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Redzing
Le pitch de "Cortex" est pour le moins intriguant : un flic retraité, atteint d'Alzheimer, se rend compte que sa clinique ne tourne pas rond. Il essaie de mener une enquête, mais comment organiser ses pensées et être pris au sérieux dans cet état ?
Cependant, Nicolas Boukhrief ne tient pas toutes ses promesses. Le réalisateur parvient à poser une certaine ambiance, avec ce service médical hypocrite qui fait ses messe basses derrière le dos des déficients. Ces patients qui ne retiennent pas grand chose et s'embrouillent. Un médecin froid qui infantilise notre héros. Et celui-ci qui semble voir des choses. Avec en prime un travail périodique sur les éclairages de bel effet.
Mais ça a quand même du mal à nous tenir en haleine. Il faut dire, l'enquête étant menée au rythme d'un malade d'Alzheimer, ça ne bouge pas beaucoup ! Tout ça pour une conclusion finalement assez simple.
Tandis que la sur la forme, il y avait moyen de bien délirer, de jouer avec les décors, de changer des acteurs... un peu comme dans "The Father" (certes, rétrospectivement c'est facile à dire). Mais non, "Cortex" demeure assez sage.
Néanmoins, André Dussolier s'implique dans le rôle, et porte le film sans mal.
Cependant, Nicolas Boukhrief ne tient pas toutes ses promesses. Le réalisateur parvient à poser une certaine ambiance, avec ce service médical hypocrite qui fait ses messe basses derrière le dos des déficients. Ces patients qui ne retiennent pas grand chose et s'embrouillent. Un médecin froid qui infantilise notre héros. Et celui-ci qui semble voir des choses. Avec en prime un travail périodique sur les éclairages de bel effet.
Mais ça a quand même du mal à nous tenir en haleine. Il faut dire, l'enquête étant menée au rythme d'un malade d'Alzheimer, ça ne bouge pas beaucoup ! Tout ça pour une conclusion finalement assez simple.
Tandis que la sur la forme, il y avait moyen de bien délirer, de jouer avec les décors, de changer des acteurs... un peu comme dans "The Father" (certes, rétrospectivement c'est facile à dire). Mais non, "Cortex" demeure assez sage.
Néanmoins, André Dussolier s'implique dans le rôle, et porte le film sans mal.
Flic à la retraite, atteint par la maladie d Alzheimer, Charles (Dussolier) est placé par son fils dans une maison de soins.
Cette immersion dans le monde de la mémoire qui flanche se double d'une intrigue policière. Car, déformation professionnelle, flair de l'ancien policier ou symptôme de paranoïa, Charles se prend à suspecter de meurtres les décès ordianaires des malades. Il enquête dans les couloirs de la clinique et, si l'intrigue en soi n'est pas haletante, son intérêt provient justement du fait qu'on ne sait jamais si les accusations formulées par Charles procèdent d'une raison défaillante ou d'une remarquable perspicacité.
André Dussolier est très bien dans ce rôle d'enquêteur dont les investigations s spoiler: ont entravées par ses pertes de mémoire et par la surveillance des soignants
. Le sujet de ce polar en forme de huis-clos présente quelque ressemblance, lointaine et modeste, avec "Vol au-dessus d'un nid de coucous" en ce sens où Charles, moins atteint que ses congénères et co-résidents, est le seul à lutter, à ne pas subir complètement la maladie. Au-delà du caractère policier du film, le sujet, sans être une étude clinique d'Alzheimer, a l'intérêt, peut-être la vocation, de témoigner des affres de la maladie.
Cette immersion dans le monde de la mémoire qui flanche se double d'une intrigue policière. Car, déformation professionnelle, flair de l'ancien policier ou symptôme de paranoïa, Charles se prend à suspecter de meurtres les décès ordianaires des malades. Il enquête dans les couloirs de la clinique et, si l'intrigue en soi n'est pas haletante, son intérêt provient justement du fait qu'on ne sait jamais si les accusations formulées par Charles procèdent d'une raison défaillante ou d'une remarquable perspicacité.
André Dussolier est très bien dans ce rôle d'enquêteur dont les investigations s spoiler: ont entravées par ses pertes de mémoire et par la surveillance des soignants
. Le sujet de ce polar en forme de huis-clos présente quelque ressemblance, lointaine et modeste, avec "Vol au-dessus d'un nid de coucous" en ce sens où Charles, moins atteint que ses congénères et co-résidents, est le seul à lutter, à ne pas subir complètement la maladie. Au-delà du caractère policier du film, le sujet, sans être une étude clinique d'Alzheimer, a l'intérêt, peut-être la vocation, de témoigner des affres de la maladie.
Un thriller psychiatrique glacé où l’excellent André Dussollier brille dans son rôle de terrible désespéré. Associer enquête avec maladie d’alzheimer est original, le spectateur est roulé dans les équivoques et s’accroche à la recherche de la vérité qui devient de plus en plus inquiétante. Une réussite !
