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Papy J
50 abonnés
107 critiques
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4,0
Publiée le 23 juillet 2015
Les Aristochats ! 20ieme long-métrage de la longue liste des classiques Disney et le dernier a avoir eu l'approbation de Walt Disney qui nous a malheureusement quitté en fin 1966 !
Je vais devoir passer les personnages de Duchesse et ses petits car il n'y a rien dire à part qu'ils ont des bouilles adorables.
Thomas O'Malley : Chat de gouttière de pure souche, ce sacré sacripant est à la foi poète et charmeur pour les jolies demoiselles mais quand elles ont des gosses, c'est tout de suite autre chose. C'est carrément le héros du film car c'est le seul à subir une évolution : Passant du vulgaire chat des rues à un père honorable et cela en accomplissant des actes de bravoures qui lui vaudront la reconnaisse des chatons qui le voudront comme père. C'est clair que les pauvres petits, habitués à être protéger sous leur grand toit sont faible face au monde extérieur et c'est pas Duchesse qui est aussi douce que du velour avec des yeux ravissants qui va les protéger. Il est doublé par Claude Bertrand qui a doublé Baloo. Pourquoi je le précise ? Attendez un peu !
Edgar : Majordome de la maison ainsi que le premier méchant...sympathique du studio ! Je rigole pas car au fond, il n'est pas détestable, il l'aurait été si au lieu des somnifères il avait mis du poison. Et puis comment ne pas le trouver génialement ridicule face au deux chiens au nom extrêmement Français (dont l'un est doublé par Carel et qui double la souris Roquefort). Son défaut est surtout l'impatience : impatient de ne pas pouvoir toucher son testament et impatient dans le sens où il n'a pas entendu tout le testament. Je peux sans aucun doute dire que c'est le méchant le plus faible de tous les méchants Disney.
Les autres personnages sont très sympa, surtout la bande de Scat Cat qui est un melting-pot de diverses nationalités.
Animation : 4ieme film suivant l'animation crayonné mais on sent que la mort de Walt a touché fortement le studio car on peut ressentir la faiblesse de l'animation, qui est belle mais pas excellente. En plus vers la fin, on remarque une belle brochette d'animations réutilisées.
Décors : Paris, ville de l'art ! Sa réputation n'est pas à démentir, on sent le coté français des décors comme si c'était des toiles, ce qui est un peu confirmé par l'intro. On retrouve enfin les décors charmeurs d'autrefois.
Musique : C'est un film se déroulant à Paris, quoi de mieux que de balancer un bel air d'accordéon pour rendre l'atmosphère plus frenchi ! Et devinez quoi ? Le studio a demandé au célèbre Maurice Chevalier de chanté la chanson d'introduction "Les Aristocats" ! Et ça c'est conclut par un oui très gratifiant et impressionnant ! On dirait que Disney adore le jazz depuis le Livre de la Jungle. C'est avec Scat Cat qu'on entend sonner le glas de la trompette jazzy ! Et cela pour la chanson la plus culte du film : "Tout le monde veut devenir un Cat" !!! Autant la forme est excellente, autant j'ai du mal à cerner le sens.
Scénario : Alors là c'est la panne ! Le scénario n'est d'autre que la version féline de "la Belle et le Clochard" avec des ajouts des "101 Dalmatiens" et du "Livre de la Jungle" :
Point commun avec "La Belle et le Clochard" : un animal de riche va connaitre sous le coup du sort la vie des rues aidés par un habitués. En clair : Lady/Duchesse et Clochard/Thomas ! Je vous l'avais dit que c'était la version féline. Avec les "101 Dalmatiens" : Une famille tout entière doit traversé la large campagne avant d'atteindre la capitale. Avec "Le livre de la Jungle" : C'est personnage de Thomas qui ressemble à celui de Baloo autant dans le caractère que dans la voix (en vo et vf). En plus, le chaton roux, Berlioze, voulait défier Thomas comme Mowgli avec Baloo.
Au final, ce film marque un petit pas vers un deuxième déclin (le premier était après Bambi jusqu'à Cendrillon) car ce film est du réchauffé avec quelques nouveautés.
