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    Septembre sans attendre
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    Simon Bernard
    Simon Bernard

    141 abonnés 555 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juin 2024
    Ale et Alex sont en couple depuis 14 ans. Tous leurs amis les considèrent comme un exemple, une forme d'amour immuable et installée qui ne bougera plus. Ils décident malgré tout de rompre suite à une discussion. Pour rendre ce moment moins difficile et pour appliquer un vieux dicton du père d'Ale, ils proposent à leurs amis d'organiser une grande fête de séparation. En salle le 28 août.

    spoiler: "Septembre Sans Attendre" prend un parti pris intéressant : nous montrer un couple sûr de lui et à l'aise dans sa décision de rupture face aux réactions de leurs proches. On voit tout de suite un décalage important entre leur propre perception et celle de leurs amis et familles, convaincus qu'ils vont changer d'avis et rester ensemble, comme si ce choix était une évidence pour être heureux. La construction du film est intéressante car se mélangent progressivement les scènes réelles et les scènes de montage, créant une confusion et un doute pour le spectateur. J'aurais aimé que le film aille plus loin dans son concept et soit moins répétitif : 2 heures à entendre les mêmes explications et les mêmes mots, c'est long.
    Jipéhel
    Jipéhel

    58 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 octobre 2024
    … mais tout va bien !

    Bon, soyons francs, c’est le 1er film du jeune espagnol - 42 ans - Jonás Trueba que je vois, et pourtant, sa filmographie est déjà forte de 6 films. Alors, j’étais curieux de découvrir ces 114 minutes de comédie dramatique. Après 14 ans de vie commune, Ale et Alex ont une idée un peu folle : organiser une fête pour célébrer leur séparation. Si cette annonce laisse leurs proches perplexes, le couple semble certain de sa décision. Mais l’est-il vraiment ? Outre le scénario, c’est la mise abyme qui nous est proposée – l’héroïne réalise le film qu’on est en train de voir -, qui, certes, est parfois confuse ou perturbante, mais apporte tout son sel et son originalité à ce film qui se laisse déguster avec gourmandise. Et viva España !
    Le but de cette comédie dramatique n’est pas tant de comprendre pourquoi le couple se sépare, mais plutôt les enjeux de cette fête de séparation. Cela m’a rappelé la comédie américaine, Cette sacrée vérité de Leo McCarey, dans lequel, dès la première séquence, le couple interprété par Cary Grant et Irene Dune annonce : nous allons nous séparer. L’enjeu, c’est la nécessité de se défier l’un l’autre avec cette idée de séparation et d’ainsi éprouver à nouveau leur amour. D’autre part, l’aspect répétitif de l’annonce de la séparation est maîtrisé avec beaucoup de brio. C’est comique, mais déprimé. Le film confronte deux personnes déprimées, qui tentent de ne pas en avoir l’ai et ça ne manque pas de charme. Oui, décidément le mot-clé de ces presque deux heures, c’st bien : le charme.
    Absolument épatants tous les deux, Itsaso Arana et Vito Sanz ont co-écrit le scénario avec le cinéaste. Fernando Trueba et Andrés Gertrudix, complètent le haut de l’affiche. L’hommage à la Nouvelle Vague est omniprésent dans cette comédie romantique et assez retorse, car le propos n’est pas si limpide qu’’on pourrait le penser. Une chronique intime sur la confusion des sentiments dont le titre original, Volveréis, -vous reviendrez -, est digne de Conte d’automne d’Eric Rohmer. Vous avez dit « Nouvelle Vague » ?
    Jeanlucchichery
    Jeanlucchichery

    20 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 septembre 2024
    Bon, scénario un peu bâclé.
    L'idée de départ est originale et un peu loufoque.
    Beaucoup de répétition pour ne rien dire de bien original.
    Certes, c'est bien joué par les deux acteurs principaux mais le scénario est un peu léger.
    Nathalie N.
    Nathalie N.

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 août 2024
    Vu en avant-première, complètement fan de ce style de cinéma, lent, doux, fin intelligent. La sensibilité humaine dans toute son ampleur. Acteurs et actrices merveilleux.
    Pierre Phdb
    Pierre Phdb

    14 abonnés 217 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 septembre 2024
    Une fête de séparation qui dure trop longtemps.

    L'idée au départ est plutôt plaisante, une fête de séparation comme il convient entre personne qui se séparent sans agressivité, rancune. On voit la réaction de leurs familles et amis la manière dont les deux protagonistes vivent la chose. C'est sympathique mais trop long ramené le film a une durée d'une heure trente suffisait amplement. Mais, là c'est trop long le sujet ne permettant pas une grande variété.

    Trop long...
    takeshi29
    takeshi29

    8 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juillet 2024
    Le plus rohmérien des cinéastes espagnols signe cette fois un film qui louche très fort du côté de Woody Allen, avec cet humour, ses dialogues pétillants et pleins d'esprit qui remplacent la mélancolie. On s'amuse donc beaucoup mais sans jamais perdre de vue le drame qui se joue.

