anonyme
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2,5
Publiée le 17 mars 2007
Angel est d’abord une rêveuse pleine d’imagination qui en croyant fortement en son talent d’écrivain arrive à réussir. Ses romans qui se vendent très bien lui permettent de réaliser ses rêves de gloire, de richesse et de s’offrir un château. Egalement, le succès de ses livres qui la transporte d’avantage dans son imaginaire, peut lui permettre d’ordonner sa vie dans une réalité idéalisée. Mais le conte de fée s’arrête lorsque des bouleversements comme l’amour qu’elle croit trouver ou la guerre vont obscurcir sa vision angélique de la vie…A vrai dire même si le propos du film n’est pas mauvais et la personnalité d’Angel n’est pas aussi antipathique que cela pour ne pas pouvoir s’y attacher, le film est décevant pas une mise en scène trop académiques et des décors trop kitch. Toujours question de subjectivité, je n’ai pas du tout aimé l’esthétique des décors et j’ai trouvé laid les tableaux du mari d’Angel qui malgré tout passe dans la postérité alors qu’Angel termine dans l’oubli.
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 17 mars 2007
Ozon a osé ! Il faut vraiment être fan du mélo (ou de Ozon) pour apprécier ce film. On peut lui reconnaître quelques beaux costumes, un peu de musique agéable, mais est-ce suffisant pour faire un bon film. L'idée est bone, mais son traitement manque de profondeur. Et le seconde partie manque d'imagination. Dans un film qui fait de l'imaginaire son thème central ...
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 16 mars 2007
Excellent. Que dire de plus, l'actrice joue extrèmement bien, on a envie de lui donner des gifles comme de la plaindre, le côté ancien film et film d'aujourd'hui est superbement bien fait, il y a toujours des références à des films dans ceux de Ozon ce qui est plaisant pour les cinéphiles. Tout est parfait. Merci monsieur
anonyme
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2,5
Publiée le 16 mars 2007
je me suis assez réjouie du nouveau film d'ozon, et en plus avec la belle affiche et le résumé de l'histoire... mais là!! je ne sais pas trop quoi dire! les costumes sont bien, l'anglais aussi. mais pour le reste... cette angel m'a énervée du début à la fin!!
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 16 mars 2007
Et dire que la presse est dingue de ce film...Ils doivent tous déjeuner ensemble. Le film est poussif, poussiéreux, sans charme et ne raconte rien...
anonyme
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5,0
Publiée le 16 mars 2007
Voilà un pari que François Ozon relève parfaitement. Pourquoi vouloir lui reprocher ce qui fait la force même du film ? Le kitsch, les froufrous des robes à crinolines, les petits doigts levés avec la tasse de thé, les trahisons, les mensonges, les vanités de la société anglaise du début de ce XXème siècle, tout y est. La seule chose qui m'ait gêné (mais pas au point de donner moins de 4 étoiles), c'est que cette Angel ne nous est jamais sympathique, on n'arrive jamais avec de l'empathie avec cette femme tellement elle est capricieuse et manipulatrice. Ozon n'aimerait-il pas les femmes ? :)
anonyme
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0,5
Publiée le 16 mars 2007
très enthousiamée par le sujet du film...la déception a été rude!! mièvre à souhait, jeux faux, héroïne insupportable, égocentrique à souhait, qui peine à nous faire croire en ces élans antimilitaristes! Ozon nous avez habitué à plus de finesse...
Mention spéciale pour les costumes, qui sont superbes.
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 16 mars 2007
Ozon frappe fort. Avec ce mélo décomplexé et metafilmique, sous la forme de déclaration d'amour à l'Hollywood de l'âge d'or, l'auteur du bouleversant Le temps qui reste prouve qu'il est bien le seul en France, avec des gens comme Jacques Audiard, Podalydes ou Despleschin, à savoir se renouveler tout en produisant une oeuvre esthétiquement engagée.
Angel aurait pu crouler sous le poids des références, or ce n'est pas le cas, tellement le cinéaste s'est approprié son sujet : même si les références au genre (de Autant en emporte le vent aux grands mélos flamboyants de Douglas Sirk) sont prégnantes, jamais il ne cède aux sirènes du copier-coller comme aurait pu le faire (et l'a fait !) Steven Soderbergh pour le film noir; il s'inscrit, tant sur la forme que sur le fond, dans la lignée des maîtres hollywoodiens des années 50 et inscrit sa vision dans une "esbroufe mélodramatique" aux portraits et descriptions dégoulinants de figures picturales, aux antipodes de ce qu'a pu faire Sofia Coppola sur Marie-Antoinette. Ici, rien n'est laissé au hasard. Si Ozon assume le statut de mélodrame, il se permet de mettre en scène une anti-héros comme il les affectionne(typiquement ozonienne, tel Romain dans Le temps qui reste ou encore le personnage de Stephane Freiss dans 5x2), d'où un certain décalage, nous permettant de mieux apprécier la lecture au seconde degré et laissant la possibilité au cinéaste de mieux se concentrer sur sa mise en scène (d'une maîtrise tout bonnement éblouissante).
Là où l'on peut mesurer l'ampleur de la réussite de Ozon réside dans sa capacité à émouvoir de la destinée de quelqu'un de finalement détestable. En celà, la prestation de Romola Garai est inouie de justesse, pour un rôle vraiment "casse-cou". De par sa grâce naturelle, l'étendue de sa "palette dramatique" et la manière dont elle irradie(et crève)l'écran, elle constitue la grande révélation de l'année, une petite perle telle qu'il en existe tous les quarts de siècle...à suivre sur mon blog
1,0
Publiée le 15 mars 2007
On ne saurait être surpris d’autant de désuétude et de niaiserie de la part d’un Ozon qui a toujours aimé affirmer farouchement ces valeurs comme un défi aux exigences d’aujourd’hui. Certes, cela peut séduire quelques minutes, mais au bout d’une heure, de deux heures, à force de se contenter d’une romance miévrotique aux ressorts des plus navrants, on ne peut que succomber sous la pesanteur de cette guimauve à la substance bien indigeste… Et autant l’avouer tout de suite : ce n’est pas le visage poupon de la charmante Romola Garai qui pourra y changer quoi que ce soit. En somme, difficile face à cet "Angel" de sortir du sempiternel credo : « Qui aime Ozon aimera, qui n’aime pas Ozon souffrira ».
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 15 mars 2007
atrocement caricatural
un ou deux seins et une paire de fesses en goguette pour la forme,un fantasme lesbien en filigrane bien sur, et une charlotte rampling qui semble hurler au spectateur "ne partez pas, ne partez pas! regardez moi je suis la seule rescapée de ce putain de naufrage! sortez-moi de là!" (évidemment il faut l'imaginer avec son délicieux accent, ça reste très digne tout en étant parfaitement désespéré)

