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landofshit0
278 abonnés
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1,0
Publiée le 21 janvier 2008
Un film digne des grands téléfilms de france 3,tellement l'image n'est pas travaillé ni inventive.Un film sur la première fois,qui ne fait rien ressortir de plus que ça.On suit une bande d'ados dont la seule préoccupation est la première fois.On ne retiens rien,si ce n'est que tout le monde est passé ou passera par ce stade d'émotions et ce genre d'inquiétude.Film très moyen il faudra encore travailler dur si la réalisatrice veut capiver son plublique.
"Et toi, t'es sur qui ?" (2007) RTBF le 22.05..2017
"Et toi, t'as voulu faire comme papa ?" pourrait-on titrer au sujet de Lola Doillon, fille du réalisateur, dont c'est le premier long métrage... Dans son film, il y a du bon et du mauvais. Le bon, c'est Lucie Desclozeaux et Christa Théret, les actrices si mignonnes qui jouent avec un naturel touchant l'histoire de leur sexualité naissante, l'éveil de la vie et de l'envie de la donner, le passage si difficile de l'enfance à l'âge adulte. Elles commencent à se sentir belles et désirables et découvrent leur pouvoir de séduction : le jeu de l'amour et du hasard... Le mauvais, c'est tout le reste. A commencer par le titre bébête et peu accrocheur, peut-être même vulgaire si on le prend au premier degré comme les sucettes à l'anis de France Gall ou plutôt Gainsbourg... Puis le. générique : une tentative d'originalité mais ratée. En tout cas aussi broulllon que le film lui-même. Lola Doillon, réalisatrice et dont c'est la première mise en scène, n'a pas écouté ce conseil de Gabin : "si t'as une bonne histoire, t'as un bon film. Or, si l'amour est, a été, et restera toujours un thème de prédilection pour les réalisateurs de film, le scénario pondu par Lola Doillon est catastrophique : aucun talent de plume ! Elle confond amour et yoga et c'est nous qui restons confondus ! C'est long, c'est mou et on se demande ce qu'on fait devant ce bête écran, grand ou petit On ne ressent pas du tout les premiers émois que l'on a éprouvés devant ce bipède tout jeune du sexe opposé, et qui déclenche en vous d'étranges impressions : inquiétants mais si délicieux. "Age tendre et tête de bois" : une merveilleuse expression pour traduire la beauté des sentiments juvéniles. J'y ajouterai "Et la tendresse bordel" étonnamment absente avec Lola Doillon. Son film n'a pas fait Boum comme le film du même nom, bien plus et mieux construit. Même pas 100 000 entrées en salles : un bide, mais au fait, a-t-il été distribué ? On peut dire de ce premier long métrage de la réalisatrice que c'est comme faire l'amour la ,première fois bien souvent : "c'est raté !" willycopresto
J'ai beaucoup aimé ce film, scénario qui pourrait éventuellement faire penser à des navets américains (american pie and cie…) mais il n'en est rien, le film est plus subtile, il décrit l'adolescence avec une certaine justesse, les dialogues sonnent vrai, les acteurs sont bien dans leur rôle d'ado pas toujours très bien dans leur peau, on peut être troublé par des situations qui semblent très vraie et presque vécue… Le film ne tombe dans aucun stéréotype, il n'accable personne, il se contente d'être vrai.
une réalisation fluide et élégante, un casting prometteur, mais un scénario un peu banal bien qu'attachant...une réussite et un bon petit film sans prétention. sympa.
D'une surévalution assez grostesque, Et toi t'es sur qui ? parle des ados, et plutôt bien. Si le portrait est assez correct, c'est le fond qui dérange. Miroir d'une génération consternante et préfabriquée, totale esclave du progrès, du monde de l'image. Actuellement, on couche pour la première fois parce que ça semble un impératif, pour "faire bien", comme un diplome sur son CV de futur(e) lycéen(ne). Inadaptés aux sentiments, ces djeun's vivent des relations superficielles et à l'heure de l'internet (symbôle d'ouverture infinie sur le monde) restent cloisonnés sur eux-mêmes. En se disant les choses par SMS, MSN ou un écouteur MP3 à l'oreille, ils ne ressentent plus rien. Même ce si puissant sentiment qu'est l'amour, ils l'ignorent. Ils ne voient que le sexe, et par conséquent le regard postérieur des autres sur eux. Dirigée et éduquée par l'image tacite du sexe (notamment par l'utilisation des codes pornographiques dans la publicité), la jeune génération en oublie sa raison fondamentale. D'ailleurs, les scènes montrant cela s'avèrent très réussies car c'est un désastre, presque répugnant. Et lorsque l'on repense au Péril jeune, où les protagonistes débordaient d'amour et de complicité, on est d'autant plus écoeuré par Et toi... De maladresses en naïveté, Doillon renvoie, de façon involontaire, le reflet d'une adolescence qui suscite tout sauf l'envie de remettre ses vieux jeans larges.