    Vu en festival (FEMA 2024)
    Tlab
    Tlab

    2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 septembre 2024
    Le film commençait plutôt bien, mais très vite on se trouve englué dans un fatras pseudo-intello, références cinématographiques totalement creuses, films dans le films qui parlent de films, tout cela est d'une prétention et d'un ennui insupportables! C'est dommage, l'idée était bonne et aurait pu être réussie...
    christian schuster
    christian schuster

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 août 2024
    Très bon film : interprétation excellente, sujet profond mais traité avec légèreté et une pointe d’humour, mise en scène parfaite avec des mises en abime. Je ne comprends absolument pas des notes si basses. À voir !!
    GARAL
    GARAL

    5 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 septembre 2024
    Une intéressante démonstration sur l’utilité de la confrontation pour faire perdurer l’amour. Ce film est moins attachant qu Eva en août ‘ parce aye plus statique et moins léger. Mais il m’a laissé une empreinte et j’y repense souvent.
    Franck J P
    Franck J P

    4 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 septembre 2024
    Fort d'une petite trouvaille scénaristique, le film surfe sur des dialogues peu subtiles mais dits par des acteurs réjouissants.
    On garde le sentiment frustrant d'un travail d'entre-soi du milieu du cinéma qui n'innove guère dans une tentative de comédie de couple qui se révèle insignifiante au delà de ce milieu restreint.
    Loulou Brooks
    Loulou Brooks

    2 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 novembre 2024
    Le film est intéressant avec son twist au milieu qui retourne un peu le spectateur. Sinon c’est quand même un peu ennuyeux de la répétition qui est le concept du film
    Isabelle K.
    Isabelle K.

    2 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 septembre 2024
    Septembre sans attendre (Volveréis), Comédie/drame de Jonás Trueba

    Un film aussi arachnéen, éthéré et nostalgique qu'un lieder de Schubert. Ç'aurait pu être du Debussy, ou du Ravel.
    Aussi ondoyant, cristallin et onirique que la pensée de Kierkegaard : une certaine idée de la transcendance esthétique.
    Pourtant on est en Espagne, ça va vite sous le soleil d'un été caniculaire, et dans la réalité, un couple se sépare alors qu'il formait la référence pour familles et amis depuis plus d'une décennie. Pour célébrer leur séparation, ils organisent une fête le jour de la fin de l'été. Comme un mariage, mais à l'envers. Symbolique et sibyllin, ce film est tendre et subtil.

    Tendre comme les protagonistes : séparatistes d'un ordre amoureux établi. À leurs risques et périls.
    Subtil comme un scénario : métaphore sur le cinéma et plus particulièrement sur le montage d'un film, comme on construit une existence, séquence après séquence, avec une bande-son originale, faite de références classiques strictes et jazz débridées. Un film se crée (qui s'improvise au coeur d'une structure définie) en montant, comme on devient écrivain en écrivant, qu'on vit en inventant... demain. Parce que demain n'est jamais ce que les cartes en disent. N'en déplaise à Monsieur Bergman et son tarot.

    Bergman justement. Ingrid Bergman. La référence en matière de séparation dans la vraie vie. C'en est même surréaliste (en cette année de commémoration du mouvement) et jusqu'au boutiste : la séparation s'acte sur un volcan, en vrai et pour l'écran (d'ailleurs au cinéma, elle fut la première actrice interprétant une femme gaslightée devant la caméra de Georges Cukor).

    Pour mieux réinventer l'amour. Les choix de l'actrice jugés subversifs au point d'être bannie de son propre pays. Une histoire si romantique, d'un point de vue humain et cinématographique : le néo-réalisme est né.

    Le film Jonás Trueba est moins radical, quoique tout autant exacerbé.

    À l'image d'un Roberto Rossellini et son "Voyage en Italie", "Septembre sans attendre (Volveréis)" ne montre ni ne raconte grand chose. Pourtant, le "montre" l'emporte et fait chavirer les coeurs. Tel est l'objectif (allez, je tente -Oups) du cinéma au fond. Sa capacité à restituer le réel en reléguant le récit, le montage plus fort que le scénario. Et le décor, discret symbole qui défile derrière les personnages et leur mystère.

    Ce film est comme un tableau de Poussin posant devant ses tableaux : un autoportrait. Un leurre, une transparence, l'essence même du cinéma. Face à leur histoire, se mettent en scène la rêveuse Itsaso Arana (Ale. Un faux air de Valérie Donzelli) et l'attendrissant Vito Sanz (Alex. Un faux air de Roberto Begnini).

    Le différence ici réside peut-être dans l'idée que la bande-son ne figure pas une banale musique d'ascenseur : elle incarne cette transparence, cet agencement méticuleux du montage entre réalité et fiction, signant une sorte de pacte entre post-prod' et spectateurs. Une transparence pour mieux transcender des personnages à la peine et leur intention équivoque. Tant, qu'elle en devient une litanie presque rassurante. Répétitive jusqu'au stade d'après. Mais chut... je ne spoile rien : il suffit d'aller voir ce film réjouissant et profond sans attendre. Septembre vient juste de commencer.

    Un film moderne et presque héroïque, linéaire plus circulaire. "Septembre sans attendre", n'est pas seulement et a priori une saison en enfer. C'est un ensemble poétique, charmant, moins narratif qu'erratique et extatique, si juste face à notre nouveau monde : en déconstruction.
    Madame Petimas
    Madame Petimas

    2 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 septembre 2024
    Réussir à me faire rire tout en m'arrachant une petite larme tout au long du film, il fallait le faire ! Cette légèreté et cette tension bras dessus-dessous, j'ai adoré.
    Un très beau film d'amour.
    Ousmane K
    Ousmane K

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 septembre 2024
    Très bon film, au coeur de Madrid, avec un sujet innovant. Les acteurs rendent le film encore plus attrayant. Et, la réalisation est juste génial.
    Pieblan
    Pieblan

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 septembre 2024
    Septembre sans attendre.
    Un conseil : en septembre ne perdez surtout pas votre temps ; passez votre chemin !
    Avalanche de propos. C'est long, inutilement bavard.
    Les moments de poésie sont rares.
    A proscrire.
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