Emotions : Ben c'est encore la joie qui domine ! A aucun moment on veut nous émouvoir, c'est juste un simple film familial et rien de plus. Bon, il y a aussi le rire avec les scènes Edgar contre les chiens.
Avis Personnel : Un film gentillet qui se regarde sans être lassé.
Conclusion : Malgré des personnages qui sont juste là pour montrer leur talent et petite frimousse et un méchant sympathique malgré lui, c'est un joyeux divertissement avec quelques impressions de déjà vu !
Les Aristochats : Une classique Disney qui est un pur bonheur a regardais. Il y a tout ce qu’on aime et qui fait le charme des anciens Disney. L’animation qui fait très dessins, très peintures… Loin des animations parfaites et fluide d’aujourd’hui mais elles n’ont pas autant de charme, la c’est une vrai œuvre d’art, ça vraiment du cachet et c’est un plaisir pour les yeux et c’était très ingénieux et créatif pour l’époque. Il y a aussi les musiques et chansons qui dans ce dessin animé sont facilement reconnaissables et appréciables, car il y a certains Disney ou on les oublies assez vite pas dans celui la, et elles sont accompagnées par de super danse qui donne le ton et l’énergie du film. Pour ce qui est du scénario, ça ressemble un peu au début aux 101 dalmatiens car les chats se fond kidnappé et ils doivent retrouver le chemin, ça s’arrête la bien sur. Car, c’est le majeur homme qui veut l’héritage mais il passe après les chats… Faut dire aussi que l’histoire est remplit de gags et de situations très drôle. Et ça grâce aux personnages qui sont tous très amusants a suivent et trop mignons, les chats sont adorables et ils sont tous quelques choses. Donc voila, un régal a regarder, un pur plaisir, idéale pour les petites et les plus grands.
L'ambiance jazzy du film, ses personnages farfelus ( mention spéciale aux 2 chiens "Napoléon et Lafayette"), son graphisme particulier font de ce film un vrai petit bijou.
Un Disney correcte mais malheureusement bénéficiant d'une histoire classique et pas touchante comparé aux autres grands classiques. Même les personnages ne dégagent pas cette magie et restent très banals voir agaçant pour les oies, finalement seul le groupe de chat se rapproche de l’esprit de la firme. Au final aucune scène n'est marquante et même les dialogues ne paraissent pas naturel et créent une barrière. Bon on rigole quand même un peut, surtout grâce à l'imitation du chat de gouttière par un des chatons, mais pas assez non plus et le dessin est moins précis et moins fin. La b.o. est bonne mais à part "Tout le monde veut devenir un cat" aucune chanson n'est mémorable. Malgré toutes ces critiques, les Aristochats arrivent à divertir mais est plus réservé aux petits. 13/20
On ne remplacera pas les classiques de Disney. Un très bon film d'animation avec des chats tout mignons au swing d'enfer, des chansons cultes et plein d'humour.
Même si j'apprécie le côté "ancien dessin animé », je ne peux cacher que ce Disney est décevant. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il est trop creux. Il ne se passe rien, juste des chats qui rentrent chez eux parce qu'une vieille ne peut donner sa fortune à des œuvres qui en auraient plus besoin. Sans faire le moraliste les valeurs sont pas top là. Je passe la bien-pensance moderne qui veut que le cliché de chat asiatique soit raciste, c’est révélateur des époques et le message devrait être délivré par les parents, mais l’éducation étant un concept dépassé… Hormis ce côté vide l'histoire n'est pas passionnante, la trame trop connue pour une quelconque surprise, l'animation est bien faite mais le paysage trop mal soigné (l'arrière-plan est généralement vague), le côté enfantin est bien là sauf que c'est la version ch.iante des Disney, bien lourde et trop moralisatrice (Duchesse est juste trop cabotine). Si on rajoute que c'est très long pour 1h30, en grande partie dû aux nombreuses longueurs qui parsèment le film, que les personnages ne sont que des saints petits scouts (toujours prêts à aider) et qu'à part la chanson jazzy connue (Cat) rien d'autre ne ressort (et ç manque de jazz aussi), on se dit que les Aristochats sont bons à voir une fois, et avant 10 ans.
