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Shelby77
164 abonnés
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1,5
Publiée le 27 juillet 2017
◦Critique de "Doomsday". Aïe aïe ce film est une grosse arnaque. Je pensais regarder un film post apocalyptique mais en fait je regardais un mélange foireux de 28 semaines plus tard , Mad Max, Seigneur des anneaux, Gladiator, L'armée des 12 singes et peut-être encore bien d'autres. On nous présente une histoire de virus au départ intéressante mais qui part totalement en vrille par la suite. Le réalisateur ne s'est pas cassé la tête il fallait se distinguer des autres films dystopiques alors il n'a rien trouvé de mieux que de faire du réchauffé. Au final c'est un film brouillon même s'il y a de l'action non stop. 1,5/5
Le scénario très intéressant nous plongent dans plusieurs univers à la fois mais tout en gardant de la crédibilité a savoir "moyen-âge" "apocalypse" course genre "mad max" .On reste tout de même sans voix pour toutes les plans "paysage" , on aperçoit la ville ou l'étendu d'une surface rongé par la guerre ou le chaos.ces images sont toujours spectaculaire et la qualité est au rendez-vous.Pour l'actrice c'est un nouveau style , ça me fait pensé à resident evil mais chacun se fera sa petite idée.
Très souvent, on critique les films qui affichent clairement leurs références. Doomsday n'échappe pas à la règle. Très critiqué par la presse et le public, le nouveau film de Marshall se détache du genre horrifique pour nous montrer sa vision de l'apocalypse. Gavé de clins d'oeil, notamment NY 1997 ou bien encore Mad max, Doomsday est un film de SF futuriste comme il en existait dans les années 80. On ne s'ennuie pas, les effets sont convaincants. Alors pourquoi tant de critiques ? Peut être parce qu'on attendait trop Marshall dans l'horreur avec un nouveau genre. IL a préféré rendre hommage.
Pour les amateurs du genre qui apprécieront, les autres s'abstenir. Quel genre ? le genre Mad Max et autres New York 1997 dont il reprend les canons anarchiques, version féminine et version dernier avatar côté violence (+12 ans justifié). Nous revoilà plus de 20 ans en arrière, y compris pour la bande-son. Inutile de chercher un scénario, inutile de relever incohérences, inconsistances ou invraisemblances, tout est dans l'action. Le décor est plus moyenâgeux kitsch que futuriste, quelques détails veulent donner dans l'originalité comme l'oeil amovible mais c'est du plaqué. Le sujet ; un monde futur décimé par un virus, n'est qu'un prétexte pour mettre en valeur l'héroïne, tout à fait regardable d'ailleurs. Un cinéma "old fashion" qui n'a rien à voir avec les derniers films sur un sujet similaire comme 28 semaines plus tard ou Je suis une légende. Rhona parcoure le film sans faiblir, toujours très propre sur elle et très glamour, elle enchaîne les rôles typés à la Lara Croft et le fait bien, ne pas en demander plus. Du pur, du dur, du rétro dopé à l'hémoglobine, du jubilatoire pour certains, les autres passeront leur chemin.
excellent film malgré certaines scénes un peu débiles est peu réaliste.comme le moment ou la voiture fonce dans le camion est la voiture est méme pas abimée ni cabossée,sinon dans l'enssenble le film est bien foutu est le scénario est bien ficelé.est qu'elle bonne idée d'avoir inclus un morceau phare de frankie goes to hollywood ah oui c'est excéllent ca donne un plus a la course pourssuite du film,bréf un trés bon film a voir malgré les défautls du film.
"Doomsday" est l'exemple parfait du film pas prise de tête, qui divertit avec une grande efficacité, et de façon réussie. De l'action décoiffante tout au long du film, c'est tout ce qu'on lui demandait à ce film, et on n'est pas déçu.
Un film à ne surtout pas prendre au sérieux, qui finalement ne fait qu'accumuler des idées piquées à droite à gauche, allant de "Mad Max" à "28 jours plus tard", en passant par "Absolom 2022" ou encore "Land of the dead". Cela reste un bon divertissement, même si on se prend à rire de temps en temps, à des moments où le réalisateur n'aurait sans doute pas prévu que ça soit le cas... En tout cas ce film n'a rien à voir avec l'opression et malsain "The Descent," dernier succès de Neil Marshall.
Jouissif. A condition de se mettre en condition (brain off) on ne peut que se délecter d'un spectacle aussi furieux et décomplexé. L'intrigue éculée, prévisible et pour tout dire très Z ne sert vraiment (et volontairement) que de prétexte à un déchainement de scènes d'action et autres délires barbares. La réalisation est assez bonne, belle photo, découpage parfois bordélique sur la fin (ce qui finalement ne gêne pas trop car c'est en phase avec le bordel ambiant) mais globalement on est submergé et comblé par le dynamisme.
Bref c'est con mais ULTRA FUN, Rhona Mitra a la MEGACLASSE et ça fout une banane terrible !!
Un grand n'importe quoi ce film ! Ca commence comme 28 jours plus tard, ça s'oriente vers un Resident Evil, et finalement le film trouve son genre particulier. On passe d'une ambiance punk (avec spectacle en musique!) à une ambiance moyenâgeuse et on finit par une course poursuite en Bentley ! Vraiment étonnant comme résultat, je lui met 3 étoiles pour son audace.