tout comme du ozon quoi... qu'on vienne pas me dire qu'il ne fait pas deux films pareil

la seule nouveauté c'est romola garai, les seins gonflés à bloc, qui nous offre son jeu terriblement subtil tout en écarquillement d'yeux bouffis (conjonctivite chronique?) et en gobage de mouches (elle remplace donc à merveille Ludivine Sagnier, probablement occupée à un autre film au moment où Ozon tournait Angel)

bref, au bout d'un moment on n'a plus qu'une envie : que cette pintade se prenne les pieds dans un des ses paons gras comme des porcs
anonyme
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1,0
Publiée le 15 mars 2007
Le point fort du film c'est le travail sur l'image : saturation (rouges) ; contraste entre le visage, le costume, et le décor.
La mise en scène, comme d'habitude, est sobre, malgré le parti pris kitch du reste.
L'humour est présent (c'est rare chez Ozon) ; comme ce travelling arrière depuis Angel de dos, la nuit, ou l'on découvre ses fesses nues, sous le dossier du fauteuil !
Mais la structure du scnénario et la construction des personnages m'ont beaucoup déçu. Je m'attendais par exemple à ce que le personnage joué par Charlotte Rampling soit une rivale dangereuse et jalouse. Angel n'a pas d'autres obstacles que son échec littéraire.
Je suis déçu. Mais déçu par 1 film sur 9, ce n'est pas vraiment être déçu !!! J'attends, comme d'habitude, le prochain opus.
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 15 mars 2007
film décevent je m'attandais a mieux!! La bande d'annonce donnais envie d'aller le voir mais le flm lui n'est pas ce dont a quoi on s'attend en voyant la bande d'anonce
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 15 mars 2007
Tout droit sorti d'un roman de gare de la collection "Harlequin" à la sauce "Scarlett O'Hara", ce mélo démodé se laisse regarder, ... sans plus ! On sourit parfois tant c'est naïf et maniéré, et on espère que cette expérience extravagante restera une simple parenthèse dans la filmographie de François Ozon, cinéaste au talent indéniable, beaucoup plus à son aise dans les drames réalistes contemporains tels que "Sous le sable" ou "Swimming pool", ou encore, l'inclassable film déjà-culte "8 femmes"
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 15 mars 2007
Un melo assumé avec beaucoup d'ironie, des scènes hilarantes et des envolées lyriques enthousiasmantes. Il y a, dans Angel, tout ce que j'aime au cinema : des acteurs se donnant à fond, une histoire romanesque et flamboyante, une réalisation surprenante et, surtout, un point de vue qui n'exclut ni la lucidité ni une empathie avec le personnage principal. L'heroïne m'a à la fois touchée, agacée, émue et fait pleurer. J'ai passé un tres bon moment.
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 7 avril 2008
Allez, une demi étoile pour les costumes et une demi étoile pour le jeu de la mère de Angel, le choix des animaux et la blague de Satan. Sinon, grosse grosse déception. Ennuyeux, peu d'idées. Même pas à la hauteur des télénovelas mexicaines.
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