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4,0
Publiée le 23 janvier 2012
Humour, fèlin, jazz et romance, "Les Aristochats" viennent miauler en choeur et en rythme dans le Paris 1910 où l'èlègante Duchesse, à la perfection plus que fèline, et ses trois chatons, Berlioz, Toulouse et Marie, coulent des jours heureux chez une excentrique millionnaire qui veut leur lèguer sa fortune! Mais Edgar, son vil majordome, l'apprend et tente de se dèbarrasser des minets pour hèriter lui-même du pactole! Heureusement, les fèlins sont solidaires: des personnages pittoresques et sympathiques volent à leur secours, aidès par le galant matou Thomas O'Malley, qui ne rèsiste pas aux prunelles de Duchesse! Ce chat de gouttière sans toit ni loi fait dècouvrir à la petite famille un Paris fascinant qui swingue au rythme du jazz et du scat! Musique et chansons s'enchaînent, du musette chantè par Maurice Chevalier au cèlèbre et entraînant "Tout le monde veut devenir un cat". S'il aura fallu attendre plusieurs long-mètrages pour que les studios Disney donnent la vedette à des chats, "Les Aristochats" font en effet partie des rèussites du genre avec des personnages drôles et attachants! Et surtout, c'est un film d'animation plein de bonne humeur...
Très sous-estimé, celui-là ! D'autant plus que l'atmosphère parisienne - malgré de nombreux anachronismes - est impeccablement reconstituée dans le graphisme, les couleurs et le traitement des personnages. Musique tout à fait jubilatoire, à réécouter en boucle pour mieux guincher ou taper du pied, accompagnant des personnages chat-rismatiques avec en première loge l'aventurier O'Malley... Nombreux personnages secondaires qui s'avèrent savoureux : le duo Napoléon - Lafayette évoque principalement le burlesque de Laurel et Hardy, la bande de chats jazzys montre le versant nocturne des rues de Paris, la souris Roquefort sert de petit sauveteur délicieux à la résolution de l'intrigue et le méchant Edgar fait sourire par sa bêtise timorée... Quant au quatuor d'aristochats il s'avère magnifiquement dépeint par l'équipe de dessinateurs, personnages portant de surcroît des sobriquets issus de la grande culture. Un classique de Disney à revoir régulièrement, énergique même si parfois un peu trop optimiste au goût de certains cinéphiles... J'adore !
Un Disney correcte mais malheureusement bénéficiant d'une histoire classique et pas touchante comparé aux autres grands classiques. Même les personnages ne dégagent pas cette magie et restent très banals voir agaçant pour les oies, finalement seul le groupe de chat se rapproche de l’esprit de la firme. Au final aucune scène n'est marquante et même les dialogues ne paraissent pas naturel et créent une barrière. Bon on rigole quand même un peut, surtout grâce à l'imitation du chat de gouttière par un des chatons, mais pas assez non plus et le dessin est moins précis et moins fin. La b.o. est bonne mais à part "Tout le monde veut devenir un cat" aucune chanson n'est mémorable. Malgré toutes ces critiques, les Aristochats arrivent à divertir mais est plus réservé aux petits.
Pour ma part c'est l'un des tout meilleurs films de Walt Disney. Duchesse se laissant séduire par O'Mallet. Une succession de gags. Et puis l'un des rares Disney se passant à Paris.
Le trip des chats qui parlent, ce n’est vraiment pas mon dada, et cela ne l’a jamais été. Alors certes, ce film se regarde quand même et le propos n’est pas si inintéressant que cela pour un Disney, mais bon… Au-delà de ça, le studio aux grandes oreilles possède déjà ses codes et n’en déroge jamais dans ce film. Le bon vieux credo du « Oui mais c’est pour les enfants » peut certes être utilisé sur ce film. Mais bon… Combien de films savent satisfaire à la fois les petits et les grands ! A croire que, face à celui-ci, je suis décidemment trop grand…