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Votre avis sur Nos jours heureux ?
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Une très sympathique petite comédie française, avec un humour bon enfant et sans aucune prétention. J'avais déjà beaucoup aimé le film précédent des 2 réalisateurs ("Je préfère qu'on reste amis") et je viens de voir celui la et d'ordinaire les comédies françaises de ces dernières années m'ont souvent soulés ("Les bronzés 3", "Bienvenue chez les ch'tis"...) et là j'ai passé un agréable moment. Surtout que d'ordinaires je déteste les films avec des enfants qui souvent jouent assez mal. Bon c'est sur le film n'évite pas certains clichés et certains personnages sont assez stéréotypés, mais ça c'est très propre aux comédies héxagonales. Tout comme le scénario qui parfois n'est guère original (l'histoire entre Jean-Paul Rouve et la mono Lisa, je te déteste et puis finalement je t'aime...) mais la fin est assez surprenante et m'a plu. Ce film est plein de bonne humeur et possède un bon esprit, plusieurs gags font mouches (même si la plupart sont visibles rien que dans la bande-annonce). Et surtout mention très spéciale à Joséphine de Meaux qui joue Caroline, la mono. Elle vole haut la main la vedette aux autres vedettes du film (Rouve, Omar et Marilou Berry) grâce à son interprétation drôle, juste, surprenante et délirante. Un film à voir pour passer un bon moment devant la télé sans se prendre la tête.
GyzmoCA
"Nos jours heureux" est une bonne comédie familiale sur les colonies. Elle est souvent juste dans les situations et les dialogues. ça sent le vécu. On reconnait bien là le ton du duo Nakache/Toledano (qui feront plus tard les excellentissime intouchable, hors nomres ou le sens de la fête). C'est fin et rigolo à la foi.
Coté casting, on est pas en reste avec des acteurs qui vont faire une grande carrière derrière (Omar Sy, Jean Paul Rouve ou encore Marylou Berry) . l'alchimie entre les animateurs de la colo est bonne et le film s'en resent.
Une bonne petite comédie d'été à voir.
Coté casting, on est pas en reste avec des acteurs qui vont faire une grande carrière derrière (Omar Sy, Jean Paul Rouve ou encore Marylou Berry) . l'alchimie entre les animateurs de la colo est bonne et le film s'en resent.
Une bonne petite comédie d'été à voir.
Nos jours heureux fait partis des films que je souhaitais voir mais que j'appréhendais à la fois. Nos jours heureux est pour moi il faut le dire une déception:
Je trouve que le scénario contient de bonne idée mais hélas pas assez exploiter cependant certaines scènes sont hilarante c'est ce qui sauve le film avec leurs comédie. Cette comédie réaliser par Éric Toledano et Olivier Nakache est certes pétillante et rafraichissant mais la nostalgie distillé dans le film n'arrive pas rentrer dans le film ce qui est fort dommage car le film à un gros potentiel. Côté acteurs ils sont juste parfait et même pour le casting enfant /ado PARFAIT. Jean Paul Rouve,Marilou Berry,Omar Sy, Joséphine De Meaux,Lannick Gautry,Jean Benguigui sont attachant voir à mourir de rire . Malgré une déception nos jours heureux nous fais passer un bon moment en famille.
Je trouve que le scénario contient de bonne idée mais hélas pas assez exploiter cependant certaines scènes sont hilarante c'est ce qui sauve le film avec leurs comédie. Cette comédie réaliser par Éric Toledano et Olivier Nakache est certes pétillante et rafraichissant mais la nostalgie distillé dans le film n'arrive pas rentrer dans le film ce qui est fort dommage car le film à un gros potentiel. Côté acteurs ils sont juste parfait et même pour le casting enfant /ado PARFAIT. Jean Paul Rouve,Marilou Berry,Omar Sy, Joséphine De Meaux,Lannick Gautry,Jean Benguigui sont attachant voir à mourir de rire . Malgré une déception nos jours heureux nous fais passer un bon moment en famille.
