hystérique, ne parvenant à tirer toute l'essence qu'un tel spectacle, mi-culte mi-nanar, aurait pu offrir avec plus de maîtrise. Cela n'empêche pas certaines séquences incroyables, notamment cette folle course-poursuite finale rappelant le meilleur des productions Corman, ou encore une Rhona Mitra incroyablement sexy en héroïne badass de chez badass. Après, on ne peut pas parler de bon film, encore moins de réussite, mais c'est peut-être aussi ça qui fait le charme de ce « Doomsday » démarrant si mal pour finalement nous offrir un truc franchement inattendu, souvent complètement con et finalement plutôt sympa : avis aux amateurs...
je mets 5 etoiles a ce film, car il n y a pas d autre mot!!!!! je ds bravo au realisateur d avoir osé nous faire un truc aussi... merdique!!! mon dieu quel nanard T!!!out y passe, dialogue digne de la serie plus belle la vie, du sang a gogo, et le scenario qui part en vrille. bcp d internaute disent que ca part en "couille" au bout de 40 mn de film et moi je vous dit faux!!! c est des le debut qu on se rend compte que ca va etre une catastrophe. On a affaire a un virus dont on ne sait meme pas l origine, qui se propage a une vitesse folle, mais on a le temps de faire un mur immense pour separer l ecosse (si mes souvenirs sont bon) au reste du monde.... genial trop fort les constructeurs!!!! a voir pour bien se marrer!!!!
Voila plein d'idée d'autre film, ici réunir pour le pire.. On a droit a un festival de mauvais gout comme je n'en avais pas vu depuis ghost of mars, on est gratifier de plein d'idée prix a droite et a gauche, mais sans jamais réussir a surpassé l'original. Tous y passe, on commence pars un peu de L'armer des Douze Singes pour le virus, de Doom pour le groupe de marine super entrainer, Banlieu 13 pour le mur, Mad Max pour les fou aux cheveux de toute les couleurs, donc un final repris a font sur celui-ci, on a aussi un peu de moyen age a la Robin des Bois et le tous m'y a la sauce gore ... Mouai avec tous ça, faire un résultat pareil, relève de l'exploit..
Ce film est un véritable nanar à éviter. L'histoire est pourtant pas mal . Une épidémie anéantie la vie en Ecosse . L'Ecosse est même écartée du monde avec la création d'un mur tout autour du pays. Mais l'épidémie réapparaît à Londres des années plus tard et le gouvernement décide d'envoyer une équipe en Ecosse car des personnes ont survécu. Un bon début mais à partir de là ça devient n'importe quoi. Des punks cannibales qui sont du copiés collés de mad max, puis après des chevaliers. Et pour finir une course poursuite en Bentley neuves des années 2000 (alors que l'on est en 2035). Bref du grand n'importe quoi une héroïne au charisme d'une huître. En plus l'actrice joue mal. Bref à éviter
Après le chef-d'oeuvre The Descent voici Doomsday. Des Clins d'oeil sur pas mal de grand classique cinématographique (Mad Max, 28 Jours plus tards) on se dit, tiens au moins quelque chose de bien solide, surtout avec un réel qui semble passioné. Mais rien n'y fait, dans un sens c'est pas simple du tout. Le film, peut-être divertissant par son action intense après une semaine de surmenage. Mais j'ai accroché sans plus, les acteurs inégaux, la musique parfois franchement ringarde et certaines scènes dignes d'une série TV... L'héroïne sexy peut aussi être prise pour un pastiche de Lara Croft... Vraiment dommage !
Le projet grindhouse de Tarantino et Rodriguez a donné des idées a Neil Marsall.Car il est certain que doomsday rend hommage aux films post-apocalyptique et surtout a Carpenter.La première partie étant filmé comme un vrai Carpenter,et dont le scénario fait clairement référence a celui de NY 1997.Ainsi qu'a tout les films post-apocalyptique produit dans les années 80,comme les guerriers du Bronx et bien évidement mad max.Et comme dans le projet grindhouse le film est truffé d'incohérence et d'idées plus débiles les unes que les autres,c'est très second degré et d'ailleurs très proche des originaux.Si la première heure est parfaitement réussite les 45 dernières minutes le sont un peu moins,le délire médiéval étant le passage de trop.Dommage que doomsday n'est pas fait parti du projet grindhouse,car si le film reste un vrai hommage au post-apocalyptique il n'est aussi bien maitrisé que ceux rendu par Rodriguez et Tarantino.
Bon, il parait qu'il existe un deuxième niveau de lecture dans ce film, un second degré qui permet de l'apprécier à sa juste valeur, et bien désolé mais le seul truc que j'ai remarqué c'est que ma machoire a failli se décrocher devant un tel amas de conneries. J'ai eu du mal à croire que le même gars qui avait réalisé le prometteur "Dog Soldiers" et le puissant "The Descent" puisse nous sortir ça, mais bon... A se demander si l'erreur est que "The Descent" soit si bon ou que "Doomsday" soit une telle daube ? Le scénario est d'une connerie intersidérale : ça démarre comme beaucoup de ces films tel "28 jours plus tard" avec la propagation d'un virus, mais après ça (10 minutes), Neil Marshall lache tout et son film part en sucette.
Une réalisation très mauvaise, baclée, enfin pas autant que le montage qui est absolumetn ignoble - digne d'une série B- avec un découpage des scènes à la tronçonneuse totalement incompréhensible. Ensuite les acteurs, enfin peut-être que le terme de comédiens serait plus juste : une héroîne jouée par Rhona Mitra (habituée aux navets) qui possède tout juste 100 mots de vocabulaire et joue toujours très mal des punks cannibales Malcolm McDowell qui enfile les daubes plus vite que Nicolas Cage (c'est pour dire) en seigneur du Donjon, alors que l'on se trouve au 21° siècle, mais c'est pas grave puisqu'on s'en fout. Le problème du film, c'est qu'il ne donne justement pas l'impression de joueur sur le second degré, au contraire je le trouve trop sérieux pour être crédible ; ce qui n'empêche pas de rire par moments comme avec la scène du barbecue cannibale. Un pur nanar.
