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    Septembre sans attendre
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    48 critiques spectateurs

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    djami M.
    djami M.

    16 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 août 2024
    Répétitif, très répétitif… j’ai eu l’impression que le film durait des heures
    La bande annonce m’avait donné une impression différente
    L’idée de départ était bonne mais vraiment mal exploitée
    Alain75
    Alain75

    9 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 août 2024
    La presse est quasiment unanime pour encenser ce film. Et pourtant, il ne se passe rien et patine sur toute sa durée, presque 2 heures, pour ne rien ajouter de plus sur l'idée de départ qui semblait bonne... Déçu et plutôt ennuyeux !
    Christine
    Christine

    6 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 août 2024
    Vu Septembre sans attendre.. Film espagnol bavard et intimiste .. une sorte de Woody Allen à l’espagnole .. un couple ensemble depuis 15 ans décide de se séparer et d’organiser une grande fête pour l’occasion .. le scénario peine , c’est répétitif long et sans grand intérêt .. on peut éviter .. même si telerama en a fait l’éloge 🤣
    Christoblog
    Christoblog

    826 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 septembre 2024
    Le cinéma de Jonas Trueba est un cinéma évanescent, qui brille par sa délicatesse et sa façon de survoler les sujets d'une façon tendre et atmosphérique. Le résultat est parfois anecdotique (Venez voir), mais peut aussi diffuser une belle mélancolie, comme c'était le cas dans l'estival Eva en août.

    Dans ce nouvel opus, Trueba nous présente tout d'abord un couple qui se défait, et forme la curieuse et plaisante idée d'organiser une fête de rupture. Le principe est amusant, et les deux acteurs fétiches de Trueba (Itsaso Arana et Vito Sanz) livrent la partition amusante de deux égos qui semblent feindre le détachement distancié.

    Le début du film est donc agréable, mais n'évite pas un certain nombre de scènes qui paraissent être autant de redites d'une même situation. Jusqu'au moment où Trueba met en scène une astuce narrative totalement gratuite (pour meubler son film, peut-être) : on voit l'actrice principale travailler au montage du film qu'on est en train de regarder.

    Ce faisant, le réalisateur espagnol transforme son film, intriguant et elliptique, en une machine lourdingue, typique d'un certain cinéma d'auteur intellectualisant. Il cherche à briller plutôt qu'à faire ressentir.

    Mon intérêt est alors tombé à un niveau proche de zéro. Trueba n'est en effet pas doué pour manier le second degré, et son idée "méta" tombe totalement à plat : elle a pour effet de faire sortir totalement le spectateur du film, qui n'apparaît plus alors que comme un pensum maniéré.
    alexdelaforest
    alexdelaforest

    38 abonnés 206 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 août 2024
    Ce film n’a vraiment rien pour lui. Le montage est désastreux. Le jeu d’acteur est pénible. Le son est très approximatif, et surtout l’histoire patine à tel point que je n’ai pas pu aller au-delà d’une heure.
    traversay1
    traversay1

    3 568 abonnés 4 860 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juillet 2024
    Il peut être tout à fait légitime de s'agacer du succès (tout relatif) des films de Jonás Trueba qui, s'ils étaient français, seraient vraisemblablement qualifiés par le dévalorisant épithète de "bobo." Issu de ce creuset-là,le récent Venez voir affichait les limites du genre, pour une profondeur que l'on cherche encore. Septembre sans attendre constitue donc une bonne surprise et pourrait même plaire aux nostalgiques de certaines œuvres emblématiques du Woody Allen de la grande époque. L'aspect répétitif, quasiment en boucle, de Septembre sans attendre, qui est évidemment volontaire et dont le cinéaste se moque d'ailleurs gentiment, fait partie du charme discret de cette comédie madrilène autour du couple et de la rupture d'icelui, qui pourrait donner lieu, ou pas, à une célébration, au grand dam de la majorité des proches des futurs ex. Les joies de la séparation et l'ironie qui en découle sont au cœur d'un film souvent pétillant, notamment grâce à ses excellents acteurs et à des dialogues qui ne manquent pas de sel. Sans oublier un procédé qui fonctionne toujours quand il est utilisé à bon escient, ce qui est le cas ici, à savoir la mise en abyme. Une petite pincée de citations ou de références bien choisies : de Kierkegaard à Truffaut, ne fait qu'attiser le sentiment d'avoir assisté à un divertissement léger qui n'a pas oublié de faire preuve d'intelligence.
    Joce2012
    Joce2012

    204 abonnés 581 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 août 2024
    Ce film n'a aucun intérêt, c'est toujours la même chose, scénario pauvre en création, interprétations monotones
    capirex
    capirex