Premier film réussi du tandem Toledano - Nakache, Nos Jours Heureux est un divertissement tout ce qu'il a de plus sympathique à suivre : rafraîchissant et euphorisant, le long métrage parvient à nous plonger dans le quotidien passionné ( et passionnant ! ) d'un groupe d'animateurs et leurs enfants dans une colonie de province. Jamais totalement idyllique ni complètement cauchemardesque le séjour estival s'annonce avant tout humain, plein de bons sentiments certes mais d'un regard simple et plutôt juste. Si le travail des adultes tient parfois de la corvée, les relations s'avèrent particulièrement communicatives car - à plus forte raison - empiriques. Les acteurs et actrices sont tous au moins crédibles, au mieux excellents. Et si les deux réalisateurs ont parfois la main lourde quant aux stéréotypes il est difficile de ne pas se retrouver dans ces personnages qui partagent la même aventure humaine. Voilà un bon petit film nostalgique qui fonctionne sur la reconnaissance et le rythme, chouette bol d'air qui donne furieusement envie de goûter à la colo... Le meilleur film du binôme intouchable, incontestablement.
On l’a compris, «Nos Jours heureux » est une comédie, genre quasi-unique du cinéma français contemporain, et qui répond donc à la volonté de plaire au plus grand nombre. La recette en est simple : un acteur en vogue, deux ou trois jeunes comédiens dont l’inévitable échappé de l’écurie Canal (ici, l’Omar de «Omar et Fred», seul rescapé du court-métrage «Ces jours heureux» qui avait servi de brouillon à ce film), des gamins aperçus à «Graines de stars», et des personnages caricaturaux se débattant dans une intrigue prévisible où les moments plus graves ne peuvent nous émouvoir, assurés que nous sommes d’un happy end consensuel. Il est clair que les deux auteurs ont mis l’essentiel de leur énergie dans l’écriture du scénario et non dans la réalisation, et l’objet filmique est plus proche du téléfilm de France 3 que d’une réelle œuvre de cinéma – la photographie est particulièrement plate, et renforce l’impression de voir un film des années 70.
Ici, on est assez proche de la démarche de Claude Berri dans «Le maître d’école» : se centrer sur un héros candide et plein de bonne volonté pour faire découvrir un univers, peuplé de personnages secondaires stéréotypés. Eric Toledano et Olivier Nakache ont été directeurs de colos, et quand ils se contentent de n’être que les chroniqueurs attendris de cette microsociété, cela sonne souvent juste, même si on a parfois l’impression de retrouver en une seule équipe toutes les études de cas d’un stage BAFA. Ayant vu le film à une projection organisée par le ministère de la Jeunesse et des Sports pour des responsables de cette administration et des professionnels de l’animation, il était d’ailleurs drôle de voir que ce n’étaient pas les mêmes qui riaient selon les passages, les premiers appréciant les psychodrames de la réunion du soir, les seconds s’esclaffant lors de la visite de l’inspecteur…
Mais les auteurs ne se sont pas cantonnés à cette peinture des mille et un bonheurs de la vie d’un centre de vacances ; ils ont voulu pousser la caricature des personnages, tant adultes qu’enfants, pour garantir les effets comiques et sans doute ratisser plus large. Malheureusement, cette pesanteur nuit à la crédibilité des situations, comme pour le personnage de Caroline, l’animatrice coincée qui hurle toute sa frustration accumulée face à un gamin sidéré (là, la scène est efficace malgré son outrance), et constelle la deuxième moitié du film de ses grossièretés, redondance inutile et indigeste.
On aurait aimé retrouver la finesse de l’étude des caractères de «L’argent de poche» (côté enfants) ou de «La meilleure façon de marcher» (côté animateurs). À noter d’ailleurs une scène qui fait écho à celle de ce dernier film où Claude Piéplu dépouillait les bulletins glissés dans la boîte à idées, devenue ici, signe des temps, boîte à délation. Contrairement à Patrick Dewaere et Patrick Bouchitey, les animateurs de Vincent n’ont pas d’existence au-delà de l’étiquette qui a été collée à leur personnage, aussi grosse et voyante que le logo « Animateur » brodé sur le dos de leur t-shirt. Alors certes, on rie, parfois un peu gêné, parfois de bon cœur, et certains s’en contenteront. D’autres, dont je suis, regretteront le film plus subtil qu’on aurait pu tirer d’une telle histoire.