Excellente surprise avec un scénario imaginatif : Des punks cannibales, des chevaliers, une poursuite à la Mad Max en Bentley. N'invente rien mais recycle bien! Pour amateur des série B des années 80.
Encore une fois je met 5 étoile à ce film. En effet celui ci ma permis de faire quelque chose que la plupart de la population mondiale ne fait pas à savoir se nettoyer les yeux avec de la javel, mais je vous rassure la javel ma moins piquer les yeux que ce mélange effarant de bètise avec une mention spéciale à ce moment culte ou des punks sur une musique festive du meilleur gout se prennent l'envie de faire un barbecue humain alors qu'au début du film on voit des dizaine de vaches. A voir absolument dés lors qu'on est masochiste ou qu'on est atteint de gastro et que le vomit a du mal a venir.
Si l'on a pu penser que le succès de "The Descent" était du au talent de Neil Marshall,appartenant à la jeune garde du cinéma horrifique britannique,force est de constater qu'il n'est qu'un faiseur de plus,surtout après avoir vu "Doomsday".Cette sorte de SF apocalyptique pompe carrément les meilleures idées de Mad Max,New York 1997 et 28 jours plus tard,pour en faire un melting-pot d'action décérébré,et faisant des invraisemblances son cheval de bataille.Comment expliquer autrement que l'on passe sans transition d'une plongée dans l'univers des punk hardos,puis dans le moyenâgeux guerrier et dans le high-tech.Aucun sens,ou plutôt un tas de contresens,qu'il n'est pas possible de faire passer,même sous couvert d'un divertissement soi-disant fun et orienté ado.Rhona Mitra,connue surtout pour avoir prêtée ses traits à Lara Croft(en jeu vidéo)est somptueuse dans son legging noir et son débardeur,mais inexpressive et énervante de fadeur.On sent l'hommage écrasant de série B fameuses,mais il n'y a aucune maîtrise technique,et on verse plus souvent qu'à son tour dans le gore gratuit.Idiot et méchant.
un mélange des styles assez osé, entre " Mad Max, Ghost of Mars et Resident Evil " le film tient la route grâce à son coté sanglant et prenant à souhait
Honnêtement, j'ai eu du mal à rentrer dans Doomsday. Une histoire vue et revue de virus qui fait son apparition en Écosse et qui transforme tout le monde en sorte de zombies. Là dessus, on embauche l'ex Lara Croft d'Eidos, qui a perdu sa mère étant jeune, pour retourner en plein territoire ennemie à la recherche d'un vaccin. Bon, déjà j'ai trouvé Rhona Mitra limite antipathique dans ce film, en tout cas pas très bonne actrice, assez monolithique, même si esquisser quelques larmes à la fin comme elle le fera a du être bien dur pour elle. Un aspect de ce film qui justement a été négligé à mon sens, c'est spoiler: la disparition de sa mère. Est-elle morte ? A-t-elle survécu ? SI oui, où est-elle ? Mystère . Aspects négligés et quelques incohérences. Une voiture tunée qui débarque comme ça, un commando à qui on envoie trouver un remède alors qu'on ne sait même pas s'il y en a un. Bref, de l'autre côté du mur, il y a tout de même une ambiance post apocalyptique parfaitement bien rendu composée uniquement de tarés. On se croirait vraiment dans Mad Max ou le jeu vidéo Fallout avec les raiders. Puis, on passe à un château en plein moyen-âge sans toutefois qu'on prenne le temps de souffler. Les scènes d'action sont nombreuses et les scènes gores (décapitations et autres joyeusetés) abondent. C'est mon avis général sur ce film : âme sensible s'abstenir, ça peut surprendre.
Une petite version de l'Angleterre post-apocalyptique, ça vous dis? Âmes sensibles s'abstenir car si vous n'avez jamais gouter au gloubiboulga de Casimir vous assisterais ici à un melting pot d'incohérences totalement divergentes de crédibilité. Le pays séparé en deux parties par une muraille géante et tandis que la moitié voit sa population décimée par un virus à la souche inconnue comme s'est souvent le cas dans ce genre de film, l'autre moitié se retrouve manipulée par un politicien véreux en manque de fric. On ne sais pas comment le mur a été construit avec une telle pagaille ni comment des gens ont pus survivre dans un pareil cahot, mais il y en a et ils ont subit de drôles de métamorphoses. Des skin head détraqués en passant par les chevaliers de la table ronde sur décor moyenâgeux: là on y est! c'est du grand n'importe quoi. L'état primaire de l'homme s'entrecroisant avec la technologie moderne, voila qui semble peu reluisant. Même si les influences de Neil Marshall pour la réalisation de ce film sont évidentes (pour ne pas citer Mad Max ou encore 28 jours plus tard) la tambouille n'est pas une totale soupe à la grimace, loin de là; ça en est même très amusant de voir toutes ces têtes volées à l'emporte pièce dans un bain de sang. Se qui est dommage est d'avoir fais passer l'action en priorité au détriment d'une histoire cohérente, mais telles étaient sans doute les intensions du réalisateur. Si l'on assume de laisser sa conscience de côté, Doomsday peut nous faire passer un bon moment dans l'humour, l'action, le sang et bien sur la bonne dose de second degré qu'il ne faut surtout pas oublier, sans quoi le film passe direct du côté nauséabond des navets internationaux. 3,5/5