    92 abonnés 307 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 septembre 2024
    Le réalisateur Jonás Trueba signe là une Comédie de couple pour le moins non conventionnelle !
    On peut le voir comme une ode à la crise de la quarantaine et un éloge du couple mais le film ne m'a pas totalement convaincu car trop bavard et cela finit par devenir redondant !
    Chris G
    Chris G

    18 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 juin 2024
    Basé sur son concept simpliste le film d’abord répétitif et théorique trouve tout son sens lorsque le père du réalisateur à l’origine de cette idée farfelue amène par son rôle de l’authenticité, du sens à cet analyse du couple en fin de cycle.
    Cinéphile interstellaire
    Cinéphile interstellaire

    1 critique Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 août 2024
    Un film qui peut attendre ..Tout est factice dans ce film dans le film réalisé par des cinéastes qui se parlent à eux même . Références à Kierkegaard ou à Nietsche pour se donner un style , qui tombent à plat . Aucune émotion (chose qu'on attend pendant tout le film) ne vient . . On est trainés de scènes répétitives en scènes carrément agaçantes voire inutiles. C'est répétitif , bavard ., artificiel, sans direction.
    LCDC YT
    LCDC YT

    81 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juin 2024
    Simplicité d'une fin de romance, douceur d'une comédie enjouée, voilà la recette que nous offre Jonas TRUEBA pour un moment de cinéma parfaitement emmené par deux grands acteurs
    Vince
    Vince

    42 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juin 2024
    Film vu en avant-première durant la Quinzaine de Cannes en juin 2024. Jonás Trueba s'entoure de nouveau de Itsaso Arana et de Vito Sánz pour un dernier volet après 'Eva en août' et 'Tenéis que venir a verla", et, conjuguant le drame et la comédie, je dois dire que c'est une belle réussite.
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    110 abonnés 330 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 août 2024
    Ai vu « Septembre sans attendre » de Jonas Trueba réalisateur espagnol qui de film en film construit une oeuvre des plus intéressantes et cohérentes. Trueba travaille régulièrement avec le même duo d’acteurs Itsaso Arana (qui a des airs d’Agnès Jaoui) et Vito Sanz pour broder sur toutes les possibilités du couple. Après « Venez voir » et le formidable « Eva en Aout » voici « Septembre sans attendre ». Ale et Alex sont en couple depuis 14 ans et préparent une grande fête avec musiciens en live pour tous leurs amis et leur famille pour célébrer leur séparation. L’idée originale surprend et déstabilise totalement leur entourage pour qui ils représentaient le couple idéal. Ale est réalisatrice et Alex comédien qui joue principalement dans les films de son amie et d’ailleurs dans le dernier qu’ils sont en train de tourner le sujet est celui d’un couple qui prépare une fête…Toutes les mises en abimes sont permises pour le plus grand plaisir du spectateur. Sur un ton doux amer Trueba a composé avec ses deux comédiens un scénario d’une grande subtilité et sa réalisation comme toujours est très pittoresque. Alex téléphone à sa mère pour lui apprendre sa séparation du Musée d’Histoire Naturelle de Madrid, tout en marchant et en expliquant les raisons de cette fête de séparation il se retrouve soit à avoir la tête cadrée dans la gueule d’un squelette de dinosaure soit face à des crânes d’hommes préhistoriques. C’est exactement ça le talent de Jonas Trueba décadrer un tout petit peu la situation la plus banale pour la rendre absurde. De nombreuses références au cinéma de François Truffaut sont parsemées dans le film tel un jeu de piste. Le cinéma des deux réalisateurs n’étant pas très éloigné. Parfois il y a quelques longueurs mais vite pardonnées par des fulgurances scénaristiques. Un film réjouissant, sensible, subtile.
    William Dardeau
    William Dardeau

    2 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 août 2024
    Film réservé aux cinéphiles avertis avec moult références : Rohmer, Truffaut,Bergman. Réflexion sur le cinéma, le couple Volverais est plus qu'un divertissement pour bobos nantis. Le film recèle une certaine profondeur..Encore meilleur que Eva en août. Beu couple d'acteurs.
    El Misericordia
    El Misericordia

    1 abonné 14 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juin 2024
    Le titre original cadre mieux ce film sur le doute. Et le transit à travers le doute. Jonás Trueba tourne un film essaie, même brouillon, sur ce transit avec deux personnages qui sont surs de rien que d'une chose: ils doutent. Filmer le doute. Voici l'incroyable défit du film. Des fois lumineux. Des fois réitératif. Des fois triste. Drole. Ennuyeux. Comme le doute. Volvereis. Eh, oui. Aussi au cinéma de Trueba. Mention à part le personnage du pere. Fernando Trueba in person.
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