Ici, on est assez proche de la démarche de Claude Berri dans «Le maître d’école» : se centrer sur un héros candide et plein de bonne volonté pour faire découvrir un univers, peuplé de personnages secondaires stéréotypés. Eric Toledano et Olivier Nakache ont été directeurs de colos, et quand ils se contentent de n’être que les chroniqueurs attendris de cette microsociété, cela sonne souvent juste, même si on a parfois l’impression de retrouver en une seule équipe toutes les études de cas d’un stage BAFA. Ayant vu le film à une projection organisée par le ministère de la Jeunesse et des Sports pour des responsables de cette administration et des professionnels de l’animation, il était d’ailleurs drôle de voir que ce n’étaient pas les mêmes qui riaient selon les passages, les premiers appréciant les psychodrames de la réunion du soir, les seconds s’esclaffant lors de la visite de l’inspecteur…
Mais les auteurs ne se sont pas cantonnés à cette peinture des mille et un bonheurs de la vie d’un centre de vacances ; ils ont voulu pousser la caricature des personnages, tant adultes qu’enfants, pour garantir les effets comiques et sans doute ratisser plus large. Malheureusement, cette pesanteur nuit à la crédibilité des situations, comme pour le personnage de Caroline, l’animatrice coincée qui hurle toute sa frustration accumulée face à un gamin sidéré (là, la scène est efficace malgré son outrance), et constelle la deuxième moitié du film de ses grossièretés, redondance inutile et indigeste.
On aurait aimé retrouver la finesse de l’étude des caractères de «L’argent de poche» (côté enfants) ou de «La meilleure façon de marcher» (côté animateurs). À noter d’ailleurs une scène qui fait écho à celle de ce dernier film où Claude Piéplu dépouillait les bulletins glissés dans la boîte à idées, devenue ici, signe des temps, boîte à délation. Contrairement à Patrick Dewaere et Patrick Bouchitey, les animateurs de Vincent n’ont pas d’existence au-delà de l’étiquette qui a été collée à leur personnage, aussi grosse et voyante que le logo « Animateur » brodé sur le dos de leur t-shirt. Alors certes, on rie, parfois un peu gêné, parfois de bon cœur, et certains s’en contenteront. D’autres, dont je suis, regretteront le film plus subtil qu’on aurait pu tirer d’une telle histoire.
On ne peut pas dire que ce deuxième film des réalisateurs qui toucheront le jackpot avec "Intouchables" ait piqué mon côté nostalgique étant donné que je n'ai jamais été en colo, par contre il m'a fait bien marrer. De toute façon, on sait très bien que c'est le film qui prend pas la tête, et c'est exactement ce que on lui demande, et devant lequel on ne s'ennuie pas une seconde, et c'est aussi ce qu'on lui demande. Ce qui n'empêche pas qu'il y a des traits justes, qui rappellent des choses (même pour ceux qui n'ont pas été en colo donc...!!!) qu'on a déjà vécu. Pour l'interprétation, celle qui domine c'est sans conteste Joséphine de Meaux en névrosée et de loin (la séquence où elle insulte le gamin est excellente !!!). Le film parfait pour une soirée télé en été et un très bon divertissement aussi même si on est pas en été mais c'est mieux en été quand même.
Olivier Nakache et Éric Toledano signent cette comédie familiale en allant puiser dans leurs propres souvenirs d’animateurs de colonies de vacances. Un joyeux bordel amusant et récréatif.
Cette comédie autour des colonies de vacances avec Jean-Paul Rouve et Omar Sy aurait pu se casser la figure dès le début cependant plus on avance dans le film plus on s’attache, plus on prend du plaisir. Ceci est d’ailleurs en totale harmonie avec ce que représente une colonie.
Une comédie efficace avec parfois un ou deux clichés mais tellement bourré de bonnes intentions qu’on adhère complètement.
Une bonne comédie bien marrante.
Une comédie efficace avec parfois un ou deux clichés mais tellement bourré de bonnes intentions qu’on adhère complètement.
Une bonne comédie bien marrante.
Yetcha
Les personnages sont tous atypiques et attachants, on rigole de bon coeur et franchement ça fait du bien. Un très bon moment de comédie à la française.