Il n'est pas facile de faire un bon film et il est encore plus ambitieux et difficile pour un réalisateur d'échapper à un genre donné le film policier. Malheureusement Nicolas Boukhrief a échoué dans les deux exercices. Sur le papier Cortex semble prometteur le scénario semble à la fois très intéressant et original avec des personnages potentiellement intéressants à développer. Un flic à la retraite Charles Boyer atteint d'Alzheimer se rend dans une clinique pour personnes âgées et commence à soupçonner des meurtres qui le croira ou est-il en train de délirer. Malheureusement aucune des promesses n'a été tenue. André Dussollier est un grand acteur et il interprète très bien ce flic retraité perdu mais il n'arrive jamais à être convaincant en tant que personne atteinte d'Alzheimer. Nicolas Boukrhrief choisit de filmer des scènes sans intérêt et ne donne jamais aux seconds rôles l'occasion de développer leurs personnages. Nous assistons à une succession de scènes sans émotion explorant des myriades de thèmes. Nicolas Boukhrief aborde de nombreux sujets afin d'échapper au genre du thriller. La retraite, la maladie d'Alzheimer, la relation père-fils et les relations professionnelles dans le milieu médical tous ces thèmes sont abordés. Le problème est qu'aucun de ces thèmes n'est exploré en profondeur ils sont tous jetés dans l'histoire superficiellement...
Un film ou je suis complètement entré chaise car il y a des scènes intéressantes et d autres qui sont mollassonnes
Malgré la composition d'André Dussolier, épatant de sobriété comme à son habitude, et d'un point de départ qui promettait pas mal, le film ne parvient jamais à vraiment décoller, la faute à un scénario bien trop convenu et un rythme qui se rapproche quand même plus de "Derrick" que de "Seven". Un thriller végétatif, donc pas vraiment palpitant!!
J'ai regarder se film en DVD 3 fois et à chaque fois j'adore le suspens . André dussolier et superbe dans se rôle. Je recommande
Un bon scénario et une excellente interprétation mais un film qui manque de rythme et de subtilité. Je suis allé voir ce film car j'avais beaucoup aimé le précédent film du réalisateur (« Le Convoyeur ») mais celui-ci est nettement moins bon.
Si l'on accepte au départ qu'un malade d'Alzheimer est capable de réflexion, alors ce policier saura vous séduire.
Le scénario est simple et vous mène gentiment vers la fin, qui était prévisible. Il n'y a pas de gros suspense mais de voir l’enquêteur se battre contre sa mémoire, et les faits, est agréable à suivre.
Ici, vous ne verrez pas d'action. Tout se déroule à son rythme, lent il est vrai mais telle doit être la vie dans ce genre d'établissement.
A voir par les amateurs de policier
Le scénario est simple et vous mène gentiment vers la fin, qui était prévisible. Il n'y a pas de gros suspense mais de voir l’enquêteur se battre contre sa mémoire, et les faits, est agréable à suivre.
Ici, vous ne verrez pas d'action. Tout se déroule à son rythme, lent il est vrai mais telle doit être la vie dans ce genre d'établissement.
A voir par les amateurs de policier
une enquête dans une clinique qui donne l'impression d'ouvrir un roman de Thomas Cook, la pape américain du thriller médical. L'intrigue elle même ne casse pas 3 pattes à un canard mais suffisamment quand même pour qu'on s'y intéresse. En fait "cortex" repose sur les épaules d'André Dussolier, policier à la retraite qui intégre la dite clinique car il souffre d’Alzheimer ce qui est moyennement pratique pour trouver le coupable. Il est également entouré d'une brochette de seconds rôles assez savoureux et l'ensemble se suit avec plaisir sans en faire un grand film... 3 / 5
ManoCornuta
Le film a un atout dans sa manche: André Dussollier, toujours impeccable. Et beaucoup de défauts par ailleurs, à commencer par une histoire très mal gérée à mon sens, de par son absence de rythme véritable, sa tension inexistante, ses seconds rôles inconsistants (même parmi ceux qui jouent les autres malades). Cortex est une tentative certes louable d'offrir un peu autre chose dans le domaine du polar, le problème est qu'il s'y prend de façon beaucoup trop maladroite et éthérée pour espérer s'en sortir. On se laisse bercer par la langueur du film, sans même se secouer à l'approche du final, qui ne surprend guère. Le sujet promettait beaucoup de choses, mais a été hélas caviardé. Dommage.
Rarement vu une bouse pareille ! Digne d'un mauvais film d'horreur ! Ca joue mal, le scénario est bidon, l'ambiance hôpital psy est ridicule à voir et franchement j'ai vécu un sacré moment de solitude ! Je ne sais pas ce que Dussolier est allé faire dans un navet pareil ? je préfère en rire qu'en pleurer mais franchement c'est un des pire film que j'ai vu.
Roub E.
Le pitch de base est intéressant, le film est assez moyen. Si tout ce qui touche à la maladie d'Alzeihmer est assez intéressant avec cet ancien flic touché qui se retrouve dans une clinique spécialisée, le côté thriller lui est assez moyen, le suspens ne prend pas réellement. La photo est assez pauvre et donne un côté téléfilm malvenu. Pas exceptionnel mais vraiment pas désagréable à regarder.
L'excellente prestation d''André Dussollier et un scénario au cordeau sont les points forts de ce film.
pierrre s.
Prenez Vol au-dessus d'un nid de coucou, ajoutez-y un peu de Shutter Island, mélangez le tout avec une sauce "téléfilm pour TF1" et vous obtenez Cortex. Un polar lent, répétitif et donc raté.
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