Une fois de plus, le syndrome du « je m'attendais tellement à ce que ça soit nul qu'en définitive ce n'était pas si mal » a frappé. En effet, difficile de vous dire que « Quand Chuck rencontre Larry » fait dans la finesse, mais le propos a beau être lourdaud et le résultat tout autant, je reconnais ne pas l'avoir trouvé déplaisant, grâce notamment à deux héros plutôt sympathiques et une interprétation globalement satisfaisante (même Rob Schneider est un tout petit moins insupportable que d'habitude, c'est dire...). Je me suis même surpris à sourire plusieurs fois devant des situations certes déjà-vus et pas franchement subtiles (la mise en scène de Dennis Dugan a comme souvent peu d'intérêt), mais qui ont au moins le mérite d'être vaguement efficaces, la sublime Jessica Biel s'avérant un atout charme indéniable. Bref, vraiment pas de quoi sauter au plafond, mais une comédie américaine potable, à condition d'être un minimum indulgents.
Une comédie legère apparement bas de gamme, mais finalement ravi de retrouver Adam Sandler, un brin d'émotion, beaucoup d'humour et un casting plûtot étonnant, un bon moment à passer en famille...
Adam Sandler moi j'adore. Je sais pas comment il si prend, mais il arrive toujours avec des rôles de lourdingues de services à me faire passer la pilule, en ça c'est un talent. Ce film n'échappe pas à la règles. Avec des clichés à gogo sur l’homosexualité, des blagues vers le bas de la ceinture ça aurait tout pour faire fuir. Et pourtant j'avoue adhérer à ça, non pas que je sois si peu subtil. Mais je trouve toujours que derrière cet étalage de conneries, Sandler arrive toujours à faire passer une petite morale, et faut dire que ça me poile assez quand les clichés sont remis en question au cours d'un film. Au final, on passe un bon moment grâce à une bonnes troupes d'acteurs.
Deux choses à dire de ce film plus que caricatural sur le milieu gay qui présente tous les homosexuels sont des folles! Un peu vieillot comme image. On reconnaît bien là le puritanisme états-unien. Bref, rien de passionnant dans ce film où Adam Sandler n'est définitivement pas drôle et Jessica Biel plus sexy et plus belle que jamais (d'où l'étoile!). A noter, quelques guests stars viennent participer à cette mièvre fanfaronnade (Ayckroid, Chamberlain ou encore Buscemi).
On voulait y croire, on voulait faire l'effort, on voulait lui laisser une chance parce que le scénario avait quelques atouts pour faire rire mais, malheureusement, cette nouvelle comédie américaine ne réussit pas le pari. Le long-métrage est à l'image de son acteur central à savoir lourd et pas vraiment drôle. Adam Sandler a en effet la capacité naturelle de multiplier les tournages de ce type où les gags hilarants sont délaissés au profit de passages vulgaires et archi-clichés. L'homosexualité passe ici par tous les stéréotypes éculés sans jamais s'en cacher. Plus balourd encore, la morale dépassée et le dénouement prévisible ont même tendance à agacer. Pour autant, le tout ne sera pas complètement indigeste si l'on ferme les yeux sur certaines facilités. Notons la présence délirante de Ving Rhames dans un rôle totalement à contre-emploi et qui apparaît en fin de compte comme la meilleure inspiration d'un film qui passera sans doute inaperçu dans une DVDthèque.
une catastrophe ! Certes, adam sandler ne nous a pas habitué à faire des comédies oscarisées, mais là, il y a des limites.. Ce film a tout pour plaire : il est homophobe, plus lourd qu'un 38 tonnes, avec des gags qui tombent à plat constamment, et des acteurs qui essaient de surnager dans cet océan de galère.. Même s'il pleut à torrent, que vous etes enfermés chez vous suite à une invasion de sauterelles, préférez quand meme "la roue de la fortune" à la télé (c'est pour vous dire...)
C'est globalement gras et lourd ,mais certaines situations sont trés drole.Jessica Biel est par contre trés craquante et Adam Sandler montre qu'il est trés a l'aise dans se genre de comédie.
Film sympathique, qui mérite plus que ce qu'ont adjugé l'ensemble des critiques spectateurs. Certes, il n'atteint pas des sommets mais se laisse regarder sans mal. Peut-être a-t-il déplu à celles et ceux qui n'acceptent pas l'homosexualité.