Après le joli succès de The Descent, le Britannique Neil Marshall change de registre et délaisse l'horreur pour le film d'anticipation apocalyptique inspiré par les films post-nuke des années 80. Le touche-à-tout se voit donc nanti d'un bon petit budget pour mettre en scène ce film d'action à peine futuriste où une sexy agente du Ministère de la Sécurité Intérieure a pour mission de s'infiltrer dans une ville d’Écosse mise en quarantaine depuis des lustres afin d'y trouver un éminent scientifique capable de trouver un antidote au mal qui a rongé le pays et l'a fait sombrer dans le chaos le plus total... C'est une évidence, le scénario n'a rien d'original et s'avère même bigrement classique et prévisible, se claquant indubitablement sur celui de New-York 1997 avec cet agent (cette fois-ci féminin) intrépide, borgne et sans attache qui va se jeter dans la gueule du loup pour le gouvernement et se friter avec la crème des dégénérés de la ville. Un pitch que l'on pourrait qualifier de quasi-plagiat mais qui reste néanmoins plaisant, le metteur en scène n'hésitant pas à faire couler le sang afin de maintenir le spectateur en éveil... Ainsi, les nombreuses scènes d'action s'avèrent bien menées autour de ces décors délabrés, de cette ambiance dégueulasse et de cette populace effrayante constituée de punks sado-masos et cannibales ainsi que, plus tard, une véritable civilisation moyenâgeuse. L'interprétation est également sympathique avec en tête d'affiche la bomba montante Rhona Mitra sans oublier les vieux de la vieille Malcolm McDowell et Bob Hoskins et les habitués du réalisateur Craig Conway en leader punk excentrique, Sean Pertwee, Darren Morfitt ou encore MyAnna Buring. Ainsi, malgré un manque évident de personnalité (le film emprunte autant au film culte de Carpenter qu'à Mad Max 2 pour son univers post-nuke et sa course-poursuite finale), Doomsday s'avère être une bonne série B pas révolutionnaire pour un sou mais suffisamment bien rythmée et sanglante pour être un spectacle tout à fait réjouissant.
Le cinéma serait-il nostalgique ? Le métrage-hommage de Neil Marshall se sépare en différentes parties, ayant chacune sa référence. La première heure renvoie explicitement au génial New-York 1997 de Big John (mais aussi d’ Assaut et d’une multitude de post-nukes). La superbe Rhona Mitra, l’héroine, hérite du (sale) caractère de Snake Plissken et de son "charme", puis évolue avec sa troupe dans un Glasgow sombre, insalubre et anarchique qui renvoie à beaucoup de similitudes au New-York du film original. Ce qui va jusqu’à influencer entièrement les décors, la photographie, et même la Bande-Originale géniale de Tyler Bates, très fidèle aux envolées au synthé dans cette première partie.
La seconde partie, visuellement époustouflante, joue sur les plaines omniprésentes et les décors médiévaux si chers à cette vieille Ecosse. Ainsi, nos héros se retrouvent propulsés tout droit dans l’univers d’Excalibur, dirigé par un Malcolm McDowell que l’éclairage parvient à rendre parfois imposant face aux soldats perdus dans un univers sans raison qu’ils ne pourront jamais comprendre. La B.O devient épique, rappelant au passage celle de 300 que Tyler avait déjà composée.
Enfin, la dernière partie se concentre principalement sur la célèbre saga Mad Max. Ainsi nous avons le droit à une course-poursuite violente à faire baver les fans de la trilogie. Niveau musical, ça se lache, allant de pair avec une mise en scène aussi furieuse que les bolides.
Donc en bref, Doomsday, c’est quoi : une pure Série B totalement jouissive et bourré de références, qui ne cherche jamais à atteindre le réalisme et l’émotion de 28 Semaines plus tard (exemple parfait dans le genre du film de virus), mais qui préfère au contraire servir sur un plateau ces clins d’oeil cinéphiles et passionnés, qui en feront sûrement bander plus d’un. Sérieusement, il y a des jours où c’est bien d’être geek.
Comme ce film sent bon les films des années 80 ! Un mix de Mad Max pour les courses poursuites en voiture et les zones dévastés, du Evil Dead 3 pour les anachronismes de bon goût ^^ ! Un film d'adrénaline pur et qui ne redescend pas jusqu'à la fin. Une actrice So Sexy ! qui nous fait saliver au moindre de ses gestes :p Une réalisation trés explosive et qui remplace un scènario pratiquement totalement absent. Fin bref, vous l'avez compris, ce film est a prendre strictement au second degrès pour vraiment prendre du plaisir !
Pas mal du tout. Je pense que ce film est assez difficile à juger car on se demande parfois pourquoi certains passages sont autant baclés (jeu des acteurs, musique, stéréotypes, exagérations, ...). Puis on commence à se dire que le réalisateur en a fait exprès et là, le film prend une autre tournure et en devient même marrant. Je ne pense que tout le monde puisse l'apprécier. En tous cas, à prendre au second degré.
Pourquoi avoir fait un tel film qui est un gros mélange de Mad Max, zombies, New York 1997, une dose de médiéval grotesque et de féminisme ambiant assorti d'un soupçon de militarisme bon teint et j'en passe. Ce n'est certes pas très mauvais mais c'est un agglomérat de décadence populiste assumée tel le notant qui met 5 étoiles parce que c'est extraordinairement merdique. Ce jugement dernier attend bien tout ceux qui n'abandonneront pas les malfaçons humaines dont ce film nous fait un étalage conséquent. A un moment on semble s'extasier devant une voiture clinquante, là c'est une belle démonstration de vice saugrenu qui se veut en fait juste consensuel. Mais dans ce film pas de demi mesure c'est bien le reflet de modes assemblées non pas pour du second degré mais pour une sorte de démonstration miroir, par miroir j'entend relativement inconscient et confuse, du titre lui même. Et le virus c'est juste l'une des trompettes qui sonne et le cavalier qui répand une mort terrible pour tous ceux qui n'auront pas de rédemption. Pour ceux qui ne sont pas familier avec l'anglais doomsday signifie le jour du jugement dernier.