Un bon petit film amusant qui brille surtout par ses gosses (le gamin belge, le gosse asocial qui crie, le binoclard qui finit ses phrases par “enfin peut-être, j’sais pas”...) mais aussi par son casting adulte (Jean-Paul Rouve parfait, Omar Sy marrant, Jean Benguigui excellent en chef cuisto, Lannick Gautry en beau gosse, Joséphine de Meaux hallucinante en coincée qui pète un plomb). Mais c’est surtout le petit air de nostalgie qui pointe à la vue de cette colo qui font de ce film une réussite aidée, il est vrai, de bons dialogues et de scènes fendardes (le débat politique entre les gosses, les remarques du petit belge, les pétages de plomb de Caroline...).
Un feel good français sans doute trop niais, mais drôle et touchant par de nombreux aspects.
Des personnages attachants et drôles, de bonnes répliques, et une petite histoire gentillette.
Pour le reste c'est ultra classique, quelque peu prévisible, mais bon c'est clairement pour la bonne cause ! Je ne vois vraiment pas d'autres films équivalents à celui-ci, tout du moins des films récents, c'est donc une bonne pioche !
Des personnages attachants et drôles, de bonnes répliques, et une petite histoire gentillette.
Pour le reste c'est ultra classique, quelque peu prévisible, mais bon c'est clairement pour la bonne cause ! Je ne vois vraiment pas d'autres films équivalents à celui-ci, tout du moins des films récents, c'est donc une bonne pioche !
Alain D.
Départ pour la colonie de vacances : à la gare tout le monde stresse : les enfants, les parents et même l'équipe de moniteurs n'est pas au mieux. Seul Vincent, le directeur, semble assurer. Dès le départ, la situation est critique : 80 enfants turbulents dont beaucoup sont difficiles et les animateurs sont néophytes.
spoiler: On frise la catastrophe : crises de nerfs, fugues... Bref tout se passe au plus mal jusqu'à l'activité de camping ou le feu de camp du soir améliore l'ambiance. Chacun apprend à se connaitre : animateurs comme ados.
Les acteurs sont remarquables, avec une attention particulière pour Jean-Paul Rouve : Vincent le directeur, Jean Benguigui le cuisinier et Joséphine de Meaux dans le rôle de Caroline la timide monitrice. L'équipe d'animateurs est tout aussi brillante avec Marilou Berry la soignante, Omar Sy l'enthousiaste, Lannick Gautry le dragueur et Julie Fournier dans le personnage de Lisa la Bimbo. Même la bande d'ados collectionne quelques pépites : Benoît l'hyper actif (Martin Jobert), Guillaume le complexé (Arthur Mazet), Timoty l'intello belge (Jérémy Denisty), Charlotte la malchanceuse (Ilona Bachelier) ...
Le scénario qui vous met de bonne humeur, tant il vous fait rire ; La bande son est efficace : gaie et festive. Olivier Nakache et Eric Toledano nous offrent cette bonne comédie à regarder avec plaisir.
spoiler: On frise la catastrophe : crises de nerfs, fugues... Bref tout se passe au plus mal jusqu'à l'activité de camping ou le feu de camp du soir améliore l'ambiance. Chacun apprend à se connaitre : animateurs comme ados.
Les acteurs sont remarquables, avec une attention particulière pour Jean-Paul Rouve : Vincent le directeur, Jean Benguigui le cuisinier et Joséphine de Meaux dans le rôle de Caroline la timide monitrice. L'équipe d'animateurs est tout aussi brillante avec Marilou Berry la soignante, Omar Sy l'enthousiaste, Lannick Gautry le dragueur et Julie Fournier dans le personnage de Lisa la Bimbo. Même la bande d'ados collectionne quelques pépites : Benoît l'hyper actif (Martin Jobert), Guillaume le complexé (Arthur Mazet), Timoty l'intello belge (Jérémy Denisty), Charlotte la malchanceuse (Ilona Bachelier) ...
Le scénario qui vous met de bonne humeur, tant il vous fait rire ; La bande son est efficace : gaie et festive. Olivier Nakache et Eric Toledano nous offrent cette bonne comédie à regarder avec plaisir.
weihnachtsmann
Une comédie vraiment sympa et tendre sur les colonies de vacances. On y retrouve les acteurs qu'on aime à l'âge des moniteurs!!!!
Une comédie tendre et pétillante sur la vie en colonie de vacances, servie par un casting séduisant (mention spéciale pour l’irrésistible Joséphine de Meaux).
Très drôle, cette bande d'animateurs est attachante .étrange qu'il n'y est pas de suite.
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