C'est assez amusant, j'ai vu il y a peu "American Pie", et le film "Et toi, t'es sur qui ?" reprend un peu la même intrigue : la perte de la virginité. Ici, il ne s'agit pas de 4 copains, mais de 2 copines qui se font ce "pari" : perdre sa virginité dans un laps de temps relativement court. Bien sûr, le traitement est différent (ici, cela se veut plus réaliste), mais je préfère vraiment ce film. Je ne comprends d'ailleurs pas les critiques si négatives des utilisateurs, le film est pas parfait, certes, mais c'est un premier film plutôt réussi. Il y a plein de petites bonnes idées, les personnages sont touchants, c'est pas des débiles (comme dans American Pie), c'est des jeunes, et on peut se reconnaître en eux (enfin, dans une époque passée pour moi, mais bon, m'voyez quoi). C'est un film qui peche un peu dans sa fin, mais qui a le mérite d'essayer de retranscrire le mode adolescent avec un regard tendre et juste.
Ce film est vraiment trop naze. Heuresement que je n'ai payé ma place que 2 euros. Les acteurs jouent mal, l'histoire est vraiment nul. Je deteste ce genre d'histoire. En plus c'est un film de jeunes qui parlent pas francais. Ils pensent parler francais mais non. C'est insuportable. Par contre j'ai bien aimé la musique. Et c'est bien la seule chose que j'ai aimé!!
Film bancal où Julie Desclozeaux sort, seule, vraiment du lot des ces jeunes comédiens loin d'être mauvais mais qui fournissent le minimum syndical de ce que leur jeune âge leur permet d'exprimer. Cependant c'est plus vers une direction d'acteurs légère qu'il faudrait se tourner car l'on sent le potentiel de chacun lors d'un autre long. L'histoire se veut représentative d'une génération ado et pourtant, seule reste l'impression de scénes théâtrale jouées dans l'apprentissage. Les dialogues autant que les situations sonnent faux avec d'abracadabrantes relations. La mise en scène est passable et le manque de rythme (souvent décousu) reste présent constamment. On en ressort, vide, certes parfois touché, mais avec un goût râté de par le sujet rarement abordé hors comédie "babane boeuf" que les écrans français nous délivrent depuis des années...
CE FILM N’A AUCUN INTÉRÊT malgré une idée intéressante (se résumant par son titre) et une mise en scène en retrait et toute en pudeur vis-à-vis des comédiens débutants. La répétition mécanique des mêmes scènes de drague énerve vite. Comment ces adolescents peuvent-ils se lancer dans leurs histoires de dépucelage sans en savoir plus avant sur comment faire et comment se comporter ? A l’époque d’internet en plus ! Ces jeunes n’auraient-ils aucun repères culturels sur leurs préoccupations ? Ne penseraient-il qu’à faire ça ? Est-ce cela que voulait montrer Lola Doillon ? Mon dieu les jeunes d'aujourd'hui eraient-ils encore plus incultes que lorsque j’avais leur âge ?
Enchainement sans fin de situations stéréotypées dans laquelle des ados interprétés par des têtes à claques et comédiens particulièrement mauvais tentent tant bien que mal de sauver ce qu'il reste d'un film prétentieux et dans lequel je ne me suis pas reconnu. Ce qui est sauvé ? Le spectateur qui s'est penché sur le DVD dans son vidéo club et qui l'a sagement reposé à sa place, là où il mérite de prendre la poussière. Et ce qui ont souffert, c'est nous : les amoureux de cinéma. Je ne garde aucun bon souvenir de ce visionnage, au contraire, plutôt de très mauvais ce qui est rare. En général, quand un film est mauvais, je l'oublie et puis je passe à autre chose. Là par contre, le film de Doillon m'a mise en colère et je m'en souviens bien. On nous a fait des promesses qui n'ont pas été tenues. Merci.
Les adolescents et le sexe ou comment devenir un homme ou une femme aux yeux des autres par l'intermédiaire du sexe en 2008. Lola Doillon pour son premier film se frotte a un sujet qu'elle semble mal connaitre, l'histoire se résume à qui le fait avec qui et pourquoi, c'est tout. Les ados de Lola Doillon se ressemble plus ou moins tous et semblent avoir une vision et une réaction unique sur cette fameuse "première fois". Cette réalisation joue la carte du réalisme ce qui en soit est une bonne idée, le problème c'est qu'en jouant sur le réalisme il faut éviter la caricature et là on est en plein dedans du début à la fin. Pour ce qui est des acteurs, en dehors de Christa Theret, le jeu est très pauvre (les dialogues le sont tout autant). Il ya a bien quelques bonne idées par-ci par-là mais sans plus. A noter que ce film a été nommé aux césars 2008 dans la catégorie " Meilleure première œuvre", les premières œuvres étaient elles si pauvres et rares cette année là ?
Il me semble que Lola, en digne fille de Jacques, a parfaitement su saisir les états d'âme de la jeunesse de ce début de siècle. Ce désir de paraître plus important que d'être ; ce besoin de brûler les étapes (il faut fumer à 10 ans, fumer des joints à 13 et baiser à 15 sous peine d'être ringard) ; cette difficulté à s'affirmer qui se traduit par des comportements extrêmes ; cette difficulté à avoir des relations vraies.
Frais, tendre, le film ! Un peu de Boom, un peu de Diabolo Menthe, un peu, beaucoup de tchache actuelle de sa race de djeuns pas mal, comprendo nothing de temps en temps, surtout les sous-titres en dehors de l'écran, peu-être un jour in second life, à la télé ! Quoi, analfabete, Joyce ? Cela dit, on oublie le film aussitôt sorti, malgré la jolie brochette d'acteurs, tous répétons-le, au diapason de la fraîcheur !