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senedev
3 abonnés
164 critiques
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2,5
Publiée le 6 août 2009
Ca aurait dû être classé -16 !
Alors là, 2 sentiments: répulsion et admiration !
Ce type est un dingue : il ose aller chercher les plus homophobes sur leur terrain (militaires, catcheurs, pasteurs, chasseurs, politicien républicain, ménagère de - 50...) ...
Tous ces pauvre gens se sont retrouvés devant sa caméra probablement sans savoir à quelle folledingue ravagée ils auraient à faire.. et ils réagissent parfois de façon hallucinante : faut voir le casting de gamins où des parents acceptent que leur enfant joue avec le phosphore simplement pour le chèque ! ... bon ça c'était l'admiration
Côté répulsion, un gros plan de sexe que j'ai trouvé complètement inutile et "hors sujet", et la scène de partouze dont il aurait dû ne cadrer que des tronc... il y avait des gamins dans la salle ! Et le drame du conglit Israelo-Palestinien est trop grave pour qu'il joue avec ça comme il l'a fait
Comme dans Borat où il triturait la xénophobie et le nombrilisme de certains milieux américains, Sacah Baron Cohen s'est attaqué ici à l'homophobie, à la faire apparaitre chez ceux qui la cachent le mieux. Un grand film... mais pas pour tous les âges
Malgré quelques passages à vides, Brüno reste dans l'ensemble un film totalement délirant qui nous prouve que Sacha Baron Cohen vient d'une autre planète. En attendant son prochain film...
L'un des films les plus drôles que j'ai vu au cinéma, j'en pouvais plus, si j'ai détesté l'apparition de SBC dans Sweeney Todd, car son personnage était un peu trop lourd pour le film, j'avais bien aimé Borat même s'il était un peu lourdingue sur la fin, là je m'attendais à rire de temps en temps, mais dès les premières minutes j'étais plié, et je me suis relevé qu'à la fin de l'heure vingt du film. Je dirai même pas que c'est du cinéma, mais c'est tellement con et drôle et osé, et les situations dans lesquelles il se met volontairement sont absolument énorme.
Le problème avec ce type de film c'est qu'on ne sait pas ce qui est mise en scène et ce qui est "vrai".D'où un certain scepticisme puis ennuie face à des scènes assez répétitives.Décevant même si on sourit parfois.
Que retenir de Brüno ? Alors oui, quelques scènes sont assez hilarante, mais de là à mettre une bonne critique ce ne serai pas logique. C'est avant tout très puéril, on est à la limite des 10 commandement version Gay. C'est le genre de film qui fait regretter de payer 9 euros la place. Tout ça pour voir une sorte de bêtisier qui retrace une partie de la vie d'une folle disjonctée. Alors ceux qui me diront que j'ai pas d'humour, je leur répondrai qu'il est bien plus subtil. Brüno fait partit de ces films qui se résume en trois mois : Inutile et sexuellement débile. Je laisse une petite étoile car malgré tout, quand la stupidité atteint son apogée, elle fait rire quelques fois...
Même si le propos et les messages délivrés sont essentiels, s'y prendre de cette manière est-elle efficace? J'en doute ! Nous sommes au delà de la caricature avec ce personnage déjanté! Même si Bruno me faisait de la peine, j'ai eu envie à certains moments de lui jeter des briques tellement il était insupportable. On ne s'attache pas à lui alors comment le plaindre et voir le message délivré derrière tout ce cinéma. A en faire trop, on en perd l'essentiel. Mention spéciale à une scène : celle où Bruno perd son fils sur un plateau TV ! La seule qui fait réfléchir sur l'amour qu'un parent apporte à un enfant quelque soit sa sexualité et/ou son incapacité à élever cet enfant. En bref, un film brouillon où tout n'est pas à jeter !!
Si vous voulez rire pendant 1h30, allez voir ce film complètement barré! Certaines scènes sont tellement incroyables qu'on se demande encore comment Sacha Baron Cohen est encore en vie!!
Ce film représente des clichés grotesques et sa version VF n'améliore pas la situation. Je m'attendais à mieux mais le meilleur reste dans la bande annonce.
Après Ali G (2002) & Borat (2006), Sacha Baron Cohen endosse une fois de plus le costume d’un de ses personnages fictifs (créer à l’occasion de son émission "Da Ali G Show"), après le rappeur déjanté et le reporter Kazakh, le voici grimé en styliste gay Autrichien qui après une faute lourde se retrouve licencié et décide donc de repartir à zéro aux Etats-Unis afin de devenir célèbre ! Brüno est une incroyable comédie, accumulant sans cesse les gags les plus osés, les plus scato et politiquement incorrecte. La connerie humaine mis sur le devant de la scène avec des Américains encore plus vrais que nature, cela en devient même flippant. On se souviendra longtemps de la séquence où LaToya Jackson, sœur de Michael Jackson, s’assoie sur un Mexicain en position tabouret, de l’émission télévisée où Brüno fait croire qu’il a échangé son Ipod contre un enfant Africain, du club échangiste qui vire à la catastrophe ou encore du combat de boxe entouré d’homophobes, bref, Sacha Baron Cohen ne nous épargne rien (âmes sensibles ou enfants s’abstenir !!!), il dépeint une Amérique ridicule et affligeante. Drôle à s’en dévisser la mâchoire, Brüno se moque de tout et sans aucune retenue, nous on en redemande !!!
Nul de chez nul! Une honte, scandaleux, vulgaire, pornographique, homophobe.... Et surtout pas drôle! Je ne cache pas que 2 ou 3 scènes m'ont fair sourire mais comparé à celles qui m'ont donné envie de vomir ce n'est rien du tout....
Moi qui suis gay, ce film m'as dégouté, et je me dit qu'il fait beaucoup plus de mal que de bien à la cause homosexuelle. En sortant de là je comprendrais que beaucoup d'hétéro deviennent homophobe....
Et franchement voir un tel film à 12 ans..... il devrait être interdit aux moins de 18 ans!!!
J'aurais mieu fait de m'écouter moi même au lieu d'écouter mon copain et de pas aller le voir!
Seuls les gags sexuels m'ont fait rire par moment, le reste pas du tout sinon ce qu'il y a d'assez détestable dans ce film comme dans Borat est le fait que Baron Cohen choisit ses cibles avec toujours une grande lacheté, en s'en prenant aux faibles, il trouve ainsi le moyen de plaire au plus grand nombre qui flatté se trouve sans peine plus intelligent. Il s'agit d'une vraie escroquerie, c'est du faux politiquement incorrect, de la fausse satire.